Deux gryffondors ou une serpentarde? Je préfère la serpentarde (Lindsay)

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Je me réveille à cause du bruit que font les filles, elles sont vraiment pas douées le matin. Il y en a même une qui vient de se prendre les pieds dans ces bouquins et qui vient de tomber par terre. Je soupire et passe ma main sur mes yeux en les fermant. Cette journée s'annonce très longue. Je sors de mon lit peu de temps après et vais m'habiller dans la salle de bain après les autres occupantes de la chambre. Après l'avoir fait, je décide de ranger mes livres dans ma malle parce que je ne supporte pas le désordre contrairement à ma famille. La tâche accomplie, je descends dans la grande salle en prenant mon temps. Je ne vois pas l'intérêt d'aller vite quand il commence à faire chaud. Je rentre dans la grande salle peu peuplée car les élèves adorent faire la grasse matinée sauf peut être ceux de ma maison. Je me dirige vers ma sœur qui me fait signe de venir avec elle. Elle me dit bonjour et me demande si je désire manger avec elle et ces amies, je ne peux refuser donc je me joins à elles sous le regard d'autre gryffondors. Elles commencent à parler de mecs, de cours, de professeurs et d'autres choses mais je n'y participe pas beaucoup, je ne veux pas parler. Je mange sans véritable faim mon déjeuner en suivant plus ou moins leur conversation mais après quelques minutes, je m'excuse et je sors de table. Je traverse la grande salle en entendant des remarques de garçons de gryffondors qui sont en 7ème mais je n'y fais pas attention et je continue ma route. Je remonte dans ma salle commune en ruminant mes pensées à cause des remarques des gryffondors

*Ils peuvent se la fermer car ils sont pas mieux, même pas coupable d'affronter leur plus grande peur alors qu'ils se disent supérieurs tout comme les serpentards. Ils se croient supérieurs mais ils restent des élèves.*

Après avoir monté plusieurs étages et emprunter plusieurs couloirs, je rentre dans ma salle commune où pas mal d'élèves étaient affairés à leurs devoirs et je décide de faire les miennes donc je monte dans mon dortoir et prends quelques devoirs. Je redescends avec ceux-ci sous le bras. Je m'installe à une table où se trouve peu d'élèves et commence à faire mon devoir d'arithmancie. Mais je n'arrive pas à me concentrer correctement car les premières ont l'air de prendre un malin plaisir de faire du bruit.

Pas moyen d'être au calme dans ma Salle commune, j'en ai vraiment marre des petits plus bruyants que les gryffondors. Je prends mon sac et mes affaires en soupirant exaspérée et sors de la salle légèrement énervée. Je prends ma baguette en main et commence à jouer avec pour me contrôler et arrêter de m'énerver. Heureusement pour ces premières, je ne suis pas le genre de filles à lancer des sorts sur les plus faibles. Je marche rapidement sous la colère et bouscule parfois des élèves qui protestent mais je ne leur portent pas attention. Ces derniers temps sont vraiment difficiles car les profs font un malin plaisir à nous donner une tonne de devoirs et j'ai à peine fini la moitié. Cette année semble vraiment interminable surtout qu'aujourd'hui, il fait vraiment très chaud. J'ai du mettre un t-shirt avec un short pour ne pas avoir trop chaud. Tous les habitants du château souffre de la chaleur mais moins les serpentards car les sous sols sont toujours frais peut être moins qu'avant mais ils restent frais. Heureusement que les vieux professeurs de mes parents ne sont plus là parce que ça serait une horreur de leur voir peut habiller comme mes professeurs.

Je continue mon chemin et arrive dans le parc. Il y a beaucoup trop de monde, tout le monde veut profiter du soleil. Je décide d'aller ailleurs pour ne pas être dérangée donc je marche vers le Lac où je suis certaine de trouver un peu de calme. Je regarde les élèves en groupe ou allonger au soleil. Ils profitent du soleil, ils ont bien raison car l'hiver s'annonce rude. Il faut au maximum prendre le soleil et la chaleur tant qu'il y en a. Après quelques minutes, j'arrive au lac qui était comme je l'avais prédit, peu occupé. Je vais m'installer sur une racine d'un arbre qui sort du sol et prends mes devoirs puis les continue.

Enfin je les continue jusqu'à ce que j'attende des pas venir vers moi et des personnes dirent

Eh tu as vu, c'est la serdaigle de ce matin

Viens, on va lui dire bonjour

Je ne prévois rien de très bon pour moi mais je fais semblant de ne rien attendre et continue avec du mal mon devoir de potion. Je les entends toujours marcher dans ma direction puis je n'entends plus leur pas mais leur respiration. Je ne lève pas les yeux de mon devoir mais un des mecs en décide autrement et arrache mon devoir. Je lève les yeux et vois les 2 gryffondors qui m'avait fait des remarques ce matin. Je les fusille du regard ce qui fait sourire plus l'autre. Je me lève pour reprendre mon devoir et j'entends l'autre mec dire

« On se révolte maintenant? C'est pas bien »

Il commence à rire comme un débile et j'essaye toujours de reprendre mon devoir mais le garçon le garde loin de ma portée. J'aurais peut prendre ma baguette mais je l'avais déposé à mes côtés en m'asseyant. C'est la dernière fois que je la garde pas en main.

*Ça les amuse de prendre mon devoir? Ils peuvent pas s'occuper intelligemment à la place d'énerver ceux qui essaye de travailler? Quand on pense qu'ils sont en 7ème, ça m'étonne.*

Le garçon qui a mon devoir continue de le garder loin de moi et le lis à haute voix, je m'en fiche car au moins, ils apprendront une nouvelle choses. Car vu leur QI, ils doivent pas connaître beaucoup de choses importantes. Après quelques minutes, j'arrête de me ridiculiser à essayer de reprendre mon devoir devant le regard amusé d l'autre garçon. Je décide de faire quelque chose de plus intelligent donc je frappe avec mon pied dans le mollet du typer qui a mon devoir. Ce dernier le lâche en fessant un bruit de douleur et je me dépêche de reprendre mon devoir mais quand je le reprends, l'autre garçon empoigne mon bras fermement et viens murmurer à mon oreille

« Tu n'aurais pas du faire ça, tu vas nous le payer »

Malgré moi, je déglutis légèrement de peur et regarde la main du gryffondors autour de mon poignet. Que les élèves ont changés ces temps-ci, on aurait jamais pensé que des gryffondors puissent être aussi … aussi serpentards il y a quelques années.

*Je suis mal barrée, pourquoi il n'y a jamais personne quand on a besoin d'aide? J'aurais du aller dans le Parc*

Je sens le mec me mettre face à lui et il a un sourire mauvais, je n'aime vraiment pas ça. Je préfèrerais affronter un serpentard que 2 gryffondors qui ont l'air de savoir ce qu'ils veulent. Je sens vraiment mal ce qui risque de passer mais je regarde le garçon dans les yeux en cachant ma peur

Vous ne me faites pas peur

Dommage parce que tu le devrais.

Il continue d'avoir un sourire mauvais et je sens le mec à qui j'ai donné un coup de pied s'approche de nous. J'espère vraiment que quelqu'un arrive parce que je ne peux rien faire pour qu'il relâche sa main qui sert assez fort mon poignet.

Comme d'habitude, mon réveil intégré me réveille à cinq heures du matin. C'est la routine, maintenant j'ai l'habitude et puis ça me plait. Le fait de se lever la première tous les matins à de nombreux avantages. Je n'y avais jamais vraiment songé, mais ça me permet d'être seule. La nuit, c'est le moment de la journée que je préfères, et j'ai la chance de ne pas avoir besoin d'énormément d'heures de sommeil. Tous les jours, dans la salle commune, je suis la première à y passer. Parfois même, je croise des elfes de maison qui nettoient après nous. Enfin, dès qu'ils m'entendent ils disparaissent, mais quand même. Les elfes sont des créatures assez étranges... J'en avais une au manoir Andrews, mais quelqu'un s'est introduit par infraction dans ma maison et l'a égorgé. J'ai eu le plaisir d'avoir sa tête servie sur un plateau dans mon frigo. Depuis, j'ai installé des pièges dans ma maison, à l'aide de magie noire. Je sais, c'est mal mais quand même. Et puis, Emmett y passe la plupart de son temps, il préfère être chez moi que chez lui, surtout en ce moment, vu que sa femme demande le divorce et qu'il s'est fait mettre dehors, il n'a pas le choix, il est bien obligé de vivre quelque part, et je sais bien qu'il ne volera rien, ou il le regrettera... Ma maison est un véritable piège, c'est assez amusant. Une fois, le facteur s'est retrouvé pendu à l'arbre la tête en bas pour avoir fait un pas de trop dans le jardin. En même temps, il n'avait rien à y faire donc bon. Je suis cruelle parfois, mais j'aime tellement ça. Ce facteur, il en a vu de toutes les couleurs avec moi, mais il continue de venir... En même temps, il est jeune, il doit avoir la vingtaine le pauvre... Il me semble que ça ne fait même pas six mois qu'il a vingt ans, et il est facteur... En plus, il est mignon, j'en ai déjà profité un jour. Et puis, il a goûté à mon pouvoir aussi, c'était assez drôle à voir. Il a déglingué ma boîte aux lettres pour qu'il puisse venir me remettre mon courrier en main propres, mais il ne sait pas que je sais ce qu'il a fait, ce qui rend la chose encore plus amusante, parce que quand je lui ai dit que je ne la réparerais pas, il avait l'air satisfait. Enfin, assez parlé du facteur, ce n'est pas vraiment un sujet très important, revenons à moi.

Moi, Lindsay Andrews, Serpentard septième année, machiavélique, fourbe, sadique et j'en passe. Je n'ai que des qualités, quand on y pense... Bon, certains vous diront que ce ne sont pas des qualités, je pense par là au petit Potter, ou encore à Allen. Ah, vraiment des crétins ces deux là, c'est incroyable. Je crois en fait, que tous les crétins de Poudlard sont regroupés dans une seule maison : Gryffondor. Synonymes: Suicidaires, téméraires, stupides, etc.. Il y a tellement de mots qui peuvent définir les bouffondor. Mais rien n'empêche qu'à Serpentard on a aussi des cas... Je citerais bien mademoiselle Valentine, qui me hait simplement parce que Malefoy me hait également, enfin pas vraiment, on a eu quelques... Quelques affrontements parfois assez violents. Mais il est sûr et certain que si je la croise en dehors de Poudlard, elle va se faire endoloriser cette.. @&#@_ [Censuré] Oh et puis Malefoy est pas mal dans le genre pourriture aussi... Et ne parlons pas de Jédusor. Enfin, il y a tellement de monde qui me déteste et que je déteste dans ce château, que je ne compte même plus. Je me contente simplement de compter mes amis, même si je ne comptes pas forcément sur eux. J'ai toujours préféré me débrouiller seule, pour ne dépendre de personne, parce que c'est tellement plus facile. Lorsqu'on dépend des autres, on est souvent incapable de se débrouiller tout seul. C'est pour ça que j'évite. De plus, j'ai fait mon éducation toute seule, j'ai grandi toute seule, je suis devenue celle que je suis toute seule. Personne ne m'a jamais aidé, je ne vois pas pourquoi je devrais changer ça maintenant, aider les autres et me faire aider. Non, moi je vis au jour le jour, je me débrouille toute seule, je n'ai besoin de personne. Mais il m'arrive d'aider les autres. Parce que je suis comme ça, je suis quelqu'un d'assez volatile, je suis comme le pollen mené par le vent. Dans mes relations tout comme dans mes actions. Enfin, ça dépend des relations. Mes amis, c'est pour la vie, je ne les échangerais pour rien au monde. C'est plutôt les relations plus... Disons les relations moins chastes. Ouais pendant les dernières vacances j'ai été un peu libertine... Ce qui ne m'étais jamais arrivée, mais je dois avouer que ça fait du bien, et avec un pouvoir comme le mien ce n'est pas bien compliqué de trouvé une personne consentante. Sauf que jamais, jamais je ne leur ai montré mon manoir. Sauf pour le facteur forcément. D'ailleurs, le weekend prochain je suis de sortie, j'ai eu l'autorisation de quitter Poudlard pour me rendre au manoir et apparemment il m'a dit qu'il me rejoindrait peut-être pour dîner, et il fera lui même la cuisine dans mon manoir. Il est assez sympathique ce jeune facteur, mais je n'arrive pas à me souvenir de son prénom... Houm, ça me reviendra bien un jour.

Enfin bref, nous voilà donc au matin, il est cinq heures trente, je viens de me lever pour enfiler mon short et mon débardeur de sport. Je me promènes pieds nus dans le dortoir, à la recherche d'une paire de chaussettes et de mes tennis. Aujourd'hui, je vais faire du sport tout en blanc. Ne me demandez pas pourquoi, je n'en ai aucune idée. Lorsque j'ai retrouvé tout ce que je cherchais, je quittes la salle commune, baguette en main et marche en direction des grandes portes. Une fois arrivée dehors, j'observe la fraîche rosée qui s'est déposée sur les brins d'herbe qu'aucun pied n'a encore foulé ce matin. C'est étonnant, je suis toujours la première à quitter le château le matin, personne n'est jamais dehors quand je sors à cette heure. Ce qui est assez agréable, parce que j'aime bien être seule pour faire mon petit footing du matin. J'ai toujours eu l'habitude de le faire seule, si quelqu'un venait m'embêter ça n'irait plus... Je me sentirais troublée et puis ça changerait tout le rythme de ma journée. Et puis, je ne veux pas que quelqu'un se joigne à moi, parce que cette personne ne suivrait pas. J'ai tellement l'habitude d'être seule à courir que je ne pourrais m'adapter à une présence, ce serait trop demander. Je cours donc dans le parc, puis tourne autour du lac et finis par me diriger dans la forêt interdite. Arrivée à la lisière, je m'arrêtes, regarde droit devant moi puis souris. Pourquoi? Je n'en sais rien, c'est venu tout seul. Je me mets alors à courir et m'enfonce dans la forêt. Je cours, je cours toujours plus loin. Les arbres sont de plus en plus resserrés les uns sur les autres, et arrivée à une clairière, je m'arrête. Je l'ai retrouvée du premier coup, parfois il m'arrive de tourner en rond avant de la trouver. Il y a une souche au beau milieu de cette clairière. Je m'avance vers la souche, et fais le poirier. Je m'amuse à marcher sur les mains en rond dans la clairière, mais après quelques minutes, je ressens des douleurs dans les bras. Les mains, ce n'est pas fait pour marcher, je devrais le savoir. Je fais donc des accélérations, des abdos et des pompes, avant de m'allonger sur le sol et regarder le ciel pendant un instant. Regarder là haut, ça me rappelle des souvenirs. Je me rappelle de tant de personnes qui sont parties et qui ne pourront revenir. Comme par exemple mes parents et Sand... Dès que je vois le visage souriant de Sand apparaître devant mes yeux, je bondis sur mes pieds et cours de nouveau au travers de la forêt. Je cours de plus en plus vite. Je prends la direction du château, et en passant devant le saule cogneur, j'accélère encore. Mes chaussures ont pris l'eau avec la rosée fraîche du matin. Mais ça ne me pose pas problème, je continues à courir. Je cours même au travers du château, je suis restée dehors pendant facilement deux heures apparemment. Une fois de retour dans mon dortoir, j'attrape un sac en toile, y met quelques affaires et marche en direction de la salle de bains des préfets. Parce que oui, je suis préfète-en-chef, j'ai donc le droit d'y mettre les pieds. J'ai du rester pendant une heure prendre un bain, parce qu'il est déjà 9 heures quand j'arrive dans les cuisines où les elfes me servent un petit déjeuner. Une demie-heure plus tard, je décide de faire mes devoirs, mon travail d'Arithmancie et de potions. J'aime bien ces cours là. Il est déjà midi quand j'ai fini tout mon travail. Je décide donc de rejoindre Elisabeth à la grande salle, comme d'habitude. En y rentrant, j'ai le droit à de nombreux regards. C'est toujours comme ça lorsque j'enfile mon short en jean noir avec mon débardeur blanc. Forcément, une vélane ça ne passe pas inaperçu...

Après manger, je me dirige vers le lac, sans trop savoir pourquoi. J'ai mis des ballerines, c'est plus pratique à porter que des chaussures à talons. Mais une fois dehors, je les retire pour marcher pieds nus dans l'herbe fraîche, j'aime beaucoup ça. Ma baguette glissée dans ma ceinture, je marche vers le lac. Une fois arrivée là-bas, je grimpe dans un des arbres, celui qui possède les plus grosses branches. J'aime bien, parce qu'on peut presque y être allongé, et il n'est pas désagréable. Après une bonne dizaine de minutes, une fille se dirige vers l'arbre. Il me semble que cette fille est à Serdaigle, et ça doit être une ... Une Longdubat. Je ne sais pas pourquoi, mais avoir ce nom c'est presque aussi moche que de s'appeler Potter ou encore Weasley. Non franchement, les Longdubat sont au même niveau que les autres. Une bande d'immondices qui ne méritent pas d'être connu, voire même de vivre. Enfin, après là n'est que mon avis personnel à moi même que personne ne contredira. Chacun peut penser différemment. C'est une des jumelles en plus... Je sais qu'elle est en quatrième année mais je ne saurais dire de qui il s'agit. Après quelques minutes, deux gryffondors de septième année arrivent pour l'embêter. C'est assez amusant à voir, ils sont pitoyables. Et moi, je n'aime pas ça quand les gryffondors font honte aux sadiques comme moi, ils méritent une bonne leçon d'après moi... Pendant quelques minutes, j'observe le spectacle qui se déroule sous mes yeux. Ils sont méchants, à deux contre une pauvre petite fillette sans défense qui ne peut rien contre eux. Elle est bloquée, l'un lui tient la main, l'autre risque de lui faire des crasses. Je sors alors ma baguette et jette un Levicorpus à celui qui se trouvait juste derrière la jeune fille. Il hurle, il n'a pas l'air content. Suspendu dans les airs, il me voit et murmure mon nom, forcément, tout le monde me connaît à Poudlard. Moi, je ne me souviens pas du sien. En même temps, ce n'est pas vraiment comme s'il était important lui...

« Depuis quand on s'attaque aux plus faibles? »

L'autre Gryffondor tient encore la jeune Serdaigle par le poignet, moi, je me laisse tomber de l'arbre, la baguette levée. Je suis pieds nus, mes cheveux volent derrière moi. Un sourire sadique se dessine sur mes lèves. J'aime ça, j'aime beaucoup ça. Je vais leur en faire voir de toutes les couleurs, ils ne sauront pas ce qui leur arrive. Je lève ma baguette vers le Gryffondor qui est suspendu dans les airs et jette un sortilège imprononcé. Je les maîtrise ceux là Ses cheveux commencent à pousser à vue d'oeil. J'aime beaucoup ce sortilège. Ensuite, je lui lance un deuxième sortilège, il se retrouve vêtu seulement d'un slip, et je peux vous assurer que les "cheveux" poussent de partout... C'est assez répugnant à voir. Je jette un Expelliarmus au deuxième (la baguette du premier étant tombée au sol, je la ramasse) qui ne lâche pas pour autant la jeune fille. Un Accio baguette fait venir vers moi la baguette du garçon. J'ai ainsi deux baguettes sur moi. J'use alors de mon pouvoir, le premier suspendu dans les airs se met à baver, son regard est vide, il se débat, il veut me sauter dessus, ça se voit. Le deuxième lâche sa prise et s'approche de moi, il veut me toucher, je lui fais signe de s'arrêter il s'arrête. Il a l'air ridicule, comme tous les hommes devant une vélane. La jeune Serdaigle peut alors récupérer ses affaires mais elle ne s'enfuit pas, comme je l'aurais imaginé. Je lève ma baguette vers le Gryffondor et m'écries :

« ENDOLO... »

Aussitôt la première syllabe prononcée, le garçon devient tout blanc, il a peur. Sauf que je n'ai pas jeté le sortilège, j'en ai jeté un autre imprononcé. Je l'ai expulsé dans l'eau, il a fait plouf. Il se relève bouillonnant de rage, des algues sur la tête. Je lui jette un autre sortilège et des furoncles poussent sur son visage. Je commence alors à m'énerver, mon visage se déforme, comme le font ceux des vélanes enragées... Mais mes bras ne deviennent pas des ailes et je n'ai pas de bec. Je contrôle cette rage qui est en moi, je veux seulement leur faire peur. Je fais tomber au sol le premier Gryffondor dont les cheveux font déjà trois fois sa taille. Il commence à courir, son ami à ses trousses. Je leur jette à tous les deux un deuxième sortilège et aussitôt ils se mettent à cracher des limaces. Le Gryffondor aux cheveux longs trébuche sur ses cheveux en essayant d'avancer. Voilà un spectacle amusant à voir. Une fois qu'ils ont disparu, je jette leurs baguette sur le sol à quelques mètres de moi puis me tourne vers la jeune fille.

« Tu ne devrais pas rester toute seule comme ça. »

Je lève ma baguette vers elle, pour voir sa réaction...

Invité

Tout c'est passé vite, trop vite. J'avais réussit à voir qui était venu à mon aide et quand j'ai vu la personne, je me sens vite dit qu'elle n'avait pas fait ça pour me protéger, plus pour s'amuser. Car elle n'est autre que Lindsay Andrews, une serpentarde de 7ème année. Je n'ai jamais eut affaire à elle avant aujourd'hui, et heureusement pour moi aussi, mais elle est réputée comme la plus part des personnes de sa maison d'être sadique et froide mais elle l'est plus que beaucoup d'autres. J'avoue que je l'ai un peu admirer car elle a sut se faire respecter et elle n'a peur de personne. J'aimerais être pareil et n'avoir plus peur de demain. Mais je suis née Longdubat et même si je le voulais, je ne pourrais pas totalement changé sauf si on m'aide mais qui le ferra? On a juste pitié de moi et rien de plus. Personne ne me verrait autrement juste à cause de mon nom de famille, les gens sont trop aveugles. Je la regarde de temps en temps, elle se débrouille très bien même. Les garçons ne font pas le poids par rapport à elle. Je les plains un peu malgré qu'un risque de me casser le poignet à tout moment si il continue de le serrer et de le retourner comme ça. Je ne dis rien, j'ai juste lâcher un faible gémissement de douleur quand mon poignet craque un peu sous la pression. Je commence à ressentir de la douleur dans tout le bras. Je retiens mes larmes, ne pas pleurer est une bonne solution pour moi. Je ne veux pas montrer ma douleur et recevoir encore de la pitié, j'en ai déjà trop eut dans toute une vie.

Je sens soudain le garçon lâcher mon poignet, je retiens un soupir de soulagement et je le prends dans mon autre main. Si il avait continué, mon poignet serait à coup sûre cassé. Je sais que je devrais partir mais je n'en fait rien, je reste où je suis et je les regarde surtout Lindsay. Elle se débrouille bien, je n'aurais surement jamais son niveau. Elle ne bronche même pas face au deux gryffondors même si ils sont d'une même année. Je pourrais parier qu'elle n'apprends pas que des sors à l'école surtout pour avoir ce niveau. Je me demande aussi de qu'elle côté elle est, l'Ordre ou Mangemort? Ou encore neutre? J'aimerais bien le savoir si je ne viens pas à mourir ici.

Plus je la regarde, plus je me sens faible. Je ne suis rien par rapport à elle, je ne tiendrais pas plus de 5 minutes même si j'utilise tout mes sorts. Elle a plus de force donc ces sorts sont plus puissants. Un tout simple peut devenir dangereux si le sorcier qui l'utilise à beaucoup de force mentale.

J'entends la serpentarde commencer à dire une des 3 formules interdites. Je suis à la fois inquiète et stupéfaite qu'elle puisse utiliser une telle formule. Une pensée me traverse l'esprit, elle ne dure que quelques secondes mais elle m'étonne moi-même. Je me demande ce que ça ferrait de dire une pareil formule, on doit se sentir puissant et invisible. Mes parents ne m'ont jamais dit ce que ça fessait mais vu la tête qu'ils fessaient, ils trouvaient ça dégueulasse. J'éloigne la pensée au plus vite, je ne veux plus jamais y penser. Je vois le garçon tomber dans l'eau à la place de mourir. C'est une formule modifiée, j'aurais du m'en douter. Personne ne serait assez bête de tuer des personnes au Lac surtout en pleine journée. On pourrait se rendre compte de quelque chose.

Je vis ensuite les garçons partir en courant malgré qu'un avait du mal à cause du sort de Lindsay qui a fait pousser très vite ces cheveux. Ils fuient tandis que moi je reste. Je continue de les regarder puis je tourne mon visage vers Lindsay, celle-ci me regarde aussi après avoir jetés les baguettes des Gryffondors. Je l'entends me parler et elle me dit que je devrais pas rester seule. Je ne réplique pas et même je n'ai pas eut le temps car elle a levé sa baguette vers moi. Je n'ai pas peur, je ne me comprends pas vraiment là.

Je ne bouge pas et je la regarde dans les yeux. Rien ne me dit qu'elle va me tuer tout comme vivre mais je ne pense pas qu'elle me tuera. Pourquoi me sauver puis me tuer? L'idée me parait bizarre mais les serpentards sont bizarres. Tout comme la vie en passant. Je dis après quelques secondes dans une voix dénuée de peur.

« Merci du conseil, je ferrais gaffe à l'avenir et merci aussi d'être venu à mon secours ... Si tu es venue pour m'aider. »

Je n'ai pas retenir ma dernière phrase, au moins elle sait ce que je pense de son arrivée entre moi et les 2 garçons au moment où j'allais le plus mal. Je regarde la jeune fille puis sa baguette toujours sans peur, je ne sentais aucune peur même si elle ne baisse toujours pas sa baguette.

Je regarde ensuite mes affaires et je les prends doucement mais je ne pars pas. Je l'ai fait toujours avec ta baguette sur moi. Je mets la lanière de mon sac sur mon épaule et te regarde sans broncher et en ne disant rien.

« Merci du conseil, je ferrais gaffe à l'avenir et merci aussi d'être venu à mon secours ... Si tu es venue pour m'aider. »

C'est souvent qu'on vient t'embêter comme ça?

Ne t'inquiètes pas hein, je ne mordrais pas, je n'ai pas faim.

Inutile de me présenter hein? Ou faut-il le faire pour le show?

Hrp : désolée du retard, et de la nullité de mon rp aussi è_é