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A Hard Day's Night { PV Talus |
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Scorpius Malefoy
|| Serial LoØover ! ♥♥♥
Nombre de messages : 306
Age : 34
Maison : Serpentard
Emploi : Te faire vivre l'Enfer !!
Humeur : Démoniaque !
Feuille de personnage Côté coeur: JE m'aime x) Camp: Le mal Niveau magique: (77/100)
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Sujet: A Hard Day's Night { PV Talus Mar 17 Aoû - 2:16 |
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19 H 30 ; Tour d'astronomie.
On pouvait apercevoir de loin, un jeune homme à la chevelure blonde accoudé à des barrières en métal, les yeux fixant intensément le soleil qui s'apprête à partir se coucher. De là, le jeune homme a une ressemblance troublante avec Drago Malefoy et pourtant non. C'est moi, son fils Scorpius. Je venais de finir de manger et de sortir de la Grande Salle afin de me rendre ici. Non, malheureusement je n'avais pas de rendez-vous galant ni même envie de déprimer ou de m'entrainer en solitaire. J'attendais quelqu'un. Une personne qui ne m'est pas cher du tout dans mon cœur, bien au contraire. Une personne que je pourrai très bien égorger avec James Pottiche. Mais alors, qu'est-se que je fais là à prendre mon mal en patience et à attendre cet individu ? C'est justement ça qui me pousse à l'attendre. Je ne connais pas la raison, mais il a demandé à me parler ici même. Son mot entre mes mains, je le broie dans ma main en une belle boulette de papier et l'a laisse s'enflammer à mes pieds.
Quelques heures auparavant, juste avant de sortir de mon tout dernier cours de la journée qui était celui de potion, Talus a pris soin de me faire parvenir. Malgré les deux autres tentatives qu'il avait faite avant mais dans lesquelles j'ai immédiatement brûler ses papiers sans même chercher à lire, j'ai tout de même finit par le lire au bout de la troisième fois. Au moins, il n'avait pas choisi un si mauvais lieu de rendez-vous. Je pouvais poireauter tranquillement tout en admirant la vue et en me rappelant certains souvenirs qui ont eu lieu ici. La teinte du ciel commençait à virer peu à peu à l'oranger. Très belle vue d'ici, unique. Un long soupire plein de froideur s'échappe d'entre mes lèvres, le regard à la fois pensif et déjà tendu . Je ne craignais pas qu'il me fiche un lapin, c'est tout de même un Bouffondor. Il ne se serait pas rabaissé à m'envoyer trois fois son bout de papier pour finalement ne pas venir. Ou bien si c'est le cas, il n'est pas certain de finir en un seul morceau sa septième année.
Je sors alors un instant ma baguette de la poche arrière de mon pantalon, et m'amuse à jongler avec à l'aide de mes doigts. Regardant le soleil, je continue d'attendre. Jusqu'à se qu'enfin, des bruits de pas vinrent troubler le silence apaisant de cet endroit. Je ne prend même pas la peine de me retourner, attendant qu'il parle en premier. Après tous, je n'avais rien à lui dire pour l'instant, ce n'est pas moi qui voulais le voir jusque là. Et ça m'éviterai ainsi de ressentir une mauvaise pulsion envers lui. J'ai tout de même appris à me contrôler depuis ma première année, grâce à certaine personne aussi je l'avoue. Je sens sa présence dans mon dos, et inspire profondément pour tenter de rester calme le plus longtemps possible. J'espérai juste que cet entretien ne serait pas indéfiniment long...
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Talus Blecryo
7ème année Gryffondor
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Feuille de personnage Côté coeur: avouez, vous aimeriez bien savoir, hein 8) Camp: Le bien Niveau magique: (78/100)
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Sujet: Re: A Hard Day's Night { PV Talus Dim 22 Aoû - 17:23 |
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-Talus ?
Elisa, assise en face de moi, venait de rompre le silence. Nous avions pris le partie de réviser ensemble. Deux heures de cours c’étant vu annulé, nous avions décidé de les mettre à profit pour faire nos devoirs. La bibliothèque nous avait alors ouvert ses bras. J’ai toujours beaucoup aimé ces moments privilégiés passé avec elle. Malheureusement, ils se font rares. Je ne sais pas vraiment pourquoi. La cause ou plutôt les causes sont aussi diverses que précises. Généralement, elles restent mystérieuses. Nous sommes toujours aussi proches qu’avant. Toujours aussi complices. Elisa sait qu’elle peut me demander n’importe quoi. Je serrai toujours là pour elle. D’ailleurs c’est réciproque. Mais malgré ça, nous n’avons plus assez de moment en tête à tête.
Bien sur, nous avons les Aspics. La préparation de nos vies futures, notre envie de marquer notre départ par une belle réussite. Mais je ne crois pas que cela explique tout. Au fond de moi, je ne peux m’empêché de repensé à ce jour ou, dans les rues de Poudlard, je lui ai avoué mes sentiments pour elle. Avais je eu tord ? Peut être était ce là l’explication de son soudain éloignement.
J’aurais probablement dû lui en parler, lui faire part de mes craintes. Quelques choses me retenaient. Depuis quelques jours, je la trouvais tendu, fatigué voir exténué. Elle avait dans le regard cette petite lueur des mauvais jours. Elle était tourmentée, je le voyais bien. De suite, je m’imaginais qu’elle devait encore avoir eu des problèmes avec ceux de sa maison. Ne pourraient-ils pas lui fiche la paix ?!
Je levai les yeux vers elle, prêt a l’écouté
-J’en ai marre de réviser ! On sort ?
Défaut de concentration. Cette fois j’en avais la preuve, son esprit était ailleurs.
-Ouai…ça va bien, Eli ?
Elle se baissa pour ranger ses affaires, j’en fis de même. Quittant notre place, elle secoua la tête par la négative.
-Nan…pas trop
Son regard parlait de lui-même. Pas de mensonges entre nous. Je pouvais tout entendre.
Nous laissâmes derrière nous nos révisions et sortîmes dans le parc. Il faisait un temps magnifique. Elisa, à mes cotés, se montrait silencieuse. J’attendais ce moment ou, de guerre lasse, elle soupirerait et se confirait. Elle me proposa une partie de quidditch que j’acceptai. Batteur tous les deux, nous avions pris l’habitude de frapper quelques balles ensembles. Un passe temps comme un autre.
Un détour plus tard par nos vestiaires et nous nous retrouvâmes sur le terrain. Elisa était assise dans les gradins, le nez dans les nuages. C’était le bon moment. Je la connaissais. Perdu au loin, elle ressentait toujours le besoin de s’ouvrir dans ces moments. Un rituel avant de monter sur son balai.
Comme je m’y attendais, elle ouvrit la bouche. Elle me parla de sa routine, de ses craintes de ne pas être à la hauteur. Attentivement, je l’écoutais. Soudain, le sujet dériva sur Scorpius Malefoy. L’insupportable vert arrogant ! Je m’attendais à ce qu’elle s’en plaigne, comme de coutume. Mais pas cette fois là. Ses aveux me laissèrent bouche ouverte et bras ballant. Elle m’avait coupé le souffle.
Oh, non, elle ne m’avait pas dit en être amoureuse. Non. Mais c’était tout comme. Elle m’avait parlé de lui avec tellement d’engouant qu’elle me fit peur. Visiblement, ils c’étaient pas mal rapprochés ces derniers temps. Par automatisme, je me sentis jaloux. Ce n’est pas a elle que j’en voulu, mais à lui. Lui, l’intriguant, le manipulateur. Il avait tellement fait de mal par le passé. Comment arrivait-elle à ne pas lui en tenir rigueur ? C’était bien au dessus de mes forces.
J’aurais aimé lui dire « je te comprends » mais non, non je ne comprenais pas. Qu’elle retombe dans les filets de ce petit merdeux…ça me rendait juste dingue ! J’aurais tellement aimé la protéger de tout ça. Comme a mon habitude, je passai un bras autours de ses épaules et lui apportai mon soutient. Son sourire, pour une fois, me fit froid. J’étais incapable de l’aider car incapable d’accepter de la laisser partir avec lui. Je mourrais d’envie de lui reprocher d’être plus avec lui qu’avec moi. Mais s’aurait été injuste.
Attrapant nos balais, nous partîmes pour un tour de piste. Echauffement. Elle voulait se vider la tête et moi, j’avais besoin de m’éclaircir les idées. Nous volons cote à cote, pour finir par faire la course. Elle rie en me dépassant et moi, je me perds dans la vision de ses cheveux qui volent au vent. Elisa est belle. Lorsqu’elle se retourne son sourire est éclatant. Elle a sur le visage ce petit air espiègle qui me fait fondre. Elle gagne la course, les bras levés vers le ciel. Cette victoire, elle ne me la doit pas. Elle est juste parfaite dans tout ce qu’elle fait.
Nous continuons notre jeu par quelques passes de souaffle. Ancienne poursuiveuse, elle est beaucoup plus à l’aise que moi dans cet exercice. Nous nous amusons à voler a distance de plus en plus grande, cherchant à envoyé le souaffle le plus rapidement et le plus loin possible. C’est un bon entrainement d’endurance. Nous multiplions les difficultés, partons dans des acrobaties compliqués. Les joues d’Elisa sont rouges et moi, je commence à avoir chaud. Le vif d’or ne sera pas mit a contribution. Ni elle ni moi n’avons de prédisposition au poste d’attrapeur. Le manque de temps nous y fait également renoncé, préférant de loin améliorer notre qualité de jeu.
Soudain, Elisa me demande de lâcher les cognards. J’hésites. Nous n’avons encore jamais eu l’occasion de tester sur le terrain cette idée qui nous est venue sur le papier. Nous faire des « passes », en quelque sorte, en utilisant un cognard. Travailler notre force de frappe et notre don pour l’esquive. C’est tentent. Dangereux aussi. Tandis que je lui fais part de mes réticences, elle insiste. Elle a besoin de se défouler, de taper dans quelque chose. Avec un zest d’ironie, dû en partie à ma jalousie mal assumer, je lui demande si Malefoy est a l’origine de ce besoin. Elle me foudroie du regard, hausse les épaules et s’en va voler plus loin. Je l’ai vexé. Elle n’a aucune envie de me parler de son problème. Le sujet Malefoy semble être tabou.
A ma façon, je m’excuse. Allant vers elle avec un grand sourire, je lui promets de lâcher mon cognard si elle accepte de ne plus bouder. Elle rie. Manipulatrice ! Je soupire et redescend pour libérer notre balle fétiche. Aussitôt, il s’élève avec force. Heureux de pouvoir remplir sa mission. Elisabeth le frappe a plein puissance alors que je remonte en chandelle. Le jeu commence. Les passes se font de plus en plus précise, de plus en plus vicieuse. Le cognard passe entre nous, cherchant tour à tour à nous déstabilisé, nous percuter.
J’ai un avantage sur elle : celui de bien connaitre mon cognard. Docile avec moi, il se venge sur elle. Il use à son égard de beaucoup de perversité. Cela l’amuse, elle en rie. Dans les gradins, quelques élèves se sont amoncelés et nous regardent jouer. Elisa me renvoie la balle et stop d’un cou son balai en plein vol. Je suie son regard des yeux, le cognard siffle à mes oreilles et part pour me prendre à revers. En contre bas, j’aperçois Malefoy discutant avec une rousse. Je n’ai aucun mal à comprendre le soudain malaise d’Elisa. A cette distance, je ne saurais dire s’il s’agit ou non de Lily Potter. Elle ne nous fait pas face. Elle n’est pas la seule rousse dans ce château. Pourtant, une seule évidence est de mise : c’est une fille.
Le jeu d’Elisa se fait plus violant, plus énervé. Je la sens agacée. Je l’interroge du regard, elle se dérobe. Une seule phrase lui échappe « ça n’a pas d’importance ! » Pourtant, il est visible que cela en a.
J’aurais du insisté pour arrêter notre folle course. Il était évident qu’elle n’était plus dans le jeu. Malgré tout, je n’avais pas voulu la contredire. Le drame arriva tandis qu’un cognard, renvoyé par mes soins, la força à faire une pirouette. Elle négocia mal son virage et la balle en profita pour entrer de plein fouet dans son balai.
Tout arriva si vite. Je n’eus le temps de rien. Juste celui de voir son visage se figer dans une grimace de surprise. Pas un crie. Elle se mit à chuter comme ça, d’un cou. Avant qu’il ne me soit possible de réagir, elle était déjà en piqué vers le sol. Je ne pu rien faire, juste tenté de ralentir sa chute. Le choc avec le sol fut inévitable.
Je fonçai à mon tour vers la pelouse tandis que, dans les gradins un cri de stupeur se faisait entendre. J’étais au coté d’Elisa lorsque James Potter fit son apparition. La serpentarde avait une blessure à la tête et, son poignet ne laissait aucun doute quant à sa cassure. Elle n’eu pas un mot avant de sombrer dans une semi inconscience. James cria à une première année d’aller chercher l’infirmière.
Nous étions à genoux au coté d’Elisa lorsqu’elle arriva. Je lui tenais la main, angoissé, et James lui comprimais sa blessure. Nous n’avions pas voulu tenter le moindre sortilège de soin par peur de mal faire. Un saignement à la tête n’est jamais à prendre à la légère. L’infirmière lui donna les premiers soins avant de la faire évacué. Je ne l’a quittai pas, refusant même d’aller me changer.
C’est dans le couloir que j’attendis. L’infirmière vain me trouver une fois qu’elle eu installé la demoiselle. Je fus autorisé à entrer. Elisabeth était étendue, un bandage autours de la tête, semblant dormir. La femme en blouse blanche me rassura. Elle était hors de danger. Elle avait besoin de repos, un léger traumatisme crânien lui commandant de rester tranquille. J’hochai la tête et pris place au coté de mon amie, serrant sa main dans la sienne.
J’étais songeur. Sans l’apparition de Malefoy, Elisa aurait anticipé ce cognard ! Je n’irais pas jusqu’à mettre la faute sur le Serpentard, mais presque. James me trouva là, la tête penché vers Elisa. Lorsqu’il me demanda si elle allait bien, je soupirai. Physiquement, oui…mentalement, je n’en étais pas certain. J’aurais tellement aimé pouvoir la libérer de ses démons.
Potter resta un moment avec moi.
-Faudrait prévenir un préfet des Serpentards…
Elisa étant préfète, il ne restait qu’Andrews ou Sykes. La problématique se posa lorsque James m’indiqua qu’aucun des deux n’étaient là : réquisitionnés pour la sortie des 3emes année. Avertir un prof était inutile, sans doute étaient ils déjà tous au courant. Aucun, pourtant, ne ferait surement le moindre commentaire au sujet de l’absence de la préfète des Verts. Mettre au courant l’un deux était une étape indispensable.
-Malefoy…
Il m’en coutait de dire se nom…c’était même plus dur encore de le dire en l’associant à Elisa. James se contenta de remuer la tête en signe d’accord. J’aurais alors aimé, qu’au titre de Préfet en chef, il se charge d’aller le trouver. Ce ne fut pas le cas. Le gryffondor parvint à se débarrasser de la corvée en arguant qu’il ne verrait pas Malefoy avant le repas du soir. Ce dernier faisant partie du cours avancé de potion, le rouge n’avait pas tord. En faisant moi-même partie, au même titre qu’Elisabeth, j’étais surement le mieux placé pour lui toucher deux mots.
A l’hure dite, il fallu me mettre carrément dehors. Je ne voulais pas quitté Elisa. Elle n’avait pas encore rouvert les yeux et, secrètement, j’espérais être le premier qu’elle verrait en le faisant. Pourtant, il me fallu me résigner. La mort dans l’âme, j’allai assister à mon cours.
Parler à Malefoy ? Sincèrement, non. Je n’en avais aucune envie. J’avais promis de le prévenir, pas de lui faire la conversation ! Je pris donc le partie de lui écrire. Petit mot simple, sans bonjour ni marque de politesse. Juste l’essentiel en deux mots « Elisa est à l’infirmerie ». Pas d’explication. Je n’avais aucun compte à lui rendre ! Mon papier s’envola vers lui pour finir dans la corbeille avant d’être lu.
Passablement énervé, je tentai une seconde approche tout aussi infructueuse ! Le Serpentard, borné et idiot, ne prit pas même la peine de parcourir mon mot. Je me décidai pour une dernière tentative, changeant cette fois le contenu de ma missive. Un rendez vous me sembla plus opportun. Après tout, autant régler une bonne fois pour toutes ces choses qui me pourrissent l’existence. C’était me dernière lettre. S’il ne la lisait pas, s’il ne venait pas, alors il ne pourrait pas me reprocher de ne pas avoir voulu l’avertir !
Rendez vous fut fixer ce soir en haut de la tour d’astronomie. Un lieu où l’on ne risquait pas d’être dérangé ou d’être vu ensemble. Pour lui comme pour moi, c’était le plus confortable.
-------------------------------------------------------------------------------------- En montant les escaliers, ce soir là, je n’étais pas encore certain de se que j’allais lui dire. J’avais envie de lui mettre les points sur les « i » au sujet d’Elisa. Plus que tout, je redoutais de voir ma meilleure amie triste une fois de plus a cause de ce mec ! Il ne la méritait pas !
Je ne pensais pas qu’il aurait lu mon mot. Aussi, lorsque j’ouvrai la porte, je fus surpris de l’y trouver. Il ne se retourna pas, feignant d’ignorer le plus longtemps possible ma présence. Loin de me déconcerté, je restai là, derrière lui, à le fixer.
-Malefoy…
Autant se manifester. J’attends qu’il se retourne. Je ne m’attends pas à un seul geste de politesse venant de sa part. Au contraire. Son visage froid, fermé, est conforme à l’habitude. Il adorerait être craint de tout le monde. Malheureusement pour lui, je ne fais pas partie de ces gens. Je n’ai pour lui qu’une profonde indifférence teinté de mépris. Je n’aime pas ses aires de grandeurs, ses actions.
-Tu dois te demander le pourquoi de se rendez vous…
Assurément, nous sommes plus tentés de nous éviter que de nous voir en tête à tête pour papoter.
-Alors, autant entrer dans le vif du sujet. Je veux te parler d’Elisabeth…
Il ne se trouble pas. Se qu’il pense en cet instant ? Je l’ignore. Imperméable à tout, il reste de marbre.
-Tu n’as probablement pas remarqué son absence en potion…c’est bien connu qu’a part ta petite personne tu te fiches du reste ! Mais, j’ai été chargé de t’informé qu’Elisabeth avait du être emmenée à l’infirmerie. Elle a eu un accident de quidditch….
Je l’observe, épiant ses réactions.
-Vos préfets étant indisponible, Potter m’a demandé de t’en faire part.
Il doit maintenant se demander pourquoi je n’ai pas simplement écrit cela dans mon mot. S’aurait été plus simple, pas vrai ? Trop simple à dire vrai.
-Mais ce n’est pas tout. Si je t’ai fais venir c’est pour mettre certaine chose au clair. Elisa n’est pas dans son assiette ces derniers temps et elle m’a laissé entendre que tu en étais la cause. Son accident est en partie ta faute ! Aussi, je te le demande : Laisse la tranquille une bonne fois pour toute !
Nous nous défions du regard. Il a le regard acéré de tout bon Serpentard. Le mien est brulant, à l’image de ma maison. Je déteste ce type….
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Scorpius Malefoy
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Sujet: Re: A Hard Day's Night { PV Talus Ven 3 Sep - 0:44 |
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Talus Blecryo. Un nom à dormir debout. Un type qui au départ, avait la chance faire partie des Bouffondors qui m'indiffèrent. A présent, je le déteste plus qu'autre chose. Surtout depuis que j'entends certaines rumeurs sur lui disant qu'il en pincerait pour Elisabeth Winster. Pas de chance, c'est exactement la même fille sur laquelle j'en pince. Sauf que lui, il n'a jamais eu la chance d'avoir vécu autant de moments auprès d'elle, ni même de l'avoir déjà touché comme je l'ai touché et surtout embrassé. Enfin normalement, à part si j'ai loupé un épisode. C'est réciproque, lui aussi a du mal à m'encadrer mais cela me convient très bien. J'aime bien aussi quand on me déteste. Et puis je peux très bien le comprendre, étant un rival imbattable pour lui.
Toujours appuyé contre la rambarde en métal, mon regard ne cesse de fixer l'astre de lumière me faisant face. On dit que les rayons du soleil ont un effet positif sur le moral des gens. Chose que je crois vrai, étant donné que son effet ne m'a jamais fais faux bond jusqu'à présent. Comme ici, j'arrive à me montrer patient, calme, sachant que j'allais bientôt faire face à un demeuré de Rouge et Or. J'imagine que lui non plus n'est pas enchanté de me retrouver mais bon apparemment, si il va jusqu'à me donner rendez-vous c'est que c'est important. Bizarrement, je commence à deviner de quel sujet il va bien vouloir me parler.
La porte grince enfin dans mon dos, et quelqu'un pénètre à son tour dans la pièce. Je ne bouge pas pour autant. Je sais que c'est lui. Je n'ai aucunement l'intention de lui offrir la moindre marque de politesse ni même de sympathie. Je veux juste entendre se qu'il a à dire et basta. Tant qu'il me fait perdre le moins de temps possible, tout ira bien. Même dos à lui, je sens les éclairs qu'il me lance de part son regard de petit félin. Cela me ferait presque sourire. Enfin, comme je m'en doutais, il m'annonce que sa venue est à propos d'Elisabeth. A ce moment là, je me retourne doucement pour lui faire face et le défis sévèrement du regard. Mon visage reste impassible, froid.
Evidemment, dans son petit spitch il ne peut vraiment pas s'empêcher d'y ajouter quelques petites mines. Des remarques sur mon égaux qui ne m'atteigne même pas, ne serait-ce qu'un peu. Venant de lui, je le prendrai presque pour un compliment. Je préfère ne pas relever sa remarque au risque de ne plus garder mon sang froid longtemps. Cependant, quand j'entends le mot "accident" intérieurement, mon cœur se compresse. Je reste de marbre à l'extérieur mais intérieurement une dangereuse vague d'inquiétude m'inonde. Il plaisante j'espère ?? Comment se fait-il que j'ai l'étrange impression d'être le dernier au courant de cette histoire ?
Je n'ai d'ailleurs même pas le temps de réaliser se qu'il vient de m'annoncer, qu'il reprend la parole de plus belle. Et là, je n'en crois pas mes oreilles, je tombe de haut. Mes yeux se refroidissent encore plus qu'ils l'étaient déjà. Mes poings se serrent, je sens mes nerfs se tendre nerveusement. Il m'accuse, et ose prétendre qu'Elisabeth a dit ça de moi ? Et... et il me demande de l'a laisser tranquille ? Je n'y crois pas un mot. Il veut mourir ? Là, maintenant tout de suite ? A quoi joue-t-il ? Je prend alors une profonde inspiration. Je ne vais sûrement pas prendre le risque d'aller à Azkaban pour ce misérable verre de terre. J'ai envie de rire de lui, un petit sourire en coin, malsain et hautain, se forme lentement sur mes lèvres. Je soupire.
« Ah... Talus Talus... »
J'entame deux, trois pas en sa direction, ne le lâchant pas une seule seconde des yeux. Je le méprise. Ma voix se fait trainante et froide.
« Je pense avoir mal compris. Qu'est-se que tu espères mettre au clair au juste ? »
Un petit zeste de menace se fait entendre. On ne touche pas à se qui m'est précieux, et là il s'aventure sur un terrain particulièrement glissant. Il ne sait rien de se qu'il y a entre Elisabeth et moi. Il ne me connaît même pas. Si il tente de me monter la tête contre elle, il se fou le doigt dans l'œil jusqu'au coude. C'est moi qui influence les gens, non le contraire.
« Elle n'aurait jamais rien dis de tel, c'est se que toi t'aimerais entendre. De plus, je ne vois pas en quoi je pourrai être responsable de son accident, je n'étais même pas au courant... »
J'ai appris en quelques années et quelques mois à garder mon sang froid plus longtemps. Car en temps normal, surtout face à quelqu'un qui me répugne, je l'aurai certainement déjà fais basculé par dessus la rambarde.
« Tu te trompes, ce n'est pas à moi de l'a laisser tranquille... et ce n'est certainement pas à toi de me le dire. »
Si se qu'il dit est vrai, je n'attendrai qu'à l'entendre de la propre bouche d'Elisabeth et de personne d'autre.
« Tu ne sais absolument rien sur se qu'il y a entre nous ! Pauvre idiot ! Mêles toi de se qui te regardes... »
Nos regards se battent, et représentent parfaitement l'emblème de notre maison. Je ne lâcherai pas l'affaire. Je ne m'écraserai jamais. Encore moins face à lui.
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Sujet: Re: A Hard Day's Night { PV Talus |
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A Hard Day's Night { PV Talus |
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