Discussions autour d'un... bar. -Sand-

Je passe mon oyster card et sort du métra londonnien, j'ai quitté Poudlard, oevrdose de sourire, overdose de pleure aussi, overdose de bons comme de mauvais sentiments, overdose de disputes, overdose d'histoire à deux balles alors que le monde est sur la mauvaise pente. Etree adolescent signifie-t-il obligatoirement être con ? Je ne sais pas, mais Alexey est loin, tout comme Jag, Sébastien et Valentin, j'en parle plus, il ne me reste plus que moi, la musique et le dessin, c'est déjà pas mal. Je souris alors qu'un mec jouant de la guitare me regarde en chantant, je reste quelque temps devant lui avant de lui donner quelques malheureux pounds.
Je monte rapidement les marches de l'underground pour me faire arroser par cette pluie londonienne, welcome to London.
Je souris puis me met à rire pour exprimer ma joie sauf que j'ai l'air complètement stupide. L'avantage des grandes villes comme Londres, Paris ou New York c'est que l'on voit tout le monde sans être vraiment vus, on peut avoir l'air un peu bizarre, les passants passe rapidement à autre choses (d'où leur nom "passant"), on peut arriver nu et peinturlurer en rose à Oxford Street que les gens n'y penseront plus une demi-heure après vous avoir vu, donc ce n'est pas une malheureuse adolescente de 17 ans qui se met à rire toute seule qui va en choquer ou en interloquer plus d'un ; ils hausseront les épaules, prendront leur evening standard et commenceront à lire les gros titres.

C'est des gouttes de pluie coulant sur mon visage telles des larmes que je commençais à marcher dans la capitale, un large sourire accroché à mon visage. Rien n'avait changé, en même temps, je marchais dans cette rue il y a un mois, comment aurait-ce pu changer en un mois ?
Puis des chansons déboulèrent dans ma tête, de toute sortes, de toutes influences, en passant des Beach Boys, à David Bowie, sans oublier de l'électro, du Led Zeppelin et du ska. Un bon mélange qui s'entreprenait dans mon esprit, j'ai toujours été grand amatrice de musique mais jamais grand compositrice, je laisse ça ... aux autres et je profite du produit de leur labeur !
Le ciel craqua et la foudre s'abattit sur un gratte-ciel, par la même, la pluie, fine et raisonnable, s'intensifia. En une seconde, j'étais complètement trempé et courrais vers le pub le plus proche. Oui, ne me jugez pas ainsi, il est 20h00 et la plupart des magasins sont fermés, c'est donc du bon sens de courir vers le pub le plus près !

J'ouvrai la porte alors que des regards curieux se tournait vers la fille trempée que j'étais, se demandant ce que je faisais là et pourquoi on m'avait jeté un sceau d'eau à la figure. Je sourit légèrement. Londres m'avait manqué, Poudlard me manquera sans doute plus l'année prochaine mais pour l'instant Poudlard me gonfle et Londres m'émerveille.
Je connais ce pub. Je reconnais beaucoup de ces regards curieux. Je reconnais encore plus celui du patron. Il me lance un sourire.

- Silice, je te propose un deal !

Je souris largement, j'adore ce type, il a toujours été très sympa avec moi, en même temps, je suis adorable, il ne peut être que sympa avec moi.
Je hausse les épaules et attends qu'il me balance la suite avec impatience.

- Je te file de quoi te changer si tu me dépannes.

Je fronce les sourcils, sentant l'entour-loupe à plein nez.

- C'est quoi tes fringues ?
- Ah Silice fais pas ta...
- T'as encore ta vieille salopette ?
- Ouais ...
- Alors oui ! Je signe ! Mais j'ai besoin de me désaltérer pour bien travailler !
- Une boisson toutes les demi-heure ? Et tu porends une pause quand tu veux à part quand y a des commandes.

J'explose de rire, consciente qu'il n'y a rien de drôle, puis m'assois sur le bar pour pivoter et passer de l'autre coté.

- Prend les fringues que tu veux mais fais vite !

J'ouvre la porte réservée au personnel et passe de l'autre coté en lançant un clin d'oeil à James, puisque c'est ainsi que se nomme mon nouveau patron. Je trouve rapidement la salopette que je cherchais, après m'être déshabillée, je l'enfile, elle m'est un peu large un peu grande mais James est maigre et de taille normale, je ne flotte ma complètement dans sa salopette. Je prend un de ses marcels, le déchire pour qu'il est un coté un peu plus féminin pour le décolleté.
Un coup d'oeil dans la glace, je souris à mon reflet, fais quelque pas, j'ai toujours rêvé d'avoir une salopette et celle-ci à moitié usée me convient parfaitement, je me met à rire devant mon reflet tout en tressant rapidement mes cheveux mouillés.
Je ressors de la "loge" et retourne vers James.

- Ton employée...
- ... s'est suicidée.
- Tu délires ?
- J'aimerais, au moins, j'aurais pas une adolescente qui me traine dans les pattes pour m'aider.

Je lui lance un regard noir auquel il répond par un sourire, ça me donnerait presque envie de bosser plus qu'un soir ici oui mais non, c'est marrant mais ce n'est pas Moi, ce n'est pas ce que je suis.

- Elle s'est suicidée mais pas à cause de moi, aller, va débarrasser les tables et voir les clients, je te fais confiance.

Je lui lance un nouveau clin d'oeil et commence ma tâche, heureuse d'avoir trouvé de quoi m'occuper l'esprit et de quoi rire aussi.

Une heure plus tard, seulement deux pintes de cidre au compteur, je m'avance vers un nouveau client le sourire aux lèvres, il s'est installé au bar, je vais pouvoir lui faire la causette, haha, je suis d'humeur très... sociable ce soir, et lui, je ne sais pas, je ne discerne pas son fichu visage.
Arrivée à sa hauteur, je tapote le bois du bar tout en reconnaissant l'inconnu qui n'est pas un inconnu... il me semble... non, je suis sûre qu'il s'agit de Nathan Unless mais qu'est-ce qu'il fiche là et qu'est-ce que je fiche là, moi ? Merde, je devrais être bordée, dans le dortoir des gryffonnes de septième année, je me mord la lèvres inférieur, hésite à me dissimuler sous le bar, ce serait terriblement stupide.
Ai lieu de ça, je me pose avec fierté devant lui, un large sourire aux lèvres, arborant tranquillement ma salopette trop grande et mon marcel blanc déchiré, je ne suis plus à ça près, qu'il me vire ! Je m'en fiche ! J'ai trouvé un nouveau pote de comptoir et les clients sont peu nombreux et tous servis, j'ai tout mon temps !

- Qu'est-ce que je vous sert ?

« Ça vous fera 13 £ 50 »
« Tenez , gardez la monnaie. »
« Merci »

''l'amour''

« Salut, un Irsih Coffee steuplait. »

« T'es pas censée être à Poudlard toi par le plus grand des hasards ? »

« Tu bosses ici ? Ça te va bien la salopette fait le encore plus grand le décolleté et j'te promet que j'parle du pub dans tout Londres. »

Nathan Unless lève les yeux, je le défie du regard alors qu'il esquisse un leger sourire, il a pas intérêt à commencer à se moquer de moi, je ne suis pa slma meilleure magicienne de Poudlard mais pour faire des conneries ou ennuyer n'importe qui, j'ai été experte pendant mes quatrième et cinquième années. Je le regarde longuement, c'est fou à quel point il ressemble à Sand et le voir, ça me ferait presque mal. Qu'est-ce que je raconte moi ? Voir Nathan, ç me fait mal, pas de presque qui tiennent. Il est là, copie conforme de Sand, en plus accoudée à un bar et c'est sans doute ainsi que j'ai le plus vu Sand, on ne se cotoyaient que rarement au lycée, assez couramment à Londres et parfois au QG de l'ordre du phoenix, en parlant de ça... Je n'y suis pas retournée depuis longtemps, je n'apparaissait jamais, restant dans l'ombre, ne me prononçant que rarement jusqu'à la visite de Liam au QG, là, j'ai décampé, même s'il n'est pas membre de l'ordre, le revoir après la discussion que j'avais eu dans son bureau au sujet de Sand m'horrifiait.
Et là, je me retrouve avec Nathan qui n'est autre que le clone de Sand... Non, je n'ai rien contre Nathan, rendons à Nathan ce qui est à Nathan, il a un caractère assez différent de celui de Sand bien qu'ils se ressemblent sur certains points, il ne s'est jamais investi dans l'ordre mais a sans doute tué beaucoup moins de personne que son frangin, en fait, le gars que j'ai devant moi, c'est un vrai gentil comparé à Sand !

-Salut, un Irsih Coffee steuplait.

Je fais tout mon possible pour ne pas tressaillir. C'est ce que nous avions bu Sand et moi, la dernière fois que nous nous étions vu, nous avions bu des Irish Coffee, cette rencontre commençait à s'effacer de ma mémoire, JE commençais à la faire sortir de ma mémoire, ce jour-là, je n'avais pas vu ni Sand, ni Nathan mais Loki, et Loki... c'est de loin le pire des trois dans le coté primaire des personnages.

-T'es pas censée être à Poudlard toi par le plus grand des hasards ?

Je souris légèrement puis hoche la tête.

- Je pourrais te retourner la question mais comme je suis une fille discrète, je me contenterai de te faire cet Irish Coffee.

Je me détourne de Nathan pour allumer la machine à café et en profite pour respirer longuement. Ce n'est pas Sand mais Nathan. Nathan, Nathan, Nathan. Un Nathan que je tutoie parce que la première fois que je l'ai vu, je l'ai pris pour Sand et que depuis, c'est rester, il m'insupporte de vouvoyer les gens, c'est montrer trop de respect, surtout à ceux qui ne m'en réservent pas, tutoyer est bien plus agréable, n'est-ce pas ?
Alors que je m'éloigne rapidement pour débarasser un verre de whisky à moitié entamé, James s'approche de moi me demandant si je connaissais le lourdeau qui commençais à me parler et m'informant qu'il venait régulièrement ici. Je fronçai le sourcils, ne comprenant pas ce que Nathan pouvait faire régulièrement ici, déjà, c'est moldu, ensuite, c'est sacrément loin de Poudlard...
Je retournai vers ce cher directeur, un bouteille de whiskey irlandais et un verre vide à la main.

- Tu bosses ici ? Ça te va bien la salopette fait le encore plus grand le décolleté et j'te promet que j'parle du pub dans tout Londres.

Aucun sourire ne fendis mon visage, je m'appliquait à faire l'irish coffee dans des proportions parfaites, le prof de potion qu'était Sand aurait été fier de moi, c'est certains, surtout appliqué ainsi ses méthodes à la vie de tout les jours pour servir son frère !
Je prenaiot le café tout en tournant la tête vers un Nathan qui me fixait.
Une remarque cinglante tourna dans ma tête sans que je daigne la sortir, je souris légèrement, poliement, si j'apprécie Nathan, il n'a jamais été l'ami que Sand a pu être pour moi.

- Je dépanne pour la soirée.

Mon sourire s'effaça rapidement, alors que je posait de la crème fouettée sur le café.
Je jette un coup d'oeil à mon décolleté, Nathan a du voir des poitrime plus bonbée que la mienne, beaucoup plus. Je déchire un peu plus le vieux marcel de James, regarde Nathan puis, en un clignement de paupière, le tissus s'était reformé pour revenir comme avant.
Je pose l'Irish Coffee devant Nathan.

- Mon tout premier !

Je souris largement, essayant de me redonner contenance puis jette un coup d'oeil à ma salopette, elle est très bien ma salopette ><.
Ma calant contre le fond du bar, je fixe Nathan, les bras croisé attendant un verdict essayant de savoir qu'est-ce qu'un homme de sa trempe fait ici au lieu d'être à Poudlard, qu'il passe faire un coucou au glandus du ministère, okay, pourquoi pas mais passer dans un bar alors que les matchs de quidditch et les exams se préparent à Poudlard.
Je me frappe le front, j'avais totalement oublié pour les matchs de quidditch, j'étais censée leur faire faire des entrainements sans arrêt pour ces trois semaines, ils vont me haïr si les Gryffondors ne gagnent pas.

- Tu me fais vraiment penser à Sand.

J'ai lâché ça, sans réfléchir, aujourd'hui, je n'arrive plus à les dissocier, ce que j'ai toujours réussi à faire avant.
Une seule chose, j'espère que Nathan ne m'en voudra pas de cette remarque, il n'est peut-être pas remis du deuil de son frère... Oh puis merde, ils ne se connaissaient pas, Nathan n'a pas à m'en vouloir, ils étaient du même sang mais moi j'appréciai réellement Sand, quelle bande de tarés nous formions, nous, amis de Sand.

- Je pourrais te retourner la question mais comme je suis une fille discrète, je me contenterai de te faire cet Irish Coffee.

- Je dépanne pour la soirée.

- Mon tout premier !

- Tu me fais vraiment penser à Sand.

« Y'a peut être une raison au faite que j'te fasse penser à lui. »

Je regarde Nathan, son sourire s'est effacé et je crains le pire, que va-t-il faire ? Est-il si traumatisé que ça par la mort de son frère... Ce son des jumeaux et il y a plein d'enquêtes sur le lien s qu'ils ont mais c'est bon, ce n'était qu'une boutade, bien sérieuse mais elle était mlà, j'ai dit ça avec de bonnes intentions. Ca n'avait rien de personnel. Il boit son irish coffee, au moins, il a pas l'air trop mauvais, je le fixe, la bras agité d'uyn client ne me fait pas tiquer, ce vieil alcoolique attendra, je suis fasse à la plus importante des personnes de la grande bretagne magique et ici, cette bande moldue ne sait pas, ils ne savent rien.
Nathan réagit tout de même de façon bien étrange et je ne comprend pas pourquoi, c'est bien frustrant, je vous le dis moi, il me jette de rare coup d'oeil sans daigner me répondre puis finit par liquider son verre, okay, okay... pourquoi pas, enfin, y a quand même une bonne dose de whisky là-dedans, c'est pas censé être du petit lait, hein !
Je n'ai rien dis de mal, merde ! James me lance un regard sombre, et bien écoute si il voulait quelqu'un de compétent, fallait qu'il me le dise clairement et quoi encore ? Il me l'a dit qu'il voulait quelqu'un d'efficace ? Oui, peut-être mais ce n'est pas une menace de renvoi qui va me faire peur.
Je reste, bras croisé face à Nathan. Celui-ci relève rapidement le visage avant de regarder à nouveau le sol, je ne le savais pas si timide, si embarrassé pour une phrase pas forcément très délicate... N'a-t-on plus le droit de dire ce que l'on pense ?

Nathan fouille dans sa poche, toujours sans me décocher un regard, il coince un billet de 20 £ sous le verre vidé d'une traite, je le regarde bouche bée sans réellement savoir quoi dure... 17£ de pour-boire, je dois avouer que sur le coup, c'est généreux mais c'est qu'il se barre ce con en plus !
Je le vois se lever et je me rapproche du comptoir, tout m'apparait brouillé, meeeerde qu'est-ce que j'ai fait de mal ? C'est si mal que ça de dire qu'il ressemble à son frère jumeaux, Sand était soit une ordure finie pour une grosse partie du monde mais c'était aussi une figure charismatique et emblématique, et venant de moi, Nathan sait très bien que cette remarque, aussi absurde fut-elle, n'avait absolument rien d'une insulte.

Je le vois pivoter, me regarder furtivement et me lâcher finalement : Y'a peut être une raison au faite que j'te fasse penser à lui.

Je fronce les sourcils mais il ne me laisse pas le temps d'encaisser la nouvelle et de répliquer qu'il est déjà à la porte, capuche sur la tête. J'avale ma salive, en temps normale je lui aurait balancer un "Oui, vous êtes jumeaux je sais" en laissant échapper un petit rire sauf que là, rien n'était normale.

- James je prend une pause.
- Tu choisis mal ton moment la chtite.
- James, premièrement, tu ne m'appelles pas comme ça, deuxièmement, je n'ai rien signé et je fais ce que je veux.

J'attrape le billet que m'a laissé Nathan ou Sand et me casse sans même chercher à prendre une veste. Je regarde autour de moi, il pleut toujours mais moins, une silhouette à cinquante mètre, je me met en sprint pour essayer de la rattraper, il ne m'aura pas... à moins qu'il n'est transplané, dans ce cas... la prochaine fois que je vois quelque chose ressemblant à un Unless, je n'hésiterai pas à le tuer ou le faire souffrir ou les deux. Fichu doute, on ne peut me laisser ainsi.
Non, il n'y a pas de doute, il n'y en a jamais eu, c'était bien Sand qui était en face de moi, et il est parti trop tôt, trop tôt ou trop tard, il s'est cassé au mauvais moment, il ne m'aura pas ainsi, je peux vous l'assurer !
J'attrape l'épaule de l'homme qui se retourne pour me regarder de haut en bas, c'est tout sauf Sand, je me casse en courant évitant ainsi d'entendre une remarque salace et cherche quelqu'un d'autre.
Une autre silhouette qui clope, je cours dans cette direction.
Je le reconnait et attrape sa capuche, il ne pourra pas transplané sans que je ne le suive.

Je jette un regard dur à Sand et ferme les yeux un bref instant, il m'a fait la même chose que Jag, putain mais pourquoi tout le monde dans ma vie meurt pour réapparaitre, Percy, Jagged, Alexey qui avait disparu pour revenir et ces trois là sont reparti ensuite dans une autre monde ou seulement sur un autre continent. Est-ce ce qui va arriver à Sand aussi.
Je les hais tous autant qu'ils sont, et ce n'est pas comme si ça ne faisait souffrir que moi, oh non, ça n'aurait rien de drôle. Je le regarde durement sans réellement savoir quoi dire, je savais que les larmes, les étreintes, les engueulades, tous ça ne marchait pas, ils se rebarrent tous un jour ou l'autre et nous, bien qu'on a l'air libre, on ne fait rien que les regarder aller et venir, nous faisant croire qu'ils crèvent.

- Merci pour la cave en France !

J'esquisse un sourire puis un rire mais j'ai plus envie de le frapper, de l'éventrer qu'autre chose. Je lui prend sa cigarette des doigts pour tirer violemment dessus.

- J'en ai marre... Comment t'es revenu, toi ?

Je laissai sous-entendre que j'étais habituée, c'est top... mais non, je ne suis pas habituée, il n'y a pas écris "résiste à tous les délires de ses proches" sur mon front bien que j'essaye d'avoir l'air d'une femme plus forte que la moyenne des adolescente geignarde de dix-sept ans.
Mon ton était néanmoins sans appel, Sand devrait m'expliquer même si pour ça il doit prendre toute la nuit, même si pour ça nous devront rester dehors comme deux êtres stupides sous une pluie vivaces, même si James me hais après.