Youpiiiiiie!!! Aaron Fly J'ai finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!

Invité

Aaron Fly

Surnom :

Âge :

Sexe :

Date de naissance :

Métier :

Camp :

Race de sang :

Baguette :

Ancienne maison à Poudlard :

Youpiiiiiie!!! Aaron Fly J'ai finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!! 100522095812539896082053

Jake Gillenhaal
Crédit – barda mais trouvé par la très gentille Serena L. Richards =D miciii!

Caractère :

Érudit, discret, sérieux, patient et à moindre degré sournois et malin. Voici les principaux trait de mon caractère. C'est surement ce qui m'a poussé à Serdaigle et faisait penser au choixpeau l'espace d'un instant, que j'aurais eu ma place à Serpentard... Je déteste Serpentard ! Voilà un de mes défauts, j'ai des préjugés, non envers les nés moldus où les sois-disant noblesses de sang. Non, ce sont des balivernes, tous les sorciers sont égaux sur ce point. Mes préjugés concernent les réputations des gens, premièrement par leurs maisons.

Ceux de Pouffsoufle sont des cancres grassouillets et fainéants.

Ceux de Gryffondor sont des idiots capables de mourir pour une petite souris en danger

Et les Serpentards sont les pires, méchants, perfides et cruels... Ce sont les mangemorts, ceux qui oeuvrent pour le mal. J'ai un extrême aversion pour ces gens qui n'ont aucun d'état d'âme à faire preuve de lâcheté... qui me dégoute...

Et à Serdaigles, ce sont les gens géniaux, les travailleurs, les gens intelligents, ce sont généralement eux, les sorciers qui feront le monde dans le futur!

Voici comment je classe les gens dans un premier temps. Ces à-priori sont immuables en moi, hérités de ma mère qui a passé les 10 premières années de ma vie à m'expliquer comment apréhender Poudlard et à m'expliquer où il vallait mieux être. Je ne peux les changer et j'avoue parfois injuste. Autant dire que je suis borné et obstiné. Dans le travail et les recherches aussi. Il est rare que je laisse tomber quoi que ce soit. Je recherche parfois des potions pendant des années et des années en vain jusqu'à ce que la chance et la persévérance me fasse triompher. Cependant, quand je n'arrive pas à trouver quelque chose, je peux devenir irritable, lunatique et très désagréable ce qui peut expliquer que je sois solitaire... Car je recherche beaucoup plus que je trouve... C'est énervant non ? Quel est le but de chercher si ce n'est trouver ? Et si l'on ne trouve pas, pourquoi chercher ? Je vous laisse méditer là-dessus...

Qualité principal :

Défaut principal :

Physique :

Style vestimentaire :

Biographie :

I. L'enfance, la révélation

Arriane et Julius levèrent fièrement mon petit corps léger au ciel comme une offrande et les larmes aux yeux. Je venais de naître dans la stricte intimité de notre maison de campagne écartée du monde et des moldus. Je ne pourrais vous raconter ma naissance dans le détail, car il s'agit d'un événement de me vie dont je n'ai aucun souvenir, tout comme vous de la vôtre, je présume. J'ai vécu mes dix-sept premières années quelques kilomètres au nord de Inikib Valley, au coeur du pays de Galles. Je crois que nous sommes la seule famille de sorcier dans les 50 kilomètres alentour, sans exagérer... Je me suis toujours demandé pourquoi mes parents ont décidé de construire là ? Est-ce par pur sadisme ou y a-t-il une vraie raison à cela ? Ma petite enfance fut heureuse et se passa sans troubles, je n'allais pas à l'école, s'était ma mère qui m'apprenait les rudiments de la vie, la lecture, l'écriture, le calcul et surtout, les grandes valeurs telles la loyauté ou le courage... Je pense que durant ces cours, je devais être absent ou en train de chasser les gnomes du jardin en les torturant pour leur faire passer le message, car la loyauté et le courage n'ont jamais été des qualités me collant à la peau. Très vite j'ai appris à me comporter de façon à éviter les soucis et à ne pas chercher les ennuis, fuir les difficultés pour vivre une vie sans problème. Et cela s'avoua salutaire ! Alors que mon petit frère, né lors de ma troisième année était teigneux et arrogant, j'étais posé, calme et gentil. Un jour, Kévin entra comme une furie dans ma chambre et saccagea tout du sol au plafond assommant du coup mon animal de compagnie, Arnold, un pigeon dont j'avais pris soin un soir en lui réparant sa patte cassée et qui depuis, n'avait pas quitté ma chambre. Y rentrant au soir, je découvris avec effroi ma chambre dévastée et mon pigeon sur le sol, inanimé. Une fureur sans précédent monta en moi et d'un coup, elle s'en alla aussi soudainement qu'elle était apparu. Les instants qui suivirent se passèrent très rapidement : mon frère, par magie, s'était retrouvé pendu par le caleçon en à une gouttière du toit de la maison, ma mère accourut le secourir et moi... Je riais aux larmes. Très vite, ma mère et moi eûmes compri ce qui venait de se passer : à sept ans quatre mois et 28 jours, je venais de faire de la magie. Puissante, forte et menaçante. J'étais fier, mon frère moins, il se vit punir un mois durant pour ce qu'il avait fait à ma chambre et mes parents, aux anges. Je les entendis dire un soir :

-Je n'avais jamais vu cela... Il a transporté son frère d'un endroit à un autre sans même le voir, c'est puissant... Il sera surement un grand sorcier !

Je ne fis presque plus preuve de magie durant les deux années qui suivirent. Ma mère continuait à m'instruire et autant dire que j'étais bon élève, je prenais toujours note sans jamais me plaindre, faisais ce que je devais faire sans impertinences, contrairement à mon frère qui lui semblait avoir du mal à se discipliner et à apprendre ses leçons. Étudier avec lui au quotidien était un véritable enfer, mais comme d'habitude et fidèle à moi-même, je me taisais et prenait sur moi... En réalité, je crois que je n'ai jamais aimé mon frère, je l'ai toujours pris comme un enquiquineur m'empêchant de grandir dans l'ordre et la discipline, m'empêchant de régler ma vie comme mes intuitions me le commandent. Si souvent que je pouvait l'écarter je le faisais, il était à vrai dire ce que j'appelle: un a-bru-t-i... je me souviens d'une fois, dans ma dixième année, où je lui dit pour l'écarter qu'un gnome m'avait dit qu'il y avait un trésor dans le jardin... Ni une ni deux, mon frère s'est précipité dans le jardin, pelle à la main, et des semaines durant à retourner la terre de notre terrain à la recherche d'un trésor... Ses recherches vaines, au bout de plusieurs semaines de fouilles, il vint me voir, sale de la tête aux pieds et m'annonça d'un air triste:

-Tu sais, il ne faut pas toujours croire ce que dise les gnomes... J'ai bien cherché et il n'y a pas de trésor dans notre jardin...

Halluciné, je me souviens de ce que je lui ai répondu:

-Mais tu es vraiment aussi abruti que tu le sembles, tu as déjà vu un gnome parler? T'es vraiment un crétin...

J'eus à peine le temps de reprendre ma lecture, fier d'avoir humilié mon frère et surtout qu'il ai si bien cru à mon manège, que je reçu un énorme coup de poing dans l'œil gauche. Je me souviens avoir hurlé en implorant ma mère de venir, ce qu'elle fit. Je lui récitai les évènements dans l'ordre n'occultant pas ma farce. Une fois entendu, elle se tut, regarda mon frère et lui demanda doucement:

-Mon petit, tu n'as pas senti en toi... Une énergie très grande et forte dont tu voulais te débarrasser?

Je vis où ma mère voulait en venir, elle ne savait pas pourquoi il n'avait pas utilisé la magie plutôt que de me frapper... Kevin haussa les épaules et répondit qu'elle est parti avec le coup de poing... Ma mère pris congé et mon frère lui, était très fier d ne pas s'être fait grondé, il me regarda et me fit remarqué que les parents le préférait à moi... Je voulu lui envoyer une réplique cinglante dans le nez, lui faire comprendre qu'il n'a toujours pas à sept ans et demi, fais preuve du moindre pouvoir magique...Mes parents eux aussi s'inquiétaient, ils essayaient de stimuler les pouvoirs de Kévin, le mettant dans des situations dangereuses, le faisant tomber des fenêtres... Tout ce qu'il gagnèrent, c'était plusieurs rendez-vous à sainte mangouste... à ses huit ans, il fallu bien se rendre à l'évidence: c'était un cracmol... Mes parents étaient très tristes, mon père surtout, qui descendait d'une lignée de sang pure, étroitement cousine à la famille Weasley par Molly. Pour eux, ce fut un effondrement, Kévin, lui, fidèle à sa bêtise ne comprenait pas le problème, pour tout dire, il s'en fichait, et moi aussi, j'espérais juste qu'une fois à Poudlard, cela ne s'ébruite pas... J'avais, au moment où mes parents décidèrent d'envoyer mon frère à l'école des moldus tout juste onze ans: je recevait ma lettre pour Poudlard, le 31 aout, je pris le Poudlard Express: c'était pour moi une nouvelle vie qui commençait!

II. Un maître des potions

J'avais très exactement 11 ans, deux mois et deux jours quand, fier et droit je prenais pour la première fois de ma vie le Poudlard express. Après de longues étreintes à mes parents, je m'engouffrais dans ce train magique, mythique... J'étais fier d'y être car je savais que mon frère ne pourrais jamais y aller, j'eus d'ailleurs un peu de pitié pour lui à ce moment là... Voyant un compartiment vide, j'y entrai, rangea ma lourde malle dans les filets prévus à cet effet et m'installa. Quelques huit minutes plus tard, un jeune garçon de mon âge demanda s'il pouvait s'installer. Je répondis logiquement par l'affirmative à cette demande et mon compartiment se remplis soudain de trois jeunes garçons eux aussi nouveaux arrivant à Poudlard. Durant tout le voyage, nous discutâmes, parlant de notre excitation à entrer à l'école, de notre enfance, dans ce groupe, l'un d'entre eux était un nés-moldu et les deux autres de sang mêlés. Ils s'appelaient Seamus Finegan, Arnold Flanagan et Joch Almend. Le voyage se passa sans encombres, et lorsque le grand moment vint enfin, j'étais extrêmement impressionné... Le château était immense, le lac aussi et même Hagrid! Je ne me souviens plus bien de mon entrée dans cette forteresse tellement j'étais subjugué par les lieux. Tous les premières années entrèrent dans la grande salle après les autres. Nous étions tous béa devant la taille et l'ampleur de la magie qui emplissait l'endroit. Après plusieurs élèves répartis dans les différentes maisons, ce fut mon tour. Tremblant, je me rendis sur le petit tabouret, devant tous les élèves du château, tous me regardaient, m'asseyant, le professeur Mc Gonagal me posa le choixpeau sur le crâne. Il me recouvrait les yeux. Je l'entendis parler dans ma tête:

-Hmm... Pour moi cela parait évident! Quoi que... Tu es malin, un peu cruel

*Cruel ? Moi ? Cruel ? Je ne vois pas en quoi... *

-Très bien, c'est d'accords, après tout, tu es très intelligent, tu seras un très grand sorcier, restes à trouver ta voie... Bonne chance pour tes études à SERDAIGLE!!!

Ouf ! Je l'avais échappée belle, je n'avais, mais alors aucune envie d'étudier à Serpentard, ni à Poufsouffle d'ailleurs, je n'avais pas de temps à perdre dans la classe des cancres ! Après m'avoir applaudit quelques instants, j'allai m'asseoir à la deuxième table à ma gauche. Très vite, je fus présenté aux préfets, me mettant en confiance. Et comme tous les autres élèves, à la fin du repas, nous allâmes dans nos dortoirs. Je fus très surpris quand un aigle nous posa une question afin de rentrer. Le préfet y répondit après avoir réfléchi environ un centième de seconde, j'étais très impressionné, car j'étais incapable d'y répondre du tac au tac ! Les locaux de Serdaigle sont magnifiques. Surement les plus beaux de Poudlard, la statue de Rowena Serdaigle, les lits d'un extrême confort et la vue du balcon imprenable. Tout à coup, j'étais très fier de ma maison. Merci le choixpeau !
Lors de mon premier cours de potion, je fis connaissance de Severus Rogues, le professeur qui devint mon mentor. Son discours m'excita et me donna soif... Soif d'apprendre, soif de connaître l'art qu'il disait « de la confection des potions »... Les cours durant, je m'efforçai de suivre ses conseils dans la préparation des potions et autant dire que cela fonctionnait, j'eus très vite attiré son attention ! Certes, il ne le montra pas tout de suite, ni très explicitement, mais il s'attardait plus sur mes potions et parfois même me félicitait très rapidement par des grognements que seul moi pouvait comprendre. En fin de première année, j'étais devenu l'un des meilleurs préparateurs de potions de l'école. Et le livre que j'avais acheté en début d'année était devenu obsolète. J'y écrivais des choses dedans, me rappelant les astuces de préparation des potions, y décrivant les effets de potions que je préparais moi-même, mais je dois l'avouer, souvent ils se trouvaient être désastreux... Mais ma première réussite dans la confection des potions arriva en milieu d'année. J'avais réussi à endormir le chat d'un ami durant une semaine tout en lui faisant faire sa balade quotidienne, endormi. Il ne se nourrissait pas, ne buvait pas non plus, mais quand il se réveilla, il était en grande forme ! J'étais extrêmement fier de moi et le bruit de mon invention se rependit dans l'école très vite et cela vint aux oreilles du Professeur Rogues. Loin de me féliciter, il me fit refaire la potion, qu'il testa et finit par l'approuver. Je me souviens très nettement de ce qu'il me dit :

-Oui... Je dois l'avouer, vous avez réussi... Cependant, n'en tirez pas une trop grande fierté, il ne s'agit que d'un filtre de mort vivant amélioré... Vous devriez réfléchir avant de créer des potions et surtout de les TESTER! Rendez vous compte que vous auriez pu tuer le chat sur lequel vous avez testé ce breuvage! Mr Fly, la préparation des potions n'a rien d'un jeu! Il s'agit d'une science exacte basée sur les réactions de la rencontre des pouvoirs magiques de chaque composant... Prenez la préparation de polynectar, si vous oubliez ne serais-ce que cinq millilitre de poudre de corne de bicorne, votre sujet se retrouvera bloqué à vie dans le corps de la personne en qui il s'est transformé...

Il marqua un temps, je m'attendais à ce genre de discours sur les dangers des potions. Cependant, je n'en perdait pas espoir, le filtre de mort vivante est normalement une potion que l'on apprend en sixième année ! Rien que le fait de l'avoir réalisée pour un première année était un exploit en soi... C'est pourquoi j'étais toujours très fier! Rogues ajouta:

-Je vous encourage à continuer dans cette voie, car vous êtes particulièrement doué en la matière, mais consultez moi avant de tester vos potions... Cela vous évitera de vous retrouver à Azkaban...

Sur ce, je sortais du bureau sombre des cachots, content. J'avais gagné l'approbation du maître. En fin de cours, je restais presque chaque fois pour le questionner sur des potions compliquées. Au final, nous restions généralement trente minutes par jour à discuter potion, lui me conseillant, son intelligence me bluffait. C'était un véritable Génie. Je continuais à créer des potions, qui dans 85 % des cas s'avouèrent des désastres, car je visais haut en cherchant à créer des potions visant à améliorer des potions compliquées comme le polynectar (je cherchais un moyen de contrôler le temps de transformation, de quelques minutes à plusieurs heures sans forcément augmenter la quantité), Félix Félicis, il me fallut une année entière et plusieurs moi pour la préparer correctement. À 14 ans, je l'avais réussi, ce qui constituais un exploit en soi. J'avais à ma disposition deux litres et demi de Félix Félicis que j'avais fait moi-même et que Rogues me félicita de l'avoir si bien réussi. Cependant, il m'en confisqua deux litres de mon chaudron pour que cela ne devienne pas une drogue pour moi. Je l'eus utilisé sur deux ans. Je me souviens tout particulièrement de la cinquième fois, en fin de ma cinquième année, juste avant la victoire de Harry Potter au trophée des trois sorciers et la terrible mort de Digory.
La fille s'appelait Selena... Elle étudiait à Serdaigle et étais en quatrième année. Un jour, j'ai pris mon courage et Félix à deux mains et me rendis en salle commune où elle étudiait en silence, comme tous les jours. Je la connaissait bien maintenant, elle aussi me connaissait bien, nous discutions et blaguions régulièrement ensemble. Elle était d'une beauté ensorcelante, les cheveux d'un blond satiné, c'était une amie de Cho Chang, ce fut d'ailleurs elle qui me permis de la rencontrer et de faire connaissance. La salle commune (par chance...) était vide, nous étions donc seuls. Je commençai à lui parler, d'une voie douce, elle semblait s'intéresser à ce que je lui racontai, lui parlant du parc, de la forêt, du tournoi, de la vie de tout, de tout. À un moment, elle jugea que je devais me taire... Elle posa un doigt sur ma bouche et juste après y posa ses lèvres. Tout à coup, j'oubliai tout ce qui se passait, nous nous embrassâmes longtemps, peut-être des heures je ne sais pas, le baiser fini, nous nous regardâmes et nous comprîmes tout deux qu'il n'y avait pas besoin de dire quoi que ce soit pour nous comprendre. Je pense que nous nous aimions. Nous finassâmes l'année ensemble, je passais mes buses et juste après, j'allais tout lui raconter. Nous étions incroyablement complices, nous nous comprenions. Puis se fut la fin de l'année avec tout ce qui se passa... La mort de Digory, cet idiot de Potter qui prétendait que Vous-Savez-Qui était de retours. Je n'y croyais pas ! Jusqu'à ce que Dumbledore l'affirma. J'avais un grand respect pour cette personne. Je fus donc forcé d'y croire... L'année suivante, Séléna n'était pas revenu. J'étais très triste en moi... Elle ne m'écrivit qu'une seule fois, me disant que ses parents croyaient Dumbledore et Potter et que pour eux, Poudlard était devenu trop dangereux.
Durant ma sixième et ma septième année, je ne fus pas sociable, irritable, toujours à l'affut de nouvelles découvertes, je correspondais avec de prestigieux instituts internationaux de potions et d'alchimie afin de leur faire part de mes découvertes et de mes recherches dans ce qui était devenu le but ultime de ma vie : la création de la pierre philosophale. Je savais qu'elle avait déjà été crée, mais cela restait un secret... QUE JE VOULAIS ! À cette époque, j'aurai pu tuer pour m'emparer de ce secret. Je passais des heures à chercher, seul dans un cachot avec tout le matériel que je voulais à ma disposition... Je ne cherchais plus de potions, cette pierre était devenue pour moi une obsession, une manie, trois, quatre parfois cinq heures par jour à travailler sans relâches dessus... Et ce durant deux ans ! Je perdais progressivement tous mes amis, je devenais trop « flippant » a ce que me dit le seul d'entre eux qui osa parler au nom des autres... Je m'en fichais, j'étais devenu narcissique, irritable, pénible... Tous mes essais étaient des échecs fulgurants, le meilleur résultat en deux ans permettaient de transformer n'importe quoi en or... de farfadet. Alors, forcément, il n'était pas intéressant de transformer quelque chose en or pour quelques heures seulement ! Lors de ma septième année, le journal Alchimie et potions me décerna le prix de « plus grand espoir des potions et de l'alchimie de l'année »... Les récompenses, je m'en fichais, la seule chose qui m'importait, c'était cette pierre et les potions qui auraient pu me procurer de l'argent. Ainsi, je fus récompensé pour la découverte de la potion « demi-vélane », une potion au seul but lucratif, dont je méprisai l'utilité. Elle permettait à n'importe quelle sorcière de perdre ses imperfections, graisses, points noirs, boutons rides... Durant deux semaines environ, évidemment, ce fut un grand succès commercial qui me rapporta beaucoup d'argent dont je ne prêtais pas attention : j'avais vendu la recette pour 1500 gallions à une firme de produits de beautés pour sorcières et je n'avais plus à m'en occuper. Enfin, le 31 juin 1999, je quittais Poudlard. Avec l'argent de la vente de mes potions et de mes récompenses, je me suis acheté un appartement en plein milieu de l'écosse. J'avais définitivement quitté Poudlard.

III. Errance...

J'avais dix-huit ans depuis maintenant deux mois, j'avais passé mes vacances chez mes parents. Ils étaient très inquiets pour moi. Il faut dire qu'il y avait de quoi, je passais mes journées dans ma chambre à lire des livres énormes achetés à prix d'or chez Fleury & Bott. Ils avaient pour nom

pour les plus attirants, à la couverture colorée et imagée jusqu'aux livres noirs et gros titrés de

. Ce dernier était un livre horrible, mêlant des actes magiques affreux tels les Horcruxes ou les sorts de tortures à l'alchimie, des choses affreuses, tout simplement. J'étais toujours dans la même optique que lorsque que j'étais à Poudlard : la recherche de la pierre philosophale. J'étais très excité par ces recherches qui m'apprenaient sans cesse de nouvelles choses. Je me sentais dans mon élément en lisant des livres dissertant sur les potions magiques et l'alchimie ; cela me ressemblait vraiment. Je n'avais pas de très grands moyens pour faire des expériences. Les années précédentes, à Poudlard, j'avais à ma disposition tout ce dont je désirais pour confectionner des potions et gratuitement de surcroit. Un soir, mes parents vinrent me parler. Ils me demandèrent ce que je comptais faire, qu'ils voulaient que leur seul fils sorcier soit un grand homme, connu et respecté... Je n'avais aucune idée de ce que j'allais faire. Je vivais au jour le jour, je savoure le moment présent, s'il est bon, tant mieux, s'il est mauvais, le lendemain, ce sera fini.

Il me fallait prendre une grave décision,

un futur, ce qui n'est pas facile du tout... Je pensais à tout ce qu'il m'était possible de faire avec un OPTIMAL à mes ASPIC en potion, alchimie et métamorphose et des E en défense contre les forces du mal et en sortilège, ce qui n'était pas mal... Je pouvais être employé au ministère, travailler au département des mystères et faire des recherches, être apothicaire ou encore professeur à Poudlard... Cependant, à 17 ans, il aurait été étonnant que je fus accepté. Devant mon manque d'initiative, ma mère excédée me lança un jour :

-Et bien va-t-en ! Pars loin ! Va ! Fais ce dont tu as envie... nous voulions que tu sois un grand sorcier, mais tu es plus Gourde qu'un POUFSOUFFLE ! Ton frère sait ce qu'il veut faire lui et pourtant, ce n'est pas une lumière ! Il veut être plombier !

Et voilà... La voilà la bonne idée! Partir, aller découvrir le monde et s'instruire pour de vrai. Arrêter de jouer au sorcier avec un petit chaudron et devenir un vrai grand sorcier au travers d'un long voyage aux quatre coins de ce monde. Devenir un sorcier volant d'une certaine façon... Sans attache à là où il se trouve. Se trouver à un endroit, puis en changer dès que le besoin se fait savoir... c'était la vie qui me convenait. Je voulais cette vie, ce serait comme une quête dans le but de ramener la pierre philosophale dans mes bagages... J'étais très excité par cette idée et le lendemain, je fis mes bagages et je partis...

Je me rendis compte huit jours après mon départ que j'avais bien fait de partir, Vous-Savez-Qui avait pris le pouvoir en Angleterre et il valait mieux ne pas s'attarder sur le secteur... Trop dangereux. J'avais acheté une chouette pour correspondre avec l'Angleterre et garder contact avec le monde qui m'a vu grandir, je la prénommai Séléna. Car je la trouvaid'une beauté troublante, telle celle de ma Selena, la seule femme que j'eus réellement aimé. Dans mes bagages, j'avais rangé quelques robes de sorcier flambant neuves dont certaines étaient équipées pour me protéger des grands froids, des potions, une vraie bibliothèque presque exhaustive sur les potions magiques, l'alchimie et à moindre mesure à propos de la métamorphose et des sortilèges. J'avais prévu une tente spacieuse et équipée de tout le confort possible et imaginable: deux chambres spacieuses confortables, une cuisine, une salle de bain, un jacuzzi et un living confortable. Je l'avais achetée pour un prix relativement raisonnable sur le chemin de traverse. Elle était d'ailleurs peut-être un peu grande pour un sorcier seul. J'avais aussi prévu de l'argent moldu, des Francs de tous les pays possibles, des dollars provenant aussi de divers endroits, des Yens etc... J'avais pris avec moi la moitié de mon coffre fort de Gringott sois environ 1000 Gallions d'or dans diverses monnaies. Oui, j'étais fin près. Au sommet d'une colline, j'observais une mappemonde magique qui décrivait chaque pays s'il était désigné du bout de la baguette. Le monde est si grand... L'immensité dans toute sa splendeur, il y avait une multitude d'endroits où aller, tous plus intéressants les uns plus que les autres. Je me sentais très perturbé de nouveau, perplexe et perdu... Plusieurs pays m'intéressaient ; la Norvège m'intriguait, j'avais entendu dire qu'on y trouvait des composants magiques que l'on ne trouve nulle-part ailleurs ; La France aussi, les Français maîtrisent à la perfection l'art des potions, ils en sont surement les meilleurs; j'ai aussi pensé à aller en Grèce pour me renseigner sur les vieilles magies, ou en Égypte, pour les mêmes raisons. Il y avait aussi la Chine, ils avaient une réputation de très grands alchimistes, ou encore les pays africains, comme le Kenya ou le Congo, où les marabouts maîtrisent parfaitement la magie d'imploration... Tant de choix... Je décidai alors de faire le tour du monde de l'est à l'Ouest. Ma première destination serait la Bretagne : terre des mythiques Korrigans et Trolls des terriers (qui n'ont rien à voir avec les Trolls)... Je ne serais pas très loin de mes terres natales, ce qui est rassurant pour un sorcier de mon âge. Le coeur serré, presque les larmes aux yeux, que je quittais ce pays, d'un simple transplanage. C'était le début d'une grande aventure : Mon aventure.

Monde, me voilà ! J'ai décidé de commencer mon voyage par la Bretagne, car il y avait une grande conférence ayant pour sujet « l'alchimie et ses applications dans le monde magique ». Il s'agissait d'un congrès international de sorciers alchimistes. Cela ressemblait à une rencontre de druides de l'antiquité : une multitude d'alchimistes se retrouvaient dans un coin de la forêt de Brocéliande protégée par des sortilèges anti-moldus. Les participants échangeaient des connaissances. La moyenne d'âge était généralement de 50-60 ans, moi, à 20 ans à peine, je me sentais un petit peu en décalage. Cette conférence fut extrêmement instructive. Je me disais, excité :

*si avec une seule conférence, je peux apprendre de telles choses... J'ose espérer que la pierre philosophale ne pourra m'échapper après avoir fait un tour du monde des alchimies, la pierre ne pourra jamais m'échapper.*

Jamais je ne parlais de mon but ultime lors des conférences, comme un secret. La seule fois où j'osai l'évoquer, lors d'un meeting en Norvège, au début des années 2000, un vieux sorcier à la barde semblable à celle de feu Albus Dumbledore me répondit indigné :

-La pierre, mon enfant, n'est pas quelque chose qui se trouve, c'est quelque chose qui se gagne, plus tu en sauras, plus tu te rapprocheras de la trouver. Mais, garde bien en mémoire, que seul un vrai sage peut la découvrir, c'est d'ailleurs de là que lui vient son surnom de « pierre des sages »... Toi tu es la jeunesse, l'arrogance, il faut, toi que tu comprennes que seule toute une vie de recherche peut te faire triompher...

Il me fallut longtemps méditer ces paroles pour bien en comprendre le sens. Qu'est-ce que cela signifiait ? Cela faisait maintenant près de deux ans que je sillonnais le monde, je m'étais rendu dans presque toute l'Europe, des hautes montagnes Françaises jusqu'aux forêts immenses et sombres de l'Albanie où parait-il le feu Seigneur des Ténèbres aurait séjourné durant plusieurs années... Plus j'apprenais, plus je m'assagissais, perdant ma fougue de ma jeunesse, grandissant, devenant raisonnable, plus malin. Je me cultivais et cela me donnait une très agréable impression de m'épanouir. Je correspondais avec ma famille qui souvent prenait des nouvelles de moi grâce à ma chouette fidèle et qui tout le temps parvenait à me retrouver malgré mes déplacements incessant.

Alors que je foulais pour la première fois le sol asiatique, kazakh pour être précis, ma chouette m'apporta un message qui m'apprenait le décès de mon père. Il m'était aussi proposé de venir à ses funérailles. Je n'avais pas vu mon père depuis au moins cinq ans maintenant. J'aurais dû me sentir extrêmement attristé de la nouvelle, mais pour tout dire, je m'en fichais. Cela me laissait indifférent. Selon toute logique, je ne suis pas allé perdre mon temps à des funérailles de quelqu'un qui ne m'a jamais aidé à vivre ma vie. Je reçut quelques jours plus tard une beuglante. Ma mère était indignée de mon absence. Elle me dit que j'étais renié, que les portes de la famille me seraient à présent fermés: je m'en fichais. J'avais une vie heureuse, très atypique, certes, mais heureuse. Je vivais dans une très confortable tente. J'avais assez d'argent pour subvenir à mes besoins, assez de temps pour confectionner des potions et méditer certains enseignements, tant d'endroits où planter ma tente pour quelques jours ou pour quelques heures... Le monde grouille de magie à la réalité. Partout où je vais, il y a des réunions publiques sur l'alchimie. Ma fierté était maintenant d'avoir été promu par le CASAPHA (Congrès Annuel des Sorciers Alchimistes et Potionistes de Hautes Aptitudes) au rang de « Grand sorcier Alchimiste », ce qui signifiait pour moi une première reconnaissance. Je n'étais maintenant plus forcé d'assister aux réunions dans le silence, je pouvais converser de mes expériences à part entière, malgré mon jeune âge (29 ans), les autres m'écoutaient, me contredisaient si j'avais tort et s'appliquaient à corriger mes erreurs. Je me fis remarqué lors de la Grande Fête de l'Alchimie où j'ai présenté ma théorie sur la création de la pierre philosophale qui selon moi, nécessitait six grandes étapes :

Liquéfaction des ingrédients (je ne savais pas encore lesquels) pour pouvoir créer la pierre dans un chaudron.

Fusion des éléments à très haute température afin de les assembler

Distillation de la solution pour qu'elle devienne plus fluide et nettoyée des impuretés

Dissolution de ce qui serait à ce moment-là inutile à la pierre.

Évaporation pour qu'il ne reste plus que ce qui allait créer la pierre.

Purification afin d'obtenir une pierre presque sainte et débarrassée de la magie noire.

Les alchimistes aimèrent ma vision des choses et je fus grandement applaudit et ma reconnaissance dans le milieu des potions et de l'alchimie monta. J'étais encore loin de créer la pierre, mais mes recherches avançaient bon train sans pour autant être de nature à s'affoler. J'étais confiant de trouver la pierre un jour. À maintenant 36 ans et demi, j'avais visité toute l'Europe, l'Asie de fond en comble, les États-Unis et plus largement l'Amérique, j'avais aussi visité ce qui m'attirait en Afrique y découvrant les possibles applications de certains poisons et venins naturels. J'avais fini mon travail. J'avais maintenant fait le tour du monde des potions et de l'alchimie. Je méritais bien le rang qui a mon retour en Angleterre me fus attribué, celui de « maître sorcier ès potion et Alchimie » par le Mangenmagot. Il m'avait fallu vingt ans pour achever ma quête d'information et à ce moment là, je me souvenais de ce que m'avait dit ce sorcier norvégien : « il faut-être un sage pour découvrir la pierre ». Je ne prétendais pas être un sage, mais j'avais emmagasiné un certain nombre de connaissances en Alchimie et en potion, je ne pensais pas que la moindre potion puisse m'être inconnue, pour tout dire, je pense pouvoir réaliser les yeux bandés environ une centaine de potions...

Il me fallait maintenant me rendre utile au monde des sorciers qui m'avait tant donné. Pour la première fois depuis vingt ans : j'étais perdu : je ne savais pas quoi faire, la seule chose qui m'alertais, c'était mon compte de Gringott. J'avais dépensé sans compter durant ces vingt années de voyage, me payant plusieurs folies (dont un éclair de feu à huit centsgallions « une affaire » m'avait certifié le vendeur) inutiles et maintenant je regrettais en me rendant à mon coffre Gringott, la montagne de pièces d'or que j'avais à mes 18 ans n'avait plus rien à voir avec ma minuscule pile qui se présentais devant moi : je possédais tout juste cinq cents gallions huit mornilles et vingt-quatre noises... Il me fallait un métier, un vrai qui rapporte de l'argent et en même temps me permette de continuer mes recherches. Je ne voyais qu'une solution : Poudlard. À 37 ans, après 20 ans de voyage à travers le monde, je me rendais à Poudlard pour y demander le poste de professeur de potions, diplômes et récompenses multiples sous le bras pour demander au directeur en fonction : Nathan Unless de m'accepter dans la grande famille de Poudlard.

Don :

Et maintenant.. Vous !

Pseudo : appelez moi Alex ^^

Âge : 15

Niveau Rp : j'espère bon, mais je reprend, ce sera de mieux en mieux

Fréquence de connexion : j'espère environ 2-3h par jour en période scolaire

Pourquoi s’être inscrit sur 19 ? : parce que j'ai eu un élan qui m'a dit « retournes-y » « retournes-y » xD

Des choses à améliorer ? :... je trouve le forum très agréable pour le moment, l'intrigue un peu décalée par rapport à HP mais rien d'important

Autre ? :

Invité

Regarde, Aaron, regarde! C'est Céline Dion! Mdddrrr
Bienvenue Wink

J'suis sûre que tu vas bien t'entendre avec ma Mia xD

Welcome =D Bon retour parmi nous alors ^^

Je crois que je sais qui tu étais avant mais...comme je suis pas certaine, je vais éviter de dire une connerie xD

Invité

Si tu sais qui j'étais c'est que tu es vraiment forte parce que sa faisait trois ans au moins que j'étais venu sur ce forum x) c'était l'ancienne version...

Mais merci à vous deux, je devrais avoir fini ce soir normalement!

Bienvenuue ! *Un professeur de potion huhu ^^*

En ce cas j'ai bien fait de me taire xD J'ai pas connu la première version Lol En faite c'est ton vava qui m'a trompé =O Je t'ai pris pour quelqu'un d'autre =X

Invité

vava trouvé au hasard sur un site ^^
Je sais même pas qui c'est le mec xD

C'est Jake Gyllenhaal, le mec, naméoh ! Un bon acteur soit dit en passant...
Et bien... bienvenue à toi =) !

Invité

merci

Bienvenue ;D

Bienvenue : )

Invité

J'aime ta fiche =)
D'habitude, je poste jamais dans les présentations, mais là... j'kiffe grave ta fiche ><

Invité

C sympatique ça Very Happy

merci beaucoup Wink

je suis en train de rerédiger les derniers chapitres pour que l'histoire soit crédible et intéressante dans le RP.

Tu étais qui sur l'ancienne version ?

Bienvenu en tout cas.

Vu que tu réécris les derniers chapitres la fiche est considéré comme finit ou pas ?

Invité

oui elle est finit =D
Désolé de te décevoir, mais je ne souviens même plus du nom de mon perso, au moment du Crach, j'étais prof de potion.

Wah *_____*

WAAAAH !
J'adore ton histoire ! Au début j'ai vu la longueur je me suis dis " ohmondieu, je vais lire en diagonal là ... " mais finalement j'ai tout lu, correctement, et j'ai trop aimé o/
En plus j'aime le genre de personnage que tu as fais.
Il y a un microtruc qui me chiffonne, c'est que tu trouves à fleury&botts un bouquin sur les horcruxes, dans ma tête s'pas le genre de trucs que tu trouves dans une bibliothèque ou une librarie, mais bon on s'en fou c'est plausible quand même ( et puis je vais pas imposer ma manière de voir les choses hein ^^ )

En tout cas tu es validé, évidement, et puis tu obtiens le poste de maître des potions \o/
Et comme tu as cité Nathan dans ta fiche ben tu accèdes aussi au directorat de Serdaigle Cool

Ah, j'allais oublier :
BIENVENUE !!!!!!!!

Amuse toi bien ici o/

Invité

Merci!!! C'esy super sympas!