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L'art de larguer une fille quant on est un Potter (Viola) |
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James Sirius Potter
7ème année Gryffondor
Nombre de messages : 337
Age : 33
Maison : celle des maraudeurs
Emploi : dire des conneries, faire mon boulet, être arrogant...
Humeur : C'est comme si d'un cou tout le bonheur du monde c'était éteind
Feuille de personnage Côté coeur: L'amour si doux et amer a la fois...ma Eloise Camp: Le bien Niveau magique: (71/100)
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Sujet: L'art de larguer une fille quant on est un Potter (Viola) Sam 6 Fév - 17:17 |
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Il y a un moment pour tous. Pour s’amuser et pour être sérieux. Pour se laisser porter par la vie et pour assumer. Pour faire des conneries et pour en payer les conséquences…
Ces vacances, elles étaient géniales ! Le camping était génial ! Les fêtes tous les soirs, boire plus que de raison et finir ivre mort sans parvenir à atteindre nos tentes, danser autour du feu, se raconter des histoires en bouffant des trucs degueu mais qu’on aime tous…oui, tout ça c’était génial ! Toi, moi, eux…c’était génial aussi. On c’est bien marré, on en a presque oublié l’approche du nouveau conflit dans notre petit monde sans doute trop parfait.
Ces trois semaines à travers l’Angleterre, au bord des lacs, au bord de la mer, au bord des rivières avec nos parents réciproquent c’était super. Le coin parent, le coin ados, et toutes ces nuits ou les adultes nous faisaient confiances et nous laissaient profiter, c’était grandiose ! Peut être que nos parents avaient peur, oui, peut être qu’ils voulaient qu’on ait encore un peu d’innocence avant d’être confronté à tous ces trucs qui arrivent doucement mais qui arrivent surement.
C’était les meilleurs vacances de toute ma vie…J’espère bien que toi aussi, tu les as trouvé super…Par contre, maintenant qu’on est rentré, qu’on est tous là depuis 5 jours, chez mes parents…Je me rends compte qu’au milieu de ces trucs géniaux…J’ai fait une grosse connerie…
Je pourrais mettre la faute sur l’alcool, sur l’euphorie des nuits, sur un tat de truc et peut être même sur toi, mais je sais pas si ce serait honnête…Non…C’était super aussi toi et moi…ha ça oui…je peux pas le nier, je peux pas faire semblant…c’était génial, TU étais géniale…Sauf que, voilà, ça aurait jamais dut arriver ! Je suis un homme faible, j’ai succombé cette nuit là, et aussi celle d’après…j’ai pas réfléchi, je pensais plus a rien…Et…Et je me cherche des excuses mais, j’en trouve pas tant que ça. Je suis un pauvre nul, un Sa**p aussi probablement.
Je suis amoureux. Mon cœur est empli d’amour ! Il bat au son de son nom depuis si longtemps…je ne vie que pour elle…je ne me bas que pour elle ! Je ne veux pas la blesser, je ne voulais pas la tromper !
Oui…parce que ce Elle…ce Elle ce n’est pas TOI. Ce elle c’est cette fille, c’est Eloïse…c’est celle pour qui je ferais n’importe quoi…Sauf que là, n’importe quoi, je l’ai fait mais pas pour elle ! Merlin, que je m’en veux ! Je m’en veux de l’avoir un peu oublié entre tes bras mais aussi de t’avoir menti chaque nuit…Est-ce que je t’ai dit « je t’aime » ? J’ose espérer que non…je ne sais pas ! Je ne sais plus ! Y’a eu cette nuit là, et puis aussi les suivantes…on s’amusait comme des gosses ! J’suis innocent ! Un innocent coupable !
Mais qu’est ce que je vais faire, moi maintenant ?
Depuis qu’on est rentré, tu as bien dût voir que je t’évitais. Ho, bien sur, on a quant même participé ensemble a cette partie de quidditch avec les autres…On a aussi partagé tous nos repas, les jeux de sociétés et puis tous le reste…Mais depuis qu’on est rentré, on a au moins plus partagé la même salive !
Sik…j’ai une de ces façons de présenter les choses moi…Alors, ce matin en me levant, j’ai pris ma décision. Il faut que je te parle ! Il faut que je te dise ! Mais…Mais je ne suis qu’un homme…je suis faible…je ne sais pas comment on fait pour rompre avec une fille ! Est-ce que tu vas pleurer ? Ho nan…je n’espère pas !
Parfois…Même les Gryffondors ont peur…Ce matin, j’ai demandé a mon père « dis, t’as déjà rompu avec une fille ? » et là, il m’a regardé gravement en secouant la tête. Oncle Ron n’a pas été mieux, lui, il m’a conseillé d’envoyer une lettre a la demoiselle plutôt que de l’affronter. Je cherchais un peu de soutient, j’en ai retiré une plus grande peur…Comment on fait pour dire a une fille qu’elle est géniale mais qu’on a jamais eut de vrai sentiments ? Je voudrais te le dire…mais je ne veux pas passer pour un Sa**p, un goujat…Comment on fait pour supplier une fille, avec laquelle on c’est comporté comme un sale type, pour qu’elle n’aille pas tout raconter a l’autre fille ? Parce que c’est ça aussi mon problème…te quitter sans que jamais Eloïse n’en sache rien…
Au déjeuné, j’ai profité d’une diversion involontaire de Lily pour te dire qu’il fallait que je te parle. Tu as levé les yeux vers moi pendant que je me tordais les mains sous la table. Tu as sourie, et moi, comme un lâche, je me suis mis à rougir de honte. Je suis un mufle ! Mais un mufle qui t’a filé rendez vous cet après midi même, dans le fond du jardin de mes parents.
Alors…maintenant, je t’attends…j’ai toujours pas trouvé ce que je vais te dire…J’attends juste que tu arrives…peut être même que dans le fond, j’espère que c’est toi qui va rompre…J’entends le loquet de la porte du jardin, je lève les yeux, tu approches. Te voilà enfin a ma hauteur…Jamais je n’ai autant été mal a l’aise.
-Lorcane…Merci d’être venue…Depuis qu’on est rentré on n’a pas trop eut le temps de parler de…Enfin de…des vacances, du camping...On n’a pas eut l’occasion de se retrouver seul à seul non plus…hein…
Je suis aussi à l’aise qu’un scroutt dans une cage…je la regarde puis je fuis son regard quant je sens qu’elle me fixe…
Dernière édition par James Sirius Potter le Mar 4 Mai - 23:09, édité 1 fois
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Invité
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Sujet: Re: L'art de larguer une fille quant on est un Potter (Viola) Dim 2 Mai - 19:05 |
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Je savais depuis le début que ça ne durerais pas, nous sommes très différents et en plus, mes sentiments envers toi ne sont pas vraiment là. Mais je faisais semblant de croire en notre relation, d'être éperdument amoureuse de toi et ne vouloir que toi pour le reste de ma vie. J'ai bien joué mon rôle car tout le monde, à part ma sœur jumelle, croit qu'on s'aime. Durant les vacances, j'ai bien vu que tu t'éloignais de moi. J'ai pas eut du mal à comprendre la raison, tu es amoureux d'une autre mais là encore, j'ai fait semblant de rien voir. Je veux savoir si tu va me le dire où si tu me fuis et tu suis les conseils plus que déplorable de nos pères. Pendant tout les moments vécues durant le camping, les feux de bois et les délires d'adolescents qui vont très peu camper, on était pas aussi proche qu'avant. Mais là encore, j'ai joué ma rôle de la petite amie aimante. Je profite totalement des moments avec « la famille » en ne laissant passer aucun moment heureux. En même temps, je te voyais t'enfoncer dans ton mutisme mais je ne fis rien pour t'y sortir. Je n'étais peut être pas la seule mais personne ne parle de ça avec toi. Même si je ne suis pas amoureuse de toi, je ne veux pas que ça se passe comme ça mais je ne peux rien faire que te laisser venir m'annoncer que c'est fini, tout à une fin. Si ça se met, ça va faire depuis bien plus longtemps que ton cœur appartient à une autre mais je n'ai rien vu. Au final c'est pareil, tu vas me quitter pour elle. J'espère qu'elle te ferra pas souffrir et que tu es sûre de toi car tu n'aura de retour arrière, je suis patient mais pas si folle. Tu vas faire ton choix et je ne veux que part après, tu vienne me dire que tu t'es trompé et que tu veux rester avec moi. Si tu le fais, c'est que l'autre fille t'aura dit qu'elle ne t'aime pas comme tu l'aime. Je ne suis pas une fille qu'on prend puis qu'on jette et qu'après réflexion, on reprenne. Le bon côté, je pourrais enfin faire ce que je veux sans avoir peur de ta réaction. M'amuser avec les autres garçons, même draguer quand j'en ai envie.
*Allez James, assume tes sentiments et viens me le dire. Ce n'est pas en fuyant que tu vas résoudre tes problèmes. On ne fuit pas mais on affronte ces sentiments. Fais-le une bonne fois pour toute et essaye de ne pas faire comme ton père. Je serais patiente mais tu dois te décider.
Je crois que ton frère sait aussi que tu ne m'aime plus, il est pas bête et il te connait. Il faut dire que tu ne m'embrasse plus comme avant mais tu as plus des baisers forcés pour ne pas qu'on sache ce que tu ressens vraiment. J'attends depuis les premiers jours du camping que tu vienne me parler, le temps passe et je commence à croire que tu ne ferra rien. Tu ne vas pas fuir, tu ne peux pas pour elle comme pour moi. Assume une bonne fois pour toute et arrête de te lamenter sur ton sort. C'est si rare d'aimer alors ne gâche pas tout. Je te regarde quand tu reste dans ton monde et j'ai peut comprendre que l'autre fille ne sait rien aussi non, ça ferrait longtemps que tu serais venu. Est-ce qu'elle sait au moins que tu es en couple avec moi? Je ne le pense pas, il ne faut pas fuir James.
Nous sommes le matin et je continue à croire que tu ne me diras rien, encore dans ton mutisme essayer de savoir tes sentiments. Je parle avec ton frère pendant le déjeuner, on se ressemble pas mal lui et moi. Je me demande comment je n'avais pas remarqué que derrière son air de parfait gryffondor, il est aussi un garçon intelligent. Je continue de lui parler jusqu'à ce que je t'attende me dire que tu devais me parlé. Enfin tu va me le dire, ce n'est pas trop tôt. Je t'ai regardé en reprenant mon rôle de la petite amie amoureuse et je t'ai souris. Ton air gêne et les rougeurs sur tes joues me disent que tu as décider de rompre avec moi.
*Ce n'est pas trop tôt mais James, que vas-tu dire? Qu'elles paroles vas-tu utiliser? Tu n'as jamais été très fort avec l'amour alors je n'imagine pas pour rompre. Montre moi que les gryffondors sont plus courageux que ça.*
Tu m'as donné rendez-vous loin des autres et je m'y rends un peu en retard pour te laisser encore réfléchir à ce que tu vas dire. Tu n'auras pas une deuxième chance, une seule et unique. Je me rends à l'endroit où tu m'avais donné rendez-vous. Je pousse doucement la porte du jardin et je te vois. Je ne souris pas, je ne veux plus jouer mon rôle de la fille totalement amoureuse. Je continue de m'approcher de toi pour arriver près de toi. Je t'entends me parler, je croyais que tu allais mieux te débrouiller mais je me suis trompé, tu ne sais pas quoi dire. Je retiens un soupir de passer mes lèvres et te regarde.
« Ce n'est rien. Tu m'as demandé de venir, je suis venue. Oui, on est tous très occupé pour rester que nous 2. »
Je souris un peu, habitude après avoir autant joué mon personnage. Je te regarde mais tu fuis mon regard, encore. Je passe ma main dans mes cheveux en n'allant pas vers toi et en continuant de te regarder. Je ne sais pas si tu vas aller tout de suite au but donc je décide de t'y pousser tout de suite pour aller plus vite, je ne veux pas y passer toute la journée.
« Pourquoi tu m'as demandé de venir ici? Et pourquoi j'ai l'impression que tu vas si mal depuis quelques temps? J'ai fait quelque chose de mal? »
Des mots que dirait une fille amoureuse, j'imite très bien l'amour car tu n'as jamais vu que mes sentiments pour toi ne dépassait pas une grande amitié. Je continue de sourire légèrement et te regardant. Vas-tu battre ta peur d'être directe avec les gens? Tu as peur de blesser les gens mais le monde est tellement dure que tu vas devoir battre cette peur. J'espère que l'autre fille t'aidera si vous vous mettez ensemble. Je n'y avais jamais pensé mais quelle relation aurons-nous quand tu me quittera? On risque d'être en froid donc nos familles le verront aussi et ça sera pas bon. Mais c'est la vie, je sais que ton père n'a jamais vraiment cru en notre relation. Normal puisque c'est le seul à qui j'ai parlé de mes doutes sur mon amour pour toi au début. Il ne te l'a pas dit car il avait peur de ta réaction. J'attends toujours la suite et tes paroles. Va droit au but, ça sera mieux.
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James Sirius Potter
7ème année Gryffondor
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Humeur : C'est comme si d'un cou tout le bonheur du monde c'était éteind
Feuille de personnage Côté coeur: L'amour si doux et amer a la fois...ma Eloise Camp: Le bien Niveau magique: (71/100)
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Sujet: Re: L'art de larguer une fille quant on est un Potter (Viola) Dim 9 Mai - 22:01 |
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Tu es là, je suis là et…et je ne sais toujours pas quoi te dire. Honteusement, je prends conscience du fait qu’il aurait été bien plus simple que tu ne viennes pas. Ainsi, j’aurais eu une excuse toute trouvée pour mettre un terme à notre relation qui n’en est même plus une. Mais non. Non, tu es venue car tu n’es pas de ce genre là. Me poser un lapin ? Ce serait terriblement contraire à tes habitudes. Pas du tout toi. Chaque fois que j’ai voulu te voir, tu as répondu présent. Pourquoi cela aurait il du être autrement aujourd’hui ?
« Ce n'est rien. Tu m'as demandé de venir, je suis venue. Oui, on est tous très occupé pour rester que nous 2. »
J’ai le sentiment que tu me cherches des excuses. C’est encore plus difficile maintenant que je te regarde me sourire. Tu parais si fragile, là, comme ça. J’ai beau savoir que ce n’est qu’une façade, que tu as un tempérament de feu, je ne m’en sens pas moins minable. J’aurais dû écouter oncle Ron et t’envoyer une lettre ou bien écouter ton père et laisser les choses se faire d’elles mêmes. Mais non. Non, je n’ai pas pu, je trouvais cela trop lâche, trop facile. Peut être aussi que je pensais que tu méritais mieux que cela. Après tout, toi, tu as toujours été honnête. Grand-mère Moly dit toujours qu’il faut être respectueux avec les autres, surtout avec les femmes. Mais, ce n’est pas si simple que cela en à l’aire.
Maintenant que tu es là, il faut me jeter à l’eau. Arrêter de regarder le paysage, de me tordre les mains et de réfléchir au meilleur des moyens pour ne pas te blesser. Par habitude, je passe une main dans mes cheveux, les ébouriffants encore d’avantage. Je suis stressé, mal à mon aise, tendu comme la ficelle du rôti de Noel.
« Pourquoi tu m'as demandé de venir ici? Et pourquoi j'ai l'impression que tu vas si mal depuis quelques temps? J'ai fait quelque chose de mal? »
Je tourne la tête vers toi, croise ton regard. J’aurais du me douter que ma façon d’agir ne t’échapperait pas. Tu me connais si bien. On a toujours été tellement proche, tellement complice. Avant de sortir ensemble, on passait des moments privilégiés, des heures à rire, à se balader les deux mains dans la main sans aucune arrière pensé. Tout est bien plus simple lorsque les sentiments et les hormones ne s’en mêlent pas. Tu es jolie, je pense que tu le sais. Je mentirais en disant n’avoir jamais remarqué combien ton sourire a un je ne sais quoi d’envoutant. Bien sur qu’avant tout ça j’étais attiré par toi ! Mais avant tout ça, je me disais que c’était parce qu’on a grandi ensemble. J’ai peur. Peur d’avoir tout gâché sur un cou de tête. Evidemment, on ne c’étaient rien promis. Toi, moi, pour la vie….je crois pas que là-dessus tu te sois fait d’illusion. Mais, ça ne change rien. Je reste tout de même le mec qui va plaquer sa copine…Tu me connais, je le sais. Lorsque tu t’es mise avec moi, tu savais combien je peux être un séducteur. Je ne sais pas m’engager sur le long terme, je suis un flambeur moi…
Tu ramènes les choses à toi, me faisant encore plus culpabiliser. Pourquoi, par Godric, les filles ont-elles toujours besoin de croire que ce sont elles les responsables ? ! On vous targue d’avoir un sixième sens, alors pourquoi ne pas vous en servir de temps en temps ? Pourquoi par exemple, n’en ferais tu pas usage là, maintenant, tout de suite ? Parce que ce serait me défiler…oui, je sais…mais bon. Encore une fois, je passe ma main dans mes cheveux. De l’autre, je tapote la place à coté de moi pour t’inviter à t’assoir. Plutôt que de te répondre, je pointe du doigt un des gnomes du jardin qui essaie d’arracher une racine plus grosse que lui.
-Tu te souviens ? Quant on était gamins et que tu venais passer des vacances ici, on passait des heures à leur courir après. Notre jeu favori, c’était le « lancer de gnome ». Tu faisais toujours équipe avec moi et Lysander avec Albus. On gagnait presque à chaque fois, même qu’après ta sœur et mon frère boudaient. Qu’est ce qu’on a pu rire toutes ces fois….Surtout la fois ou un des gnomes c’est pendu aux cheveux d’Albus et ne voulait plus lâcher. Tu te rappel ?
A l’évocation de ce souvenir, j’ai un léger rire. Le cœur y est mais pas le ton. A quoi je joue ?! Je suis là pour t’annoncer que je veux rompre et au lieu de cela, me voilà à te parler de nos aventures passés ! Je me mords un instant la lèvre inférieur. J’ai dit « quant on était gamin », oubliant que toi, tu n’as pas encore vraiment quitté ce bel âge. Quant à moi, il est de notoriété connu que je ne parviens pas à grandir. J’essaie de te rappeler ce que nous étions avant cette histoire. Ainsi, je me dis que, peut être, nous pourrons l’être à nouveau. J’ai dans la tête l’image de toutes mes ex qui aujourd’hui préfèrent me tenir à distance de leur vie. Pire encore, je ne peux pas ne pas penser à toutes ces histoires qui finissent presque dans un bain de sang ? Je refuse qu’une telle chose nous arrive ! Ceci dit…comment éviter ça ? Je vois déjà le visage affligé de nos parents respectif, le regard désapprobateur de ma mère, les soupires de mon père et l’air pincé de ma grand-mère. Cette histoire va virer à la tempête familiale, je le sens bien ! C’est ma faute ! Mon terrible faite ! Je suis un boulet, je fonce droit dans le tat sans jamais réfléchir ! Voila ce qui arrive quant on est un gryffondor doublé d’un Potter.
J’ai peut être suffisamment tourné autours du chaudron. Ma main n’a pas fait mine de glisser vers la tienne comme toutes ces fois ou nous nous sommes assis à la même place. Je mets de la distance entre nous, de la froideur même sans me rendre compte que, peut être –surement même- tout cela te blesse. Je soupire.
-J’avais envie, besoin même, de te parler. Ici, c’est un peu comme mon lieu secret. On se connait depuis…depuis qu’on est gosse en faite. La première fois que je t’ai vue, c’était à Sainte Mangouste. Tu avais à peine 2 jours. Moi, j’allais avoir 3 ans, mais je me souviens bien de ce jour là. J’étais persuadé de voir un bébé tout rouge, tout fripé et criant d’une voix perçante. C’est ainsi que j’avais vu Albus la première fois. Mais au lieu de ça, j’avais vue une magnifique petite fille…Enfin 2 mais…j’ai toujours trouvé que tu étais plus charmante que Lysane. Tu le savais ?
Je sais, tu vas trouver ça ridicule. Lysane et toi, vous êtes deux jumelles parfaites. Beaucoup de monde vous confonde et pourtant, moi, jamais je ne vous ai interverti. Vous pouvez bien entrer les deux dans une pièce, vous faire passer l’une pour l’autre, jamais je ne m’y laisserai prendre. Lorsqu’on apprend à vous connaitre, on constate forcement vos différences. Vous n’avez pas le même caractère, les mêmes passions et, surtout, vous n’avez pas la même façon de rire. Si Lysane rie, c’est avec le cœur. Toi, tu ries avec tes yeux.
Encore une fois, je suis vraiment un piètre casseur ! Pourtant, ce n’est pas la première fois qu’il m’arrive de quitter une fille. Sauf que là, ce n’est pas juste une fille comme ça. Là, tu es aussi une de mes meilleures amies. Forcément, ça change la donne.
A force de me comporter comme un Botruc, je vais finir par t’attendrir ! Je suis nul, moi ! Je dois te briser le cœur et, au lieu de faire ça proprement, voilà que je me la joue fleur bleu ! Oncle Charlie m’avait bien dit qu’a chasser deux dragons à la fois, j’allais finir par me bruler les ailes. Si j’avais su…Enfin, bref, maintenant c’est fait ! Je dois assumer !
-Tu n’as rien fait, Orcie. Rien du tout. C’est moi qui…enfin…c’est moi qui…ce que je veux dire c’est que tu n’y es pour rien. Certaine choses me tourmentes ces derniers temps, mais tu n’en es pas la cause.
Pof…peut mieux faire hein ? Je te lègue un sourire d’excuse et finis par poser ma main sur la tienne. Je joue un instant avec tes doigts. Merlin tout puissant…je vais te briser le cœur !
-Ecoutes…je…c’est vrai que….Ouai enfin….tu vois…Ouai, Ouai…je ne suis pas très en forme ces temps ci. Je pense que tout le monde s’en est rendu compte…ou pas…enfin, on s’en fou. Toi, tu t’en es rendu compte. Forcement. Mais, je veux pas que tu penses que t’as fait quelque chose de mal parce que…c’est pas le cas. Au contraire ! C’était très bien…heu…je veux dire, c’est très bien…toi, moi c’est très bien…enfin non….heu…Si ! Si, c’est très bien…
Han…han…c’est toujours pas ça ! Rhaaaa mais bon sang ! C’est pas si dur que ça de dire à une fille « c’est fini, tchao basta ! » si ? bhin si…si c’est dur parce que je ne peux pas te dire ça juste comme ça. Il faut que je t’explique, que je te raconte. Je dois te parler d’Eloïse même si j’ai promis à Eloïse de ne pas parler de notre histoire…je te dois bien ça ! Sauf que….Si je te raconte, je risque de te blesser. Hors, si je te blesse, tu pourrais ensuite me faire payer mes actes d’une manière très féminine. Je ne peux me permettre de te voir aller confesser notre histoire à Elo. Elle ne comprendrait pas…en même temps, même moi je ne comprends pas. Mais bon, qu’elle ne comprenne pas, ce n’est pas le pire. Nan, le pire, c’est qu’elle risque bien de me tuer. Et là, j’exagère à peine….
Je tourne la tête vers toi, nos regards se rencontrent. Je suis mal, très mal. Je m’y prends vraiment comme un manche ! J’hausse les épaules, impuissants. Comment me dépatouiller…je ne peux faire marche arrière, continuer à jouer avec tes sentiments. Je suis peut être un don juan –comme dit tante Hermione- mais, je ne suis pas un mufle ! Ou donc est passer le légendaire courage des Gryffondors ? Ce n’était pourtant pas le moment de me faire défaut !
-Tu voies, Orcie je me disais que…la vie c’est comme un grand chemin…y’a des croisements, des routes qui se rencontres, des routes qui se croisent, des routes qui se séparent…On sait pas pourquoi, c’est juste comme ça…tu comprends ?
Alors là…là Potter, je dis bravo ! Plus explicite, tu meurs ! Je sais bien que tu es à Serdaigle, m’enfin si là, t’arrive à comprendre que je veux te quitter c’est que vraiment tu lies entre les lignes. Je devrais aller me pendre ! …Enfin…nan, tout de même pas ! Le monde à besoin de moi….du moins…il aura besoin de moi si j’arrive à me sortir de cette histoire.
[Hj : désolée pour le tps de réponse =/ Dans le Rp j'ai surnomé Lysander, Lysane et Lorcane , Orcie. Si tu aimes pas, je peux changer ^^ Je n'avais pas d'autre idée lol mais si toi, tu as une préférence pour un surnom, dis le moi =) )
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Invité
Invité
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Sujet: Re: L'art de larguer une fille quant on est un Potter (Viola) Jeu 8 Juil - 20:44 |
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Ah l'amour, tout le monde veut le vivre mais personne ne sait quand il va arriver. Toutes petites filles rêve de trouver son prince charmand et qu'ils vivront heureux jusqu'à la fin des temps. Je ne suis pas un garçon donc je ne sais pas à ce qu'ils pensaient de l'amour petit enfin soit. Je n'ai connu à présent que 2 sortes d'amour: fraternel et amical. Le troisième et néant moins le plus important m'a jusqu'alors fait défaut. Ce n'est pas faute d'avoir chercher, j'ai même cru l'avoir trouvé au près de toi, James, mais je me suis bien vite dite la vérité, cette amour ne m'a jamais frôlé. Je ne t'aime que par amitié, je l'ai vite remarqué mais pas assez vite pour refuser une relation amoureuse avec toi. On se connait depuis l'enfance, tout est venu naturellement. Rien de malsain, juste l'évidence. Trop d'évidence car on ne sait même pas soucier si on était vraiment amoureux de l'autre. Je ne savais même pas ce qu'on ressentait quand on était amoureux, c'est peut être pour ça que j'ai dit oui. Le sensation qu'on a part amitié m'ont troublés et j'ai accepté en croyant bien faire. Ma première vrai relation fondée sur des fausses illusions ... Que la vie est ironique parfois. Relation qui n'en fut pas une d'un côté car on dit relation si il y a amour et comme il n'y a pas eut d'amour, il n'y a pas eut une vraie relation. Si je venais de dire ça à quelqu'un d'autre qu'à moi même, personne ne me croirait enfin dans mon entourage. Tout le monde croit qu'on s'aime éperduement et qu'on va plus tard se marier ensemble mais depuis le début, c'est raté. Un futur brulé pour faire place à un avenir séparé. Ne nous voulons pas la face, le couple qu'on forme ne durera pas plus de quelques mois encore et même, tu es amoureux de la bonne pour toi certainement, pas plus d'un mois que je nous laisse.
Nous sommes encore au fond du jardin, éloigné du reste de la maison, tu vas "sauter le pas" mais pas dans le positif enfin si ... C'est compliqué, tout n'a pas été comme ça avant mais comme on dit, les choses changent et évoluent. Le fait d'être éloigné de la maison n'est pas la seule chose éloignée ici. Tu es éloigné de moi, j'ai presque l'impression que tu me fuis. Tu ne sais vraiment pas comment assumer tes sentiments, je ne vais pas te l'apprendre car ce sera la fille qui t'a volé le coeur qui le fera. Je te regarde sans essayer de mettre mon masque, tu ne remarque pas que la soit disante lueur d'amour n'est pas dans mes yeux. Tu ne remarque que peu de choses ces temps-ci. Le fait que tu passe ta main dans tes cheveux montre clairement ton mal aise mais je ne peux rien faire pour y remédier. Quand même dans une heure, le mal aise ne sera plus. Plus vite tu dis ce que tu as sur le coeur, plus vite c'est fini et tu passe à quelques choses d'autre. Mais à la place de passer ça, tu dois stresser quand à ma réaction, cette dernière t'étonnera surement.
Les minutes continues de passer et tu ne dis rien, tu es -encore- plongé dans tes pensées. J'aimerais pouvoir lire tes pensées et t'éparnier de dire que tu me quitte mais mon niveau magique est trop bas pour réussir à le faire donc j'attends, je ne sais pas ce que j'attends mais j'attends quand même. Je pourrais te dessiner les yeux fermer tellement je t'ai regardé, non pas avec des yeux d'une fille amoureuse mais une fille curieuse. Je connais même toutes tes petites mimiques que j'aimais tellement quand j'étais plus petite. Tu n'as pas beaucoup changer malgré ta voix et ta taille. J'ai encore des photos de quand on était petit avec le reste des "cousins, cousines". Tu es toujours le petit garçon têtu et courageux qui n'avait peur de rien, ou presque, quand j'avais besoin de toi pareil quand les autres avaient besoins de toi. On ne peut totalement changer.
Soudain ma patience me récompensa, tu tapota la place à côté de l'endroit où tu étais assis. J'hésite quelque secondes puis je viens m'assoier, silencieuse. Je regarde le gnomes que tu me pointais puis reporte mon attention à toi. Je t'écoute parler de notre enfance, la période dont je vais bientôt sortir et que toi, tu as déjà quitté. Le petit discours était beau mais avait aucun lien avec notre futur rupture, tu ne savais pas commencé ... J'en suis certaine. Je n'ai pas ris quand tu as parlé de l'incident qu'avait connu Albus, le coeur n'y était pas et ni l'envie. Je retiens un soupir, combien de temps va-t-il tourner autour du pot? Je ne vais quand même pas devoir commencer à en parler quand même. Ce que j'avais dit était déjà une perche mais tu l'as refusée.
Je te vois mordiller ta lèvre inférieur, tu as dit une bêtise à ton gout car cette mimique ne se rapporte qu'à ça. Je n'y ai pas prêté attention, trop occupée à chercher quelque chose à dire afin de rompre la "glace". Je te connais assez bien pour savoir que les discours, ce n'est pas pour toi ni les simples phrases d'ailleurs. Un moment, j'ai même cru que tu subissais à la place de contrôler les choses. Tu m'as bien vite prouver le contraire mais l'impression est toujours là, on ne peut totalement la faire partir. J'ai eut aussi une autre impression à ton égard mais au contraire de la première, elle est vrai. Tu as tendance à te plaindre, plus que moi, alors maintenant, je suis prête à parie que tu le fais. Arrête de te plaindre et agis. Parfois tu ne réfléchis pas alors que tu le devrais et d'autres tu le fais aors qu'il ne faut absolument pas que tu le fasse. On ne peut guère douter que tu descends de ton père, tu es un parfait Potter même.
La distance entre nous reste là car tout comme moi, tu ne fais rien pour l'effacer. Elle me fait mal malgré que je sais que c'est la bonne décision concernant nous deux. On a toujours été proche, je ne me souviens pas un bon moment où tu n'es pas. Mais les choses changent et rester encore ensemble serait se moquer du monde. On est déjà trop proche par nos parents qui certaine personne si en plus on doit rester en couple, ça ne pourra pas trop aller.
Tu recommence à parler mais tu ne viens pas encore au but de notre présence ici. Tu parles même de notre enfance et de ta première impression quand tu m'as vu à l'hopital quand je suis née. Je fus quand même touchée quand tu as dit que tu m'as toujours toruvée plus charmante de ma soeur jumelle. Peu de personne peuvent nous différencier et avant, on aimait jouer avec ça. Combien de fois notre père nous a confondu, notre propre mère n'a pas toujours réussit à nous reconnaitre. Pourtant toi qui était moins là que mes parents, ce qui est logique, tu nous as toujours reconnu. Je me demande encore parfois comment tu fessais car seule des points de beauté pas très voyant nous différencie et même, ceux ci ont disparu maintenant. Je dis doucement à ta question qui n'en était pas vraiment une à mes oreilles.
« Non, je ne le savais pas ... »
Je ne mens pas, à quoi bon mentir en faite? A rien à part reporter l'inévitable à plus tard. Ce qui est pour moi une grande perte de temps, trop grande dans une vie si courte. Je continue de te regarder, je ne peux que faire ça de toute manière. Bien sûre je pourrais moi-même te quitter mais ce n'est pas moi qui suis amoureuse d'une autre personne. Dans une autre situation, je l'aurais fait à ta place mais aujourd'hui, je ne ferais rien à part attendre et même si je dois le faire encore durant plusieurs jours ou même mois.
C'est la première fois que je suis dans une pareil situation, bien sûr etu n'es pas mon premier copain mais tu es celui avec qui je suis rester le plus longtemps. Les autres peuvent sortirent de ma vie, je m'en fous tandis que si toi tu en sors, je ne sais pas quand je réagirais mais ce sera à coup sûre négatif. Je ne t'aime pas par amour mais je tiens quand même à toi. Ca ne reviendra jamais en cause même si je change totalement de destinée et de caractère. Malgré que je ne suis pas amoureuse de toi, notre relation m'a apporté plein de bonheur et de moments merveilleux. Eux non plus, je ne veux pas oublier.
Je sais que je n'ai rien fait mais c'était une phrase que seule une fille amoureuse pouvait sortir mais quand tu commence à dire que c'est toi qui est la cause, je n'en revient presque pas. Mais comme d'habitude, tu ne finis pas ta phrase. Tu te justifie tout de suite par contre, bien sûre que je ne suis pas la cause de ton tourment mais je suis le plus grand obstacle entre toi et la fille qui tu aime. Pour pouvoir vivre heureux avec la fille que ton coeur a choisit, il faut "détruire" l'obstacle donc moi. Je vois ton sourire d'excuse et je sens ta main sur la mienne. Je ne bouge pas cette dernière et te laisse jouer avec mes doigts. Tu es plus que stressée, ce n'est pas bon du tout ça.
Tu recommence à parler et tu essaye, avec beaucoup de difficulté, à expliquer ton mutisme de ces derniers jours. Encore une fois, je t'écoute avec attention. Quand tu dis que j'ai remarqué que tu allais pas bien, j'ai bien vu que tu ne savais pas que j'avais déjà tout deviné. Ca devait arriver tôt ou tard, je le sais depuis longtemps. Tu dis que je n'ai rien fait de mal, d'un côté c'est vrai mais de l'autre, je t'empêche malgré moi que tu puisse aller avec la fille que tu aime. Pour moi, ça pourrait être considéré comme mal. Je cache ma surprise quand tu dis que c'est le contraire. Tu galère à mort là, une pointe de pitié me parcoure mais je ne dis toujours rien. Toi et moi, ce n'est qu'une illusion. Je ne peux pas être la seule à m'en être rendue contre quand même. Ce n'est guère très bien mon gas mais je ne t'en veux pas, je ne le pourrais pas même. Je dis doucement avec encore des paroles de la fille amoureuse.
« Oh tant mieux alors, j'ai cru qu'il y avait eut un problème que je n'avais pas vu. »
Je vois à travers tes yeux que tu es en pleine bataille mentale, ne viens pas à te rendre malade pour ça quand même. Je suis prête à, encore, parier que ça nous concerne: toi, elle et moi. Qu'est-ce qui te ferrais autant hésiter? Je n'attends de ta part que tu décide de dire que tu me quitte et rien de plus malgré que je ne serais pas contre. Si tu me confesse les raisons pour lesquelles tu hésite tellement à cette décision, je comprendrais et je saurais en quoi concerne ta bataille mentale. Mais comme je l'ai dit, je n'attends rien de toi. On n'est pas marier de toute manière, on ne fait que sortir ensemble. Pour le monde, ce n'est rien.
Tes paroles tournent en rond dans ma tête tandis que je ne te quitte toujours pas du regard. Je te vois tourner la tête vers moi, je vois que trop bien ton malaise. Je ne sais pas comment faire pour le diminuer, avant je t'aurais surement prit dans mes bras mais là, je ne peux faire ce geste. Je te vois hausser les épaules d'impuissance, mon envie de te prendre dans mes bras augmentent encore en moi. Tu recommence à parler en essayant de m'expliquer que tu veux me quitter mais ça n'a rien du tout à voir. Si je n'avais rien compris avant cette discution, j'aurais été dans des beaux draps pour comprendre mais là, je comprenais plus au moins. Je retiens un soupir et je détourne les yeux, la première fois depuis que je suis arrivée. J'ai murmuré doucement
« Tu pourrais être plus claire, s'il te plait ... »
Je me suis tût, j'avais prit ma voix de la fille amoureuse pour ne pas que tu devine ce que j'ai comprit depuis bien longtemps ce qu'il se passe. Si tu viens à l'apprendre, ce sera surment un choc d'après moi. En faite, je ne sais pas trop ta réaction et je risque de la connaitre bientôt, très bientôt même. Je regarde ta main en train de continuer de jouer avec ma main, je ne me sens pas gênée mais je dois faire comme telle. A ce moment, je ne sais plus trop comment réagir, je préfère subir qu'agir. Je dégage ma main de la tienne puis lève les yeux non pas pour voir ta réaction mais avoir ton attention. Je dois faire avancer les choses sinon, on restera ici encore pas mal de temps. Je dis alors
« Ne cherche pas à faire des longs discours, j'ai comprit que tu ne m'aimais plus ... »
Je me suis retenue de dire après cette phrase "Si tu m'as un jour aimer comme petite amie" in extremist, ça serait trop pour aujourd'hui. Je compte faire avancer les choses mais pas dire des bêtises en le fessant. Je continue d'une voix douce
« Ne viens pas à dire le contraire, je ne suis pas aveugle. Tes sentiments amoureux ne sont plus envers moi maintenant. Je ne t'en veux pas, c'est la vie après tout. »
J'ai ponctué ma phrase d'un petit sourire, voilà c'est fait j'ai lancé la plus grande perche que j'avais en stock. Il te resterait plus qu'à maintenir ce que j'ai dit et tout sera fini. Là je guettais ta réction, je ne voulais pas entendre des questions du comment j'ai sut car je risquerais de divulguer mes véritables sentiments à ton égard. Je me suis légèrement reculée de toi mais pas assez pour partir, je devais voir ta réaction à mes paroles.
[HJ: C'est pas grave, c'est pas mieux moi. Et j'aime bien les surnoms, tu n'as pas à les changer.]
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James Sirius Potter
7ème année Gryffondor
Nombre de messages : 337
Age : 33
Maison : celle des maraudeurs
Emploi : dire des conneries, faire mon boulet, être arrogant...
Humeur : C'est comme si d'un cou tout le bonheur du monde c'était éteind
Feuille de personnage Côté coeur: L'amour si doux et amer a la fois...ma Eloise Camp: Le bien Niveau magique: (71/100)
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Sujet: Re: L'art de larguer une fille quant on est un Potter (Viola) Mer 28 Juil - 0:51 |
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J’essaie de te faire rire dans une tentative assez, je le reconnais, pitoyable. Tu ne souries même pas. Tu es là, à mes cotés, tendu au possible. Je devrais voir que tu en sais plus que tu ne dis. Je devrais comprendre combien l’intuition féminine peut être aiguisée dans ses moments. Pourtant, je ne vois rien. Ou plutôt, je ne veux pas voir. Je crois que je ne serai jamais tout à fait prêt pour ce genre de choses. Je me sens aussi à l’aise qu’un hippogriffe dans la cuisine de mamie Moly. Nous sommes bien loin du James sur de lui, grande gueule. Jamais je n’ai su parler sentiments. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été un tombeur. L’amour pour moi, n’a jamais été plus qu’une vaste plaisanterie. Je n’aurais jamais pensé tomber amoureux un jour…non, Jamais.
Je ne suis pas parfait, loin de là. Incapable de savoir ce que je veux vraiment. J’ai tellement envie de toujours plaire à tous le monde. Rien ne m’est plus difficile que d’entendre les mots « James…tu me déçois ». Je veux toujours être à la hauteur de tout et de tout le monde. C’est plus fort que moi. Lorsque je suis sortie avec toi…je crois bien que je pensais que c’était là ce qu’on attendait de nous deux. Je ne me suis pas posé de question, je ne me suis pas demandé si c’était ce que nous voulions. Voir mes parents, les tiens, un sourire au x lèvres, fières et heureux de nous voir ensemble avait fini par me convaincre que c’était ce que nous devions faire. Si j’avais réfléchi au lieu de laisser l’ambiance vacancière gagner mes hormones, si j’avais une seule seconde fait usage de ma tête au lieu d’autre chose…il est évident que nous n’en serions pas là !
Avec mes maigres moyens, j’essaie de te montrer combien tu comptes pour moi. Je ne souhaite pas perdre le peu qui nous unis encore. Ces jours avec toi, ce fut magique. Un peu comme un rêve. Oui, voilà…un rêve…et comme tout rêve, il s’achève au moment ou l’on doit se réveiller.
Je joue avec tes doigts, repensant à cette première fois ou je t’ai vue. Je crains de croiser ton regard, de perdre le peu de courage qui m’habite encore. Si je lève les yeux vers toi, si je vois ne serais que l’ombre d’une larme je sais que je serai alors incapable d’aller jusqu’au bout. J’ai brisé une multitude de cœur à travers les années mais, se que beaucoup ignore, c’est que jamais je n’ai su le faire avec tact et dignité. Entre les fois ou je m’arrangeais pour que la fille me bazarde d’elle-même et les fois ou, pour leur dire « c’est fini » j’en embrassais une sous leur nez…y’a pas à dire, j’ai toujours été un mufle ! Tes mots à mes oreilles sont comme un murmure. Tu as compris que tu n’es pas là par hasard. Tu es intelligente. Je suis perdu…Complètement perdu. Tout ce qui me semblait acquis jusque là, vole en éclat. Je n’ai pas su t’amer comme tu le méritais. Je n’ai pas su être à la hauteur de tes sentiments. Un jour quelqu’un m’avait prédit « A force de jouer, Potter, tu finiras par te bruler ». J’avais rie. Comme toujours. Moi, me bruler ? Foutaise ! Et pourtant…Pourtant là, devant toi, j’ai l’intime certitude de m’être trop pris au jeu. Mes ailes de flambeur se sont consumées dans un nuage de fumé. A trop joué on fini par tout perdre. Je ne veux pas te perdre…
Je me prends les pieds dans mes propres explications. J’avance, je recule et, au final, je reste à la même place. Tu soupire, emplie de lassitude. Tu n’as jamais aimé ne pas savoir, ne pas comprendre. Je sais que tu attends que je prenne mon courage à deux mains. Je sais que tu me vois comme une tête brulé, un mec bien dans sa peau, sur de lui…Quelque part, je ne peux t’en vouloir pour cette image. N’est ce pas là se que je montre à tout le monde ? Et pourtant…pourtant, une part de moi est fragile. Cette même partie qui m’empêche de juste te dire « toi et moi, c’est fini ». Je veux te le dire. Je prends une profonde inspiration et…
Tu dis ces mots là. Ces quelques mots aves ce ton emplie d’amour. Malgré moi, je lève les yeux vers toi et croise ton regard mi soucieux mi brillant. Qu’ais je donc bien pu te promettre lorsqu’on c’est mis ensemble ? Nos parents nous voyaient déjà marié ! Mon père, tout sourire n’a pu s’empêcher de dire « j’avais votre âge lorsque Ginny et moi avons commencé notre histoire ». C’est faux…Ils avaient un an de moins que nous mais…je n’ai pas relevé, la situation était déjà bien assez embarrassante.
Mes maigres explications te font lever sur moi un regard interrogatif. Tu as toujours été plus vive d’esprits que moi. Normal, me diras tu, tu es à Serdaigle. « Plus clair »…tu veux que je sois plus claire…je me gratte la gorge, recherche désespérément un souffle nouveau. La clarté, ça n’a jamais été mon truc. Je parle par métaphore…personne ne comprend jamais…mais bon, ce n’est pas si grave !
Je continue à jouer avec tes doigts. Un léger sourire chaleureux se pose sur mes lèvres. Tes yeux brillent de cet éclat amoureux qui, là, est en train de me fendre le cœur. Je suis un bourreau ! J’ai honte…Honte de me retrouver dans un tel merdier !
Et puis là d’un cou le couperet tombe. Net. J’ouvre déjà la bouche prête à me défendre mais tu ne m’en laisses pas le temps. Je ne devrais pas sortir avec des filles plus intelligente, plus mature et bien plus vive que moi…Je secoue la tête. C’est encore pire ! Maintenant que tu m’as avoué savoir que je ne t’aimais plus, les choses ne sont encore plus moches que ce qu’elles n’étaient au début. Du gryffondor qui se défile, je passe au stade du connar* de bas étage.
J’ai peur…Peur de tout ce qui doit se bousculer dans ta tête. Je devrais faire un pas, un geste, quelque chose ! Mais non ! Non, je reste là, mue, baissant les yeux comme un gosse qui aurait fait une connerie !
-Orcie….
Mais je ne trouve pas les bons mots. Quoi que je dise, je mentirais. Si je te donne raison, je mens. Idem si je te donne tord. Les choses sont peut être simples dans ton monde. Jamais dans le mien. Je lève sur toi des yeux brillant de culpabilité. J’ai la gorge seiche et le sang qui me bas les tempes. Dans ma main, je serre toujours tes petits doigts. Je crois bien que j’ai peur de les lâcher…peur qu’il ne se passe un long temps avant que l’on ose à nouveau se toucher comme avant…
-Je t’aime Orcie…Vraiment ! Mais…Parfois, les choses ne se passent pas comme on le voudrait…
Machinalement, je remets une mèche de tes cheveux derrière tes oreilles, dégageant ainsi ton visage. Je dessine du bout de mon indexe le contour de tes lèvres. C’est dingue…Dingue comment les souvenirs afflues dans ce genre de situation.
-Je suis désolé…Je…Tu sais, on raconte beaucoup de chose à mon sujet et…enfin, j’ai confiance en toi ! Ce n’est pas le problème ! Mais …je ne voudrais pas que tu penses que j’ai joué avec toi, avec tes sentiments !
Je presse un peu plus sa main dans la mienne pour qu’elle comprenne que, si de telles rumeurs venaient à circuler, ce ne serait pas avec mon accord.
-L’amour…ça ne suffit pas toujours pour que deux personnes restent ensemble…J’aurais voulu…Ouai…enfin tu sais…être a la hauteur…Que ça se passe autrement…Mais…comme tu dis, c’est la vie…
Merlin, que je suis maladroit ! C’est ni les bons mots, ni le bon ton ! Je m’y prends comme un manche là ! Un vrai bourrin !
-Ecoute Orcie…je t’aime…Mais…L’amour que j’éprouve pour toi c’est…rha !
Je passe de rage une main dans mes cheveux. J’ai du mal à dire à la fille qui, hier encore, se blottissait dans mes bras que je la voie aujourd’hui comme une sœur ! Plus incestueux…y’a pas ! Je lui lance un long regard, signe d’appel au secoure muet. C’est moi qui la plaque et, c’est à elle de trouver les mots. Bravo Potter ! Continues comme ça, et tu finiras premier sur la liste des boulets !
-On a eu de bons moments…Sincèrement, j’ai adoré être avec toi mais….tout a été si vite…trop vite…Pardon Orcie…Pardon si je te fais du mal…
Je suis gauche, minable et toi, a quelques centimètre de moi tu ne dois vouloir qu’une chose : fuir loin de moi…
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Sujet: Re: L'art de larguer une fille quant on est un Potter (Viola) |
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L'art de larguer une fille quant on est un Potter (Viola) |
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