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destin entrecroisé (William) |
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
Nombre de messages : 1955
Age : 43
Maison : Serpy un jour serpy toujours
Emploi : Elisa de jour...Bella de nuit
Humeur : En manque...='(
Feuille de personnage Côté coeur: Il est mon âme, ma vie, mon tout...Scorp' Camp: Les deux Niveau magique: (73/100)
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Sujet: destin entrecroisé (William) Sam 22 Nov - 17:55 |
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Nul ne croisa pour son bonheur le chemin de la verte et argent. Elle était énervé, et si la moindre âme qui vive avait eut l’audace de venir se présenté devant elle, Elisa n’aurait certainement pas été maitresse de ses actes.
La verte marchait d’un pas dessiner vers une direction fort incongru pour une préfète : la salle de retenue. A cause de la bêtise de ce William, elle était condamnée à passer la journée avec lui et à devoir disserter sur un sujet des plus tordu. Ceci étant la bêtise de William n’était rien a coté de la fourberie de Miss Miller qui leur avait donné cette punition. Et, bien entendu, hors de question de s’y soustraire. Posant la main sur la poignée de la porte, elle inspira un grand cou faisant les vœux silencieux que nombreux élève soient en retenu ce jour là. La porte s’ouvrie en grand et….Personne.
Elisa soupira, les fondateurs devaient tous être contre elle en ce moment. Elle entra dans la pièce, constata que William n’était pas encore arrivé et soupira encore mais cette fois d’énervement.
Ha, il pouvait bien lui faire le moral quelques minutes plus tôt pour qu’elle arrive à l’heure ! Qui était en retard maintenant hein ? Lui bien sur ! Que n’aurait il pas fait pour l’ennuyer encore plus. Un fantôme passa passivement dans la salle tandis qu’elle envoyait son sac sur une table. Sur le bureau un parchemin. Elisa s’en, approcha et lut
Mademoiselle Winster, Monsieur Allen
Suite a votre punition, je vous rappel que vous devez faire une dissertation sur l’importance du rapprochement des maisons ENSEMBLE. Je vous rappel également que vous devrez passer 24 heures réunis dans cette pièce. Pour les besoin je vous informe que des mesures ont été prise, au moment même de votre entrée dans la pièce, et une fois que vous y serez les deux un enchantement verrouillera la pièce et ce durant toute la durée de la punition. Vous recevrez nourriture, boisson ou tout ce qui pourrait vous être utile (livres, plumes, parchemins…) grâce a un sortilège, il vous suffira d’évoquer a voix haute votre besoin.
Bien entendu, toute les mesures ont été prise pour éviter tout incident, sachez donc que malgré mon absence physique je vous observe et n’hésiterai pas à intervenir en cas de besoin (et il vaudrait mieux pour vous que cela n’arrive pas).
N’oubliez pas que vous êtes ici pour vous réconcilier et que j’attends de chacun de vous deux des excuses en bonne edu forme.
Cordialement, votre professeur Miss Miller
Elisa relu le mot deux fois. De la catastrophe sa virait au cauchemar ! Ainsi, elle allait se retrouver seul avec le griffy et elle ne pourrait sortir de là qu’en menant a bien sa punition…En bonne serpy, la jeune fille jura et laissa passer dans sa tête des réflexions fort peu flatteuse a l’égard de son professeur.
Elle se laissa tomber sur une chaise, la lettre dans les mains. Que pouvait-elle faire ? Fuir…oui, fuir et aller trouver le directeur. Sand était le directeur de sa maison, il ne laisserait surement pas cette histoire prendre cette tournure là. Lui comprendrait, il saurait intervenir.
Sa décision était prise, elle allait en discuter avec Sand. La verte ramassa son sac et se dirigea vers la porte. Au même moment ou elle allait l’ouvrir celle-ci se verrouilla et une voix se fit entendre
-Non non, on ne passe pas ! Qui entre ici doit demeurer jusqu'à ce que sa peine soit achevée.
Alors là cette fois sa tournait au film d’horreur. Elle s’acharna sur la porte mais rien n’y fit. Décourager, il ne lui restait plus qu’a attendre. Elisa se dirigea vers la fenêtre, et tournant le dos a la porte observa le paysage. Sa fureur était toujours aussi grande. Elle donna un cou de point dans la fenêtre. Rien ne bougea. Une douleur fulgurante traversa sa main. Décidément rien n’allait comme elle voulait. Des larmes de rage coulèrent sur ses joues, elle les essuya avec fureur. Parlant toute seule, elle s’écria
-Et évidement je me retrouve seule ! Willian Allen je te hais !
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 22 Nov - 23:24 |
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La salle de retenue avait été un des lieu ou William avait dû passer le plus de temps lors de sa scolarité. Il avait fait l'effort de se calmer quelques jours avant le weekend, mais il avait fallait qu'Élisabeth gâche tout. Cette mégère vert et argent avait du revenir lui empoisonner l'existence.
Il avait foulé avec rage les couloirs menant à la salle, se faisant tout un film sur la façon de répondre à la demoiselle si elle arrivait en retard, ou même après lui. Au sourire mauvais, les yeux rivés sur ses pieds, avançant avec une démarche des plus arrogante. Il doutait bien que les gens qui le regardait passer savait déjà où il allait... et avec qui.
Il arriva enfin à la l'étage. Il s'arrêta. William se surprit à se dire, qu'il allait passer 24h derrière cette porte.
Waw... la salle de retenue Bill, ça fait longtemps ! Plaisanta sa conscience
Il prit un souffle, posa la main sur la poignée et lorsqu'il voulu l'ouvrir il entendit alors un cri sortir du désespoir, qui semblait-il, devait s'adresser à lui, et devait provenir d'Élisabeth.
"William Allen je te hais !"
Il fit demi tour, chamboulé. Comment avait-elle pu venir avant lui ? Il avait prit l'un de ses meilleures raccourcis ! Il le savait pourtant bien le chemin pour la salle de retenue et... il avait fallut que se soit elle qui arrive la première ? Tout son film et ses répliques tombèrent à l'eau.
Des élèves s'étaient déjà regroupés pour écouter se qui se passeraient. William leur lança un regard noir qui ne les dissuada pas. Ils avaient déjà entendu Elisabeth, William se promis de ne pas crier aussi fort, chose qu'il savait parfaite qu'il ne réussirait pas à tenir. Et se sentant trop observé, il entra aussitôt dans la pièce, claquant la porte derrière lui pour manifester sa présence à la Serpentard.
- Je t'ai entendu, marmonna-t-il sans être méchant mais plutôt morne, et tous les autres crétins derrière aussi, alors évite de me faire crier ou tout le château sera encore au courant de nos affaires...
Il observa la jeune fille avec étonnement. Elle avait jeté son sac dans un coin de la pièce, un papier était posé sur une autre table et elle s'était accroupie à l'autre bout, les yeux plus humides qu'elle ne le laissait voir. William essaya de se maîtriser et posa ses affaires sur un autre pupitre. Il aurait voulut lui demander ce qui lui prenais, mais ce rappelant qu'elle était censée être détestable à ses yeux, il ne dit rien, il se contenta de lui le papier avec angoisse. Ça ne marcherais jamais. Il s'assit, laissant la verte et argent se reprendre. Il n'osa pas se retourner.
Pardon
Il sursauta, ayant oublier la voix de sa conscience. Il reposa le papier, se contrôlant pour ne pas le mettre en pièce.
*Quoi "pardon" ? Demanda-t-il en silence*
Excuse-toi...
*QUOI ? Alors t'es de son côté c'est ça hein ?*
C'est pas une question de côté, Fiston, excuse-toi
*Mais t'es malade ou quoi ? Jamais !*
Fait pas le gamin, tu veux la finir oui ou non ta dissert' ?
Elle n'avait pas tord. Autant mettre les choses au clair. Et William qui était bien plus sensible qu'il ne pouvait le montrer, se retourna vers la Serpentard, sans sarcasmes. Il craignait de s'en prendre plein la tête, parce qu'elle, ne se monterait sans doute pas aussi gentille.
- Excuse-moi, avoua-t-il tout aussi morne, je suis désolée de ce qui t'arrives, mais avoues quand même que...
Que rien du tout ! Ferme là ! Tout de suite !
William grimaça légèrement, mais se reprit :
- ...que rien du tout... j'ai aucunes autres excuses...
Dernière édition par William Allen le Dim 23 Nov - 17:06, édité 1 fois (Raison : Orthographe x))
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 23 Nov - 3:26 |
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La porte claqua et une voix bien connue de la jeune fille se fit entendre. Ainsi, il avait fini par arriver. Alors que quelques instant plus tôt elle était prête à le maudire pour son retard, elle faillit lui demander pourquoi il avait fallu qu’il arrive aussi tôt. Elle n’aimait pas l’idée qu’il puisse la surprendre dans ce qu’elle considérait comme un moment de faiblesse. Ses yeux devaient encore être rougis des larmes de rage et elle n’était pas convaincue que sa voix soit aussi ferme qu’elle se devrait d’être.
Tout juste arrivé, déjà il lui reprochait les mots qu’elle avait dits sans savoir qu’il allait les entendre. Elle haussa les épaules. N’A quoi bon être à Gryffondor si c’était pour ne penser a rien.
Tandis qu’il lisait le mot a son tour elle sortie sa baguette et jeta a la pièce un insonorus. Avec sarcasme et sans le regarder elle fit le constat
-Voila, comme ça on pourra hurler a en perdre la voix personne n’en saura rien ! Sauf évidement cette chère madame Miller qui doit utiliser des moyens détourner pour savoir se qui se passe en ce lieu. Tu voies Will, si au lieu de passer ton temps à dire des bêtises tu réfléchissais tu y aurais pensé tout seul à ce sort. ET au passage, si tu n’avais pas claqué la porte derrière toi, peut être qu’on aurait put éviter ce pénible moment, mais maintenant nous sommes coincer. Je n’ai qu’un mot à te dire bravo.
Là, elle était très injuste car il ne pouvait aucunement deviner le sort existant sur la porte. Elle savait parfaitement qu’elle faisait preuve de mauvaise fois mais tant pis, elle avait grand besoin d’extériorisé. Tachant de se reprendre, elle inspira profondément et se remit sur ses pieds. Au même moment William lui présenta ses excuses. Elle en resta bouche bée. Celle là elle ne s’y attendait pas du tout. Bon, c’est vrai il fallait prendre en considération que c’était pour eux le seul moyen de sortir de là mais des excuses, aussi vite ? Vraiment, elle en était plus que surprise. Pas le genre du rouge d’admettre aussi facilement ses tords, sa sentait l’arnaque a plein nez.
Elle le fixa, et lorsqu’il ajouta « mais avoue quant même » elle se préparait à rétorquer lorsqu’il lui coupa l’herbe sous le pied. Les vert étant, c’est bien connu, dépourvue de toute conscience elle hésita beaucoup. Puis, une lueur d’espoir anima son esprit
-Excuse accepté, tu as entièrement raison, tout est de ta faute tu es un vil cretin et un sombre imbécile mais c’est pas ta faute : tu es né comme ça. Considérant ça je ne peux t’en tenir rigueur donc j’accepte tes excuses.
Voila c’était bâclée un peu ironique il fallait l’avouer. Sans plus faire attention à Will Elisa se tourna vers la porte et se mit à lui parler
-Voilà on c’est excusé, on a comprit la leçon je vous assure. Pouvons-nous sortir à présent Miss Miller ?
C’était à croire qu’Elisa croyait encore à la fée clochette, avec espoir elle attendit le déclic de la porte mais rien ne se passa. Soudain une inscription apparu sur le tableau
-Je suis navrée mais je n’ai pas entendu VOS excuses Miss Winster, et quand bien même je ne suis guère convaincu que vous ayez réellement compris. Médite encore je vous pris, après tout il vous reste encore 23H5O …Oh et…Si jamais ce n’était pas suffisant il reste encore bien des samedis avant la fin de l’année.
Gloups…se fut le bruit que fit Elisa en avalant sa salive de travers. Le piège se refermait, il allait falloir y passer. Se retournant, elle fit un pas en direction de William.
-J’en ai assez ! Quant c’est pas les Salazard qui me persécute c’est toi qui m’empoisonnes la vie ! Je passe mon temps entre l’infirmerie et la salle de retenue ! C’est une véritable conspiration contre moi !
Les derniers mois avaient en effet été éprouvant pour la verte, mais c’était un peu injuste d’en faire payer l’addition a William. Donnant un cou de pied dans une chaise elle s’écria
-Je suis désolée ! Voila sa te va comme ça ? Oui, désolée de t’avoir connu et surtout d’être tomber amoureuse de toi ! Et je…
Dans son élan la verte venait de dire une chose qu’elle n’avait sans doute pas prévu de dire a voix haute. Aussitôt elle essaya de se rattraper
-Et je…Et je ne voulais pas dire ça, non pas du tout en faites je voulais dire que j’étais désolée de t’avoir connu et désolée de devoir subir une punition injuste par ta faute. Comme si les serpentard pouvaient aimer, absurde comme idée.
Elle avait pris son ton le plus cassant pour dire ces derniers mots. Une boule lui nouait la gorge. Elle désigna la feuille à Will
-Bon, on la fait cette disserte ? Bon sans j’aimerais bien avoir un retourneur de temps des fois ! Qu’est ce que j’en changerais des choses…Bref, pourquoi c’est important que les maisons se rapprochent ? Ha je sais, pour que les rouges ne meurent pas idiots et puissent apprendre des verts se qu’est la véritable magie, le véritable pouvoir …Oh et peut être aussi pour que les bleus puissent jouer les intellos et que les jaunes puissent avoir le rôle des pauvres petits cannetons tu en penses quoi ?
Ironie et sarcasme quant vous nous tenez…Rien à faire, Elisa restait sur sa position de verte énervée et surtout la proximité de William la déstabilisait beaucoup plus qu’elle ne pouvait et ne voulait le montrer. Elle s’approcha encore de lui et s’assie a ses cotés. Sans osé le regarder, évitant de respirer son odeur elle proposa
-Et si chacun de nous deux rédigeait un paragraphe ? Ensuite on assemble et on bâcle une conclusion. Y’a peu de chance que Miller détecte la supercherie…Et…tu crois que mon insonorus a fonctionné ?
Qu’était ce donc que cette question ? Haha…La verte craignait surtout que quelqu’un est entendu les mots sortient par erreur de sa bouche.
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 23 Nov - 17:05 |
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Elisabeth ne mit pas plus de temps à redevenir celle qui le méprisait en temps qu'idiot. Et bien qu'il la comprenait, en même temps cela la rendant plus méprisable encore, elle qui prétendait être si forte. William mit un peu de temps à régir, ne sachant quoi répondre à ses accusations, parce que c'était vrai, elles étaient injustes, comme si tout était toujours de sa faute. Mais il ne le fit pas remarquer. C'était tellement énorme, que la demoiselle devait forcément s'en rendre compte.
- Écoute bien ce que je vais te dire, lança-t-il, on essaye aujourd'hui et juste aujourd'hui de se... ré-con-ci-lier, mais si cela ne marche pas, rien ne nous empêchera, une fois sortit, de continuer le mauvais chemin ? Hein Elisabeth ? Se moqua-t-il
Il étouffa un ricanement. Mais lorsqu'il eut présenté ses excuses, réelles, Elisabeth, parut surprise, ce qui l'étonna également car il s'attendait plus à des sarcasmes, qui d'ailleurs de tardèrent pas. Faussant ses excuses minables, la Serpentard se rua sur la porte, qui évidement, refusait de s'ouvrir.
- Mais t'as rien compris ou quoi ? S'exclama-t-il, et tu crois qu'elle va te laisser partir ?
William qui connaissait malheureusement trop bien la pièce, savait qu'elle aussi était extrêmement mauvaise. Elle ne tarda pas non plus à le démontrer:
- Je suis navrée mais je n’ai pas entendu VOS excuses Miss Winster, et quand bien même je ne suis guère convaincu que vous ayez réellement compris. Médite encore je vous pris, après tout il vous reste encore 23H5O …Oh et…Si jamais ce n’était pas suffisant il reste encore bien des samedis avant la fin de l’année.
William attendit à sa table qu'Élisabeth réalise enfin la situation. Elle lui hurla alors au nez que tout le monde se retournait conte sa petite personne, et tout ça bien sûr, à cause de lui. Sans lui adresser aucun regard, il lui répliqua :
- Avant d'accuser tout ceux qui gravite autour de toi Elisa... beth, ajouta-t-il, tu devrais te demander ce que tu as fais pour...
Elle donna un violant coup de pied dans une chaise qui tomba à terre. William ne l'avait jamais vu aussi énervée.
- Et après on dit que c'est moi qui est...
Elisabeth le coupa dans ses lamentations pour crier ses excuses. C'était aussi difficile de s'excuser ? Elle était tombé amoureuse ? William ne se sentit pas aux humiliations. Après tout ce qu'elle avait pu bien dire sur lui, c'était devenu lâche de lui avouer. Mais ses mots avaient bien la résonances de vraies, puisqu'elle se reprit aussitôt.
- Pourquoi tu dis ça ? Parions 1 Gallion qu'au moins trois filles de ta classe et de la maison sont amoureuses. C'est lâche ce que tu dis, après m'avoir traité je-ne-sais-combien-de-fois, c'est tout simplement dégelasse...
Elle avoua vouloir un retourneur de temps pour changer les choses. La curiosité de William le poussa à parler sans réfléchir :
- Tu aurais dû me le dire plutôt comme ça j'aurais su quoi t'offrir le Noël que l'on devait passer ensemble mais ou tu t'es défilé, remémora-t-il, pourquoi qu'est-ce que tu veux changer... hum... hum, se reprit-il se rappelant que c'était à Elisabeth qu'il demandait ça, oui... bien sûr, les Gryffondors en auraient aussi des choses à apprendre aux Serpentards !
La verte et argent se décida à s'installer à côté de William. Celui-ci se décala légèrement, lui qui avait prit ses aises. Elle renonça pour la première fois aux railleries et parla sérieusement, inquiétant pour son insonorus, ce qui lui fit sourire.
- Tu as déjà des regrets sur ton discours ? Ha ! Voyez-vous ça... c'est peut-être une chose que les Gryffondors pourrait t'apprendre,exposa-t-il en sortant un parchemin, à assumer...
Dernière édition par William Allen le Dim 23 Nov - 17:05, édité 1 fois (Raison : Orthographe x) BAH QUOI ??? ça arrive à tout le monde !)
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 23 Nov - 18:06 |
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Ha mais quelle bonne idée que voila, se réconcilier le temps d’une journée. Et pourquoi ne pas danser une jigue au milieu de la salle pendant qu’il y était hein ? Il imaginait un peu la taille des efforts qu’il faudrait faire pour arriver à une telle chose ? Enfin, vue le ton qu’il utilisait il devait effectivement le savoir. Ceci étant, il oubliait une chose primordiale, cette punition n’avait surement pas été donné dans le but d’une trêve temporaire mais bien dans le but d’arriver si ce n’est à s’accepter au moins à se supporter.
-Oui, excellente idée, on essaie aujourd’hui de se réconcilier hein ? Non mais je crois pas que c’est se qu’on attend de nous deux …Et de toute façon sa ne peut pas marcher, on est bien trop différent et tu es bien trop têtu.
Non, Elisa ne croyait pas que la porte allait s’ouvrir, elle espérait juste que son professeur réalise que se qu’elle leur demandait était du domaine de l’impossible. Et puis, c’était quoi de cette manie de se mêler des histoires de cœurs de ses élèves ? Elle n’était pas payé pour sa a se qu’il semblait, alors elle ferait mieux de s’occuper de ses propres affaires.
-Bah quoi ? Sa coutait rien d’essayer hein ? Et puis, avoue que c’est une folie cette punition ! Une fois sortie de là je te jure que j’irai en référer a notre directeur…Enfermer des élèves dans une salle, c’est de la séquestration ça ! Sans compté des risques…Imagine je pourrais…je ne sais pas moi te transformer en un joli animal de compagnie, silencieux et qui ne se mettra plus sur mon passage…
Elisa sembla réfléchir à cette éventualité. Evidement tout cela était du pur sarcasme et de la moquerie. Elle savait que si elle faisait une telle chose alors elle en subirait les conséquences.
Sans la regarder, il lui suggéra de se remettre elle-même en question. Comme si elle ne savait pas se qu’elle avait fait..Non mais jouait il au plus bête ou quoi ? Sortir avec un rouge était considéré comme un acte de traitrise aux yeux des serpentard voila se qu’elle avait fait ! Mais évidement lui ne pouvait pas comprendre, il n’avait pas été présent lorsqu’elle avait affronté Jedusor et lorsqu’elle l’avait envoyé au diable en lui lançant au nez son emblème des Serpentard. Il n’avait jamais sut, et ne saurait jamais que sans en avoir l’aire elle avait essayé d’assumé leur relation. Elle lui jeta un regard mauvais et froidement lui lança
-Je doute que tu puisses comprendre William ! Tu ne sais rien, rien de se que j’ai enduré, rien de se que j’ai dut accepter, rien de se qui c’est passé alors épargne moi tes sous entendu selon lesquelles je serais trop nombriliste ! Je sais parfaitement se que j’ai fait POUR en arriver là, mais hélas je me dis que se qui est dommage c’est que sa n’en valait vraiment pas la peine !
Bon, admettons que les serpy soit capable de tomber amoureux, il y avait fort a parier que dans plus de 99% des cas ce n’était pas d’un rouge qu’il s’amourachait. Elle lui avait avoué par accident sa faiblesse et a première vue sa tentative de se rattraper n’était pas a son gout. La verte haussa les épaules
-Peut être, mais en ce cas laisse moi te dire que les verts ont toujours le contrôle de leur sentiments ! Et si je t’ai traité dois je te rappelé que toi-même tu ne t’es pas gêné ? Dois-je te remémorer les nombreuses fois ou tu m’as si gentiment envoyé sur les roses ? Et que dire de se cour de métamorphose ou tu m’as élégamment humilier en prouvant a la prof que j’étais incapable de maitriser correctement un sort de transformation basique ?Alors que c’était faux mais que tu m’avais jeté un sort de confusion en toute impunité…Désolé de te le dire William, mais si tu es a gryffondor tu présente bien des qualités de verts..Et oui..Tu es aussi lâche que moi ! Et tu sais le plus drôle ? C’est que tu dis que c’est dégelasse mais que toi-même tu n’as pas este a faire courir le bruit que tu étais sortie avec moi juste pour remporter un parie…sa c’était dégelasse a coté je suis un ange !
Elle repensa a ce noël, et lui en voulu encore plus. Sa n’avait pas été sa faute si elle n’avait pas put venir..Elle c’était retrouvée cloué au lit avec une grosse fièvre mais lui n’avait jamais voulu y croire.
-Je te rappel que j’étais malade ! Si t’appel ça se défiler c’est comme tu le sents ! Et je m’en suis excusé mille fois seulement tu en as fait qu’à ta tête en refusant de me croire ! Et tout ça parce que la veille j’avais été vue me baladant l’aire en forme…
Tout cela tournait au ridicule, pourquoi revenir sur le passé ? Il n’y avait rien qui puisse être sauvé de tout cela autant se faire une raison. La curiosité de Will sembla piquée au vif, elle le reconnaissait bien là.
-Se que je changerais ? Sa ne te regardes aucunement ! Sans nul doute que pour commencer j’éviterais d’aller dans cette boutique ou je t’ai rencontrai ! Dommage je ne pourrais sans doute pas remonter assez loin pour éviter ta conception.
Et opp attrape sa dans les dents. Bon c’était bien joli tout cela mais ça n’avançait pas leur affaire. Will semblait avoir trouvé le premier point de leur disserte. Grand bien lui fasse, s’il croyait qu’elle était incapable d’assumer. En faite non sa l’agaçait, il se prenait pour qui pour dire une telle chose.
Le grand défaut d’Elisa restant la spontanéité, sans réfléchir elle se tourna vers Will l’attrapa par les épaules et lui plaqua un baiser sur les lèvres. Oh, oh…il ne lui fallut que l’espace de 2 seconde pour réalisé se qu’elle venait de faire. Refusant de perdre la face, elle s’appliqua à faire comme si elle n’avait rien fait et commenta simplement
-Ta théorie est fausse, les serpy savent assumer…Tien par contre les serpy pourraient apprendre aux griffy à être perspicace ?
Elisa sentait bien que là elle venait de perdre pied mais elle comptait sur sa dextérité pour l’aider à gommer l’incident.
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 29 Nov - 17:07 |
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Le fait qu'Élisabeth ne refuse pas ce semblant de réconciliation, ne fit que le rassurer. Quelque part, il avait gagné la bataille. Même s'il savait qu'elle l'acceptait uniquement parce qu'au fond, elle ne s'engageait pas vraiment. Elle lui répliqua tout de même, qu'il était trop têtu pour qu'ils puissent s'entendre. Piqué au vif, il lui répondit à son tour :
- Quoi ? Moi ? Tu veux rire ? Bien sur c'est MA faute si tout ne se passe pas comme tu veux ! Tu peux bien parler ! Tu es aussi rancunière que je suis têtu !
Lorsqu'elle le menaça de le transformer en animal, William ne répondit pas. Non seulement car il n'en n'eut pas le temps, mais aussi parce qu'il ne craignait rien ici. Mme Miller interviendrait surement.
Et quand il lui suggéra sa remise en question, elle lui jeta un regard froid. Il n'en fut pas intimidé, conversant avec sa conscience.
*Je ne sais vraiment pas comment j'ai pu tenir... avec elle...*
Elle te cache quelque chose
*Mais non, elle a toujours été comme ça !*
Puisque je te le dis !
*Et moi je ne tiens pas vraiment à savoir ce qu'elle pense !*
Il s'arracha vite, écouter les propos qu'Élisabeth allaient dire, afin de pourvoir rebondir et en trouver réplique.
- Tout ce que tu as enduré ? Mais tu n'as rien enduré Elisabeth ! Tu as encore tes deux jambes et tes deux bras, ta baguette et tes parents n'ont pas étaient tués ! Comme si, tu avais sauvé le monde des sorciers ! ça n'en valait pas la peine ? Oui je suis d'accord ! S'exclama-t-il en inconnaissance de causes
Ce lançant dans un débat, certes juste, mais pas pour William, elle lui lança ses 4 vérités. Remémorant les aspects les plus mauvais de leur ancienne relation.
- Je ne nie pas ne pas m'être gêner, mais je ne t'ai pas hurlé à la tête que je t'aimais ! Ne dis pas ça ! Je n'ai rien en commun avec les Serpentards ! Le Choixpeau à décidé de m'envoyer à Gryffondor ! Menti-il
C'était peut être l'un de ses plus grands secrets. Il n'avait jamais raconté à personne ce qui c'était passé une fois le Choixpeau posé sur sa tête, lors de sa première année. Il avait toujours été trop fière de faire parti des Gryffondors pour leur raconté. C'était peut être un honte, ou un déshonneur. Tout était-il qu'il n'avait jamais rien dit : le Choixpeau avait d'abord décidé de l'envoyer à Serpentard, mais, voyant que William refusait, il était revenu sur sa décision.
Elisabeth s'enflamma quand elle ressortit la vieille rumeur du pari. Bon, d'accord, c'était à moitié vrai. Mais il y avait eut un coup de foudre. Ce n'était pas uniquement pour de l'argent.
- Ce... ce n'est pas vrai ! Se défendit-il, pas entièrement...
Continuant les remémorations, vint aussi ce jour de Noël.
- C'est bizarre, je ne te crois toujours pas ! Tu n'étais PAS malade ! Avoues-le ! S'en têta-t-il
Elle ne répondit évidement pas à sa question, trop curieuse. Elle lui répondit aussi catégoriquement, qu'il ne trouva à répondre qu'un :
- Très drôle, mais je n'en n'attendais pas moins de toi
William ne vit rien arriver. Elle l'attrapa trop brusquement. Elle relâcha l'étreinte, venant de se rendre compte de se qu'elle venait de faire. Mais qu'est-ce qu'y lui avait prit ? Comment pouvait-elle ? Non, ce n'étais pas... Elisabeth devenait de plus en plus incohérente et William perdait le fil. Comment, après lui avoir lancer les injures les plus horribles, comment pouvait-elle ?
Il détourna la tête, et se décala. Il n'en revenait pas. Les filles avaient parfois de ses moyens pour parvenir à leurs fins. Au moins, elle l'aurait la paix c'était sur.
- Je suis beaucoup plus perspicace que toi, marmonna-t-il en griffonnant sur son parchemin
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 29 Nov - 19:04 |
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Rancunière ? Alors ça c’était la meilleure ! Comment pouvait-il lui reprocher d’être rancunière alors que lui-même n’avait jamais voulu hisser le drapeau blanc. C’est lui qui durant des mois avait cherché mille prétexte pour l’éviter, lui encore qui c’était réfugié derrière sa horde de griffon pour qu’elle ne puisse l’atteindre et maintenant c’était elle que l’on traitait de rancunière ? C’était un peu fort.
- Tu ne manques pas de culot William ! Moi rancunière ? Parce que toi tu étais prêt a pardonner peut être ? Tu espérais quoi après se qui c’était passé ? Que je vienne te voir en te disant « mais c’est rien, on oublie tout » tu voulais que je te tende la joue droite âpres que t’es gentiment baffé celle de gauche ? Désolé, c n’est peut être pas TA faute si tout va de travers mais tu y as contribué plus que de mesure il me semble !
Le temps de quelque minutes William sembla comme absent se qui n’empêcha pas Elisa de continuer ses remarques. Alors comme sa selon lui elle n’avait rien enduré…A l’entendre la vie se résumait a être entier choyé par des parents et a toujours faire usage de la magie…Et bien, un tel discoure aurait surement beaucoup plus au serpentard tien. Plus leur discutions avançait et plus un certain caractère vert ressortait chez Will. Si elle ne l’avait pas connu en d’autre circonstance elle aurait juré que le choixpeau avait été influencé.
-Et c’est tout ? C’est tout se a quoi la vie se résume pour toi ? Alors tu es encore plus médiocre que se que je ne pensais ! Mes parents son peut être encore en vie, mais que sais tu de la vie que dois mener une serpy lorsque son cœur la dirige vers un griffy ? Sache que je suis désolée que tes parents ait eut à compatir de leur statue de Moldu et y ait laissé la vie mais ce n’est pas moi qui les ai tué ! Selon toi je n’ai rien enduré hein ? Alors toi non plus…Tu es toujours en vie, tu es toujours entier, ta baguette est toujours là…Alors tout va bien non ? Et puisque tu parles de sauver le monde des sorciers….Non en effet je ne l’ai pas sauvé, je m’appel pas St Potter moi ! Mais peut être bien que j’ai fait d’autre chose que tu ignores ! Garde donc ta morale pour qui en a besoin personnellement je m’en passerai !
Pour la première fois, ils étaient tout deux d’accord sur une chose, dommage que se soit justement sur celle-ci. Si tout se qu’ils avaient tenté de faire n’en valait pas la peine alors ils avaient tout deux perdu un temps précieux qui jamais ne se rattraperait. Lorsqu’il lança son « je suis d’accord » elle le fixa longuement, vague de regret sans doute. Si les choses avaient put se passer autrement tout aurait été tellement différent. Mais, pas le temps de lui exposer cela, il y verrait une faiblesse de sa part.
Lorsqu’il trouva comme argument que lui ne lui avait pas jeté à la tête qu’il l’aimait elle faillit bien lui dire que justement, là était le problème. Mais, toujours acide elle se contenta de rétorquer
-En effet tu ne m’as jamais dit que tu m’aimais…Alors pourquoi diantre aurais je dus faire un effort lorsqu’on était ensemble ? Pour quelqu’un qui se fichait royalement de moi et qui jamais n’aurais sut me rendre heureuse ? Excellent Will, tu reconnais que tu ne m’as jamais avoué que tu m’aimais, preuve que tu ne ressentais rien a mon égard ! Tu vois, tout griffon que tu es tu n’en aies pas moins sans cœur. Quant au choixpeau, laisse-moi rire ! Tu crois qu’il n’est pas influençable ? Tu crois qu’il ne se trompe jamais ? Tu crois qu’il n’a jamais fais ses choix pour protéger la personne ? Repenche-toi sur l’histoire Monsieur Parfait ! Si le choixpeau t’as mit chez les griffons alors que tu as tant de points commun avec les verts ce n’est que pour une seule chose…Pour te sauver parce qu’ils savaient qu’un né de parents moldus ne pourrait pas survivre dans cette maison !
Toucher coulé, inutile d’aller lui chanter que le choixpeau avait longuement hésité a son sujet a elle. Il voulait la mettre à gryffondor, mais elle l’avait supplié au nom de sa famille qui la renierait si jamais il l’envoyait là bas. Au final, il avait décrété que sa place était parmi ses paires et l’avait envoyé dans la plus noble des maisons. Pourtant, au fil du temps elle avait compris pourquoi elle aurait fait une bonne lionne…Dommage, Will ne lui avait jamais remarqué ces qualités.
Arg., il aurait mieux fait d’éviter d’ajouter le « pas entièrement ». Dire que pendant quelques temps elle c’était refuser à croire a cette rumeur de parie…Visiblement elle avait eut tord. Sa haine pour lui se réveilla, l’envie de lui faire mal lui mordit les entrailles si fortes qu’elle se demanda si elle n’allait pas finir à genoux. Son regard se fit noir comme la nuit.
-Ignoble créature abjecte ! Comment as-tu osé me faire porter le chapeau face à notre rupture alors qu’à la base ce n’était pour toi qu’un jeu ? Dommage que le jour ou les mangemorts ont tués tes parents il ne t’est pas tué avec ! Oh…Au faite dis moi…Te souviens tu de la souffrance que tes parents ont enduré avant de mourir ? Il se murmure que ta mère a été si cruellement torturé qu’elle en a perdu la raison et se serait elle-même défenestré…Comme c’est triste.
Une serpentard sait toujours appuyer là ou sa fait mal. Elle sait retourner le moindre petit détail à son avantage. En cet instant elle voulait mener sa victime au bord des larmes, avant de l’achever dignement.
Lui qui quelques minutes plus tard se défendait de ne pas être têtu le prouvait pourtant en refusant toujours de la croire pour Noël. Il ne servait a rien de polémiquer là-dessus, après tout il était libre de croire se que bon lui plaisait. Elle se contenta d’hausser les épaules.
-Je n’avouerai rien du tout ! Si tu préfères croire que j’étais ailleurs c’est toi que sa regarde ! Mais dans ce cas tu peux me dire pourquoi j’aurais pris la peine de t’acheter un cadeau de Noel si j’avais sut que je ne viendrais pas ? Oh et puis zut, de toute façon ne me fait pas croire que je t’ai manqué le jour là hein, au final tu as dut être bien heureux que je n’y sois pas !
En effet, elle lui avait acheté pour ce jour une très jolie gourmette qui, au dernière nouvelle dormait toujours dans sa malle a elle puisque jamais elle n’avait eut l’occasion de la lui donné. Ils c’était séparé dés la fin des vacances en des circonstances qu’elle ne voulait plus se remémorer.
Le furtif baiser qu’elle lui donna eut pour conséquence de le voir abandonner la partie ; du moins en apparence. Il ne trouva rien à dire et préféra se réfugier dans la dissertation qu’ils devaient rédiger. Un moment, elle resta là à le regarder préparer le parchemin. Elle ne savait pas encore se qui lui avait pris de faire cela. Elynn son amie d’enfance aurait parié sur les hormones, Lin sa tendre complice elle l’aurait amené à se poser des questions que justement elle préférait éviter. Au bout de plusieurs minutes elle lui demanda enfin
-Et en quoi donc es tu perspicace ? Là je me pose la question parce que plus le temps avance et plus je constate que tu ne comprends rien a rien. La vérité William, c’est que tu as voulu jouer à un jeu sans en connaitre les règles et que tu t’es brulé.
Elle lui tendit une plume a papote pour pouvoir écrire en même temps que lui.
-Bon, et bien…Si on se concentrait plutôt sur les bleus et les jaunes ? Peut être que sa nous permettrait de trouver un terrain d’entente temporaire au moins. Je suggère d’apprendre au Serdy à se détendre et au pouffy à vivre d’avantage dans l’instant présent.
De la dissertation, elle n’en avait pas grand-chose à faire en vérité. Tout se qu’elle savait c’est qu’il fallait qu’elle s’éloigne de lui et vite…Très vite même…
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 29 Nov - 22:52 |
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 30 Nov - 3:00 |
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Qu’elle lui fiche la paix ? Mais elle ne demandait que ça elle d’avoir la paix. Elle voulait que cette punition en finisse et qu’il se sépare une bonne fois pour toute. Elle mourait d’envie de l’envoyer se faire voir en enfer, lui ses blagues, son mauvais gout sa lâcheté et tout se qui était LUI !
Puisqu’il voulait ne plus rien dire sur la question de qui était fautif, et bien elle n’ajouterait rien. De toutes les façons cette discutions ne menait a rien. Tout les deux avaient de tords et tout se qu’ils savaient faire c’était s’insulter, se battre et se rabaisser mutuellement. Aucun des deux n’avaient la jugeote de dire a l’autre STOP…De toute façon quant bien même l’un l’aurait dit l’autre n’en aurait pas tenue compte…
Elle resta donc muette, regardant sa plume tracer des dessins sur ses feuilles. Des regrets ? Des remords…Il y en avait tant mais a quoi bon ? Elle sentie soudain comme une présence dans son esprits. Pas quelque chose de menaçant, mais de dérangeant. Aussitôt, elle comprit. C’était lui, lui qui venait de s’installer dans sa tête et elle n’avait pas eut le temps de se protéger. Des bribes de souvenirs quant a ses disputes avec les serpy remontèrent a la surface, elle se sentie mal d’un seul coup. La présence s’estompa et Elisa fixa William avec surprise.
-Légilimence…tu es légilimence c’est ça ?
Sa voix était comme un murmure. Elle ignorait qu’il avait se pouvoir. C’était si rare et tellement…Tellement serpentard en faite…Bon, d’accord il existait nombre de sorciers non serpy possédant ce pouvoir, cependant il avait été reconnu que la Legilimencie était l’une des branches de la magie noire même si s’en était une toute petite.
-C’est pas vrai…Je…je t’interdis de fouiller dans ma tête ! Mes souvenirs ne regardent que moi tu m’entends !
Son ton était dur bien que quelque peu ébranlé. Il y avait nombre chose dans sa tête qu’elle voulait garder pour elle. Des secrets de famille lourd à porter, le souvenir de son arrivée a Poudlard, sa révolte contre les Salazards, sa bataille pour être avec lui…
Comment sa il n’avait pas été indifférent ? Première nouvelle. Tout était venu d’un parie idiot et stupide mais malgré tout il affirmait qu’il n’avait pas été indiferent.Là sa la dépassait, son cerveau surchauffait.
-Mais bien sur que si tu l’étais ! Tu m’agaces là a vouloir faire croire des choses qui n’ont jamais été ! Je veux plus entendre un mot là-dessus !
Non mais c’est vrai quoi, le mensonge a peut être ses charmes mais il y avait un moment ou il fallait arrêter !
Oula…Il s’énerva plus que de mesure devant ses similitudes avec les verts et argents. Trop d’emportement en dit souvent très long. Plus on s’énerve face a une chose et plus on apporte la preuve qu’on cherche à se protéger de quelque chose. William aurait il des petits secrets ?
-Oui, j’entends bien se que tu me dis ! Pas la peine de crier comme un blaireau…oups..Désolé les pouffy…Mais dis moi Will qui cherche tu as convaincre que tu n’as rien de Salazarien toi ou moi ? Te mentir à toi-même ne sert qu’à te prendre pour un idiot ! Si le choixpeau n’avait pas hésité pourquoi serais tu aussi énervé ?
CQFD comme disait les moldus.
Et là se fut le drame. Bien que prévisible il fallait le reconnaitre, a pousser trop loin le bouchon il fallait bien s’attendre a se que la bouteille n’explose. Au lieu de larme, Elisa obtint une colère noire comme jamais elle n’avait affronté alors. Impossible de lui révéler ses sources, du moins en entier. Elle avait des parents qui n’étaient pas tout blanc mais qui fort heureusement n’avaient pas trempé dans ce meurtre, merci Voldy.
-Jedusor…Il..Oui enfin sa n’a pas d’importance comment j’ai sue sa en faite…
Là, Will lui faisait vraiment peur et elle mit une certaine distance entre eux deux juste au cas où.
-Tous les mangemorts n’avaient pas le choix…Je ne dis pas que c’est juste se qu’ils ont fait mais certain mangemorts n’avaient pour choix que d’obéir ou mourir. Personnellement j’aurais mieux aimé mourir que d’être réduite en esclavage alors je pense pas que j’aurais put être cette mangemorte qui a pris tes parents. Une vie pour une autre qu’ils disaient…
Elisa dans sa tête se repassa des bribes de discutions entendu au azard chez ses parents. Elle secoua la tête
-Je n’ai rien contre les moldus…Ils sont moins ingénieux que nous et plus faibles mais malgré tout ils se débrouillent pas si mal. Et, tout les serpentard ne sont pas mauvais comme tu sembles le croire, les meurtriers de tes parents étaient l’un de Durmstrang l’autre avait fait ses études ici a Serdaigle..Alors tu vois…
Ne plus lui adresser la parole était une idée judicieuse. Pour une fois le silence serait d’or, le terrain était miner et tant qu’il serait en cette état il n’y aurait rien à en tirer. Il s’énerva contre la prof qui, on s’en serait douer campa sur ses positions.
-Parfais, parfait…non pas parfait, je refuse de devoir passer tout mes week end avec lui ici moi murmura t’elle.
A son tour elle essaya de persuader Miss Miller
-Ecouter, vous voyez que sa ne mène a rien. Il est téu, je suis borné et tout se que sa va faire c’est enfoncer le clou encore plus loin ! -Peut être Miss Winster..ou peut être pas..Moi j’ai tout mon temps et vous ? Oubliez la dissertation une minute et pencher vous sur se que vous avez vue depuis le début…
Se qu’elle avait vue ? Mais rien justement, rien que William fidele a lui-même. Elle jeta un regard en sa direction.
-pardon…je n’aurais pas dut parler de tes parents c’est toute cette histoire qui me met sur les nerfs…
Au final, ils étaient tout les deux blessés. Elisa s’appuya le dos contre le mur toujours loin de Will.
-Comme cauchemar tu n’es pas mal non plus tu sais. William cette dissertation je suis d’accord avec toi ne nous apportera rien du tout mais si on ne la fait pas on va être obligé de revenir ici tous les Week end c’est se que tu veux ? Passer ton temps libre avec le cauchemar que je suis ? Réfléchies bien …
User de la corde sensible, pas mal comme méthode.
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 30 Nov - 16:45 |
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Que devait-il répondre ? Est-ce que dire la vérité lui apporterais quelque chose ? L'aiderais à finir cette dispute ? Mais quand y arriverons-t-ils ? Jamais. Parce qu'ils n'étaient pas sur les mêmes longueurs d'ondes. Quand l'un étaient parfaitement calme, l'autre s'emportait, quand le premier était sincère, le second était moqueur. Il avait été patient, pendant les 10 premières minutes, mais il ne pouvait pas l'être autant désormais. Surement pas après les propos de plus en plus infectes qu'ils se tenaient.
Mais, il y avait une autre façon de voir les choses. Il y avait peut être moyen de faire une trêve un instant. Un trêve aussi longtemps qu'ils se diraient la vérité, toute la vérité. Mais ce cas de figure était plus difficile que le premier, alors nos deux ennemis choisiraient sans hésiter la plus simple.
Élisabeth fut surprise quand il s'introduisit dans son esprit. A vrai dire, et il n'y avait jamais vraiment pensé, mais... il ne lui avait jamais prit d'entrer avant. Il fallait dire que c'était plus difficile lorsque que vous aimiez cette personne.
- Désolé, fit-il pour toute réponse à sa question
Elle se reprit alors, s'offusquant à l'idée qu'il puisse y voir ses pensées comme ses souvenirs. William ne répliqua. Il pensait s'être assez excusé. Puis ils revinrent à cette question existentielle, que William voulait à tout prix éviter : avait-il été indifférent ? Non. Et très sincèrement.
- Tu ne me crois pas ? Et bien ce n'est pas mon problème. Mais ne dis pas non plus que moi je n'avais aucun problème avec notre... hem... liaison parce que peut être que les gens ne ricanaient pas devant moi, mais je sais qu'ils en colportaient pas mal derrière mon dos !
Fallait-il vraiment qu'elle insiste là dessus ? Non, il ne voulait rien dire sur ses qualités ou non de verts. Mais le jeune fille voulait à tout prix tirer le mystère au grand jour, ce que William ne pouvait, absolument pas laisser faire.
*Change, de sujet, change de sujet, pensait-il très fort, Oh non, c'est pas vrai...*
- Je..., hésita-t-il un long moment, je t'ai demandé de ne plus faire d'insinuations la dessus ! Alors non tu ne m'as pas entendu !
Elle se recula pendant qu'il faisait sa crise de nerfs. C'était vrai, il avait toutes les raisons de s'emporter. Elisabeth lui présenta son point de vu en s'innocentant. William ne répondait pas. Écoutait simplement, avec un maigre respect, ce qu'elle avait à dire.
- Ne me dis pas ça ! Qui essayes-tu de défendre ? S'enrôler dans les mangemorts c'est tout simplement être dans... SON camps ! Il n'y a pas de gentils mangemorts Elisa ! Leur simple adhésion ne révèle que leur mauvais côté ! Alors non, non, ce n'est pas vrai !
Elle n'était pas d'accord avec lui sur le fait de passer ses weekends ici. D'accord, mais elle essaya de persuader Mme Miller ce qui... échoua évidemment. Elle s'excusa tout de même. Lui jetant un faible regard. Il ne lui prêta pas attention et fit comme s'il n'avait rien entendu.
Elle s'appuya contre le mur, encore bien loin de lui. Elle lui dit alors, en toute sincérité, qu'il fallait mieux finir maintenant qu'étaler la punition sur des semaines.
- Alors écoute-moi parce que je le répèterais pas deux fois ! Ne me parle plus de mes soit-disant point commun avec les verts, ni de mes parents ! Prévint-il
Il se releva, rassembla ses affaires tombées à terre puis en fit un tas sur sa table qu'il eut redressé. Il s'assit enfin.
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 30 Nov - 18:20 |
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Des « désolés » fusaient des deux cotés, on pouvait considérer que c’était là un certain progrès aussi mince soit il. Tant que les deux arrivaient encore à se porter un quelconque respect on pouvait espérer une fin concluante a cette retenue.
Elle se satisfit de son « désolé » et considéra par la même qu’il ne tenterait plus d’entrée dans sa tête a son insu. Pourquoi diantre lui faisait-elle confiance ? Elle l’ignorait, peut être parce que c’était un griffy et que ceux-ci était réputé pour n’avoir qu’une seule parole. Maintenant, elle comprenait mieux pourquoi il était dans cette maison. Que le choixpeau ait ou non hésité elle ne le saurait probablement jamais mais une chose était certaine il avait sut voir en William les qualités d’un rouge. Peut être était il temps qu’elle aussi ouvre les yeux et les perçoivent a son tour.
A l’évidence ils avaient tout les deux rencontré les mêmes problèmes face à ce qu’il appelait une liaison. Après tout elle l’accusait de ne pas prendre en compte se qu’elle avait enduré, mais que savait elle de se que lui pouvait avoir subie. L’heure était à la vérité dérangeante, le genre de vérité qu’on n’a pas envie d’entendre. Celle que l’on connait, que l’on sait mais qu’on ne veut pas admettre. Ils pouvaient continuer à se battre, à s’insulter c’était tellement plus facile que de s’avouer les choses.
-Pas grave, ne recommence pas c’est tout se que je demande.
Ne pas recommencer, continuer à se respecter, continuer à se voiler la face.
-Je n’ai jamais prétendu que tu n’avais pas toi-même été incommoder par notre histoire ! Oh bon sans Will tu ne comprends donc pas que se n’est ni toi ni moi qui sommes responsable de tout se gâchis ? Ce sont les autres ! Nous n’avions aucun préjugé lorsque la première fois tu m’as pris la main, je me foutais royalement de savoir que tu étais moldu ce fameux soir ou défiant toute les règles on c’est retrouvé en haut de la tour pour regarder les étoiles. Mais les autres se sont chargés de nous rappelé qu’il existait un code de conduite, ils nous ont monté l’un contre l’autre au point qu’on a fini par se haïr…
Pour la première fois depuis le début Elisa avait laissé tomber le masque. Elle laissait son cœur prendre la parole sur la raison. A quoi bon continuer a s’engeuler. En même temps, elle ne réalisa pas de suite que ses paroles sonnaient comme un regret ; Le regret d’avoir laisser les autres prendre le pouvoir, le regret d’avoir tout gâché.
-Tout se que je touche fini par explosé
Cette dernière phrase avait été lâchée dans un murmure, comme si elle l’avait dite sans vraiment s’en rendre compte. Il ne voulait plus revenir sur le sujet du choixpeau, pour elle c’était signe qu’elle devait avoir touché un point sensible. Se pouvait il qu’au delà de leur différence nombre ressemblances les rassemble ? Lui griffy au tempérament de Vert, elle serpy au temperament de rouge…
-Bien..N’en parlons plus alors puisque sa te semble être un déshonneur que d’être assimilé a ma maison !
Il avait tord, mais elle comprenait qu’il ne pouvait avoir un autre point de vue sur les mangemorts. Ses parents avaient été tué par eux, il était impensable qu’il puisse imaginer l’existence de mangemorts gentils. Mais, comme bien des fois la barrière entre le bien et le mal étaient infime. Se que certain considérait comme le mal d’autre n’y voyait que le bien et vice versa.
Appuyer contre son mur, elle pensa à ses parents. Ils n’avaient pas eut le choix…Elle revit le mangemorts la tenant contre lui sa baguette sur sa tempe, elle revit ses parents face a elle implorer qu’on laisse leurs enfants en vie, elle revit sa petite sœur pleurant en silence …Et puis elle revit ses parents accepter cette marque pour sauver leur famille, elle les revit accepter de servir un ordre auquel ils ne croyaient que partiellement.
- Sa c’est bien des paroles de gryffondor ! Vous ne voyez jamais que le bien et le mal ! Il ne vous vient jamais a l’esprit qu’il existe parfois d’autre choses, D’autre engagements ? Relie tes livres d’histoire William ! Severus était un mangemorts que je ne qualifierais pas de « gentil » sa je te l’accorde mais n’a-t-il pas prouvé que son engagement était bien au delà du simple fait de choisir un camp ? Selon toi des hommes et des femmes devraient être assez courageux et refuser d’adhérai a cet ordre et regardai leur famille se faire massacrer ? OUI les mangemorts pient, tuent ! OUI il en existe un nombre infime de complètement aveuglé par le pouvoir ! Mais NON ils ne sont pas tous là par choix…Ils ont été abusé bien souvent…mais lorsque tu deviens mangemorts il n’est pas de retour possible. Voldemort leur faisait signer un pacte avec le diable et crois moi pour certain d’entre eux leur dévotion a ce maitre n’a eut pour effet que de transformer leur vie en enfer.
Il y avait bien peu de chance qu’elle arrive à faire comprendre ça à William. Pourtant, elle savait que se qu’elle disait n’était pas dénué de tout sens. Elle savait qu’à chaque cause il existe un autre coté du miroir que l’on ne veut pas toujours reconnaitre.
Elle le regarda remettre en ordre ses affaires et faire semblant de ne pas avoir étendu ses excuses. Voila encore un point qui faisait de lui un personnage agaçant. Plutôt que de s’en retourner vers lui, elle lui tourna le dos et se mit à regarder le paysage a travers la vaste fenêtre. Au loin des élèves juchés sur leur balais s’amusaient au quidditch. Comme elle les enviait. Voler, la seule source de liberté qu’elle connaissait vraiment. Elle sentait derrière elle la présence de William enfin prêt à en découdre avec leur punition. Elle se demanda pourquoi elle était revenue de Beaubatton, pourquoi elle n’était pas resté là bas loin de ses souvenirs, loin de tout se qui pouvait être douloureux. Du bout du doigt elle s’amusa à dessiner un cœur sur le carreau qu’elle effaça ensuite avec brusquerie. Il n’était pas temps de se laisser attendrir, pas temps de mollir et de laisser a William le loisir de profiter de sa faiblesse. Il n’avait jamais vue en elle que l’odieuse serpentarde a quoi bon essayé de lui montrer autre chose ?
-Tu as raison le débat est clos sur ce sujet. Faisons se que nous savons faire de mieux, nous ignorer. Continuons donc à nous insulter, a nous montré odieux et cauchemardesque. Pourquoi en serait-il autrement ?
Avec lenteur elle revint à sa place et prit la chaise a coté de William. Las, elle s’y laissa tomber. Sa plume a papote de nouveau entreprenait de dessiner sur le parchemin vierge. Elisa soupira
-Pourquoi, mais pourquoi nous ? De tous les élèves du château pourquoi a-t-il fallu que sa soit nous que Miller croise hein ? Je suis persuadée qu’il y avait des dizaines de serpy affrontant un griffy au même moment que nous mais il a fallu qu’elle choisisse de passer vers nous !
C’était vrai quoi, de tout temps les rouges et les verts se battaient, c’était dans l’ordre des choses alors pourquoi disserté sur une remise en question a laquelle personne ne ferait jamais de cas ?
Toujours soupirant, elle tendit la main pour attraper un parchemin vierge. Sans y prendre garde sa main frôla celle de William. Son geste resta en suspend et elle releva les yeux vers lui confuse.
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Invité
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 6 Déc - 16:35 |
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Elle n'insista pas sur le fait qu'il était légillimens. Il comprenait maintenant les vraie coulisses de cette histoire. Ce n'était peut être pas uniquement leur faute. Chacun avait dû supporter ricanements et moqueries en face ou derrière leur dos et cela avait influencer leur relation.
- Ne rejetons pas non plus la faute sur les autres. On a aussi fait des erreurs, avoua-t-il morne
Et c'était vrai. Il regrettait parfois que ce se soit finit comme ça. Etant tous deux populaires, il y avaient eut des jaloux. Ceux-ci n'étaient pas les seuls fautifs, mais ils y avaient en partie contribués. Mais c'était également la leur. Aucun d'entre eux n'avait répondu aux exigeances de l'autre. Il fallait le dire.
Il ne répondit pas à sa réplique. Oui, avoir des simillitudes avec sa maison était un déshonneur pour lui, en effet, mais il l'avait peut être assez répété pour aujourd'hui, inutile de lui répondre sur ce sujet, elle avait bien comprit.
Elisabeth n'était pas d'accord avec lui sur sa façon de voir les Mangemorts. Elle le renvoya même à ses cours d'histoire. William, offençer par cette remarque, lui répliqua aussi tôt :
- Exactement, tu vois je ne suis pas Gryffondors pour rien ! Prouva-t-il, Pas le choix ? Elisa on a toujours le choix ! Même s'il se limite à obéïr ou mourir, j'aurais préféré mourir ! Severus Rogue était mangemort uniquement aux ordres de Dumbeldore, je te rappelles, c'est un cas à part
Lorsqu'elle lui avoua ne jamais s'enrôler parmis les Mangemorts, William la reconnut bien. Elle n'était pas toujours la Serpentard par excellence comme il avait habitude de la décrire, mais elle avait parfois un double visage, elle lui ressemblait... un peu... sans savoir pourquoi.
Elle répliqua encore une fois, lui ne répondit plus. La conversasion tournait en rond et il commençait à en avoir assez de répondre les "oui, continuons à nous tapper, un jour, on finira bien par nous arrêtez...". Il gryffona furieusement son parchemin, sa plume était trop sèche. Bon sang ! Elle allait pas s'y mettre elle aussi ?
Elisabeth se plaignit alors. Il l'écouta, sans le motrer et brusquement, ouvrir la bouche :
- Eh bien au moins, on est d'accord sur ça, décréta-t-il
En voulant attraper un parchemin, Elisabeth frôla sa main. Elle était froide. Peut être aussi parce qu'il avait toujours chaud, en hiver jusqu'en été, il avait toujours ses 37°, voir plus.
Il lui prit le poignet, de sa main gauche et sans lui jetter un coup d'oeil, il la reposa sur son côté. De son autre main, il lui tendit un parchemin. Lorsqu'elle voulut l'attraper, il fit reculer la feuille de sorte qu'elle ferma ses doigts dans le vide.
Elisabeth ne trouva pas cela particulièrement drôle, mais ceci suffit à esquisser un sourire à William. Pendant que sa conscience se lamentais d'être celle d'un gamin pareil.
Sa plume refusant toujours de marcher, il la cassa en deux, énergiquement. Et relâcha sa position, reposant son dos contre la chaise. Il commençait à avoir faim, alors dans une voix lente il demanda au vide, en y pensant :
- J'ai faim, apportez-moi quelque chose d'autre que vos habituelles coûtes de pain
Apparut alors sur la table d'à côté, du pain dur et une cruche d'eau, comme celle de la Grande Salle.
- Ah, ouais. Vraiment mauvaise cette pièce..., se lamenta-t-il
Dernière édition par William Allen le Sam 6 Déc - 19:03, édité 4 fois (Raison : Police ^^)
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 6 Déc - 17:13 |
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Des erreurs, qui en ce bas monde n’en commet jamais ? Après tout ils n’étaient tout deux que des êtres humains et encore des enfants. Comment ne pas commettre d’erreur lorsque l’on se sent persécuté de toute part, lorsque le monde menace de vous tourner le dos ? Comment ne pas faire d’erreur de jugement lorsque votre bonheur ne tien qu’a un fil si mince et si fragile qu’au moindre faux pas on a peur de le briser ? Mais il avait raison, ils avaient tout deux commis leur propres erreurs, influencer ou non par les autres c’étaient tout de même eux qui avait au final fait leur choix. Elle le fixa avant de répondre simplement
-C’est vrai, les autres nous ont montré une réalité et c’est nous seul qui avons décidé d’y adhérer. Notre plus grande erreur n’est pas d’être sortie ensemble, mais simplement d’avoir crue que l’on pourrait réécrire l’histoire à notre manière. Connais-tu beaucoup de couple composé d’un serpy et d’un griffy qui résiste longtemps à la pression de ses croyances ? Moi non…nous n’aurons pas fait exception à la règle.
Depuis tout temps les verts et les rouges se faisaient la guerre, chacun des deux voulant assoir sa supériorité sur l’autre. Même si au sein des deux maisons il existait un nombre infime d’élève trouvant cette guerre stupide, aucun n’avait encore trouvé le moyen de la stopper.
Il ne comprenait pas, cela n’avait rien de surprenant. Il était désolant de voir a quel point nombre de personne juge les autres sur leurs actes et non sur ce qu’ils sont réellement. Elle lui accordait qu’un mangemorts était un être abjecte et méprisable, mais elle ne pouvait accepter que pour lui sa se limite a un simple choix.
Sa théorie l’énerva sans doute plus que de mesure, mais il lui fallait faire valoir son opinion.
-Tu es stupide ! Rien dans la vie n’est ni tout blanc ni tout noire ! Il existe des nuances et si tu n’es pas capable de comprendre ça alors oui on peut vraiment le dire tu n’es qu’un stéréotype de gryffondor ! Severus était certes a la solde des mangemorts sous couvert de son appartenance a l’Ordre, mais crois tu qu’il est été le seul ? L’histoire ne retient jamais que les noms de ceux qui se sont comporté en héro a la vue de tous mais elle ne rapporte jamais ce que d’autre en silence on put faire. Tu penses qu’on a toujours le choix ? Si pour toi c’est si simple de choisir la mort c’est parce que ici bas tu n’a plus personne a protégé, tu n’as plus de famille plus rien sauf une vielle femme jouant le rôle de nounou ! Mais si tu avais une famille, si tu savais seulement se que ce mot veux dire alors tu penserais autrement…Parce que ce que tu appelles « choix » William ce n’est pas simplement te condamner TOI mais c’est aussi condamné toutes les personnes qui te sont proches…As-tu le courage de te regarder dans une glace en te disant que tu es responsable de leur mort ?
Expliquer comme cela, le rôle de mangemorts devenait tout autre. Elle le reconnaissait dans ses paroles, elle comprenait que pour lui la mort soit le meilleur des choix, mais elle voulait lui faire comprendre que chaque choix engendre toujours des conséquences.
-A Beaubatton, on étudie cet aspect de l’histoire très différâmes…Enfin c’est normal vue que la France a été épargné de l’influence de Voldemort. On ne divise pas l’histoire en deux camps qui s’affrontaient, on cherche plutôt les raisons de cet affrontement.
Elisa évoquait rarement son séjour dans la prestigieuse école Française. Pourtant, elle en gardait un bon souvenir.
Pour le moment, leur dissertation n’avançait pas beaucoup bien que le temps lui s’écoulait. Elisa se tourna vers Will et se mit à le fixer comme si elle cherchait en lui les réponses à cette question tordue que leur avait posé Miss Miller.
-Si je suis la dernière personne avait qui tu ais eut envie de passer la journée alors dis moi, avec qui serais tu en ce moment ?
Etrange question….Mais il fallait retenir que dans la vie on ne demande jamais rien par hasard….
Tandis que sa main frolait la sienne par accident, il la lui remit en place avec son autre main. Innutil de s'escuser plus en avant. Il lui tandis une feuille et alors qu'elle allait s'en emparer il fit en sorte qu'elle lui échappe. La manoeuvre se poursuivie plusieurs fois et tandis que le rouge s'emblait s'en amuser la verte elle commençait à s'enerver interieurement. Un sourire malicieux se dessina sur le lèvre de Will
*Il est toujours aussi mignon quant il sourit*
Sbam, Elisa venait de s'envoyer une giffle mental. Non mais, comme si c'était le moment de pensé a une telle chose. Ses joues prirent une legere teinte rouge tandis qu'enfin elle optenait sa plume et que de son coté William cassait sa plume. Ils avaient trouvé un seul point ou ils étaient en accord....A savoir que la malchance les poursuivait et que tout deux aurait bien voulu être ailleurs.
Tandis qu'il demandait a manger, elle tacha de ne plus penser a son sourire ni même a lui. La piece leur livra un truc infamme et elle grimaça. Cherchant dans son sac elle sortie un paquet de bombons sorciers et en proposa un a William.
-Si le coeur t'en dis, sa te fera peut être oublier le gout du pain.
Inexorablement, le regard d'Elisa se posa sur les lèvres de William...Au diable si il la prenait pour une folle mais cette fois elle s'administra une baffe bien réél histoire de remettre ses idées bien en place.
-Ahem...oui, en effet cette piece n'a absolument rien d'attrayant surtout si on la compare a toi...
Misere sa avait recommencer...Elisa se mordit la langue et plongea le nez dans ses parchemins
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 6 Déc - 18:24 |
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Connaissaient-ils beaucoup de couples composé de Serpentard et de Gryffondor ?
- M... non, avoua-t-il avant qu'Élisabeth ne reprenne
Hélas, oui. Ils n'avaient pas vraiment cherchés à contourner ses "règles". Ils les avaient plutôt choisit de les suivre les yeux fermés. C'était sans doute plus facile comme ça, à l'époque, mais à long terme...
Elle continua de défendre son point de vue, comme à sa fâcheuse habitude. William l'écoutait à peine. Ce n'était pas vraiment le genre de conversation dont il aimait parler. Il se remit à ses répliques les moins recherchés, juste histoire de l'énerver, peut-être, mais sur un autre point.
- C'est bon ? Tu as finis ? Questionna-t-il
Elle dévia ensuite sur Beaux Bâtons. William, se souvenant du jour où elle avait quitté Poudlard. Peu de temps après leur rupture. Sa curiosité prenant le dessus, il ne put s'empêcher de la questionner, cela faisait trop longtemps qu'il attendait la réponse.
- Pourquoi t'es parti ? S'enquit-il
Voyant qu'elle ne répondait pas assez vite, il reprit :
- Pourquoi tu as quitté Poudlard ? On m'a dit que tu allais à Beaux Bâtons. Tu sais parler français ?
Sa question le désarçonna un peu. Il la regarda surprit. Elle avait des ses idées aussi ! Qu'est-ce que ça pouvais lui faire ?
- Avant dernière, corrigea-t-il, eh oui désolé pour la personne visée, mais j'ai trouvé plus idiote que toi. Mais pourquoi tu me demandes ça ? J'en sais rien ! Sûrement loin de toi... et puis, en quoi ça te regarde ? Moi aussi je suis la dernière personne avec qui tu veux te retrouver...
Ne revenant toujours pas du pain et de l'eau, William avait sentit Elisabeth grimacer. Elle avait ensuite trouvé deux trois bonbons sorciers du fond de son sac. Elle lui en proposa un. William assez étonné du geste. Resta immobile quelque instant essayant de trouver un piège. Mais il n'y en avait pas.
- Quoi ? C'est tout ce que t'as à dire ? J'attendais mon "vas-te faire voir", se justifia-t-il en attrapant un bonbon dur
Il se remit devant sa feuille lorsqu'il entendit un claquement sonore. Elisabeth venait de se gifler elle-même. Se retournant encore un fois, elle avait la joue rouge, presque enflé. Elle devenait de plus en plus douteuse.
- Tu... tu vas vraiment pas bien, hein ? Tu veux que je t'en donne une deuxième, histoire que ce soit symétrique ? Tout le monde va penser que c'est moi qu'y t'en est mise une...
Et pour conclure elle le compara à la pièce. ^^ Certes, elle pouvait très bien le penser, mais pourquoi avait-il fallut qu'elle le dise à voix haute ?
- Est-ce que tu réfléchis au moins avant de parler ? Hé ho ! Je suis le gars le plus détestable de la planète, tu as déjà oublié ?
Dernière édition par William Allen le Sam 6 Déc - 19:04, édité 1 fois (Raison : Police d'écriture)
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 6 Déc - 19:27 |
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Oula, à marquer dans les annales cela faisait deux fois qu’ils étaient d’accord sur un sujet. Cette petite journée passé en sa compagnie n’en finissait plus de devenir surprenante…Pour peut et on aurait put penser qu’ils en sortiraient amis…Oui, enfin il ne fallait pas non plus trop rêver.
Ha c’était bien de lui de ne pas relever ses observations et de se contenter d’un simple « t’as fini’ comme si ce qu’elle avait dit n’était que bêtises et que rien ne méritait son attention. Elle le foudroya d’un regard bien noire qui a lui seul exprimait tout bas se qu’elle pensait de son attitude.
Bon, elle voulait bien admettre que lui, étant a gryffondor ne pouvait pas comprendre les motivations d’une bande de fanatiques écervelés mais de là a se croire intouchable il ne fallait pas non plus exagérer. Enfin, puisqu’il semblait que rien sur ce sujet là ne l’intéressait et que comme bon nombre de rouge il préférait resté collé a la sacro sainte version des livres qui racontait comment ce bon vieux Potter avait sauvé le monde et comment cette vielle branche de Voldy avait fini par manger les pissenlit par la racine, elle décida de renoncer a l’instruire. Pourtant, elle en aurait eut bien des choses à lui raconter sur les mangemorts.
-Oui, j’ai fini…j’ai surtout fini d’essayer de t’instruire si tu préfères mourir idiot a ta guise.
Serpy un jour, serpy toujours comme on se le disait en salle commune. Quoi de plus acérer que la langue d’un vert ? Rien…c’est bien se que je disais.
La question de William la prie de court, elle avait une sainte horreur de donner des explications et a lui encore bien plus. D’ailleurs comment lui dire se qui l’avait motivé ? Il ne comprendrait pas, comme d’habitude.
La seconde partie de sa question était bien plus simple à répondre. Il était vrai que bien qu’ils étaient sortie ensemble aucun des deux n’avaient jamais fait étalage de sa famille. D’ailleurs la verte préférait de loin qu’il en fut ainsi. Mais, pour le cou, il n’y avait rien d’étrange a se que le jeune homme ignore tout de ses origines.
-Hein ? Si je parle Français ? Bah oui…En faite ma mère est d’origine Français, elle aussi a fait une partie de sa scolarité à Beaubatton. Elle est venue finit ses études à Poudlard qu’à partir de sa sixième année pour…oui enfin peu importe ses raisons.
Inutiles de préciser que si sa mère avait rejoins Poudlard c’était pour se rapprocher du mouvement montant d’un certain groupe de sorciers plus noir encore que la nuit. Elle ajouta simplement
-Ma mère à intégré Serpentard bien qu’elle aurait eut sa place a Serdaigle. Mon père lui était déjà a serpentard. C’est là qu’ils se sont connus.
Restait cependant sa première partie de question. Quoi dire, quoi répondre sans qu’il sache vraiment tout ? La vérité pouvait elle les aider en cet instant ? Rien n’était moine sur.
-quant à savoir pourquoi je suis partie, je vais te dire..En quoi sa te regarde ? Je veux dire quant j’étais absente tu n’as pas cherché à en savoir plus pas vrai ? Sa t’allait très bien que j’aie quitté les lieux ! Alors je ne vois pas pourquoi je devrais te fournir des explications !
Bah quoi ce n’était pas faux après tout, une fois la jeune fille partie il avait dut enfin se sentir libre de faire se que bon lui plaisait alors pas la peine de le contenter d’avantage. Tout juste elle ajouta
-Je suis partie parce que j’avais des problèmes point final. Le reste sa m’étonnerait que de un tu me crois et de deux que tu comprennes donc a quoi bon te dire ?
Elle s’imaginait mal lui compter ses exploits contre ceux de sa maison, elle doutait qu’il puisse seulement imaginer que leur rupture lui avait fait beaucoup de mal…Et puis…Et puis lui raconter que pour essayer de l’oublier elle était tomber dans les bras de Scorpius qui c’était joué d’elle n’avait franchement rien de glorieux.
Bon, d’accord il n’avait pas forcement tord sur le fond, ceci étant il n’avait pas non plus tout à fait raison. Elle haussa les épaules. Quelques minutes avant elle avait pensé qu’une trêve était envisageable mais à présent elle comprenait que quant bien même ils arrivent à se passer de sarcasmes jamais ils n’arriveraient à ne pas s’envoyer de doux et jolis mot remplie de sarcasme.
-Laisse donc les sarcasmes au verts c’est a eux qu’ils appartiennent je te rappel. Oh et…Merci pour l’idiote ! Tu as raison sa me regarde aucunement mais tu as tors tu n’es pas cette dernière personne ! Figure toi que moi aussi j’ai trouvé plus ridicule que toi et bien plus méchant ! A choisir entre toi et ces deux là je choisirais quant même toi…Au moins je suis presque certaine d’en ressortir vivante avec toi..Alors qu’avec eux sa serait pas certain. Ceci dit si tu veux vraiment être loin de moi tu peux déjà commencer par t’installer ailleurs qu’a coté de moi !
Il avait l’aire surpris de son geste. ET bien tant mieux, au moins pour cette fois elle avait réussi à le prendre de court. Avec malice elle ne put cependant pas s’empêcher de lui dire l’aire de rien
-non, non..Pas de va te faire voir…juste un peu de veriseratum dans mes bombons, rien de bien méchant…Au pire tu seras simplement obligé de ne me dire que la vérité.
Elle lui lança son plus grand sourire machiavélique avant de rire. Evidement c’était juste une plaisanterie mais rien que pour voir sa tête sa valait le cou.
Elisa coupa net son rire. Elle trouvait bisard de rire ainsi en la compagnie d’une personne qu’elle était sensé détester.
Sa claque lui remit partiellement les idées en place mais attira évidement l’attention de William. Il eut encore droit à un foudroîment de regard. Evidement, on pouvait comprendre sa réaction mais quant bien même elle aurait aimé que pour une fois il ne la ramène pas. Avec ironie elle répondit
-Ou alors je peux aussi t’en coller une comme ça on sera assortie !Mais je te rassure je vais très bien…Enfin aussi bien qu’on puisse aller en étant a tes cotés bien sur !Et t’en fais pas personne ne pensera que c’est toi qui me la mise parce que tout le monde sait que si tel était le cas tu serais déjà en train de croasser transformer en vulgaire crapaud.
Chacun se défend comme il peut , et encore bien plus lorsqu’il se sent dans son tord et qu’il sait qu’il est en train de perdre pied. Précisément Elisa était en train de s’enfoncer et pour couronner le tout cela n’échappait nullement a Will.
-oui…je veux dire non ! Enfin tu n’es pas LE plus détestable mais L’UN des plus détestable nuance ! Et puis tu sais quoi ? Ferme là..Par pitié ferme là..Je veux le silence…je réfléchies toujours avant de parler mais c’est toi qui me déstabilise ! Ha zut à la fin, tu la fermes je la ferme…bref on se la ferme et on se contente de faire cette put…enfin cette satané disserte !
Après on sort de là et je vais loin très, très loin le plus loin possible de toi !
Oui, excellente idée, ne plus parler au risque de dire encore pire. La jeune fille leva la tête et accrocha le regard de William. En faite, il avait raison elle n’allait pas bien du tout. Plus le temps avançait et plus elle se perdait. Comprenant que si elle restait là a ses cotés elle risquait de faire des bêtises elle se leva précipitamment et retourna vers sa fenêtre. Dos au mur elle se laissa tomber à terre, la tête entre les bras, les genoux ramener contre sa poitrine.
Ainsi prostré elle ne put lire le message qui s’inscrivait au tableau
« Monsieur Allen, je crains fort que votre compagne de punition ne soit en train de se perdre, peut être pourriez vous l’aider à retrouver le chemin ? Sincèrement votre, Miss Miller »
Enigmatique…Mais au fond qu’est ce qui ne l’était pas en cette salle ?
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 6 Déc - 20:13 |
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Ils s'entendaient sans doute de mieux en mieux, plus qu'ils n'oseraient jamais l'avouer. C'était peut être en partie dû la non présence de foule. Ou presque pas. La gifle qu'Elisabeth venait de se donner avait sans doute dû être entendue par tous.
Elle lui jeta, comme prévu, un de ses regards noirs. Il ne manquait pas de culot, c'était sûr. Elle n'était pas vraiment exaspéré, elle aussi semblait s'y être attendue. Il se connaissait assez bien finalement, très bien pour prévoir les réactions de l'autre.
- Très drôle, c'est juste ton "instruction" qui me dérange, tu es encore plus barbante, à ce sujet, modéra-t-il, que mon professeur d'histoire de la Magie !
Elle ne refusa pas entièrement de répondre à sa question. C'était un grand pas, elle se confiait rarement, mais lui elle lui avouait. Ainsi c'était en partie à cause de lui qu'elle était partie ?
- Je ne le savais pas... que tu parlais Français. C'est comment là-bas ? Demanda-t-il intrigué
Elle se refusa à répondre à la suite de sa question, s'énervant de nouveau.
- Ne raconte pas n'importe quoi ! Menaça-t-il Comme si... juste ça ! Enfin... vraiment. Ne me prends pas pour un imbécile ! Ce n'est vrai, je me suis réellement demandé qu'est-ce qu'y t'étais arrivé, mais personne ne me répondait, ils ne savaient pas. Je ne me suis peut-être pas renseigné aux bonnes personnes. C'est tout, alors arrête tes idioties !
A croire que leur communication ne se faisait que par le biais de sarcasmes. C'étaient leur seuls outil pour se parler. Et ils le savaient, mais ne changeaient pas, simplement parce qu'ils voulaient toujours avoir la meilleure des répliques.
Une fois son bonbon dans sa bouche, elle lui répliqua trop tardivement sur la consistance de celui-ci. William l'avala aussitôt tout rond. C'était vrai il avait des choses à cacher... et alors ? Il la prit au sérieux un moment, puis elle se mit à rire, se qui lui fit revenir sur sa position.
Elisabeth s'enfonçait de plus en plus. William l'écoutait attentivement perdre de plus en plus contrôle d'elle. D'une certaine manière, il trouvait cela amusant. Elle essayait à tout de se rattraper sans y parvenir. Il se mit même à rire.
Elle se leva, le regarda. Il s'arrêta aussitôt de rire. Elle se pressa vers la fenêtre et s'y cala contre le mur. William entendit alors un message s'écrire au tableau, il se retourna tout de suite pour le lire.
« Monsieur Allen, je crains fort que votre compagne de punition ne soit en train de se perdre, peut être pourriez vous l’aider à retrouver le chemin ? Sincèrement votre, Miss Miller »
Hein ? Qu'est-ce que ça voulait encore dire ça ? Les filles étaient vraiment d'une logique... inimitable ! ^^
Il se leva alors, la rejoignit. Il ne sut pas ce qu'il lui prit, sans doute parce qu'elle l'avait fait à son tour. Il la redressa contre le mur et l'embrassa à pleine bouche.
- Ha ha... je te "déstabilise", reprit-il en murmurant à deux centimètre de son visage
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 7 Déc - 3:29 |
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Professeur d’histoire , voilà bien un métier qu’Elisa ne s’imaginait pas faire plus tard, surtout si William la trouvait encore plus barbante que celui actuellement en place. Ce qu’il venait de dire était loin, bien loin d’un compliment au contraire. La comparer à Monsieur somnifère comme les serpy appelaient leur prof d’histoire n’avait rien de très sympathique. Pour toute réponse elle eut a son égard une petite moue fort dépité qui montrait oh combien elle était frustrée qu’il la considère comme ennuyante.
-Oui, mais je suis aussi beaucoup plus sexy que lui quant même.
Phrase très nombriliste mais qui demeurait vrai si on considérait que même un épouvantail aurait plus de charme que ce professeur là. Voila qu’après l’ironisme et les sarcasmes Elisa utilisait une pointe d’humour. N’importe qui aurait trouvé cela louche mais elle savait que William la connaissait bien plus que tout les deux ne voulaient le reconnaitre et qu’il saurait retrouver dans cette petite touche un vague souvenir de leur première rencontre.
William semblait s’intéresser a son séjour en France. Usant de malice comme a son habitude elle lui répondit
-Bah je ne voudrais pas encore être barbante en te saoulant avec mes discourts.
Ceci étant, elle n’était pas totalement opposé a se confier a lui, a lui raconter la France. La seule chose qui la contrariait quelque peu c’était de ne pas être certaine de bien la lui présenter. Là bas cela avait été son refuge, une ultime chance…Mais cela avait également été le berceau de ses larmes amère. Elle essaya néanmoins de faire honneur à ce pays qui l’avait accueillie à bras ouvert.
-Je dirais que la France est un pays assez complexe. Beaubatton est une école très riche en matière de savoir vivre. C’est un lieu ou on travail beaucoup plus qu’ici mais aussi ou l’on se doit d’acquérir des bonnes manières. En bien des points l’école en entier ferait honneur a la maison des serpentards, mais si je me place dans la peau d’un gryffondor je te dirais alors que cette école sait développer de vrai chalenge, elle encourage le dépassement de soit et contrairement a ici, il n’y a pas de dénigrement tout le monde est égale. C’est un endroit magnifique pour qui recherchent le savoir et la tranquillité. Ceci étant, durant mon séjour là bas j’ai profité pleinement de l’apprentissage obligatoire de la vie des moldus et, sans vouloir me montrer désagréable je peux affirmer que la France est une vrai cacanfonie. Notre bonne vielle Angleterre ait bien plus stable économiquement. Enfin bref la France est un paradis pour qui ne dois pas y vivre constamment.Enfin bref, c’est ma mère qui m’a appris les Français dés mon plus jeune âge. Elle pensait que cela me servirait un jour. Et puis…Ce n’est pas si moche le Français, c’est une langue très romantique en bien des points.
Pensant qu’elle lui avait assez raboté les oreilles avec son blabla sur la France, elle s’arrêta. Il n’avait pas l’aire d’apprécier son silence face a sa question et s’emporta a son tour. Pourquoi ne pouvait il ne pas respecter son silence et passer a autre chose ? Ne voyait il pas que c’était là un sujet délicat sur lequel moins on en dit et mieux on se porte ? Elle sembla un peu surprise qu’il ait put s’interroger sur le pourquoi de son départ.
Tout semblait si définitivement fini entre eux lorsqu’elle était partie, ils s’étaient disputer comme jamais, avait même faillis se battre a cou de baguette et s’était tellement insulter qu’on leur avait envoyé un sortilège de mutisme pendant le restant du repas.
Elle le regarda. Devait-elle ouvrir les portes de ses secrets enfouies ? Il avait peut être le droit de savoir…Enfin au moins une partie. Elle soupira comme exaspéré
-Je n’ai jamais dit que tu étais idiot ! Enfin si, je l’ai dit mais pas en cette circonstance ! Si tu ne peux pas comprendre c’est simplement parce que tu n’es pas un serpentard William et que même si je t’expliquais tu finirais par dire que je me suis comporté comme une lâche. On se déteste assez comme ça , il est peut être pas obligé d’en rajouté.
Quant au fait que personne n’ait put te dire je ne suis guère surprise. Bien peu de personne Save le véritable pourquoi de ma fuite et ceux qui le savait ne te l’aurais jamais dit. Quant à ceux qui en connaissaient une toute petite partie, je doute que tu sois allé les voir. Tu es fou, mais pas a ce point.
Elle secoua la tête en prise avec deux avies bien différentes en elle. Il lui fallait se jeter a l’eau…Lui dire…oui….Mais pas tout.
-Je ne te dirai que se que je juge sans grande importance d’accord ? Alors voilà : Lorsqu’on est sortie ensemble nombre serpy on commencé à me regarder de travers. Moi je m’en moquais du moment que j’étais bien et heureuse. Seulement, notre relation n’était pas du gout des Salazards et surtout pas de celui de Jedusor. Sans arrêt il me menaçait, me traquait et jurait qu’il me ferait payer mon acte de trahison envers ma maison. Un jour, une bagarre a éclaté entre les serpy et les griffy. J’étais présente et Jedusor aussi. Très vite le ton est monté. Malefoy c’est joint au groupe. Il a commencé a se la joué, enfin tu le connais…Et puis sa a dérapé. Au lieu d’une bagarre Griffy Serpy sa a tourné au règlement de compte entre les verts. Ils étaient tous contre moi. Jedusor en premier a dégainer sa baguette tandis que je voulais fuir du lieu de la bataille après lui avoir lancer a la figure mon emblème de serpy, et il m’a lancer un sortilège de magie noire. J’ai été vengé par un gryffondor du nom de Talus qui a fait usage d’un puissant sortilège de magie noire contre Jedusor. J’étais blessé et lui aussi. On a fini à l’infirmerie. Jedusor jura ce jour là de se venger de moi par tout les moyens…Y compris en s’en prenant a toi…J’ai résisté longtemps, subissant leur sarcasme, leur colère…Et puis un jour j’ai été humilié par Malfoy…ce jour là j’ai compris que rien ne les arrêterais et que pour me détruire et m’empêcher de leur tenir tête ils étaient prêt a tout même à te détruire toi. Alors j’ai décidé de fuir, fuir pour me sauver mais aussi pour te sauver toi…
Il n’y avait rien a ajouté ou presque
-Il faut que tu comprennes William, en sortant avec toi j’étais devenue une autre…Et ça ils ne pouvaient l’accepter. Je refusais de me soumettre a leur bon vouloir, je refusais de les aduler, je refusais de mépriser les faibles au détriment des plus fort…En bref je refusais d’être une serpy soumise…je n’avais aucune chance…Aller vas y défoules toi, je sais se que tu penses ! Je sais très bien que tu te dis que TOI tu n’aurais pas fuie, que TOI tu aurais affronté , que TOI tu aurais été prés à mettre ta vie en péril pour défendre ton opinion, que TOI tu n’aurais pas cherché à défendre la personne qui t’avait trahit et que tu étais supposer détester ! Vas y crache ton venin ! Mais je suis Serpentarde moi pas gryffondor ! Je suis pas courageuse, je ne suis pas …je ne suis pas TOI !
Elle anticipait avec une sorte de colère se qu’il pouvait être en train de penser devant son discourt. Elle se sentait mal, raconter tout ça lui avait fait revivre les événements. Oh bien sur, il y avait des choses qu’elle ne tenait pas à expliquer, notamment le pourquoi du comment Malefoy l’avait humilié ni pourquoi elle n’avait pas voulu qu’on s’en prenne a lui. Jamais les deux n’avaient réellement réussi à se comprendre. Trop de différences et au fil du temps Elisa avait fini par croire que les autres avaient raison et que jamais un serpy et un griffy ne pourrait s’entendre. Toujours ils se disputaient ou s’insultaient mais jamais vraiment ils ne c’étaient ouvert l’un a l’autre.
Après tout ce qu’elle venait de dire et de faire, Elisa pensa avoir trouvé un refuge vers sa fenêtre. Mais il était dit que Will ne lui laisserait pas l’occasion de se reprendre ni même celle de s’enfoncer encore plus. Il s’approcha d’elle et sans qu’elle eut le temps de réaliser se qui se passait il l’embrassa.
STOP !! Arrêt sur image, il devait y avoir un bug dans l’histoire ! Ça c’était pas du tout prévu au programme ! Stupidement, elle resta comme tétanisé par son geste ne pouvant que le regarder dans les yeux. Il était si proche d’elle, trop proche. Elle sentait son sang affluer dans ses veines, son cœur s’accélérer. La cour de l’histoire lui échappait. Elle ne pouvait pas le gifler alors que peu de temps avant elle-même l’avait embrassé. Ha mais, c’était quoi cette histoire on n’embrasse pas sa pire ennemie comme ça !Et puis on la déstabilise pas non plus.
-Je…oui…enfin non…enfin…Will c’est….c’est complètement déstabilisant se que tu viens de faire ! D’ailleurs c’est pour sa que je vais..Que je vais…
Elle ne termina pas sa phrase et pour cause, elle était tout bêtement en train de lui rendre son baiser.
Elle ne sut dire combien de temps il dura mais lorsque ses lèvres se séparèrent de celle de William elle était complètement troublé.
-Ola…Heu..William je crois que tout cela est une très mauvaise idée et qu’on ferait mieux d’oublier se qui Vien de se passer. Enfin je veux dire je te déteste tu me détestes, on n’arrête pas de se le répéter depuis le début alors c’est complètement idiot se qu’on vient de faire. D’ailleurs pourquoi tu m’as embrassé ?
C’est vrai ça, pourquoi il avait fait ça ? Il lui avait dit peu de temps avant qu’il aurait préféré être a des kilomètre d’elle et voila que maintenant ils étaient a quelque millimètre l’un de l’autre. Tout cela devenait très complexe. Inexorablement, elle luttait contre l’envie de se refugier dans ses bras…Ses yeux étaient rivé dans les siens, le moment était intense. Elle savait qu’elle prenait le risque en se plongeant ainsi dans son regard qu’il ne lise en elle..Mais en cet instant la seule chose qu’il y verrait c’était son envie de lui faire un câlin…
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Invité
Invité
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 7 Déc - 16:36 |
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Elle fit la moue, déçue de la remarque. Réponse en effet très nombriliste. Mais il n'en attendait pas moins d'elle. Elle était comme ça et lui aussi parfois, ils avaient apprit à l'accepter. Ce qui était étrange ? Ils faisaient semblant que non. Et ce ne fut que dans cette logique qu'il lui répliqua :
- Ah ! J'avais oublié que "Winster-Elisabeth-Préfète-de-Serpentard" était incomparable, renonça-t-il
Rancunière, elle refusa de répondre à sa question suivante, sous prétexte qu'elle était, comme il l'avait si bien dit : "barbante"... Il souria, elle avait de ses manières, seule elle parvenait à lui répondre avec autant de talc.
- Je plaisantais, alors vas-y c'est comment ?
Elle se lança dans un brillant discours. Notant point forts mais aussi négatifs. William n'avait jamais eut la chance d'y aller mais il n'en n'était pas aussi tenté. La France avait toujours été un pays mystérieux qu'il ne voulant pas vraiment découvrir, voyager n'était pas une de ses passions.
Il l'écouta tout de même, sans sarcasmes ni la couper. Ce fut lorsqu'il refusa de croire que leur rupture l'avait affecté qu'elle s'enflamma.
- Oh que si tu l'as dit ! S'exclama-t-il, quoi ? Qu'est-ce que tu veux dire ? Qu'est-ce que les Serpentards seraient bien capables de comprendre de plus que les Gryffondors ? Hein ? Parce que j'aimerais bien le savoir !
Elle ne crut pas lorsqu'il lui avoua s'être demandé le pourquoi de son absence. Pas entièrement en tout cas, pas assez. Comment voulait-elle qu'il sache qui savait la réponse ? Il ne pouvait pas non s'introduire dans l'esprit de tout Poudlard !
- Et alors ? Donc se n'est pas ma faute ! Peu de personne le savait alors j'avais peu de chance qu'on me le dise ! Et pourquoi d'ailleurs elles ne voudraient pas me le dire ? Oui, parce qu'on m'a toujours dit que personne ne savait !
Elle enchaina les aveux sur la face cachée de leur relation. Jamais personne ne lui avait vraiment dévoilé ce qui se passait chez les verts. Et jusqu'à maintenant sa curiosité ne l'avait pas prit. Mais c'était vrai, lui n'aurait pas fuit Poudlard. Elle aussi le connaissait trop bien pour savoir ce qu'il pensait, en ce moment.
- Et oui ! Je ne serais pas partit mes jambes à mon cou ! Exactement ! Euh... hem... quoi ?
Elle n'était pas lui. Cette phrase l'arrêta. Elle n'était pas lui ? Un peu quand même... Il était elle ? Un peu aussi. Finalement qui étaient-ils ? Personne. Du moins pas sans l'autre. Elle s'était levé et avait rejoins la fenêtre. Par quelle force était-il animé ? Il n'en savait rien, juste que cette force était juste.
Elle était alors complètement désorienté. Oui déstabilisé, elle l'avoua elle même. Hésitant sur la fin de sa phrase, elle lui rendit son baiser. C'était ironique. La grande Winster n'était plus maître de son corps. Elle relâcha l'étreinte, encore plus troublée.
Oublier se qui venait de se passer ? Mauvaise idée ? Elle blaguait ou quoi ? Elle venait de le faire il y avait quelques minutes ! Alors pourquoi, pourquoi lui n'aurait-il pas le droit ? Enfin c'est vrai !
Ils se détestaient depuis le début ? Se le répétaient ? Mais le début de quoi ? Quand ?
- Et toi aussi, pourquoi tu m'as embrassé ? Qu'est-ce qui t'as prit ? Moi c'est pareil...
Dernière édition par William Allen le Sam 20 Déc - 23:55, édité 1 fois (Raison : Police d'écriture)
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Lun 8 Déc - 0:24 |
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Au final la situation commençait à l’amuser. Ils étaient là tous les deux à essayer d’arracher le dernier mot en sachant pertinemment que c’était vain. Quant l’un jouait d’ironie l’autre se servait des sarcasmes et quant l’autre se servait d’humour piquant l’un se servait de son statue d’intouchable.
Aucun des deux jamais ne gagnerait, sans jamais se l’avouer ils savaient qu’ils se complétaient. Si tout deux avaient eut un jour l’idée de s’unir contre un élève il y avait fort a parier que ce dernier aurait fini par prendre les jambes a son cou en pleurant. Machinalement, elle ne reteint que le mot « incomparable »
-En effet, je suis la plus incomparable des serpy. Va donc essayer de trouver une autre serpy aussi…
Ouf, de justesse le mot avait été retenu. Pour peut et elle allait dire « une serpy aussi griffy ». Elle se contenta donc de finir sa phrase par l’un de ses sourire malicieux qui sous entendait qu’il pouvait toujours courir pour savoir « une serpy quoi.. »
Il eut la décence de ne pas l’interrompre pendant qu’elle lui décrivait la France. Il sembla même intéressé par ses paroles. Pour cette fois, il ne la trouva pas barbante et elle fut contente de voir que son récit sur la beauté Francophone ne le saoulait pas. Elle avait voulu la lui présenté sous toute ses formes, réussir à faire en sorte que dans sa tête il imagine le château de Beaubatton, et surtout réussir à éveiller en lui une certaine curiosité qui peut être plus tard le mènerait a son tour a la découverte de ce pays.
Evidement, il s’enflamma avant même qu’elle ne finisse son explication lorsqu’elle sous entendit qu’un gryffondor pouvait ne pas comprendre certaine chose que seul un serpentard pouvait voir.
Froidement, lui faisant comprendre qu’elle aurait bien aimé qu’il tienne sa langue elle lui apporta la réponse. C’était au final tellement simple de lui parler. Elle n’éprouvait aucun remord a lui divulguer certain secrets de l’entre des vert et argent.
- Non je ne l’ai pas dit ! J’ai simplement dit que tu ne pouvais pas comprendre c’est quant même pas la même chose ! Tu veux savoir se que vous les griffons ne pouvez comprendre ? Et bien…comment t’expliquer…Vous les griffons vous êtes une grande famille soudé les un au autre, c’est un peu un pour tous et tous pour un chez vous pas vrai ? Alors je pense qu’en temps que griffy tu auras beaucoup de mal a comprendre le fonctionnement des vert et argent. Imagine un peu un serpy qui aime et déteste a la fois sa maison, un serpy qui crois en sa maison mais qui en même temps se refuse de se soumettre a des règles ancestrales, un serpy qui tout en revendiquant son statue de vert cherche a démantelé les plus fourbes et les plus méchants de sa maison…A serpy c’est plutôt chacun pour soit…c’est sa que je pense que tu ne puisses pas vraiment concevoir.
Elle espérait que sa réponse l’éclairerait un peu. Ce n’était pas évident a expliquer comme ça, et lui dire que se serpy là c’était elle. Une serpy qui aime sa maison mais qui en même temps ne s’y sent pas vraiment chez elle. Une sorte de serpentard rebelle, hors ces deux mots étaient des plus opposé qu’ils puissent être.
Bon, elle voulait bien reconnaitre qu’en effet il y avait peut être pas que de la mauvaise volonté de sa part. Il se pouvait très bien qu’il eut demandé des explications. Mais elle savait que personne ne se serait donné la peine de lui répondre et pour cause…un seul gryffondor était au courant de son départ et lui avait juré de ne rien dire, les autres étaient des serpentards.
-Simple, les deux seules à savoir toute la vérité se trouve être Elynn et Lindsay donc deux élèves de serpentard mais aussi mes meilleures amies. Je leur avais fait jurer de ne rien dire à personne, elles ont tenue parole. En plus elles avaient une certaine rancune envers ta personne alors tu imagines bien qu’elles n’allaient pas satisfaire a ta demande. Quant au autres, tous serpentard aussi. Les trois Salazards connaissaient ou plutôt se doutait des raisons de mon départ mais vue leur rapport avec ta maison ils ont sans nul doute trouvé bien plus amusant de te laisser sur un silence. Donc, en effet tu avais peu de chance d’avoir une réponse tout simplement parce que seul un serpentard pouvait te répondre et qu’aucun ne se serait abaissé à le faire…chacun bien sur pour ses propres raisons. Sa te semble assez logique comme explication ou il te faut un dessin pour aller avec ?
Elle y allait sans doute un peu fort, il n’y avait guère de raison de s’énervé de s’emporter mais cette conversation lui mettait les nerfs a fleur de peau et la rendait encore plus acide qu’à l’ordinaire.
Comme elle s’y était attendue il ne manqua pas de dire que lui aurait affronté au lieu de fuir. A son égard, elle n’eut qu’un simulacre de sourire résigné qui signifiait « je te l’avais bien dit »…Bon ok elle était partie et lui serait resté et alors ? Cela prouvait il qu’il était plus intelligent ? Juste plus courageux mais n’était ce pas là l’emblème même de sa maison ?
Pour écourter toute discutions a ce sujet, une fois encore elle prie la fuite. Elle ne rendait pas les armes, mais elle ne voulait plus débattre sur se qui aurait du ou pas dut être. Peut-on changer le passé ? Non…Juste vivre avec.
Elisa aurait aimé qu’il lui laisse le temps de se retrouver, le temps de retrouver ses repères mais au lieu de ça, il était venue jusqu’à elle et l’avait embrassé. Un baiser qui en avait appelé un autre et qui peut être en aurait encore appelé un autre et un autre si elle n’avait pas interrompu ce moment magique.
« Moi c’est pareil »…ha bé non sa ne pouvait pas l’être …Si ? Non ! Sa pouvait pas être pareil, enfin du moins elle le croyait. La serpentarde était de plus en plus empêtrer dans un chemin sans issu avec devant elle un regard a l’intérieur duquel elle se noyait sans même y prendre garde. Décidant de rompre le charme, elle revint sur le sujet précédant.
-En effet tu n’aurais pas fuie…Seulement Will dis moi comment aurais tu réussis a supporter de vivre presque a mes cotés, de me voir heureuse dans les bras d’un autre, de me voir aimer et être aimé par quelqu’un d’autre que toi , de voir qu’un autre prenait dans ma vie plus d’importance que toi, de voir qu’un autre réussissait là ou tu avais échoué, comment aurais tu réussis a supporter de vivre en imaginant tout ce que je pouvais faire avec lui, en repensant a tout se que nous avions été et que nous ne sommes plus, comment aurais tu réussi a faire tout ça sans être malheureux a en mourir , sans avoir envie de tuer l’autre, sans avoir sans arrêt l’envie de disparaitre, sans avoir ni remord ni regret et sans jamais te dire que tout était de ta faute et que tu avais toi-même gâché ta vie ?
Elle se concentra encore plus dans son regard et serra une de ses mains
-Oui, dis le moi…Parce que moi je n’ai pas trouvé de réponse…je n’ai pas réussi à passer au dessus de ça, a tourné la page…Alors dis le moi toi gryffondor si parfait, si courageux comment aurais tu fais ?
En appuyant sur les points forts de sa maison, elle cherchait encore à le piquer malgré elle.
*je suis partie parce que je t'aimais mais ça evidemment tu peux pas le comprendre:* Il voulait savoir pourquoi elle l’avait embrassé. Bien des réponses auraient put convenir mais une seule d’entre elle parvint de ses neurones a sa bouche
-Je l’ai fait simplement pour voir si, en effet, je me rappelais encore du gout et de la douceur de tes lèvres.
Une réponse qui avait le mérite d’être franche et qui aussi pouvait clouer sur place ce cher Will.
-Donc par conséquent tu ne peux pas dire que pour toi ce n’était pareil pas vrai ?
Derrière eux, quelqu’un actionna en vain la poigné de la porte. On entendit juste un simple claquement de la poignée et une voix étouffée se réjouissant de ne pas pouvoir venir faire sa punition. La joue d’Elisa était encore légèrement rouge, ses yeux étaient toujours plongé dans ceux de Will, sa main était encore posé sur la sienne. Plus rien ne bougeait dans la pièce.
-Tout les serpentards ne sont pas forcement les mêmes…C’est peut être cela que certain vert peuvent apprendre aux gryffondor non ?
Elle en revenait au sujet de la dissertation, comme si c’était le moment. En fait, elle ne voulait surtout pas qu’il réalise qu’elle avait peur, peur de se qui allait se passer, peur de souffrir encore. Son visage repris son masque froid et détaché que tout serpentard sait se donner.
-Et quant la porte s’ouvrira sa sera de nouveau comme si rien ne c’était passé c’est ça ? Tu feras celui qui n’as rien vécu dans cette salle, tu joueras a celui qui a passer un véritable cauchemar …A moins que tu ne te vantes d’avoir une fois encore réussi a prendre une serpentarde dans tes filets…Dis moi Will c’est sa qui nous attends une fois sortie ?
Serpentard quant tu nous tiens...
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Sam 20 Déc - 23:54 |
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William appréciait de plus en plus cette retenue. Une première ! Encore quelques non-contrôle d'Élisabeth et ça y était ! Une Serpy aussi... ? Elle souria, contente de s'être arrêté au bon moment. Il était évidement qu'elle le lui dirait pas la fin de sa phrase, mais William, bien trop curieux, lui en posa tout de même, avec un léger espoir, la question.
Tous pour vous et un pour tous ? Oui, sans doute, pas avec tout ses camarades mais avec la plupart. William avait d'accord été envoyé à Gryffondor mais ce n'était pas non plus un grand cœur pour autant, il était parfois, sans vouloir l'admettre, extrêmement égoïste.
- Po... Pourquoi tu me sors tout ça ? T'as honte de ta maison c'est ça ? T'en accepte pas les règles ou les traditions ? Mais non, mais arrêtes, et deux secondes avant tu me dis que les Serpentards sont les meilleurs ! Faudrait savoir ce que tu dis aussi !
Alors c'était comme ça que les filles raisonnaient ? Oui tout dire à ses meilleures amies, ses plus intimes secrets mais par contre, rien, mais rien à part des insultes à son petit-ami ! William lui ne racontait jamais rien à ses camarades, déjà parce qu'il était pas de nature à aimer parler de ses problèmes, mais deuxièmement parce qu'il aurait trop peur que ceux-ci soient répétés.
- Très drôle ! Lâcha-t-il, de toute façon tu aurais tellement mal dessiné que j'aurais même pas compris !
Ce qu'il venait de dire, était vraiment très bas. Mais il était tellement frustré de savoir que ses amies avaient été au courant et pas lui. C'était peut-être de la jalousie, peut-être pas...
Elle se lançait un long discours des plus touchant. Oui, c'est vrai, qu'aurait-il fait ? Il aurait sans doute souffert en silence. Il se serait sans doute tut. Elle le fixa longuement, serra sa main droite. Il n'ouvrit pas la bouche lorsque d'un son grave il répondit ne sachant s'il était sérieux ou simplement pour bien paraitre :
- J'aurais vécu pour ceux qui n'en n'ont pas eux la chance, parce que si j'aurais été si malheureux, je n'aurais plus eut de vrai but alors...
Elle répondit franche à sa dernière question. Peut-être même un peu trop franche. Il hésita à répondre, voulant tout de même garder une part de mystère dans son acte.
Par conséquent ce n'est pas pareil pour toi ? Quoi ? Et comment pouvait-elle l'affirmer ? Pourquoi ce ne serait pas pour la même raison à près tout, il n'en savait vraiment pas lui même pourquoi alors ça aurait tout aussi bien pu être ça ?
- Ce n'était pas pour...
Quelqu'un l'interrompit dans sa démarche, tournant la poignée de la porte. William se demandais si cette personne savait réellement qui était ici et pourquoi. Étais-ce un collé qui n'avait pas été prévenue du report de sa retenue ou simplement un curieux qui essayait de voir s'il pouvait entrer ou mieux, quelqu'un venu pour les sortir d'ici.
Il ne finit pas sa phrase, priant pour que la porte s'ouvre, mais elle ne le fit pas, restant tout aussi immobile. Une personne poussa une exclamation, sans doute content de ne pas avoir à entrer dans la pièce et William le comprenait.
Elisabeth resta dans cette même étreinte. Le regardant de ce même regard flamboyant. Il ne détourna pas la tête pourtant et sans changer de ton il la prévint alors :
- Si tu ne veux pas que j'entre dans ton esprit, ne m'en donne pas envie...
Chose qui arriva. Dans des murmures par milliers, il n'en comprit qu'un :
*je suis partie parce que je t'aimais mais ça évidemment tu peux pas le comprendre*
Il détourna aussitôt le regard. Avec un léger sourire, celui-ci d'avoir réussit à arraché quelque chose à la plus digne des serpentards. Il ne répondit pas à ses pensées notamment parce qu'il n'était pas sensé le savoir mais secondement parce qu'il n'y avait rien à redire.
Tous les serpentards n'étaient pas les même... hem... bon ok... il fallait bien l'avouer. Bien qu'il refusait souvent ses tords, William ne pu pas ce borner à dire non. Ou alors l'avouer à moitié...
- Bon, d'accord, je dois l'avouer, uniquement parce que je ne vois que toi qui soit différente d'eux mais le reste... vous êtes tous les mêmes, se buta-t-il
Elisabeth posa enfin une question épineuse. Ne sachant comment la prendre, il railla sur l'humour. Elle était sérieuse ou le testait-elle ?
- Houla... c'est la question piège hein ? C'est la dernière qui vaut le plus points c'est ça ? Pas de chance je n'ai pas réviser ce chapitre, tu me pose une sérieuse colle. Tu veux pas m'en donner une autre, j'aurais peut-être plus de chance avec la prochaine ? Interrogea-t-il
Puis il redevint sérieux :
- Pourquoi tu me demandes ça en faite ? C'est... tu veux vraiment savoir ? J'en ai aucune idée... je ferais comme si rien ne c'était passé. Pourquoi ? Que veux-tu que je fasses ?
C'est pas vraiment à elle de répondre. Mais il avait subtilement retourné la question une fois de plus. Lui aussi était malin comme les Serpentards.
Dernière édition par William Allen le Sam 20 Déc - 23:56, édité 1 fois (Raison : Police d'écriture)
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 21 Déc - 2:49 |
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Elle jouait sans vouloir vraiment l’admettre, elle jouait à sourire sans jamais vouloir dire se qui avait faillit venir sur ses lèvres. Il ne manqua pas de lui demander de finir sa phrase, toujours aussi avide de curiosité, mais elle ne contenta pas son appétit féroce, avec dans les yeux cette flamme de perversion qui laissait entendre que jamais, non jamais il ne saurait la fin.
Elle souriait face à lui, et s’amusa avec le bout de son doigt à lui tapoter le nez en douceur. Son sourire s’amplifia de malice, comme une enfant qui aurait découvert la cachette a bombons.
-Une serpy aussi…moi what else ?
Phrase qui ne voulait rien dire pour celui qui ne connaissait de la jeune fille que la surface de ses atouts. Toujours entretenir le mystère et ne jamais tout dévoiler. Si Will voulait vraiment connaitre la fin de la phrase, il lui faudrait alors faire preuve de plus d’attention à son égard. S’il devenait attentif, si en silence il l’observait alors peut être, oui peut être apprendrait il a connaitre vraiment Elisabeth Winster.
Un point pour lui, comment ça encore un ? Hey ho n’allez pas croire que la serpentarde était en train de se faire bouffer par un griffy…Pas du tout…simplement il fallait admettre que son discourt passé et celui qu’elle venait de faire était vraiment contradictoire. Les serpy sont les meilleurs d’un coté et d’un autre les serpy sont des imbéciles…Vraiment, la logique et elle sa faisait deux.
Elle ne laissa rien paraitre de cette confusion, inutile de lui faire remarquer qu’il était dans le vrai. Comme à son habitude quant elle sentait qu’un sujet lui échappait elle haussa les épaules.
-Rha mais c’est toi qui mélange tout ! Les serpentards sont les meilleurs c’est indéniable et indiscutable surtout avec toi…Seulement bien qu’ils soient les meilleurs certain d’entre eux sont stupides et trop attaché a de veilles valeurs qui tiennent pas la route. Moi je suis pour que les choses bougent…Sauf que les serpentard eux sont attaché a leur satané valeur ancestrales..Tu comprends c’est sa qui est idiot…Pis non j’en accepte pas les règles ! M’enfin c’est normal sa, aucun serpy n’aime se plier au règles alors tu me vois moi me soumettre a des règles établie par une bande de gamins idiots ? Non vraiment hein…je suis fière d’être a serpentard mais je ne suis pas fière d’être sans arrêt assimilé a se que ma maison représente…comment on pourrait être fière d’être lâche ? Rusé sa je veux bien c’est un compliment mais lâche je m’en passe volontiers…Enfin bref c’est compliqué..
Elle lui lança son regard des grands jours, celui qu’elle utilisait lorsqu’elle voulait signifier a quelqu’un que le sujet devenait trop ardu et qu’il valait mieux pour lui ne pas essayer de lui prouver par A plus B que tout cela était dénoué de logique et ne tenait pas la route. Dans sa tête tout était parfaitement bien expliqué mais elle avait du mal à l’exprimer voilà tout. Sa réplique aussi basse qu’enfantine la vexa outre mesure.
Sa mou se fit boudeuse. Will n’avait plus en face de lui la grande serpy mais la petite fille a qui on à lancer une réflexion qu’elle n’a pas apprécié. Sans le savoir, il venait de lui rappeler la fois ou elle avait voulu dessiner une vache et ou Elynn admirant son dessin c’était écrié « whaa il est chouette ton chameau Elisa » De ce jour, la verte avait jeté ses crayons et n’avait plus jamais dessiné quoi que se soit…Avec elle, même un simple chaudron finissait par ressembler a tout sauf a ce qui devait être. Vexée, elle lui jeta
-Haha très drôle, t’as pas vue je suis pliée de rire..Pff toute façon t’aurais rien compris pas parce que je dessine mal mais parce que tu y aurais mit toute ta mauvaise volonté comme tu sais si bien faire.
Et toc ! Ola, sa virait aux enfantillages cette fois ci. Pour peu la verte en aurait rie tellement sa devenait ridicule.
Le sujet suivant rendit toute sa gravité a la discutions. Se pouvait il que par delà leur différence ils arrivent à se comprendre un peu ? Juste un tout petit peu ? Son ton était grave, et Elisa hocha la tête.
-Bah voilà..T’as compris..J’étais si malheureuse que j’avais plus de but…Je me trainais dans le château, j’avais plus envie de rien…j’avais l’impression de ne plus avoir qu’un grand vide en lieu et place du cœur…Je suis partie pas parce que c’était plus simple mais simplement pour me rappeler se que vivre voulait dire.
Elle était plongée dans son regard. Le temps d’une seule réplique ils avaient réussi à baisser légèrement le ton et a être honnête l’un envers l’autre. Certain aurait qualifié cela de miracle d’autre de prouesse, mais pour tout deux c’était peut être simplement le moment venu de se dévoiler vraiment.
Il ne termina pas sa phrase. Un élève qu’Elisa avait envie de maudire en cet instant actionna la poignée de la porte. Aussitôt leur attention à tout deux se porta vers l’ouverture. Qu’attendait-il vraiment ? D’être libéré ? La serpy retenait son souffle, une partie d’elle-même espérait que la porte s’ouvre et que la délivrance vienne..Mais une autre, bien plus enfouie avait envie de retenir ce moment a jamais. Quant enfin le curieux parut s’être éloigné elle reprit possession de ses yeux.
-Ce n’était pas pour quoi ? Il semblerait que tu n’es pas fini ta phrase…Enfin pas grave t’allais surement dire que ce n’était pas pour ça mais que c’était simplement parce que t’avais envie de jouer un peu.
Malgré elle, sa voix avait laissé transpercer plus de tristesse qu’elle ne l’aurait voulu. Elle aspirait à se montrer piquante une fois encore, mais au lieu de ça le ton de sa phrase sonnait presque comme un regret.
Son regard sondait le sien, elle se noyait de plus en plus oubliant toute mesure de prudence. Comment se souvenir après se qui venait de se passer qu’il ne fallait pas regarder un légélimence dans les yeux ? Et encore moins se concentrer sur son regard. Will lui rappela la prudence au moment même ou une pensée des plus fatalistes lui traversait l’esprit. Elle baissa les yeux comme pris en faute.
-Désolée, faut que je m’habitue a tes facultés.
Ce fut lui qui pourtant détourna le regard affichant un sourire qui laissa la verte perplexe. Qu’avait-il donc à sourire comme ça ? Etrange…Enfin pas plus étrange que le fait qu’elle venait de prononcé le mot « désolée ». Et voilà, plus têtu qu’une mule celui là ! Rien à faire il n’en démoderait pas ma parole !
-Ha parce que pour te fonder sur ta théorie tu as bien entendu déjà essayé de discuter avec TOUS les serpentards ? Non mais moi je dis ça mais je dis rien hein…M’enfin si tu te base que sur un échantillon de vert pour établir tes idées pas étonnant que tu sois autant dans le faux. Non on n’est pas tous les même justement ! Je suis loin d’être l’unique serpentarde intelligente. Et puis zut Will si à chaque fois que j’avance quelque chose tu me contredis on en finira jamais ! C’est à croire que sa te plait d’être enfermer avec moi ! On jurerait que tu fais même tout pour que notre devoir avance pas et qu’on doive revenir encore et encore…non mais vraiment..Oh réveille toi c’est moi Elisabeth..Tu te rappel ? La serpy hautaine, froide, sinique, sarcastique et j’en passe et des meilleures…Sa y’est tu m’as remise ? C’est bien alors, peut être que du coup tu vas accepter de me laisser avoir un peu raison même si tu ne crois pas un mot de se que tu vas écrire.
Rho, non mais sa faisait plus de…combien de temps déjà ? Ha bah zut elle en avait perdu le compte..Enfin sa faisait longtemps surement qu’ils étaient là et pas une ligne n’avait été écrite. Il était grand temps de se reprendre. Sa rhétorique avait un brin d’insolence, un soupçon de sarcasme et peut être même un tantinet d’humour…A dire vrai, il y avait fort a parier que sa serait pas du tout au gout du gryffondor, mais tant pis.
Au lieu de prendre sa question avec sérieux il se mit à jouer de l’humour avec. Cela eut pour effet de faire silencieusement grincer Elisa des dents. Pas moyen avec lui de savoir se qu’il pensait de tout ça.
-Très drôle ! Oui bravo t’as gagné c’était la question a 1000 morilles..Mais quel dommage tu as raté l’occasion !Une autre question ? Ouai..Tien j’en ai une tout aussi marante tu vas voir…Will est ce que tu éprouves encore des sentiments pour moi ? Quoi que la question serait plutôt de savoir si tu as une seule fois éprouvé des sentiments à mon égard justement.
Là c’était plus de l’humour sa devenait du sarcasme. En plus elle était persuadé qu’il trouverait le moyen de se défiler ou pire encore de se montrer plus malin qu’elle. Il fallait avouer qu’il l’avait bien cherché quant même.
Soudain il redevint sérieux. Indirectement, il répondit se que justement elle craignait d’entendre. Ainsi, il ferait donc comme si rien ne c’était passé. Bien…Encaissé le cou…ne pas montrer surtout qu’elle venait encore de s’en prendre une en plein cœur…Ravaler sa salive…ravaler au passage sa fierté…ravalé aussi ses sentiments…ses larmes…Et afficher un grand sourire idiot qui sonnait aussi faux qu’une fausse note au milieu d’une symphonie.
-Je..Oui je voulais savoir…Mais…c’est…Enfin c’est parfait…non vraiment c’est exactement se que je voulais que tu fasses…c’est vrai quoi je n’avais pas très envie de passer une nouvelle fois pour la quiche qui se fait avoir par un griffon mignon..Et je n’avais pas non plus très envie qu’on puisse croire que tout les deux on s’aimait…Hein, oui sa serait dérangeant pour mon image qu’on m’assimile a toi…tout comme sa doit l’être pour toi…non vraiment Will tu as choisi la plus sage des décisions.
Comment dire le parfait contraire de se que l’on pense ? Comment réussir à dire tout ça sans montrer a quel point sa fait mal ? Peut être grâce a l’éducation serpentarde justement…Elisa releva la tête et inspira profondément. Son regard dériva vers la porte toujours éternellement close. Ses yeux se reportèrent dans le regard de Will…Au diable les précautions anti légélimence..S’il s’aventurait dans son esprit en cet instant il n’y verrait qu’un immense lac…Elle secoua la tête.
-Les gryffondors ne sont pas tous les mêmes non plus apparemment. Je pensais que les rouges étaient tous courageux et fier d’assumer leurs actes. Visiblement tu échappes à la règle. Enfin..Je comprends…
La main d’Elisa tenait toujours celle de Will. Elle comprenait, elle comprenait rien oui ! Et surtout pas pourquoi sa faisait si mal de le voir dire de telle chose. Il parait que dans la vie il suffit une fois d’être honnête pour que tout change. Elisa sonda le regard du rouge. Un silence lourd s’installa entre eux. Lentement elle se rapprocha de lui et termina son chemin contre sa poitrine. Elle posa sa tête sur son épaule et comme dans un murmure elle souffla à son oreille
-En faite, si quant on sortira d’ici tu feras celui qui n’as absolument rien vécu si ce n’est une effroyable retenue…Sa veux dire que je peux tout te dire ? Tout sans restriction ? Sa veut dire que si je te disais là que tu m’as manqué, si je te disais que j’ai envie que tu me prennes dans tes bras..Tu oublierais tout dés que la porte se sera ouverte ?
Une réponse, une seule peut changer tout le cours d’une histoire….Restait à savoir si Will a travers le maigre espace qui les séparait ressentirait les battements de son cœur.
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Dim 21 Déc - 21:04 |
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Elisa ne laissa pas le suspense tomber. De son sourire malicieux elle n'avoua toujours pas les derniers mots de sa phrase. Elle souriait toujours devant lui, lui tapotant le nez. William ne se laissa pas emmener, et lui rattrapa la main pour la reposer hors de son visage.
- Ce que tu dis ne veux rien dire. Allez, quoi, tu n'en mourra pas d'avoir faillit échapper deux, trois mots et si ce n'était pas toi qui va me le dire, j'irais chercher la réponse moi-même, menaça-t-il voulant lui aussi profiter de son pouvoir
Elle haussa les épaules, exaspéré. Enfin c'était vrai ! Comme s'il ne comprenait rien, mais c'était elle qui se contredisait ! Il y avait cependant du vrai dans ce qu'elle tentait de lui expliquer. Les Serpentards étaient sans doute un peu trop conservateurs d'anciennes règles.
Elle lui fit comprendre avec un de ses nombreux regards, qu'elle ne souhaitait pas poursuivre la discussion. Il ne résista pas, ce n'était pas le sujet qui l'intéressait le plus.
Il y aurait mit toute sa mauvaise volonté ? William s'enflamma aussitôt, comme il en avait la fâcheuse habitude. Il la repoussa violemment, avant de s'écrier :
- Toute ma mauvaise volonté ? Tu vas voir si je vais la mettre puis qu'il y a apparemment que ça que je sais faire ! Mais c'est quoi le rapport avec tes dessins médiocres ? Hein ? Tu passes d'un sujet à l'autre !
Tentant de se calmer, il se tut sur la suite.Elle lui expliqua, calmement la réelle raison de son départ et bien que William ne l'eut toujours pas comprit, il ne répliqua au ton grave qu'elle avait prit.
Et alors qu'il s'était apprêté à répondre, quelqu'un actionna la poignée, brisant ainsi l'instant. Elisabeth se sentit agressé et finit sa phrase avec sans doute plus de tristesse qu'elle ne l'aurait voulut.
Bon, d'accord, il s'entêtait un peu trop. Il ne put pas aller plus loin, cela aurait été ridicule. Il révisa alors ses positions :
- Quoi ? Mais tu crois vraiment que j'ai que ça à faire que de me taper la discut' avec tous tes camarades ? Qu'est-ce que tu racontes, bien que non j'aurais préféré faire autre chose ! Mais maintenant c'est finit, on ne peux PAS sortir Elisa, alors arrête de te demander si il n'y avait pas eut... et si je n'avais pas... parce que c'est arrivé comme ça, je n'ai rien demandé pour ça ! Et puisque oui, je n'ai pas que ça à faire, je veux bien écrire les idioties que tu me dicteras mais et uniquement pour en finir !
Manque de chance, elle aussi railla tout aussi bien sur la question suivante. Sans hésiter un instant sur ce qu'elle allait dire, elle enchainait. Posant de ces questions encore plus franches et délicates que les filles se posent souvent, elle lui demanda trop sérieusement pour qu'il tourne à l'humour.
Est-ce qu'il avait déjà éprouvé des sentiments pour elle ? Oui, il y a bien longtemps pour que ceux-ci reviennent. Est-ce qu'il en éprouvait maintenant ? Il ne pouvait pas vraiment le dire avec certitude.
- Si, lâcha-t-il sans préciser s'il répondait à la première ou la deuxième question, et aussi parce qu'il ne voulait le préciser
Elle était d'accord avec lui sur la façon de gérer leur histoire. Ne rien dire, faire comme si de rien. Même si elle avait l'air cohérente, William ne put s'empêcher de penser que ça ne lui plaisait pas.
Elle enchaina, lui faisant remarquer que lui non plus n'était pas vraiment courageux. Il ouvrir la bouche pour répliquer, mais au même moment elle posa sa tête, lentement contre son épaule. Il se tut, puis elle lui murmura à l'oreille.
Elisabeth pensait longtemps à l'avance, avec les conséquences, ce que lui ne savait pas faire. Mais si cela se passait comme ça ils pourraient tous se confier. Il croisa, à sa demande, ses bras autour d'elle.
- Et si moi je te répondais que tu m'as manqué aussi mais que je n'osais pas le montrer, tu me prendras toujours -une fois derrière cette porte- pour le Gryffondor exemplaire qui a toujours assumé ses actes sauf ceux que je viens de faire ?
Dernière édition par William Allen le Lun 22 Déc - 1:41, édité 1 fois (Raison : Police d'écriture)
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
Nombre de messages : 1955
Age : 43
Maison : Serpy un jour serpy toujours
Emploi : Elisa de jour...Bella de nuit
Humeur : En manque...='(
Feuille de personnage Côté coeur: Il est mon âme, ma vie, mon tout...Scorp' Camp: Les deux Niveau magique: (73/100)
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Lun 22 Déc - 2:45 |
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Elisa retourna à Will un regard suspect. Non, il ne pouvait quant même pas oser se servir de ses pouvoir contre elle ? Mais c’était plus du jeu sa ! Là vraiment elle n’était pas contente, elle avait horreur de ne pas dominer une situation et encore plus de se sentir pris en tenaille. En gros soit elle lui disait la chose, soit il allait lui-même la chercher. Sans parler que si il faisait ça, il pouvait très bien tomber sur un tout autre souvenir qui n’avait aucun rapport avec se qu’il chercherait. Sa ressemblait presque a une violation du droit privée ça ! En même temps, elle ne pouvait pas dire que cela la choquait plus que ça. Will était un griffon et les Griffon sa aime mettre son nez partout et tout savoir.
-oh que non…tu n’oserais pas faire ça ! Je t’ai déjà interdit d’entrée dans mon esprit ! C’est déloyales comme méthode ça ! Tu n’as pas le droit d’entrer dans ma tête comme bon te semble pour y chercher des choses qui ne regardent que moi…Si tu fais sa je…je…je ne sais pas se que je te fais mais tu t’en souviendras ! Et pour ta gouverne si…Sa serait effroyablement gênant si je finissais moi-même ma phrase !
Son regard se fit plus noir, elle se redressa et tacha de ne plus trop le fixer bien que cela soit difficile. A sa manière de se tenir, tout en elle traduisait qu’elle le mettait au défie de s’infiltrer dans sa tête. En gros si il le faisait elle ne répondait pas de se qu’elle lui ferait subir.
Will était un tantinet soupe au lait et il suffisait qu’elle allume un tant soit peu la mèche pour qu’il s’enflamme de plus belle. Assurément entre eux deux cela semblait bien impossible qu’ils se parlent sans se disputer. Même si parfois se n’était pas méchant cela pouvait très vite virer aux insultes.
Il la repoussa violemment se qui eut pour effet de l’offusquer encore d’avantage. S’il voulait jouer avec les mains, elle aussi pouvait être de la partie. Elle se rapprocha de lui et d’un geste brusque le poussa en arrière. Une lueur de défie se dévoila dans ses yeux. Jeux de mains, jeux de vilain. Elle savait qu’elle n’était pas de taille niveau force face a lui.
-T’as pas bientôt fini d’être aussi soupe au lait ? Alors quoi, il suffit que je te titille un tant soit peu pour que tu perdes ton calme…c’est vraiment désopilant franchement ! Et puis…On t’a jamais appris qu’il ne fallait pas porter la main sur une fille ? Et pour la dernière fois, mes dessins ne sont PAS médiocres ils sont juste…heu…abstrait…
Oui, tellement abstrait que même Picasso en devenait plus compréhensible. Enfin il sembla revoir ses position et devenir plus clément a gérer leur affaire. Ceci étant, elle aurait aimé qu’il mette moins de conviction dans son envie pressente de sortir des lieux.
Elle savait bien qu’ils ne pouvaient pas sortir, elle savait bien aussi qu’il ne pouvait pas discuter avec tous les serpentards..Mais se qu’elle avait voulu lui faire comprendre passa encore à coté. Elle soupira et pour une fois décida de ranger les armes. Puisqu’il voulait sortir et bien suffisait d’écrire. Navrée que sa prenne cette tournure elle dicta a sa plume a papote toujours installer a la table ou ils étaient plus tôt les phrases à écrire.
-Je sais qu’on ne peut pas sortir Will…Seulement moi, j’ai déjà discuté avec d’autre gryffondor figure toi ! Et je ne considère pas ça comme un acte de perte de temps ! Mais bref…t’inquiètes pas tu vas sortir d’ici et tu vas pouvoir reprendre le cours de ta chère vie loin de moi puisque c’est se que tu veux ! On va en finir oui ! En finir avec cette dissertation sa c’est sure ! Seulement je ne suis pas certaine que sa nous aura emmené autre part qu’a nous détester d’avantage ! Moi non plus j’avais rien demandé mais les choses sont quand même arrivées et si c’était à refaire..Je…Je crois que je referais exactement la même chose et que je me ferais quant même enfermé avec toi ! Et tu sais pourquoi ?
Non évidement il ne pouvait pas savoir. Ou alors il pensait « parce que t’es maso, complètement tarée, que t’as peté un plomb ou que sa te plait de me gâcher la vie ». Mais la réponse était loin d’être une de celle là. Gravement elle leva la tête et se plongea dans son regard. Sa devenait une habitude.
-non…évidement tu ne sais pas…Tu peux penser se que tu veux mais je ne suis pas folle si c’est se que tu te dis….
A sa question il lâcha un simple « si ». Elle était bien avancée avec ça, comment savoir si sa signifiait qu’il l’avait aimé ou si sa voulait dire qu’il l’aimait encore. Non mais vraiment, il passait son temps à dire qu’elle était complexe mais lui-même ne facilitait pas le travail. Exaspéré elle soupira. Inutile de lui demander se que se « si » voulait dire, elle savait qu’il ne répondrait pas ou pire qu’il ferait encore de l’humour sarcastique.
-Et bien…passé ou présent au moins maintenant je sais qu’on peut parler de sentiments. Je ne changerai pas le passé William même si je le voulais vraiment je ne pourrais pas le faire…Mais sache une chose …la nuit ou on a déserté Poudlard , enfreignant toutes les règles et ou on a été se balader dans la neige fraiche…tu te souviens ? Et bien cette nuit là quant on a terminé enveloppé dans une couverture dans la cabane hurlante..Je n’ai pas regretté que sa ait été avec toi…Même si ensuite certain on trouvé le moyen de salir se souvenir en racontant que je n’avais attendu que cela .
Elle savait qu’il comprendrait et ne pouvait plus entrer dans les détails. Miss Miller n’était pas loin et elle ne désirait pas vraiment que sa vie intime soit exposée aux oreilles de son professeur.
Alors qu’elle était certaine qu’il allait la repousser, il répondit à ses vœux en la prenant dans ses bras. Aussitôt son sang afflua dans ses veines et une chaleur se diffusa dans tout son corps. C’était si doux, si confortable, si emprunt de souvenirs. Machinalement elle ferma les yeux et s’enveloppa dans son parfum.
Un moment elle ne répondit pas à sa question restant juste immobile dans ses bras. Soudain l’idée que la porte s’ouvre lui devint difficile à accepter. Pourtant cela finirait par arriver et une fois encore il s’enfuirait en la laissant seule. Se serrant d’avantage dans ses bras elle répondit doucement
-Non…Je te prendrais alors pour le gryffondor qui a essayé d’assumer sans réussir à le faire. Quoi qu’il advienne quant cette porte s’ouvrira moi je n’oublierai rien..Mais je te jure de ne rien dire a personne et de garder tout pour moi si c’est se que tu désires…une fois la porte ouverte tu seras a nouveau libre…Si tu me disais que je t’ai manqué alors je te dirais simplement que nous avons été tout les deux des idiots. Et…puisque tout sera effacé à la fin…si je te disais qu’au fond de moi je suis loin de te détester est ce que une fois la porte ouverte je redeviendrais l’insupportable serpy qui veut toujours avoir raison ? Si je te disais que dans chaque mec avec qui je suis sortie c’est toi que je recherchais serais je alors toujours cette peste doublée d’une fille facile ?
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Lun 22 Déc - 22:48 |
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William souriait plus que jamais. Elisabeth était entré en une crise stress. Elle enchaina ses phrases, William se demandant quand allait-elle respirer ? C'était vrai, William avait les oreilles qui trainaient et la langue bien pendue. Plus curieux que lui n'existait pas, ou avait disparut du paysage pour s'être attirer des ennuis. Oui, c'était sans doute une violation du droit, mais en même temps dans l'histoire y avait-il eut une seule fois respect de celui-ci ?
- Que si que je vais essayé ! Tu crois vraiment que je vais me gêner ? Tu as un esprit faible Elisabeth... Oh oui, oui, je m'en souviendrais sans aucun doute, mais je n'ai pas peur de toi, fit-il moitié sérieux, moitié amusé, effroyablement gênant ? Mais c'est justement pour ça que je veux savoir, parce qu'après avoir franchit cette porte, on se souviendra de rien, n'est-ce pas ? Demanda-t-il pour être sûr
William eut droit une fois de plus à son regard noir avant qu'elle ne tourne la tête, et à cet instant leur regard ne se croisèrent plus. Ricanant à moitié de se refus.
- Ne plus me regarder ne changera rien tu sais ? Et tes amies m'ont tellement fait honneur en me regardant de travers que j'ai presque envie de te faire payer, avoua-t-il
Elisabeth s'offusqua d'autant plus lorsqu'il la repoussa comme une vulgaire poupée de chiffon. A son tour elle le cogna contre le mur si brusquement qu'il ne vit rien venir. Elle semblait vouloir le défier à ce jeu. Il se redressa avec peine avant de lui adresser conseille :
- On va pas recommencer ? Si ? Interrogea du sourire le plus narquois qu'il eut, tu sais comment ça c'est fini la dernière fois ? Notre chère professeur serais vraiment désolé de nous voir nous livrer à un combat aussi pitoyable, d'autant que tu sais que je suis plus fort que toi. Et dire qu'on a toujours rien fichu depuis bientôt trois heures, voir plus ou moins, y'a pas d'horloge ici...
Bon, d'accord, c'est vrai, au fond de lui il le reconnaissait, mais il le pouvait pas l'avouer aussi facilement devant elle, il serait passé pour quelqu'un de faible.
Oui, écoutes-la un peu, Fiston, les Serpentards ne sont pas tous aussi restreints, ça leur arrivent de dire des trucs intelligents, par exemple de dire que t'es un crétin qui a attrapé la rage...
- Et bien commences par arrêter de me "titiller" comme tu le dis ! Pourquoi ce serait moi qui devrais m'arrêter le premier ? Arrêtes d'abord de m'énerver et on verra après ! C'est ton comportement, oui, qui est désopilant ! Je n'aurais pas à le lever la main sur toi si tu arrêtais de me traîner comme un imbécile Elisa ! J'ai un cerveau ! Merci de t'en rendre comptes ! Je ne...
Ce fut alors sa conscience qui le coupa dans son élan :
- Parle pas trop vite, on a encore été vérifié...
Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. William plus énervé, perdit le fil de ses conversassions et oubliant de parler par la pensée, ce mit à hurler à son deuxième esprit.
- Et puis toi tu vas te la fermer !
Il regretta aussitôt ses derniers mots. Il avait dû passer pour un idiot. Parler ainsi tout seul, mais en faite William n’était jamais seul, et c’était sans doute ça son grand point fort, de ne jamais avoir connu la solitude par que sa conscience était toujours avec lui.
Enchainant ses réponses, elle lui avoua -se qui surpris William- que si leur histoire était à refaire, alors elle la referait telle quelle. Étrange de sa part parce qu'elle l'avait toujours rabaissé et dit vouloir posséder un retourneur de temps. Elisabeth avait railler qu'il soit dommage qu'elle ne puisse pas revenir à sa conception, il était pour ses raisons, étrange qu'elle eut recommencé de cette même manière s'il avait été aussi ingrat avec elle. Et lorsqu'elle lui en posant à la question, il répondit tout de suite, sans réfléchir :
- Non, je ne sais pas, mais j'aimerais bien...
Elle le coupa, et ne répondit pas à sa demande. Prétendant qu'il devait la prendre pour une folle, ce qui était faux. Bon, d'accord elle avait des moments étranges, mais lui aussi et chacun devait en avoir ! Pour toute réponse, il se limita a un hochement négatif de la tête, pensant qu'ouvrir la bouche n'en fallait pas la peine, il se contenta de mimer.
Elle continua par relater un des plus beaux épisodes de leur ancienne relation. William qui n'aimait pas parler au passé préféra ne rien répondre et passer au sujet suivant, mais il ne put s'empêcher, tiraillé entre se taire ou avouer :
- Ce sont les autres qui ont déformés. C'était moi qui avait attendu ce moment parce que j'étais sur toi depuis longtemps mais j'ai préféré attendre... ils ont tout renvoyés sur toi, je dois te l'avouer...
Elle se tut un instant, dans ses bras et William sentit que son cœur s'accélérait. Il posa à son tour, sa tête sur la sienne, se remémorant la dernière fois ou ils s'étaient enlacés aussi forts.
Il répondit à chaque fois, entre deux respirations d'Elisabeth :
- Essayé d'assumer sans réussir à le faire ? Hem... ça me va. Mais moi aussi je suis loin de te détester... mais t'en fais pas pour ça tu es toujours aussi insupportable et t'as toujours malheureusement raison -sauf la fois ou- non, bon quelques fois raison parce que moi aussi des fois j'ai raison et... oui, rassures-toi t'es toujours cette peste et...
A cette remarque il éclata de rire, ne pouvant s'empêcher de rire, l'heure tardive sans doute, il commençait à fatiguer. Elle ? Une fille facile ? Elle voulait rire ou quoi ? Qu'est-ce qu'il lui prenait de dire ça ?
- Ha ha ha ! T... tu veux rire ? Elle est bonne celle-là ! Toi ? Une fille facile ? Ha ha ha ! Oh non, crois moi, il a fallut que je me lèves tôt pour t'avoir, crois-moi !
Dernière édition par William Allen le Lun 22 Déc - 22:49, édité 1 fois (Raison : Orthographe ^^)
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Sujet: Re: destin entrecroisé (William) Mar 23 Déc - 2:59 |
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Grincement de dents, mauvais signe. Regard qui se fait de plus en plus noir, encore plus mauvais, main qui se glisse sous la cape a la recherche d’une baguette de plus en plus dangereux et pour finir une Elisabeth furieuse et rouge de rage et voilà les ingrédients d’une retenue qui pouvait très mal se finir pour l’individu qui jouait avec les nerfs de la verte.
Qu’il veuille entrer dans son esprit, passait encore bien qu’elle ne soit pas du tout d’accord, mais alors qu’il prétende qu’elle était faible ça, sa ne pouvait pas être digérer. Et pour couronner le tout il avait le culot de se payer sa tête ! La goutte qui faisait déborder le vase.
La serpy essaya bien de respirer comme on le lui avait appris pour garder tout son calme, mais rien n’y faisait. Elle mourrait d’envie de planter ses talons aiguilles dans les oreilles de Will et de lui balancer un crache limace en pleine tête. Il avait été trop loin, la goutte qui faisait déborder le vase. Ils avaient beau eut se dire qu’une fois la porte franchis tout serait oublier, Elisabeth elle savait que sa ne serait pas le cas si son secret venait à apparaitre a William. Personne derrière leur prison ne les attendrait pour leur jeter un oubliette, et connaissant le rouge une fois qu’il saurait que son ex petite amie avait dans les veines du sang de gryffondor, il ne lâcherait pas aussi facilement l’affaire.
Elisa sortie sa baguette et la mit sous le nez de Will.
-Je vais te dire Allen, toi et ton legilimencie vous allez aller au diable ! Mon esprit est loin d’être aussi faible que tu le crois, et même si il l’était ma magie elle n’a rien de faible ! Et tu peux faire le malin…tu crois que je ne me doute pas que si t’affiche ce sourire idiot c’est simplement parce que tu sais qu’ici je peux rien contre toi ? Miss Miller veille à ce que tes petites fesses soient sauvegardées. Essaie voir d’entrer dans ma tête juste pour voir …parce que si tu fais ça, crois bien que Miller ou pas tu te retrouveras a genoux à implorer que je t’épargne ! Effectivement une fois passé cette porte on ne se souviendra de rien ! Mais sa n’empêche pas que je ne veux pas que tu ailles farfouiller dans ma tête ni te dire se que tu veux savoir ! Alors fait comme il te plaira mais tu sauras rien !La curiosité est un vilain défaut et énervé une serpy est une mauvaise idée.
Elle l’avait traité de soupe au lait mais en cet instant c’est elle qui devenait carrément du lait en train de déborder de la casserole. On pouvait sentir à travers sa peau toute l’électricité de son énervement. La suite que Will prononça n’apaisa pas la jeune fille bien au contraire.
-Plait il ?T’est en train d’insinuer que tu voudrais me faire payer pour se que mes amies t’on fait ? Non mais je rêve là…Depuis quant un gryffondor se venge gratuitement ? Je suis quant même pas responsable des actes de mes amies ! Si t’en est là les tiens de copains ont tellement raconté d’horreur a mon égard que j’ai bien envie de te faire cracher des limaces pour être soulager ! Là mon vieux tu deviens pathétique ! Je te croyais plus faire plait que ça !
Ne plus le regarder ne changeait rien selon lui, mais elle espérait que sa lui fournirait tout au moins une barrière inviolable a son esprit.
Les voilà qui en venaient aux mains, sa n’annonçait rien de bon en perspective. Surtout que la verte était déjà sortie de ses gons. Il trouva amusant de lui faire la morale comme si elle n’était qu’une enfant. Evidement qu’elle se souvenait comment sa avait fini la dernière fois, pour preuve ils étaient coincer ici a cause de cela.
Elisa tenait toujours sa baguette. Elle était bien décider à lui effacer son sourire narquois qui l’agaçait. Plus elle le regardait et plus elle avait l’impression de faire face a un serpy, sa en devenait déstabilisant.
-La dernière fois..Oui je m’en souviens parfaitement…Notre chère professeur a sauvé ta peau c’est bien ça ? Sinon il va sans dire qu’à l’heure actuelle tu croupirais sur un lit de l’infirmerie. Physiquement tu es plus fort que moi peut être mais pour se qui est du mental sa reste à prouver. Combien on parie que j’arrive à te faire pleurer en un rien de temps ? Rassure toi, je ne suis pas assez bête pour me battre a la moldu contre toi, je préfère de loin les duels sorciers. Ici effectivement on ne peut rien faire…A moins de vouloir attirer les foudres de Miss Miller bien sur. Ha et si on a rien fichu ce n’est pas ma faute ! Ce sujet est nul, comment tu veux qu’on trouve une réponse alors qu’on est tout deux en total opposition ? Franchement Miller aurait mieux fait de nous envoyer nettoyer les toilettes de Mimi plutôt que ça.
Il semblait évidant que rien ne les ferait avancer. Elisa perdait son calme et Will en face n’était guère mieux. Un sage a dit « si tu veux que les autre soit gentils commence par l’être toi-même ». Facile à dire, elle ne pouvait se résoudre à être gentil avec lui .
Dans un sens il n’avait pas tord, si elle rangeait un peu son frein il pourrait sans doute canaliser son énergie ailleurs que sur l’envie de lui taper dessus.
-Sa va, je sais que t’as un cerveau ! Bon tu ne t’en sers pas souvent pour dire des trucs intelligents mais il est bien là. Je veux bien arrêter de t’énerver si déjà tu voulais bien te montrer un peu moins électrique avec moi !Et si t’es pas capable d’éviter de me frapper je te préviens juste que la prochaine fois je serai moins tendre avec toi et que je sauré visé là ou sa fait mal…tien toi le pour dit.
Will venait de hurler. Elisa le regarda avec une sorte de surprise mêler à quelque chose qui ressemblait fort à un choc. Venait il de lui demander fort discoirteusement de se « la fermer » ? Non mais, fallait il calme vite ses petits nerfs lui, on ne parle pas comme ça a une serpy, encore moins a une préfète et..Et pis on ne parle pas comme ça c’était tout.
Seulement, elle avait l’impression que ce n’était pas à elle qu’il s’adressait. Elle jeta un regard au tableau des fois qu’un message soit apparut et qu’elle n’en ait rien vue mais non..Rien…bon…Elle pinça juste les lèvres signe que vraiment fallait qu’il revoit sa politesse ou sa santé mentale un des deux. Enfin bref, elle préféra ne pas trop souligner l’incident.
Plutôt que de s’attarder là-dessus, elle lui livra le fond de ses pensées. Ceci étant comme elle ne voulait subir aucune interrogation a ce sujet elle ne lui laissa pas le plaisir d’en placer une dans son discourt. Elle devina qu’il allait dire qu’il aimerait le savoir mais fit comme si de rien était.
Lorsqu’il secoua la tête pour indique que non, il ne la croyait pas devenir folle, elle lui adressa un sourire de remercîment. Il était vrai qu’un instant plus tôt elle lui avait hurlé vouloir un retourneur de temps pour le faire disparaitre mais dans le fond elle avait quelque peu mentie..Pour la bonne cause.
Will était de ceux qui vivent au présent tandis qu’elle regardait souvent en arrière. Lorsqu’il lui fit une confidence à laquelle elle ne s’attendait pas, elle releva la tête et le fixa dans les yeux. Voilà un passage de leur histoire qui lui avait échappé.
-Ha…Pas étonnant tu me diras vue se qu’ils pensaient déjà de moi…sa devait être plus simple de croire que ça venait de moi…
Elle n’ajouta rien, elle évita même de lui demander pourquoi il n’avait pas pris sa défense à ce moment là, pourquoi il avait laissé les autres croire des choses pareilles. Au font, elle comprenait. Il avait dut lui-même être mit devant le fait accomplie et s’il avait cherché à nier a ce moment là il se serait attiré plus d’ennuie que nécessaire.
Blottie dans ses bras, elle aurait voulu que le temps s’arrête. Sa baguette dans sa main n’était plus une menace. Il posa sa tête sur la sienne et Elisa se retrouva propulser des mois en arrière. Merlin comment une chose pouvait faire à la fois autant de bien que de mal.
La verte espérait que rien ne viendrait troubler leur étreinte. Elle sourit doucement devant sa plaidoirie . Au final, il résumait bien la chose. Chacun avait raison et tord à tour de rôle. Alors a quoi bon se battre pour sa.
-Oui…là tu as raison…c’est ça, on a raison tout les deux en faites ! Et j’aime être une peste et encore plus être insupportable surtout avec toi..Qui aime bien châtie bien non ?
Elle avait dis sa tendrement, sans arrière pensée. Il ne pouvait pas savoir qu’en faite il était un privilégié dans le cœur d’Elisabeth.
Soudain il se mit à rire. Elle rouvrit les yeux et le regarda étonné. Qu’avait elle dit de drôle ?Ha bah celle là elle s’y était pas attendu, il ne la prenait pas pour une fille facile ?
-Mais…Tout le monde m’a dit que tu avais dit que j’en étais une…Sérieusement…mais je te crois quant même…Je n’imaginais pas que tu avais eut autant de mal pour m’avoir. Surtout en faite que la première fois ou je t’ai vue je croyais vraiment que je te plaisais pas du tout…Surtout quant je t’ai dis que j’étais a serpentard…Enfin je pense que ma tête a pas dut être mieux quant tu m’as dit être a gryffondor.
A son tour elle se mit à rire. Fatigue, heure tardive, plein d’émotion…la total, après sa on se contrôle plus vraiment.
Elle dégagea un peu sa tête sans pour autant sortir des bras de Will et déposa un baiser sur ses lèvres.
-Je me ferais quant même enfermé avec toi juste pour le plaisir de pouvoir être à nouveau dans tes bras le temps de quelques heures.
Voilà, c’était dit. Elle lui avait donné la réponse. Quant la porte s’ouvrirait ils oublieraient tout alors pourquoi ne pas soulager son cœur ?
-Si on considère que là nous sommes en train de faire une trêve…sa veut dire que quand la porte s’ouvrira on se ferra de nouveau la guerre ? Parce que si c’est ça autant que je te dise que je crois qu’une chose changera quant tout sera fini…Tu auras plus à m’éviter…c’est moi qui le ferai je crois…
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