Une autre journée...[quelqu'un svp]

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Albert venait tout juste de commencé un autre journée de travail. Une tonne de papier l'attendait sur son bureau aujourd'hui alors pas le temps d'aller faire de la visite dans le ministère pour aujourd'hui il allait que se concentrer sur ses documents pour qu'à la fin de la journée il soit certes épuisé mais content d'avoir enlevé une bonne couche de sequ'il devait complèter au plus vite. Alors avec un bon café la porte à demie-fermée en cas que sa supérieur Madame Granger aille besoin de lui parler. Ensuite il s'assit poussa un soupir de découragement et commença ce qu'il avait à faire.

Il ouvrit le premier dossier. Il ne l'avait pas complèté la veille alors il devait le finir aujourd'hui mais il restait pas beaucoup à y faire. Il traitait de Jonh Gollibourg avec son histoire de vente illégal de dragons. Une grosse affaire qu'il lui avait prit des semaines d'investigations pour enfin trouver le coupable. Il avait été envoyé à Azkaban après avoir était nommé coupable par le Magemagot dont il fesait partit des jurés étant dans le département de la Justice Magique. Il ne fesait que ce travail supplémentaire depuis deux ans maintenant après la démission de Gilbert Longtonnat qui avait cru bon de prendre sa retraite pour se reposer après 53 ans de carrière au ministère. C'était donc à Albert de prendre la relève et continuer ce que son prédecesseur avait commencé. Il aimait faire ce travail en plus de sa fonction au département de la Magie car cela approtait de la variété dans son travail. Mais ses jours-ci il était épuisé et avait hâte que son travail diminu d'une coche pour pouvoir s'occupé un peu de lui.

Il finit le rapport sur le cas de Jonh et le plaça dans la filière dut à cette effet. Il ouvrit avec regrès un autre dossier qui n'avait pas encore eut le temps de parcourir et qui serait sans doute moins de travail que celui dont il venait de finir dut à son volume qui était vraiment moins gros et il n'était pas un cas de priorité sinon il en aurait entendu parler avant d'avoir le dossier entre les mains.

Alors assis derrière son bureau, il l'étudia attentivement et commença un autre rapprot un peu moins garnit d'informations et surtout de conséquences cette fois-ci. Il regardait l'heure de temps à autre pour ensuite reporter son attention sur le dossier devant lui. Il espérait dans le fond de lui-même que quelqu'un vienne le déranger un peu pour briser le silence plate et inssuportable qui règnait dans son bureau présentement... il aimait bien aller en mission avec l'Ordre au moins là il y avait de l'action et pouvait se dégourdir un peu au lieu de rester assis toute la journée à remplir des formulaires de mandat pour les sorciers qui ne fesaient que se fouter des lois mises en place. Pour lui-même sur un ton d'encouragement il se dit.

- Courage Albert il ne te reste que deux dossiers après celui-là...

Que deux dossiers! C'était tout de même beaucoup mais il devait le faire alors il se mit en marche pour enfin finir le dossier qu'il avait ouvert deux heures auparavant. Il prit une petite pause et but une bonne gorgée de café pour se remettre dans l'ambiance et continua par la suite son travail.

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Aelita était assez fatiguée elle n’avait presque pas dormi de la nuit enchaînant garde sur garde à l’hôpital, elle voulait absolument avoir son tutorat de médecin. Pour elle diriger une équipe, son chef, lui dit qu’elle ferait mieux d’aller se reposer qu’ils se verraient de toute façon de nouveau dans vingt quatre heures. Ca faisait presque de cinquante deux heures qu’elle était debout, à trente cinq ans être titulaire d’un service c’était primordiale pour Aelita. Le chef de l’hôpital Sainte Mangouste, lui dit avant qu’elle ne se glisse dans l’ascenseur qu’elle était un très bon médecin et que si elle avait les papiers concernant sont droit d’exercer- qu’elle n’avait toujours pas été chercher depuis le renouvellement de celui-ci - qu’elle pouvait considérer le poste de titulaire comme acquit.

La jeune femme se sentit soulagée en descendant les étages, elle pouvait enfin se reposer l’esprit tranquille. Elle sorti de l’hôpital mais ne se sentait pas la force de transplaner, elle se rendit donc au ministère à pied, il n’était pas très loin de l’hôpital, elle entra dans la cabine téléphonique qui la laissa à l’accueil. La jeune femme y connaissait à peut près tout le monde ici, vu que ses frères y avaient longtemps travaillés même si ils avaient tous étés Mangemorts, il y avait quand même un certains respects pour eux qui flottait dans l’air. Elle prit ensuite l’ascenseur, croisa deux ou trois personnes qui la saluèrent mais, elle n’y prêta pas attention elle avait déjà les yeux fermaient lorsqu’elle entendit le ding pour le deuxième étages.

Elle sortit de l’ascenseur juste avant que les portes de se referment, puis elle se dirigea vers le service administratif du Mangenmagot, c’est là qu’on lui avait dit de se rendre. Bien sûr il y avait trois portes différentes et elle ne savait plus laquelle, elle devait prendre, elle entra donc dans le premier bureau et fit face à une homme qui semblait avoir de la paperasse jusqu’au coup.

- Bonjour, je suis venue chercher mes papiers concernant mon droit d’exercer à Sainte-Mangouste, je suis médecin et…, avait-elle d’une seule traite mais, ses yeux recommencèrent à vouloir se fermer. Pardonnez moi mais je ne me sens pas très bien… puis-je m’asseoir ? demanda-t-elle à l’homme qui était en face d’elle.

La jeune femme était très pâle, bien plus pâle que la normal et des cernes commençaient à apparaître sous ses yeux. C’était la première fois qu’Aelita était si épuisée physiquement mais, aussi moralement, enfin l’épuisement moral elle connaissait vu que ça faisait presque 15 ans qu’elle avait perdu presque tous ceux qu’elle aimait. Heureusement il lui restait son fils, celui pour qui elle se battait sans cesse, si elle voulait le titulariat c’était avant tout pour lui pour qu’il ait une vie plus descente.

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Albert était encore concentré dans ses papiers et tout les choses qu'il avait à faire qu'il n'avait pas vu la femme adulte qui venait d'entrer dans son bureau. Ensuite, il se leva la tête pour regarder une fois de nouveau l'heure et au lieu de voir l'horloge comme d'habitude, il vit Aelita Stones médicamage à St-Mangouste. Il fit un saut de surprise ce qui eut pour effet de renversé son café qu'il était à moitié plein par-terre. Alors il se pencha pour ramasser le verre dans lequel contenait un instant auparavant le café ensuite il dit d'une voix bougoneuse.

- Récurvite!

Le café qui était par terre fut aussitôt nétoyé et le plancher était de nouveau propre plus une trace de caféine. Ensuite, il regardat Aelita dans les yeux et lui dit.

- Bonjours Docteur Stones. Que puis-je pour vous?

Aelita lui expliqua qu'à moitié ce dont elle était venue faire dans son bureau. Elle s'arrêta net de parler et changea de sujet pour lui demander de s'asseoir. Albert voyait que trop bien que la femme devant lui était au bout du rouleau. Elle était cernée et ça paraissait qu'elle n'avait pas dormit beaucoup ses derniers temps. Alors, Albert lui dit.

- Vous parlez d'une question bien sûre que vous pouvez vous asseoir. Bon donc, vous êtes venu concernant vos enregistrement pour exercé à St-Mangouste... je vais vous remplir cela tout suite Madame Stones.

Il allait dans une fillière, sortit un document concernement les enregistration professionnelle et ensuite commença à écrire des informations. Après quelques seconde, Albert demanda à Aelita.

- J'ai rempli les informations que je pouvais mais il m'en manque quelques unes pour complèter le document. Donc nous allons procèder. J'aimerais avoir votre preuve de certification que vous êtes bel et bien Médicomage. Ainsi que votre date de naissance.

Il attendit alors que Aelita répondre les information demandées pour qu'Albert puisse continuer le document en entier.

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Percy Weasley était en train de se battre avec ses neurones . Depuis se matin , il écrivait pour un rapport mensuel sur l'économie de marché , sur le plan du quidditch , il était sans cesse obligé de rouvrir les dossiers écrit pas les membres du Ministère pour bien se renseigné , il s'y penché depuis déjà plus d'une dizaine d'heure , et maintenant , ses yeux était lourd, et de grosse cernes se formé sous ses pupilles ... Il prit un stylot plume dans sa main droite , et il le fit tournit dans ses doigts , tandis qu'il tappoté de l'autre main son bureau d'ébéne noir ... Les informations ne semblaient plus vouloir venir . Il repoussa sa chaise en arrière , et commenca a faire les centpas , tandis que tout se mélangé dans son esprit confus , après si peu de sommeil . Percy regarda le mur en face de lui , prit soudain par un envi de sortir un peu s'aéré . Il prit donc son manteau , sa baguette , et puis il se coiffa un peu , et d'un coup de baguette magique , déclencha des sorts de protection de grande puissance autour de son bureau . Il rangea sa baguette dans son étui dorée , a sa ceinture . Il continua a marché doucement vers l'ascenseur ... Il était au premier étage . Il ouvrit la porte de l'ascenseur , et appuya sur le bouton du deuxième étage . Normalement , il aurait bien quelque chose a faire la bas ... Il sentit que la cage s'élevé , et il entendit une cloche rententir , et la porte de cuivre glissa doucement . Il franchit la porte , l'air épuisé , puis il avanca ... Les gens semblait plus ou moin préssé .
Au détour d'un couloir , il apperçu le chef du service des usages abusifs de la Magie . Ha , il allait enfin pouvoir avoir une discution sérieuse pour s'ouvrir au monde aujourd'hui .Mais a côté de lui il ne reconnut pas tout de suite la jolie jeune fille ... Percy sourit en la voyant , et il avanca doucement vers les deux jeunes gens . Le Ministre le dédia un clin d'oeuil , et dit a quelque pas d'eux :

"Bonjour a vous . Mister Bonnacy", dit il la voix forte , en lui sérrant la main
"Bonjour , Miss Stones . Aelita et un prénom superbe . Vous êtes la nouvelle Directrice de Saint Mangoust ??"

Percy sourit , et puis il pensa soudain qu'il devait retrouvé sa femme chérie d'ici une heure a peine pour allé dans le centre ville , retrouver Silice ,sa plus jeune fille ... Les deux jeunes gens avait l'air en pleine discution ...

Invité

L’homme en face d’elle lui dit de s’asseoir apparemment il avait déjà entendu parler d’elle alors qu’elle ne le connaissait pas. L’homme lui accorda alors le droit de s’asseoir la jeune femme prit place dans le fauteuil, elle se sentait déjà un peu mieux. L’homme prit alors une fiche et commença à la remplir quand il lui dit qu’il lui fallait la preuve de son certificat comme quoi elle était bien Médicomage. Elle fouilla alors dans son sac à la recherche du dit papier qu’elle était sur d’avoir emmené avec elle une fois qu’elle l’eut retrouvé elle le tendit à l’homme qui était devant elle.

- Oh ma date de naissance oui, c’est le 7 juillet 1980, lui dit-elle en passant le bout de ses doigts sur son front.

C’est alors que la porte s’ouvrit sur Perceval Weasley, la jeune femme ne l’avait pas encore revue depuis qu’il avait quitté Poudlard. Il était un homme à présent et il était très élégant, elle aurait bien voulu se lever mais, elle ne se sentait pas capable de le faire pour le moment. Le ministre salua les deux adultes puis fit un compliment à la jeune femme, il lui demanda ensuite si elle était la nouvelle directrice de Sainte-Mangouste.

- Oh…, non monsieur le Ministre, dit-elle en commençant à rougir légèrement. Je…, je ne suis qu’une interne pour le moment mais, mon chef de service voudrait me titulariser c’est pour ça que je suis venue ici, lui dit-elle en le regardant.

La jeune femme avait du mal à croire que l’homme qui se tenait devant elle était flirté avec une de ses amies. Oui, elle avait connu Pénélope Deauclair qui était une excellente Préfète et aussi une bonne personne, douce et gentille.

Invité

Avant que Aelita aille le temps de lui donné les informations qu'Albert lui avait demandé pour le document qui consistait l'accèdation à la titularisation de celle-ci, que Monseiru le Ministre en personne entra à son tour dans son bureau. Albert devra certainement faire du temps de surplut aujourd'hui si cela continuait ainsi. Il serra alors la main du Ministre qu'il n'était surement pas venu ici pour le simple plaisir soit pour lui parler de quelque chose de professionelle ou en ce qui concernait l'Ordre du Phénix car il en était le chef.

Après s'être assis, de nouveau, il dit à l'adresse du ministre avant de pousuivre dans le document qu'il avait commencé avec Miss Stones.

- Monsieur le ministre, je serais à vous dans quelques instants. Le temps de finir avec Miss Stones. Il ne m'en reste que pour dans les environs de cing minutes. Pas très compliquer comme enregistration...

Il reporta son attention sur Aelita. Elle lui passa ses papiers de certification prouvant bel et bien qu'elle était médicomage malgré qu'Albert le savait mais il devait tout de même le faire par précaution et en règle imposé par le ministère. Il exama le papier, remplit l'informations demandé par rapport à ces papiers et ensuite, la regarda de nouveau. Il ne lui manquait que sa date de naissance pour que le document soit presque complèté. L'instant après Miss Stones lui est donnée l'information qu'il attendait il l'entra dans l'enregistrement et ensuite il dit à Miss Stones.

- Le document est presque complèté. Il ne manque que votre signature ci-bas ainsi que la mienne après que votre supérieur aille signé. Ensuite vous me renverait le document que vous pouvez faire en personne ou par hibou c'est selon votre guise et après que l'enregistrement est entièrement rempli, je vous ferait la certification pour que vous soyez titulariser que je vais vous envoyer par hibou le plus tôt possible lorsque je receverait le document. C'est tout ce qu'il y avait à faire pour ce cas.

Il lui donna une plume avec un encrier pour qu'elle puisse signer et attendit par la suite en regardant le ministre qui se trouvait aux côtés de la médicomage. Il se demandait bien ce dont il voulait lui parler pour être venu en personne dans son bureau... c<est ce qui allait savoir aussitôt qu'il avait fini avec Miss Stones.

Invité

L’homme lui dit que le document était presque complété, qu’il ne lui manqué qu’une signature de la main de la jeune femme ainsi que la sienne et la signature de son supérieur. Ensuite, elle n’avait plus qu’à renvoyer le document où à venir au ministère en personne.

*Me ferait-il du charme ?*, se demanda-t-elle en le regardant et en souriant légèrement. *Non, je dois avoir des cernes sous les yeux, je dois être plus pâle qu’une morte et de plus le ministre en personne est là… Non, cet homme n’oserait pas…*, se dit-elle en se saisissant de la plume et en signant de sa plus belle écriture.

La jeune femme releva ensuite la tête et sourit à l’homme qui lui faisait face, elle remit le document qu’elle lui avait montré dans son sac et attendit qu’il impose lui-même sa signature.

- Il faudra que vous patienter au moins deux jours, lui dit-elle en le regardant, je suis en repos, pour le moment, j’ai un peu trop travaillé mon patron veut absolument que je me repose, lui dit-elle en le regardant d’un air confus.

Aelita aimait son travail c’était presque comme une drogue pour elle si elle manquait un jour elle se sentait coupable. Mais ici ça faisait un peu plus de 48 heures qu’elle était debout et elle commençait à faiblir légèrement – de son point de vue à elle.

Invité

Albert regarda Aelita signé le document qu'il venait otut juste de lui passé. Elle avait l'air au bout du rouleau la pauvre et cela paraissait qu'elle voulait sortir de son bureau pour aller dormir. C'était comprenable après toutes les heures resté éveiller pour travailler. Lorsqu'elle eut fini de signer, elle lui dit qu'elle lui rendrait le document dans deux jours le temps qu'elle se repose un peu, repos exigé par son supérieur à St Mangouste. Il n'y avait aucun problème avec cela. Alors, d'une voix rasurante, Albert lui dit.

- Je ne vois aucun inconvéniant Miss Stones. Prenez le temps de vous reposez surtout et de nous revenir en forme! Vous avez un congé bien mérité alors profitez-en et pensez à vous. Je veux toute fois vous avisez de ne pas pratiquer avant de m'avoir rapporté ce document sinon vous allez peut-être avoir de poursuites judiciaires si cela était déclaré. Car sans le document que nous venions de remplir cela affrmerait que vous ne seriez pas titulariser ce qui serait encombre de la politique... je ne crois pas vraiment vous apprendre rien mais c'est juste un avertissement obligatoire que je doit vous donnez. Sur ce bonne journée.

Lorsqu'elle eut quitté son bureau, Albert referma la porte d'unh coup de baguette magique et mit les précautions nécéssaires pour que personnes ne puissent entendre une parole de ce qui allait se dire dans la conversation qui allait avoir avec le Ministre. Il serra ses dossier car il avait un préssentiment que cela allait prendre un peu de temps et ensuite il se rassit derrière son bureau prêt à entendre ce que le ministre avait à lui dire. Il lui dit.

- Bon je suis tout ouïe Mr le ministre. Qu'elles sont les circontances pour lesquelles vous souhaitez me parler aujourd'hui. Je ne sais pas si ça concerne le travail ou pire l'Ordre... je dois vous avouez que j'ai fait cela plus vite que prévue avec Miss Stones pour ne pas vous faire patienter plus longtemps... surtout si il s'agit d'un sujet assez important.

Il se tut laissant le ministre continuer la discution et enfin savoir les raisons pour lesquelles il avait tenu à discuter avec lui. Il espérait que ce n'était pas d'évènements graves mais on pouvait voir tout de même une certaine inquiètude dans le visage d'Albert... dans ses temps-ci, tout pouvait arriver... c'était innévitable.

Invité

Lorsque Aelita dit qu’elle ne pourrait pas rendre le papier avant deux jours l’homme sembla le comprendre et lui dit qu’il n’y voyait pas d’inconvénient. Il rajouta qu’elle pouvait prendre le temps de se reposer et de leur revenir en forme. Qu’elle avait droit à un congé bien mérité et qu’elle devait en profiter et penser à elle, il lui dit que cependant elle ne devait pas pratiquer tant que le papier ne lui avait pas été rendu à cause des poursuites judiciaires que cela entraîneraient.

- Oui, ne vous inquiétez pas je serais prudente sur ce sujet, lui dit-elle en remettant tout en place dans son sac.

L’homme lui souhaita ensuite une bonne journée, Aelita se leva donc de sa chaise et mit son sac sur son épaule.

- Bonne journée à vous aussi messieurs, dit-elle avant d’ouvrir la porte afin de quitter le bureau d’Albert Bonnacy.

[Rentre chez elle]