- Lone, veuillez venir ici tout de suite.

Mauvais signe ça. Quand le rédacteur en chef ajoute la mention ‘tout de suite’ à sa demande de voir quelqu’un ça ne sent pas bon. Encore moins pour moi, puisqu’il ne m’apprécie pas énormément.
Je soupire, de toute manière si je tiens à mon boulot c’est une épreuve à passer, docilement, je vais devoir laisser couler les remarques sur moi. L’ennui quand on n’écrit pas de manière totalement objective, c’est que parfois ça passe et souvent ça ne passe pas. Bah, c’est un pari risqué que je prends à chaque fois.
J’entre dans le chaleureux bureau de mon patron, et me dit comme à chaque fois que je vois sa tête que demain, c’est décidé, je postule au chicaneur.

- Vous m’avez fait demander monsieur ?
- Ahlala, votre dernier article sur Unless nous cause des ennuis, les critiques affluent, les lecteurs se sente outragé, insultés, blablabla, ils sont blessé dans leur amour propre, pas que je m’inquiète pour eux, mais c’est pas bon pour le journal.

A ce stade il lève les yeux vers moi et semble remarquer ma présence

- Bonté divine Lone, cessez donc de tenir un discours aussi people, on est dans un jounal sérieux bordel, j’avais confiance en vous, je vous ai laissé faire quand vous m’avez dit en pleine nuit « Laissé moi la une de demain, j’ai un scoop énorme ! ». Je vous avoue que sur le coup ça ne m’avait pas dérangé de devoir ôté le problème que pose la sorcellerie passives sur les bovins nord-équatoriaux de notre première page m’enfin…

Je le regarde sans expression particulière, acceptant calmement mes erreurs. De toute manière je ne m’attarde jamais beaucoup sur le passé. Cela m’avait tellement choqué de découvrir qu’Unless n’était pas mort que je me suis totalement laissé divaguer. Pas très professionnel tout ça, Albert Londres voulez vous bien m’en excuser ? Je serais plus sérieuse la prochaine, ne serait ce que parce que je tiens à ce job.

- Je vous vire de la section des reportages d’investigations, il faudra à nouveau faire vos preuves Lone. Vous vous occuperez des faits divers, rubrique où vos talents de paparazzi seront peut-être plus appréciés.

Je m’en doutais. Rétrogradé. Dans mes dents. Voila à vouloir faire la maline, où on atterrit.

- Ah et vous avez une formation de photographe aussi non ? Paraît que ce soir il y a un concert de Jazz au Bar Atteind, vous irez avec Arelis. Vous pouvez prendre congé merci.

Je ne me fais pas prier et sort du bureau. Génial une soirée avec l’espèce d’autiste qui fait les chroniques musicale, ça va être joyeux.
Une fois à mon bureau je prend mon appareil photo et rédige un mot rapide à Marc ( l’homme qui partage ma vie maintenant ), je lui rappelle qu’il ne doit pas oublier d’emmener Alice à son cour de violon, et qu’il à rendez vous avec Unless numéro deux parce qu’Elynn à encore fait ses siennes à Poudlard. Pire que moi à son âge… quoi que…

Bon maintenant je dois trouver Arelis pour lui annoncer la bonne nouvelle de notre soirée en tête à tête o/.


¤¤¤¤

Heureusement que je me suis battus, parce que sinon on se serait retrouvé à la table la plus proche de la scène. Pour les photos ça craint, mais bien sûr il y connait rien l’autre demeuré. Paraît que le son du piano rend mieux de très près. Et le son de la batterie t’y à pensé ? Nan, voila.
Au final, nous somme à une table à deux relativement centré, tout deux tournés vers la scène, un diabolo à la fraise pour lui, un mojito pour moi.

Je procède aux derniers réglages de mon appareil en écoutant d’une oreille distraite ce qu’il me raconte. Je crois qu’il parle de son chat, ou de sa grand-mère, je ne suis pas sûre.
Le barman quitte un instant sa place pour monter sur la scène et annoncer.

- Bonsoir à tous ! Ce soir on accueille des nouvelles recrues pour notre petite soirée Jazz plus bœufs. Pour la première partie voici Jelayla Manzareck au piano, Jordan Teavy à la batterie, et Wauthier Lessun à la basse.

Les applaudissements commencent timidement tandis que je lève les yeux pour observer le batteur. J’ai bien entendu ? C’est un ami à ma fille, je l’ai déjà vu quelque fois chez nous, pas de doute, cette démarche sûre d’elle, cette allure, la chemise légèrement entrouverte, le jeans qui tombe un peu, le sourire charmeur, les cheveux ramenés négligemment vers l’arrière…
Jordan… t’es pas sensé être à Poudlard là toi ? Si Unless lit le journal tu vas passer un mauvais quart d’heure. Heureusement grâce à mon précédent article quelque chose me dit que le Nathan il ne doit plus apprécier des masses la Gazette.

J’adresse un sourire à Jordan même si je me doute qu’il ne me reconnaîtra pas. Je prendrai des belles photos pour Elynn, ça lui ferra plaisir, et qui sait, si elles sont vraiment réussites elle pourra peut-être les revendre aux groupies de Teavy ?
Le Serpentard fait tourner ses baguettes dans ses mains pour le style puis prend place derrière son instrument, je remarque que ses deux baguettes sont différentes et suppose que cette qu’il tient dans la main droite est sa baguette magique. Pas de problème, on est côté sorciers. Le type à la basse me rappelle vaguement quelqu’un mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus, et je me demande si la pianiste à un lien quelconque avec Ray Manzareck. Je me tourne vers Arelis pour lui demander mais Jordan vient de commencer un rythme doux que le piano rejoint bientôt avec un enchaînement d’accords en do.

Les premières minutes du concert me font oublié pourquoi je suis là, Jelayla Manzareck joue comme une déchaînée, elle change de position toutes les cinq minutes, et manque même une fois de tomber de son siège, on sent que Jordan à du mal à se contenir, mais il parvient néanmoins à garder cette retenue indispensable au Jazz. Le bassiste est bon, mais je ne lui trouve rien de particulier.
Arelis de son côté est à fond dedans, je me décide enfin à prendre des photos, quittant ma place pour plus de liberté, en prenant garde tout de même de ne pas gêner les gens.

Une heure plus tard je regagne ma place.
Ma pellicule est finis, mais je sens que cinq ou six de mes photos sont excellentes, je ne pense pas avoir perdu la main.
L’accord finale du piano est dissonant mais rend terriblement bien dans le style global de la pianiste. Celle-ci se lève pour nous remercier et nous saluer avant de quitter la scène. Jordan et Wauthier font de même annonçant qu’eux font simplement une pause et reviendront pour le bœuf.
Arelis ne semble pas près de bouger, malgré son diabolo finit depuis bien longtemps. Je lui annonce que j’ai finis mon boulot et que je rentre chez moi. Ca à l’air de lui faire autant d’effet que si je lui avais annoncé qu’il ferrait moche demain.
Je prends ma veste, mon sac et quitte le bar.

La montre du big ben indique qu’il est 22h, Marc est sûrement déjà rentré, mais il ne m’attend peut-être pas si tôt. Je pourrais peut-être le coincer avec sa maîtresse @___@. Allez, je vais le laisser profiter un peu et flâner dans les rues de Londres avant de transplanter.
Il fait si bon le soir en ce moment.

Je vais peut-être aller faire un petit tour du côté de l’allée des embrumes, Drago m’a dit qu’un pub avait ouvert la bas récemment et qu’il y allait souvent, ça me ferrait du bien de parler avec lui, comme au bon vieux temps. La soirée s’annonce agréable.

- Sélène ?

Oui c'est moi ? Je me retourne pour voir qui m'appelle.

- Sélène Lone ? Wah ! Ca fait un de ces baille !!!

Je regarde la jeune femme qui me fait face en essayant de déterminer d'où je la connais. Brune, les cheveux courts... Mélissa ?

- Tu me reconnais pas ? Ah je te pardonne, j'ai pas mal changé depuis Poudlard.
- Mélissa Crewyl ?
- Ah ! Ravie de constater que tu ne m'as pas oublié. J'allais justement rejoindre Drago, on parlait de toi d'ailleurs la dernière fois, ça fait tellement longtemps qu'on s'est plus parlé de vive voix.
- J'ai hâte d'apprendre ce que vous êtes devenu !

On se dirige ensemble vers le pub tout en discutant des souvenirs du passé. Quand on rendrait folle la vieille McGonagal, ou qu'on cherchait des poux à ces idiots de Griffondor.
Dans le pub, on a aucun mal à retrouver Drago qui était attablé avec deux autres sorciers, dont l'un d'entre eux se trouvait être Grégory Colman. Je ne lui ai jamais réellement parlé à ce type, paraît qu'il est plutôt cynique, j'aime bien.

Après avoir salué tout le monde, particulièrement chaleureusement Drago avec qui j'ai partagé la plus grande partie de ma jeunesse je m'attable avec eux. Ils étaient entrain de parler d'Unless, je leur demande de changer de sujet, Unless j'en ai ma claque.

- Oh aller, t'façon on parlait pas de maintenant, tu te souviens plus il est rentré à Poudlard quand nous on était en sixième année. Le petit nouveau Serpentard.
- Ah maintenant que vous le dite ! Qu'est ce qu'il paraissait asocial ! Et puis quand il parlait et qu'il se croyait tellement intéressant ! J'me souviens maintenant ! Purée, dire que j'avais jamais fait le rapprochement. Qu'est ce qu'on le faisait chier à cette époque.
- Plus que les autres premières années presque, en même temps ses réactions étaient tellement excelentes.

Et la conversation reprit de plus belle sur la nostalgie du bon temps de Poudlard.

Parce que c'est toujours classe d'être le type au fond de la salle qui entend qu'on parle mal de lui o/. Mais si vous savez, ce type dans les films. Ce mec dans la pénombre dont on voit le petit sourire alors que ces pauvres futurs victimes continuent de tranquillement baver sur lui ne se doutant pas une seconde qu'une épée de Damoclès se trouve au dessus de leur tête. Pauvre fou \o/. Et bien aujourd'hui j'étais un de ces bienheureux type qui n'attendait qu'une chose. Vengeance \o/ !

Mais revenons quel temps en arrières. A commencer par il y a quelques jours, j'étais alors tranquillement allongé peinard dans mon pieu à zapper sur la télévision moldu ( drôle d'invention par ailleurs ces mini gens bloqué dans l'écran était pourtant très fun ) quand soudain un hibou a traverser ma chambre miteuse pour me lâcher la gazette à la tronche. J'ai toujours adoré ces volatiles. Pour la peine il avait fini en poulet braisé o/. Enfin, le fait est que ce jour là, l'article en une de la gazette ne me plut mais alors … Pas du tout. J'avais péter les plombs, fait péter l'immeuble, relâcher un flot incroyable de magie à tel point que j'me demande encore comment le ministère a pu faire passer ça par une explosion de gaz, et j'étais aller chez Jade pour calmer mes nerfs et accessoirement tout péter dans sa maison. Ah et aussi. Ce jour là j'me suis promis que Lone ou pas. Sélène Lone périrait dans d'atroce, d'atroooooooce souffrance. Ca lui apprendra tiens à jouer la paparazzi. Elynn lui a pas dit que j'étais fou à lier et qu'il ne fallait jamais Ô grand jamais provoquer ma divine colère quand sur mon échelle de relation social vous êtes même pas au stade : Jt'aime bien mais j'sais pas encore pourquoi ? Visiblement non @_@. Tant puis pour la mère Lone. Tant pis tant pis.

Enfin cette article n'avait pas eu que des mauvaise vagues cela. Jade a enfin ouvert les yeux \o/. Et elle a largué Johnny pour le parfait, le magnifique, le seul, l'unique, le dieu .. Moi \o/ .En faite l'article avait peut être pas grand rapport. C'est surtout les dégâts collatéraux dû à l'article donc ne crois pas que je serrais clément envers toi pour ça Sélène @_@. Et donc maintenant que mon hôtel avait péri dans les flammes ect.. Je créchais dans le ô combien gigantesque manoir Patterson. Elle est pas belle la vie \o/ ? Le seul problème c'est les mangemorts. Ça grouille de partout @_@... J'ai la baguette qui me démange @_@. Un peu trop d'ailleurs, ah aujourd'hui j'vais faire un jolie massacre o/. Et pour ça. Ah ah voyez l'ingénieux stratagème que j'ai monté... En faite y'en a pas. L'impro y'a que ça de vrai quand on est Sand Unless ._. . Sauf qu'il fallait bien que je sache où était Sélène Lone en cette soirée d'été et à tout dire ça fut pas vraiment difficile à trouver. Suffisait d'entrer dans l'esprit de son imbécile de rédacteur en chef pour découvrir : 1 des pensées salaces , 2 des idées salaces , 3 la satisfaction d'avoir envoyé Lone avec un type chiant comme la mort voir un concert à la con o/. GG \o/. Le soir même je me rend aussi au concert. Mais j'y reste pas longtemps. Teavy m'insupporte j'ai jamais pu saquer ce gamin. Vade retro. Donc j'attends Lone à la sortie o/. Sortie où je la massacrerais et la décapiterais pour donner sa tête à Jade \o/ . Cadeau mon amur \o/ ! Le pire c'est que j'suis sur qu'elle aimerait. Le temps se fait long, et j'commence à avoir froid moi. Mais patience Sand tout viens à point à qui sait attendre \o/. Mais voilà. J'ai jamais su attendre ._. . Donc il me faut une occupation vite vite vite \o/. C'est là que dieu lance un regard sur ma poche de jean et que je vois mon paquet de cigarette qui dépasse de quelque centimètres. Quel brillante idée. Fumons mes amis fumons. Fort heureusement pour elle, et pour les gens présent au concert, Lone sort un peu moins de 10 minutes après que j'eu fini la cancerette. Mouhaha. I'll kill youuuuuuuu o/. Je la suis quelques temps, de loin, laissant l'adrénaline monté. J'suis comme un prédateur, un guépard qui voit sautiller une gazelle devant lui mais qui attend le moment opportun pour lancer le sprint final. Encore un peu. Quelques secondes. 3 … Je sors ma baguette. 2 … La sert entre mes doigts .. 1 …

- Sélène ?

PUTAIN ! CONASSE ! T'AS RUINE MON EFFET @_@

- Sélène Lone ? Wah ! Ca fait un de ces baille !!!

Nyah nyah nyah. Putain je la hais. JE LA HAIS. J'la tuerais aussi pour la peine ! Je suis à peine leur discutions me contentant d'entendre qu'elles allaient rejoindre Drago. Hum. Ce sale con de Malefoy traine toujours dans un bar sur l'allée des Embrumes d'après ce que m'avait dit Jade. Autant devancé les femmes. Sinon j'sens que j'vais faire un double homicide dans la rue et c'est moche o/. Donc je transplanne.

Wahoo. Tout le gratins dauphinois sorcier est présent ce soir. L'autre abruti de Colman, Malefoy, le mongol de Dolovan. Manque plus que cette pétasse de Lizzie. Et j'ai ma petite brochette de salopris o/. Cependant je me fais discret ça serrait con de se faire repérer maintenant. J'vais m'assoir au fond de la salle mouhahaha. Et pour me la jouer encore plus j'me cale des ray ban sur les yeux. Genre comme ça personne va me reconnaître.

Rire. Plus il rit, en se foutant de ma gueule, plus j'ai envie de les massacrer. Nya ''tu te souviens quand on lui avait trafiqué son balais pour qu'il se plante méchante devant tout le monde ? '' '' Ouais \o/ Et quand on lui avait lancé un sort pour qu'il soit plein de furoncle '' '' Han ouais trop \o/ Et puis quand on l'avait perdu dans la forêt \o/ '' ._. . J'vais les tuer. Tous autant qu'ils sont. Parce que moi aussi j'me souviens bande de C*****d \o/. I'll kill you too \o/. N'empêche quand eux sont resté des petites merde moi j'suis monté dans les hautes sphère de la sorcellerie d'ailleurs j'leurs ferrais une démonstration tiens de ce que c'est d'être le sorcier le plus doué de sa génération – rien que ça mon égo s'arrange pas o/ - . Fort heureusement Lone et sa pote arrivent avant que je fasse de la bouille de leur pote. Et ils continuent. Continuent à parler de moi à cette époque maudite. Un sourire vient naitre sur mes lèvres quand j'imagine ce qui va leur arriver dans quelques secondes. Le barman revient vers ma table pour me demander si je veux autre chose que le whisky pur feu vidé sur ma table. C'est alors qu'arrive le moment où je sors ma baguette pour lancé le premier sort, le premier d'une longue lignée o/. Les yeux de l'homme deviennent sous mon impero et alors que les joyeux lurons rient de leur conneries. Je lance un assurdito en toute discrétion vers leur table. Resté dans votre mon mes petits o/ Le barman , sans que ces imbéciles ne remarquent , demandent à la plupart des gens de sortir. Et pendant qu'il fait ça. Moi j'me lève. Lunette toujours sur le nez. Un sourire de plus en plus carnassier au lèvre. Je m'approche de leur table, le premier à remarquer ma présence c'est Colman. Sauf qu'il a pas le temps de placer un mot que je pointe ma baguette sur lui pour lui lancer un ô combien magnifique avada dans la tronche. J'maitrise à la perfection les sort informulés. La seconde d'après tous ont sortis leur baguettes et se sont tourné vers moi. Sauf Malefoy, ce lâche, qui transplanne aussi sec. Il ne me faut que 3 secondes pour les désarmer. 1 secondes par personne o/ C'est que je me ramollis. Alors les gens s'est maintenant qu'on remarque qu'on est seul avec le grand méchant loup ? \o/. J'en ai bien l'impression. On entends un peu plus loin le barman qui referment la porte et enfin le son des client mécontent peut arriver aux oreilles des trois compères o/. J'ai toujours ce putain de sale sourire collé au lèvres alors que je leurs sors.

« Hey \o/. Ça fait un bail hein ? ='). Ce soir j'comptais juste massacrer Lone et voilà que j'me retrouve avec mon quatuor de bourreau préféré o/. Enfin trio maintenant. Quel lâche ce Malefoy =/. »

Rah mais vous imaginez même pas comme je me sens puissant là o/. J'les regarde de haut et tout o/. Comme eux le faisait à l'époque de Poudlard. Sauf que moi je ferrais plus que les faire tomber de balais, cracher des limaces ou enfermé dans les chiottes avec Mimi Geignarde. Toujours souriant et profitant de leur manque cruelle de réaction, en même temps ils ont perdus leur seul moyen de défense face à moi les pauvres, je vais m'asseoir à la place de Malefoy. Toujours souriant même au cadavre de Colman face à moi, je sors en regardant le verre face à Sélène et citant par ailleurs un certain Lieutenant Aldo.

« Tu sais il parait qu’en enfer il y a un cercle réservé a ceux qui gâchent le bon scotch. Alors fini le Lone. Se serra ton dernier verre de toute manière. »

Mouhaha. Voilà la phrase qui indique que vos sorts sont scellé. Dolovan semble tendu à coter de moi, je sens qu'il va être le premier à craquer. Hum. J'suis sur qu'il pense qu'avec un peu de chance il pourra explosé ma tête contre la table avant que je ne riposte. Pauvre fou. C'est pas ça qui me fait perdre mon sourire cela dit. Par ailleurs j'enlève mes lunettes pour les poser sur la table alors que j'm'étire tout en disant.

« Ah Malefoy vraiment quel espèce de lâche. Vous croyez qu'il est parti chercher du renfort ? Non parce que moi j'ai des doutes. »

Juste histoire d'enfoncer encore un peu le couteau dans la plaie o/ . Huhu. Enfin bref, après cela je pose mes mains devant moi sur la table, dont une tenant ma baguette, pour fixer Sélène et lui demander. Avec des accents assez psychopathe sur la fin. La colère qui remonte ah comme j'adore ça o/.

« Selène, j'ai une question, ça fait quoi de savoir qu'on va mourir et qu'on a condamné certain de ces potes à cause d'un foutu article de presse ? Hum ? »

Hum ? @_@ …