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 Sujet: On a pas toujours c'qu'on veut dans la vie { 100% }  Lun 30 Aoû - 22:22 |
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Feat Marion Cotillard
Crédit – Nemesis -
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Surnom : Si tu ne veux pas te retrouver transformé en quelque chose de mou et verdâtre n'essaye même pas 
Âge : 24 ans
Sexe : ouvre tes yeux chéri!
Date de naissance : 25 juillet (et je suis du signe du lion si vous voulez tout savoir)
Métier : enseignante à Poudlard (Métamorphose si possible, SVP, merci x3)
Camp : –C'est un secret... -
Race de sang : - pur –
Baguette : 27,5 cm, en bois d'ébène avec un crin de licorne
Ancienne maison à Poudlard : c'était...gryffondor! * Wouahouh!...PAN!*
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Caractère : << On me dit compliquée, moi je ne trouve pas. >>
Lourde charge que de vous expliquer ma manière de voir la vie. Drôle de défi, qui me semble impossible, mais bon, j'aime jouer, alors je suis prête à tenter l'expérience. Vous pouvez vous assoir, car ça risque d'être long et surtout, compliqué..
Depuis que je suis petite, j'apparais comme une personne lunatique, dans la lune, décalée... Non je ne suis pas schizophrène. Simplement je suis quelqu'un de contradictoire, un point c'est tout.
Je m'amuse, je profite, sans me prendre la tête. Optimiste, j'aime croire au bonheur et à la beauté de la vie, mais malgré ça, je suis parfaitement réaliste, je ne crois pas au coup de foudre, ni au grand amour. Les histoires de fée clochette en revanche, j'ai compris qu'elles n'étaient pas totalement fausses, puisque la magie existe. Néanmoins, je doute sérieusement qu'embrasser un crapaud le transforme en prince charmant, ce dernier n'existe pas d'ailleurs, désolé d'en décevoir certaines, mais au moins, vous êtes prévenue et ne serez pas blessé plus tard. Je crois au vrai bonheur, aux choses simples qui vous font rêver et à des valeurs telles que l'honnêteté et la loyauté, bien que cette dernière soit souvent bafouée, et la première aussi en réalité.
Et pas de chance, je suis une vrai tête de mule, la mauvaise foi peut faire partie de mon tempérament également, mais je sais reconnaître mes torts, quand il le faut vraiment. En bref, je ne me laisse pas marcher sur les pieds, quand on m'attaque, je réplique, même si le provocateur est plus grand et plus fort que moi, quitte à en venir aux mains, je ne lâcherais jamais mes opinions. Mais en général, je m'en sors toujours bien, la ruse, c'est génial. J'ai découvert que les mots pouvaient faire bien plus mal que les coups de poings. Quoique certaines personnes ne semblent comprendre que ça...
Je tiens à vous rassurer, je ne suis pas non plus un monstre, j'ai juste des principes. Par exemple, à l'école, si je croise un groupe de serpentard en train d'embêter un gryffondor, il y a des chances que j'aille ouvrir ma jolie petite bouche et que je me débarrasse de ces idiots. Et si ce sont des gryffondors qui provoquent un serpentard, ce sera la même chose, je ne fais pas de différence entre les maisons ou entre les statuts. A partie du moment où vous criez et me prenez la tête vous êtes des élèves mort x).
Enfin, un des traits principal de mon caractère : je DETESTE la magie. Oui vous avez bien entendu. J'abhorre, j'exècre, je hais cette infamie. Quand je vous disais que j'étais quelqu'un de contradictoire...
Qualité principal : a un sens de la justice aigu
Défaut principal : trop têtue
Physique : << Je suis une poupée de cire, poupée de son >>
Je suis un jouet, ou plutôt, j'ai été un jouet. Surtout lorsque ma grand-mère s'entêtait à m'habiller dans le style Lady D. Je n'aime pas la prétention, s'aimer est un fait, tout le monde est narcissique à sa manière, mais là, je me contente d'être réaliste. Mes airs de poupée de porcelaine ont un succès fou, certains me trouvent attendrissante, d'autres attachante ou trop mignonne, mais ça aussi, je m'en contrefiche. Parler pendant une heure de la façon dont mon entourage me voit n'est guère intéressant, il y a tant d'avis divergents, néanmoins, tous se rassemblent sur un point, je suis à croquer. Désirable, j'ai conscience que le physique est un atout non négligeable de nos jours, je veille donc à rester présentable, en théorie. Enfin non, même en pratique j'aime être jolie, pourtant la plupart du temps des robes ou des jupes, ainsi que des chemisiers. J'aime m'habiller "classe", c'est tout.
D'ailleurs je porte assez bien ce style grâce à ma grande taille, pour une femme (1,71 m), qui sans être squelettique, este assez fine tout en possédant des courbes harmonieuses. J'aime assez ma taille, surtout quand je suis chaussée (la plupart du temps) de talons, car cela me permet de dominer mon interlocuteur. Croyez-moi face à une bande d'ignares enragés comme peuvent parfois l'être les élèves, ça vous offre un net avantage.
Mon deuxième atout sont mes yeux. J'ai découvert depuis longtemps que grâce à eux, je pouvais mettre dans ma poche qui je voulais. Pensez vous vraiment pouvoir résister à ces deux petites pierres précieuses qui vous traversent et vous transportent ? D'un pastelle délicat et fragile, la lueur pâle qu'ils dégagent varie avec le temps et se permet un léger dérapage pour finir dans un dégrader d'azur plus sombre, ou bien dans un gris pluvieux, tout aussi enclin au rêve. Ce n'est pas la peine que j'en écrivent des lignes et des lignes, car tout est dit, mes yeux, ils sont là pour vous faire rêver. Mais ces deux organes de vue ne sont pas les seuls traits de mon visage à être propices aux doux méandres de la rêverie. Une tête se compose aussi d'un nez, de deux joues, d'une bouche.. Le petit bout de cartilage et de peau qui me permet de faire la différence entre de la menthe et du laurier, cela, sans avoir besoin de les gouters ou de les voir, est ni trop grand, ni trop petit, je n'ai pas un nez proéminent comme ce pauvre Cyrano, mais j'aimerais savoir parler aussi bien que lui. Pour communiquer, ou pour embrasser, au choix, j'ai des lèvres pulpeuses,parfaitement ourlées et bien dessinées qui arborent volontiers un petit sourire mutin. Mon teint de pêche est surtout pâle, je peux prendre de jolies couleurs au soleil, mais ma peau est fragile, douce, comme celle des bébés. Une petite chose accentue la blancheur de mes traits, la lourde chevelure brune, que j'ai hérité de mon père. Les couleurs varie, allant du brun chaud, au caramel foncé, en passant par des reflets fauves. Ils bouclent naturellement et je les laissent vivre leur vie. J'ai déjà des têtes-à-claques à surveiller, pas la peine de me prendre la tête avec mes cheveux en plus.
Pour résumer j'ai tout d'une mangeuse de sorciers, élèves ou profs confondus, et je ne prive pas d'utiliser mon charme à des fins personnelles...
Style vestimentaire : Comme je l'ai déjà précisé, je m'habille dans le style dit classe. Mais puisqu'il faut faire 5 lignes je vais étoffer un peu. Pour faire cours, je prône généralement des vêtements aux couleurs sombres, ou des couleurs très claires. Non soyons honnêtes des couleurs pâles. Il ne sera donc pas rare de me voir au tableau en chemisier sortant tout droit des grands magasins moldus avec la jupe assortie.
J'ai aussi un sérieux talon d'Achille (et c'est le cas de le dire). J'a-d-o-r-e les chaussures. Surtout les chaussures à talons. Offrez-moi une paire et on sera amis-amis pour la vie. Résultat : j'en ai des toutes sortes. Et ce "toute sorte" encombre vachement mon appart' qui est pourtant assez spacieux.
En gros, je suis féminine dans mon choix vestimentaire et je l'assume parfaitement
Biographie :
<< Je ne descends pas des singes >>
Je vais d'abord parler de mes parents. Mon père, Marco Paolini, était héritier d'une riche et importante famille en Italie. Étant l'unique descendant, il dû se plier au protocole et épouser la demoiselle choisie par ses parents. Malheureusement pour lui, il tomba ensuite véritablement amoureux d'une des amies de sa femme, venue tout droit de France pour prendre quelques jours de vacances avec son amie, alias la femme de Marco.
Celui-ci ne résista pas au charme français, et se mit à faire, en cachette, une coure passionnée à la jeune Agathe Guerin, bio-chimiste pour le compte du gouvernement de la magie français. Celle-ci tomba bien évidemment dans ses bras, et c'est au terme d'une folle nuit de passion entre eux deux que je fus conçue. Alors qu'il était marié, rappelons nous.
<< Un instant de paradis dans une tranche d'enfer >>
Lorsque ma mère apprit quelques semaines plus tard qu'elle était enceinte de l'homme qu'elle aimait à la folie, elle se précipita directement chez lui pour lui annoncer la nouvelle. Elle souhaitait absolument me garder, qu'importe si elle n'était et ne serait jamais sa femme.
Là tout le monde s'attend à ce que mon père soit un dégonflé et un salaud de première, je me trompe? Eh bien pourtant ce n'est pas ce qu'il s'est passé. Fou de joie, mon père décida de prendre une décision extrêmement importante. Une décision qu'il aurait sûrement dû faire bien avant. Il rompit son contrat de mariage et épousa ma mère. Oh, bien sûr cela ne fut pas aussi simple que ça. La famille s'en est mêlée, et au bout de 42 crises de nerfs, 36 crises de larmes, et une inestimable collection de porcelaine chinoise brisée, ils purent enfin vivre leur amour en paix.
Je vis donc le jour quelques mois plus tard. Ce fut mon père qui décida de mon prénom. Ambre. La forme féminine d'Ambroise, dérivé du grec "ambrosos", signifiant immortel. Mais oui vous savez, comme le nectar que seuls les dieux de l'Olympe peuvent boire, l'ambroisie. Bref après ce petit passage "cours", je reprends mon histoire.
Jusqu'à l'âge de quatre ans je vécu tout à fait normalement, couvée par mes géniteurs, enveloppée dans un cocon d'amour et d'attention. Puis un jour, sans explication, je transformai mon magnifique meilleur ami de l'époque, Tintin, en un énorme éléphant qui barrissait au milieu de notre pelouse. Rassurez-vous, tintin n'était que mon cochon d'Inde.
Mon père et ma mère étaient ravis, et me prédisaient déjà à une grande carrière dans le monde des sorciers. Enfin ça c'était jusqu'à l'âge de mes 7 ans où tout bascula...
<< Bienvenue dans le monde réel >>
Vous vous doutez bien que ce dont je vais parler n'est pas vraiment joyeux alors si vous avez la larme facile, sortez vos mouchoirs.
C'était un soir d'été. Il faisait agréablement chaud, sans être trop lourd, la nuit était claire et nous pouvions nous laisser bercer par la mélodie des cigales qui chantaient. Je me trouvais dans la propriété de la mère de mon père, donc de ma grand-mère à qui j'avais été confié pour la soirée. Car oui, malgré les différents qu'ils avaient pu avoir, le jour ou ma grand-mère avait posé les yeux sur moi, elle s'était immédiatement attendrie et m'avait officiellement adoptée. Elle s'employait la plupart du temps à me transformer en digne héritière des Paolini, me promettant un grand avenir. Mais bon, même si elle était excentrique et parfois sévère, je l'aimais bien cette grand-mère.
Mes parents étaient partis dans un hôpital de renom faire je ne sais quoi, et ne devaient normalement pas tarder à venir me chercher. Il s'étaient rendus en ville en voiture. Lorsque minuit sonna, ma grand-mère commença à s'inquiéter vaguement. A deux heures du matin, elle faisait les cent pas dans le salon. Enfin à cinq heures du matin elle s'apprêta à téléphoner à la police moldue. Pas la peine puisque ce fut la police qui vint à elle.
Le gendarme en service nous appris que Carlo et Agathe Paolini s'étaient fait gravement blessés par un chaude soirée d'été, à la suite d'une grave accident de voiture. Il nous confia ensuite les affaires personnelles qu'il avait récupéré. Il s'agissait du sac à main de ma mère ainsi qu'une grande enveloppe de papier craft. Ma grand-mère n'y fit aucune attention et m'embarqua pour l'hôpital où ils avaient été transférés. Comble de l'ironie, s'était justement celui qu'ils avaient quitté la veille.
Je n'oublierais jamais l'état de mes parents. Ma mère avait le visage arraché, bouffis, méconnaissable. Seuls ses yeux bleus que j'entrevis pendant les tests du médecin m'assurèrent qu'il s'agissait bien de la même femme qui m'avait mise au monde. Quand à mon père, si son visage avait à peut-près été épargné, son corps lui avait souffert au-delà du possible. Ils avaient dû l'amputer d'une jambe qui s'était retrouvée broyée dans l'accident. Le reste était fracturé, cassé, réduit en bouillie. Enfin, ils ne souffraient pas. Car le choc les avaient aussi plongé dans un coma profond.
Ma grand-mère prit les choses en mains en les transférant à l'hôpital de magie le plus proche. Évidemment tout les dégâts physique furent réglés dans la mesure du possible. Mais aucune magie ne parvenait à les ranimer. Ils n'étaient plus qu'une coquille vide.
<< On a pas toujours c'qu'on veut dans la vie >>
Pendant les années qui ont précédées ma rentrée dans une école de magie, j'ai refusé d'en faire. Pour moi elle était complètement inutile puisqu'elle ne parvenait pas à me ramener mes parents. C'était ma grand-mère qui était devenue ma tutrice légale, et ce fut elle qui décida de m'envoyer en Angleterre pour mes études de cette magie que je haïssais tant. Elle pensait qu'en m'éloignant du drame, j'arriverais peut-être à passer au-dessus.
A 11 ans je rentrai donc dans la maison de gryffondor, et malgré toutes mes réticences à faire de la magie, je me montrai extrêmement douée, l'une des élèves les plus talentueuse de mon année. Je me rendis alors compte qu'il ne fallait plus que je lutte contre moi-même et accepter cette f*utue magie comme on accepte une bouche trop mince ou un nez tordu. Je finis donc brillamment ma scolarité et me vis offrir plusieurs postes clefs de la société des sorciers. Mais si j'avais accepté ma magie, il n'en restait pas moins que mon unique objectif était de trouver un moyen de ramener mes parents. Pendant cinq ans, j'ai cherché en vain. Un jour, au manoir familial, je tombai sur l'enveloppe de papier craft datant du jour fatidique de l'accident. Elle était cachée dans un des placard de ma grand-mère, ce qui signifiait qu'elle en avait déjà pris connaissance. Lorsque je l'ouvris, ce fut un nouveau choc pour moi. Quinze ans après le drame, ce fut une nouvelle tragédie qui me tomba sur le coin du nez. Car ce qu'il se trouvait à l'intérieur de cette enveloppe contenait en quelque sorte la vie. Il s'agissait d'échographies. De jumeaux. Voilà donc ce qu'ils étaient allé faire cette fameuse journée... J'appris ainsi que j'avais perdu non seulement mes parents, mais aussi des futurs frères...
<< Savoir accepter son destin : on est maudit, ben, on est maudit! >>
Il me fallut plus d'un an pour me remettre de ce choc émotionnel. J'étais entrée dans une grosse dépression, doublée d'un violent rejet de ma magie. Cela ce solda par un accident du style "je fais sauter le toit de ma maison" dû à la frustration de mon potentiel magique refoulé. Ouais, ouais, je sais, on peut pas lutter contre sa nature propre. J'avais compris. Ma maison aussi d'ailleurs. Finalement je renouai le contact avec cette chose détestable et entrepris de me trouver un job. Ce fut Nathan Unless, dirlo bargot, qui m'en proposa un. Professeur de métamorphose, voilà qui me convenait parfaitement. Enseigner cette matière me permettrait de focaliser mon attention sur autre chose que ma série noire personnelle.
C'est donc avec (presque) plaisir que j'endossais mon rôle de mentor auprès de jeunes enfants qui étaient l'avenir de notre monde... ou pas. Je suis plutôt stricte comme prof, et j'ai une grande imagination pour les punitions. Un croisement entre le fameux Rogue et l'illustre professeur McGonagall en quelque sorte. Tu m'aimes bien+ tu travailles bien= on s'entend bien. T'es un cancre+tu fous le bordel= dommage pour toi, tu trieras les veracrasses ad vitam eternam. x)
Du côté de ma vie sentimentale c'est...le néant. Oh, bien sûr je collectionne les amants, mais aucune relation sérieuse à l'horizon. Hé hoooo! Est-ce que quelqu'un m'entends?!!!!(Titanic)
Pseudo : Crash x)
Âge : toujours 17 ans le mê
Niveau Rp :e que sur la fiche d'Aeronm
Fréquence de connexion : idem
Pourquoi s’être inscrit sur 19 ? : Je vous aime *o*
Des choses à améliorer ? : nada
Autre ? : veux-tu m'épouser? xP
Dernière édition par Ambre Paolini le Mar 31 Aoû - 12:54, édité 6 fois
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