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 Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-

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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyMer 22 Avr - 23:22

    Bon, décidé. Cette fois, il allait dormir. Ah, c’était bien beau de le dire, mais il était dix heures du soir, cela faisait déjà deux heures qu’il était sensé monter. Il était resté immobile dans un coin de la salle commune des Serpentards, celui au fond de la salle, là où personne n’avait l’habitude d’aller.

    C’était bien calme aujourd’hui. Les verts étaient tous montés dans leurs dortoirs respectifs, mais les lumières n’étaient pas éteintes pour autant. Ils entendait, en tendant bien l’oreille, des pas, quelques morceaux de discussions et parfois même un rire. Il fallait vraiment qu’il aille dormir ou on allait le finir à somnifères.

    Ok, il allait rejoindre les dortoirs, mais pour dormir où ? Les premières années ? Non, il y allait avoir trop de crétins prétentieux. Le cinquième ? Et puis quoi ? Il allait lui-même demander à Malfoy de dégager ? Non, et en plus Elisabeth était déjà dans son dortoir, jamais là quand il le fallait, mais toujours quand il le fallait pas.

    Il avait pas trop le choix, c’était le dortoir des sixièmes années ou le canapé, comme les autres jours. Il se leva, se traîna jusqu’à la porte de son dortoir. Bon, allez, c’était maintenant ou jamais. Il la poussa et entra dans la pièce. Elle était de taille moyenne, les lits étaient, bien sûr, tous dans des draps verts. Il remarqua que le sien n’était pas du être utilisé depuis que les elfes l’avaient fait, cette soirée mémorable de Noël.

    Sa valise était sous son lit. Sans doute que quelqu’un l’avait poussé là, voyant qu’elle prenait trop de place. Il s’arrêta, voyant que les autres le fixait.

    - Hahem… je voulais juste… hem…

    Il s’expliqua, sans en avoir vraiment besoin, en désignant son lit de la main, celui le plus au fond. Et s’y dirigea, ne trouvant rien d’autre à faire. Plus que tout, il se sentait de trop partout ou il était. Il arracha ses couvertures vertes de son lit et les jeta à terre. Et puis quoi encore ? Jamais William ne réussirait à dormir dans des draps aux couleurs des Serpentards.

    Il s’assit, contre son oreiller et tira les rideaux de son baldaquin. Avec un peu d’efforts, il arriverait peut-être à se croire dans sa salle commune s’il en oubliant les rideaux verts, et s’il ne croisait pas le regard des autres occupants. La pièce était incroyablement calme depuis son arrivée, et William savait bien pourvoir.

    Encore une fois, il était le premier né moldu à avoir pénétré le dortoir des Serpentards, et même s’il aurait pût considérer ça comme un exploit, William voit plutôt négatif, ses temps-ci, y voit plutôt le premier à avoir eut une punition aussi injuste, comme un cauchemar.
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Leonard Jedusor
6ème année Serpentard
Leonard Jedusor

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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyJeu 23 Avr - 2:04

J’aime ce moment de calme, celui là ou quant enfin je rejoins mon dortoir je peux enlever mon masque. Il n’y a personne ici pour oser me regarder dans les yeux, personne pour me dire se que je dois ou non faire. Autrefois nous étions 4 dans ce dortoir, aujourd’hui il n’y a plus que moi et un courageux –ou inconscient-pour occuper les lieux. Les autres ne sont pas encore revenu de vacance, et d’ailleurs quant je dis « les » je devrais plutôt dire « le ». En effet, il n’y a plus que trois lits d’occupé ici, depuis que mystérieusement l’un de nos compatriotes a disparus. Non, ne me regardez pas, pour une fois je n’y suis strictement pour rien, on raconte qu’il aurait fait mauvaise rencontre dans une ruelle de l’allée des embrumes. Sans doute l’un des gardiens des vestiges de mon père, il faudra que je me penche plus en avant sur ce sujet.

Nous ne sommes guère causant avec mon unique compagnon de chambré, il sait que je suis quelqu’un qui ne parle que très peu. J’ai horreur des gens qui parlent pour ne rien dire ou qui ne disent rien pour parler, moi j’aime que les choses soient explicites et qu’elles ne s’étendent pas.

On peut dire que cette année, Noel a été quelque peu mouvementé. Bon c’est vrai que je n’aime pas cette fête et que je trouve ridicule cette habitude de s’offrir des cadeaux et d’afficher des sourires niait dégoulinant d’hypocrisie, mais c’est tout de même grâce a Noel que j’ai put me rapprocher d’Elynn. Nous avons passé la soirée ensemble, nous avons dansé et pour la première fois depuis des mois j’ai eut l’impression qu’elle m’en voulait un peu moins. En gros cela aurait put corresponde a mon Noel idéal, s’il n’y avait pas eut en fin de soirée ce dérapage dont j’ai bien du mal à me remettre. Non, cela ne me concernait pas directement, mais a partir du moment où cela atteignait l’honneur des serpentards, forcement je ne pouvais être que touché.

Grace à Winster, nous avions depuis le soir de noël l’honneur et l’immense privilège d’accueillir dans notre maison un gryffondor ! Et pas n’importe lequel, Allen. Un sang de bourbe par-dessus le marché. Je dois dire que résister a l’envie de les tuer les deux dés qu’ils ont mit le pied chez nous a été très difficile. En faite si je devrais même dire que c’est dés que Miller nous a annoncé la nouvelle que j’ai crue que j’allais les tuer. Mais faut croire que Miller avait sentit le cou, elle les a pas lâché jusqu'à se qu’on soit enfin chez nous. C’était donc trop tard pour agir. Je n’ai put assister qu’avec un regard noir aux échangent quelque peu violent d’Allen et Winster. C’est d’ailleurs au cours de cet échange que je découvris quelque chose d’assez intéressent. A moins que je ne me trompe, Allen cachait bien son jeu. Sous ses dessous de sang de bourbe puérile et inutile, il possédait probablement un don de légilimencie. Oh, je ne vais pas dire que j’aie pensé une seule seconde que son don valait le mien, mais j’avoue avoir été surpris. Comme a mon habitude je n’ai rien laissé paraitre, mais depuis ce soir là je me pose quelques question.

Depuis le temps qu’il est là je m’étais attendu à le voir dans le dortoir comme cela avait été convenu, mais non, jamais il ne vain. Je ne peux pas dire que cela m’ait déplu, bien au contraire, j’aurais jamais put dormir avec un sang impure a mes cotés. Déjà que rien que de le voir dans la salle commune me répugne, alors dans mon dortoir non merci. Mon air a besoin d’être pur !
Ce soir comme tout les soirs, me voilà donc installer dans mon lit à lire tranquillement un livre sur les poisons. Vraiment passionnant. J’entends mon voisin de lit débarqué, mais je ne prends pas même la peine de lever les yeux. Il marmonne, je déteste qu’on marmonne ! J’attrape ma baguette et levant mes yeux de ma passionnante lecture, je lui demande en quel honneur il se donne le droit de perturber un Salazard. Il bafouille, il s’excuse..Mais je n’ai que faire de ses excuses ! Mon regard se fait noir, comprend t’il la menace ? Probablement puisque le voilà qui dans une révérence m’annonce que ce soir il ira dormir ailleurs. Il s’excuse encore, baissant le regard. Il fait bien, je ne suis pas d’humeur !

Je l’entends qui sort. Parfait, j’aurai donc le dortoir pour moi tout seul. Je soupire, peut être bien que je pourrais demander a Elynn de me rejoindre. J’aime quant elle s’endort dans mes bras. Je sourie intérieurement, mais mon visage reste de marbre. Je repars dans mon livre, la porte grince à nouveau. Encore ? Cette fois, il va m’entendre, ou plutôt il va le sentir passer ! Je relève mes yeux, baguette en main prêt a jeter un sort lorsque…hey bah non ! Ce n’est pas lui. Mais regardez donc qui me voilà. Allen rien que ça ! Non mais qui lui a donné l’autorisation de venir là ? Je me le demande ! Jusque là il dormait dans la salle commune et c’était déjà bien trop pour cette immonde erreur de la nature ; Il ouvre la bouche, manquait plus que ça ! J’ai beau le regarder d’un œil noir, on dirait bien que sa marche pas sur lui. Il me montre le lit du fond, ha…Ouai parait que c’est le sien. En tout cas c’est là que j’ai bourré sa valise. Non, je n’y ai pas touché ! Sa va pas non ?! Moi touché une valise de gryffondor ? Et puis quoi encore ! Je ne suis pas un elfe ! Non c’est un elfe qui l’a mise là à ma demande.

Je l’observe, le voilà qui s’installe, prend ses aises et envoie valser ses couvertures. J’ai toujours dit que les rouges c’étaient suicidaire. Visiblement, il n’a pas capté que chez nous, sans nos couvertures on se caille sévère. M’enfin nous y sommes habitué, mais lui j’en doute. Sans compter que, non mais vraiment, c’est quoi ces manières ? Personne ne lui a dit que chez nous le mot d’ordre c’était « ordre » justement ?! J’ai horreur de voir un truc trainer dans mon dortoir, déjà que lui il y traine pas besoin de son bordel en plus. Il ferme les rideaux, brave gryffon va, s’il croit que des bous de tissus vont me retenir. Ceci étant il est hors de question que je m’approche de trop prés de cette immondice.
J’ai pris coutume de l’observai, et tout se que j’ai put en déduire c’est que le vert ça le rendait malade. Pauvre petite chose va.

J’observe les rideaux fermés sans un mot, me demandant combien de temps cela va prendre avant qu’il ne claque des dents. Je suis mauvais, je sais que mon regard a force de fixer ces rideaux doit avoir viré au noir. Allen semble être venu là juste pour dormir, dommage pour lui, il n’a pas choisi le bon endroit. Je n’ai pas envie de l’exciter là de suite, non j’ai envie de pouvoir l’observer de plus prés, d’analyser, de comprendre. C’est un gryffon, idiot donc par nature. Mais qui sait s’il ne pourrait pas me servir ? Je regarde ses couvertures et affiche un sourire mauvais. Ma voix est calme, je suis froid comme a mon habitude
.

-Allen, a moins que tu cherches la mort, ce a quoi je te dirais que y’a des manières plus radicale que de crevé de froid, je te suggère de ramasser tes couvertures !

Je continue de fixer les rideaux fermés, ce mec est vraiment un bouffon, même pas penser qu’il peut changer la couleur de ses couvertures d’un seul sort, c’est bien un sang de bourbe y’a pas a dire. Je désespère là, ce tas de couverture par terre sa m’empêche de lire…Sa présence aussi d’ailleurs.

-Oh, Allen ! On n’est pas chez les bouffons ici ! Alors dans ton dortoir tu te conduis comme un moldu si sa te chante mais ici tu fais en sorte que tes mauvaises manières ne ressortent pas. Alors tu me ramasses ça illico ! Et peut être que si t’es obéissant je colorerai en rouge tes couvertures, rien que pour toi.

Rouge…Couleur des bouffons….ou celle du sang….
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyJeu 23 Avr - 11:08

    Sa gêne immense ne faisait que croître lorsqu'il s'aperçut qu'il n'y avait que Jedusort qui occupait la pièce. Pourquoi diable personne d'autre ne partageait le dortoir avec lui ? La présence unique du vert l’inquiétait plus qu’il n’oserait le dire. Il avait fichu tous ses autres camarades à la porte ou quoi ? Et lui ? William, combien de temps resterait-il ?

    En tout cas Jedusort devait s’attendre à quelqu’un d’autre –ou à lui en faite- pour avoir sa baguette pointer vers la porte. William tente de s’expliquer, autant par les mots que les gestes, pendant que le regard de Jedusort se fait noir. William ne répond cependant pas. Il est bien venu là pour dormir, pas chercher les ennuis, comme à son habitude. A moins que les deux ne soit lié. Peut-être devrait-il s’attirer les foudres de Jedusort pour pouvoir enfin dormir ?

    Mieux fallait qu’il n’y pense pas. Sa conscience était plus que jamais en alerte, savant déjà que si Jedusort frappait, William ne serrait pas prêt. William pouvait s’estimer heureux d’être tombé sur quelqu’un de juste, parfois un peu têtue, mais elle ne cherchait pas non plus à le contrôler comme un pantin pour entrer chez les mangemorts, ou autre chose de plus terrible…

    Il ne comprend pas vraiment pourquoi le vert l’observe depuis tout à l’heure. William fait semblant de ne rien voir, de ne pas le voir, ni lui, ni les rideaux verts. Il est tout de même tentant de répliquer, mais aller embêter Jedusort, ça n’aidait pas à dormir, ou plutôt si, il allait dormir, longtemps, très longtemps…

    Fallait-il vraiment que Jedusort l’ouvre ? Parce que s’il voulait s’imaginer ailleurs que dans les cachots, mais en entendant Jedusort, bah c’était raté. N’importe quelle pièce, de toute façon, devenait dangereuse quand Jedusort y était. Il avait la trouille ? Non, ça faisait juste trois jours qu’il avait pas réussit à dormir, à cause de Jedusort et ses acolytes. Et ça c’était pas pareil, pour William.

    - Eh alors ? Alors si je cherche la mort ? En quoi t’en à faire, Jedusort ? Haha ha, ça j’en suis sur que t’en as des milliers d’autres manières que tu aimerais tester… je fais ce que je veux, je touche pas à ses trucs. Qui sait, ton père avait peut-être dormit dans les mêmes couvertures ? Miller aussi ! Ah… hem… non, c’est une fille…

    Sans blagues. Le pire c’est que ça le faisait ricaner d’entendre Jedusort parler de ses envies de meurtres. Il se sentait pourtant pas au-dessus de tout ça. Jedusort l’appela de nouveau, et cette fois, c’était trop. Il tira à nouveau, brusquement ses rideaux et sortit de son lit.

    - Ouais ?!! Fiche-moi la paix, tu veux ? Mais t’es maniaque ou quoi ?! Garde-les tes couvertures couleur moisissures, j’en veux pas !

    D’un geste vif, il fit voler ses couvertures à terre à l’autre bout de la pièce, près de Jedusort. Il devait être fou pour le provoquer comme ça, mais quand William était énervé, et surtout, qu’il avait pas dormit, rien ne lui faisait plus peur pour retrouver son calme.

    Il ne répondit pas à la dernière phrase du vert. Parce qu’il savait pas comment la prendre. Depuis quand Jedusort s’abaissait-il au point de teindre en rouge des couvertures vertes, sa noble couleur des Serpentards ? William lui adressa simplement un regard noir.
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Leonard Jedusor
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyJeu 23 Avr - 19:10

A dire vrai je n’en ai absolument rien à faire de savoir s’il cherche la mort. C’est juste que si c’est ça, j’aimerais tout autant être celui qui la lui donne. Je ne suis pas partageur, l’idée de devoir laisser au froid faire ce travail, cela ne me convient pas. C’est assez marrant de voir comment les bouffons réagissent dés qu’on leur parle de mort. De suite, ils pensent qu’on ne peut jamais tuer qu’avec la magie noire. Grave erreur en faite, même s’il serait mentir que de dire que moi je ne l’utiliserais pas.

Ce mec ne manque pas d’effronterie, je connais bien peux de personne ici qui ose évoquer mon père. S’il pensait pouvoir m’énerver, et bien c’est raté, du moins en apparence. Je suis de ceux qui ne s’abaissent jamais à tomber dans la colère. Exhiber ainsi ses ressentis aux yeux d’un ennemi est une grande preuve de faiblesse. Chez les verts je suis indubitablement le meilleur comédien, même lorsque je torture quelqu’un mon visage reste impassible. Pour nombre de personne je suis un insensible, peut être que cela est vrai ou peut être pas, ce n’est pas moi qui vais faire débat sur ce sujet.

Je me contente de rester là, de fixer immobile ces rideaux fermés, attendant le moment ou il finira de lui-même par ressortir. Comment je peux être aussi certain que cela va se produire ainsi ? Simplement parce que c’est un bouffondor et que l’on a jamais apprit a ces gens à tenir leur langue.

Ma baguette roule entre mes doigts, mon bras se tend vers là ou la forme est allongée. Il serait si facile là, maintenant de là ou je suis d’en finir avec lui. Je pourrais faire n’importe quoi, le torturer, lui infliger mille souffrances voir même pourquoi pas le tuer. Quant bien même il en viendrait à crier je sais que personne ne viendra voir ce qu’il se passe. Qui serait assez idiot pour entrer dans ma chambre et me demander des comptes ? Personne. Ils me sont tous docilement soumis, craintif de se que je pourrais a venir leur faire s’ils venaient à m’interrompre. Je ne suis pas dupe au point de ne pas savoir qu’il existe quelques rebelles dans ma propre maison, des traitres a leur sang, des être au moins aussi abjecte que ce garçon là mais ils ne représentent aucunement une menace. Que pourrait donc faire une poignée d’élève face aux autre serpentard ? Rien absolument rien. Je suis leur roi et pour moi ils seraient prés à tout. Je pourrais étouffer cette rébellion dans l’œuf si je le voulais, mais si je la laisse continuer c’est simplement pour le bon plaisir de les voir bientôt se soumettre à moi. Je les laisse se bercer d’illusions, de leurs douces croyances pour au final mieux les briser.

Je sais qu’un jour viendra ou je prendrai la relève de mon père, cette relève qui n’attend que moi. Et je sais que je réussirai là ou il a échoué car moi, contrairement a lui je n’ai exclu aucune forme de magie.

Allen me répond enfin. Je ne sourie pas, bien que sa réponse me donne envie d’être ironique.


-Absolument en rien Allen, simplement je trouve qu’il est affligeant de finir sa vie ainsi alors qu’on pourrait en finir plus dignement. Tu ne touches pas à quoi ? A tout se qui est relatif au serpentard et qui fait de nous les êtres supérieur que nous sommes ? Et bien Allen, il semblerait pourtant que tu n’es pas toujours dit cela. Si l’on s’en réfère a bien des choses, tu n’as pas été le dernier à t’approcher de trop prés des serpentards…Il est pourtant dommage que tu ais choisie comme référence quelqu’un d’indigne de te montrer qui nous sommes vraiment.

Les rouges étaient ils donc tous des anges ma parole pour croire que jamais une fille n’était entrée dans nos dortoir et bien plus encore dans nos lit…J’en doutais sérieusement mais a étendre Allen, ils devaient finalement tous être a cheval sur ce ridicule règlement. Nous les verts, sommes bien au dessus des lois, nous n’en avons qu’une, celle rédigé par nos soins.

-Et que sais tu donc de mon père Allen ? Toi, un sang de bourbe comment pourrais tu savoir qui il était, autrement que par les pitoyables bouquins d’histoire. Oh, bien sur je suppose que les Potter ont dut t’en raconter de belles aussi, mais finalement tout n’est jamais que question de point de vue. Dis moi Allen, serais tu aussi angélique que tu donnes a le croire ? C’est incroyable de penser que les rouges soient aussi proches du règlement au point qu’un sixième années n’est jamais passé la nuit avec une fille. Et je ne parle que de passer une nuit et non d’autre chose. Car vois tu, nos draps comme tu le dis si bien, ont beau être dans le dortoir des garçons, la plupart ont déjà accueillie une fille.

Vraisemblablement ce rouge là était encore plus suicidaire que les autres. Il ne me fallu guère de temps pour le pousser dans ses retranchement et être le témoin d’une de ses crises de colère. Parfait, c’est exactement se que je cherchais. Le regard noir du rouge ne me fit aucun effet, j’étais bien au dessus de tout cela. Savait il seulement combien j’en avais fait ployé sous le mien de regard…probablement pas. Il ne ferait surement pas l’exception, un Jedusor ne tolère pas le manque de respect. Maintenant, il était à découvert, ses rideau ayant été violement repoussé.

Oui, maniaque je l’étais, et sa seule présence dérangeait déjà mon ordre. Je laissai couler mon regard jusqu'à lui tandis qu’il envoyait valser ses couvertures d’un cou de baguette. Jolie démonstration de magie, mais au final tellement puéril. Un gamin de 12 ans en aurait même fait mieux.


-La paix Allen ? Mais qu’est ce donc que la paix ? Je ne connais que le chaos et le pouvoir. Tu as commis une erreur de trop Allen, celle de pénétrer dans mon domaine. Ici je suis chez moi, je suis le maitre…Ici il n’y a de paix que si JE le décide.

C’est mon tour de me servir de ma baguette pour renvoyer ses couverture a son propriétaire. Pas besoin de me fatigué, un simple petit geste du poignet suffit. Les couvertures s’enroulent autour de lui, le clou sur son lit. Si je le voulais il me suffirait d’un seul sort pour qu’il périsse là. Etouffer par les couvertures qu’il juge si indigne de lui.

-je crains de ne pas te demander ton avis sur le sujet.

Mon regard brule de cette colère froide, je suis impassible, je suis fermé. Je fixe ma proie qui je le sais va se débattre. Allen est faible, de cette faiblesse que l’on a lorsque le sommeil nous manque. Il va mourir, probablement. Le sait-il ? A-t-il idée que je ne le laisserai jamais ressortir vivant de mon domaine ? Comme pour allumer en lui cette certitude, je me sers à nouveau de ma baguette pour verrouiller ma chambre, ainsi que pour l’insonoriser. Ce n’est pas un vulgaire sortilège de verrouillage, c’est bien au dessus de tout ce que l’on apprend ici. Il est coincé, il est à moi. Un déclic résonne dans la piece, un son que l'on ne peut que reconnaitre, celui d'une porte qui se verouille. Je me redresse sur mon lit, relâchant la pression de ses couvertures. Il mourra probablement, mais ou serait le plaisir si je ne faisais durer son agonie.

-Jamais tu n’aurais dut t’approcher d’une serpentarde, Allen…Il y a un prix à payer pour tout acte. Mais pourquoi nous pressé, nous avons tout notre temps…Il y a tellement de chose chez toi qui m’intrigue.
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyJeu 23 Avr - 22:16

    C'est tout de même incroyable la façon dont Jedusort a le visage impassible. Jamais sa voix ne fait défaut, un sursaut de colère, de stress ou autre, jamais ça lui arrivera. C'est impossible de cacher aussi bien son jeu.

    Dès que Jedusort lance la discussion, William lui répond, presque à regret au début. Il ne voit cependant pas le vert à travers ses rideaux. Mais il doute que son visage se fait toujours impassible. William décide de sortir de quoi ire, espérant que Jedusort le laissera en paix.

    Cette pensée devient aussitôt ridicule. Depuis quand un vert abandonne-t-il comme ça ? Non, un vert ça se bat, ça mord, ça baisse pas les bras.

    - Ouais, absolument en rien, on est d'accord, alors fiche-moi la paix... plus dignement ? Mais comme tu le dis si bien, je suis un bonffondor, j'ai pas besoin de mourir dignement, alors encore une fois, laisse-moi tranquille ! Supérieurs ? Tu veux rire ? Vous êtes tous des crétins, tous autant que vous êtes !! Mais de qui tu parles là ?! Non, parce que je vois vraiment pas ce que tu veux dire...

    C'était ironique, bien sûr. Il aurait fallut être aveugle pour ne pas voir un tel sous-entendu. Non, même les aveugles auraient comprit cette allusion.

    - Ah vraiment, parce que pour toi, ton père est le modèle à suivre? C'est vrai, un vrai saint ton père, un imbécile de vert qui se sentait plus puissant que les autres. Hein ? Mais tu crois quoi que je respecte le... que rien. Rien, j'ai dis. Mais t'en mieux pour toi. Hem... tu peux me lâcher un peu là ? Non ? Non...

    William commence à s'inquiéter de savoir qui à dormir dans se lit. Question qu'il ne se poserait jamais s'il était dans sa bonne vieille tour, aux couleurs rouges, si chatoyantes par rapport à celles du cachot.

    - Mais ça, tout le monde le sais que tu as un vocabulaire très limité, Jedusort, c'est de famille... Ton domaine ? Mais pour qui tu te prends ? J'ai le regret de dire que cette partie du dortoir m'appartient, même si tu n'es pas d'accord !!

    Sa conscience se doute que le vert prépare un mauvais coup, et qu'il va frapper un jour ou l'autre, de nouveau. En même temps un Jedusort qui ne fait pas de mauvais coup, ce n'est pas un Jedusort.

    Voilà que William se retrouve emmêlé dans les couvertures vertes. Il tente de sortir de cette étreinte, se débat, mais Jedusort avait bien préparé son sort, les couvertures sont trop serrées pour qu'il puisse s'y retirer.

    Il entend, dans un état d'angoisse, le cliquetis d'une serrure. Jedusort va décidément en finir avec lui, il faudrait un miracle pour qu'un vert arrive et défende William, ça n'arrivera pas, et tout aussi suicidaire qu'il peut l'être à ce moment, William se dit soudainement, que non, Jedusort, n'aura pas le plaisir de le descendre, non pas lui, pas maintenant.

    D'un coup de baguette, qu'il parvint à sortir de sa poche, il déchire les tissus, puis se relève, sa baguette à présent pointé vers le Serpentard, qui lui aussi à la sienne.

    - T'es malade ou quoi ? T'es le maître des quoi ? Le chef des malades oui !!

    Maintenant, ça ne sert plus à rien de retenir ses propos. William est énervé, Jedusort sans doute aussi, ils se provoquent mutuellement.

    - Quoi mais qu'est ce que t'as à déterrer cette histoire ? C'est du passé, tu comprends pas ça ? Mais reprend-la si tu veux !! J'en ai rien à faire !! Ok, ok, t'es énervé, moi aussi, laisse-moi sortir, je reviendrais plus dans le "domaine" du "chef crétin"... Bah moi tu vois c'est plutôt tellement de choses qui me repousses ! Laisse-moi sortir, Jedusort, et je reviendrais plus !

    William tiens d'une main la poignée de la porte. Il a beau essayer tous les sortilège pour l'ouvrir, c'est pas un simple Alomora qui va le sortir de là. Mais qu'est-ce que lui veut Jedusort à la fin ?
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Leonard Jedusor
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyMer 29 Avr - 1:31

Etrange, oui très étrange les rouges parfois. Il suffit de les mètres au pied du mur, de les poussés au maximum de leur limite pour qu’ils en viennent à vous dire se que vous avez envie d’entendre. Allen ne fait pas exception, la preuve il vient tout juste de reconnaitre que son statut de bouffon ne fait pas de lui quelqu’un d’assez important pour mourir dignement. Je sens en lui un manque de motivation, ses longues nuits sans sommeil ont certainement dût avoir raison de son esprit combatif. Il veut la paix, mais il ne comprend pas que pour moi son intrusion sur mon domaine équivaut à une véritable déclaration de guerre. S’il n’était pas venu a moi, peut être aurais été enclin a le laisser tranquille, mais là, il a fait le pas de trop. Comme de bien entendu, il préfère jouer les grands innocents, mais je ne suis pas dupe, même sans le voir je suis capable de discerner le mensonge dans sa voix. Encore une chose que j’ai hérité de mon paternel. Je n’apprécie guère de me faire traiter de crétin, mais il le comprendra en temps et en heure. Pourquoi se presser ? C’est tellement plus agréable de sentir dans sa voix la peur, l’angoisse.

-Tu mens mal Allen, très mal. Ne m’oblige pas à te rafraichir la mémoire, ce pourrait être…Douloureux Ainsi tu veux que je te laisse tranquille ? Et bien, je crains fort que cela ne soit pas dans mes intentions, alors il est inutile de t’acharner à essayer d’avoir la paix. La prochaine fois, tu y réfléchiras à deux fois avant d’entrer sur mon domaine…Oh…pardon…il n’y aura pas de prochaine fois.

Exacte, il n’y aura pas de prochaine fois car je compte bien ne pas le laisser ressortir d’ici en entier. Je ne suis pas dupe, je sais parfaitement qu’Allen ne respecte aucun règlement, la preuve. S’il le faisait il ne serait surement pas chez nous en ce moment même. Pour avoir réussi à attraper une punition aussi lourde, il faut qu’il en soit usé.

Mon regard est toujours aussi froid tandis qu’il me parle de mon géniteur. A dire vrai s’il pense me mettre en colère, il se trompe. J’ai reçu un jour une lettre m’avertissant qu’il était mort et que ses biens me reviendraient une fois que le ministère aurait pratiqué à un inventaire. J’allais avoir 17 ans, et j’étais devenu orphelin. Cela ne m’avait fait ni chaud ni froid. Je les avais regardés faire leurs inventaires, discuter de mon sort, emporter les affaires de mon père, vider le manoir sans même verser une larme. J’avais enterai mon père seul dans un cimetière glacial, et pour seul adieux je ne lui avais donné qu’un simple « courir ou mourir ». Pour ma part, je courrais toujours plus vite que ceux qui tenteraient de m’arrêter, je serais différent de lui.


-tu as raison sur un point Allen, mon père n’est absolument pas un modèle à suivre. La preuve, il a été assez stupide pour se faire tuer. Une erreur que je ne compte pas faire. Je crois que tu as un sérieux problème avec la suprématie des verts. La puissance n’est qu’un détail, seul compte le pouvoir. Non, effectivement tu ne respectes aucune règles, pas même celles qui pourtant pourrait te garantir de rester en vie.

Visiblement le lionceau ne comprend pas qu’il n’a pas son mot à dire. A force de vivre aux cotés de gens qui ne font pas la différence entre un sorcier et une simple pièce rapporté, il a fini par croire qu’il avait son mot à dire. Il cherche à me pousser à la colère, pauvre ignare qu’il est. Ne sait il pas qu’il vaut mieux pour lui que je reste calme ?

-Tout comme tout le monde sait que les nés moldus sont des nuisibles dont il faut se débarrasser. Pour qui je me prends ? Je vois que malgré tes fréquentations avec Winster, elle a omis de te parler de notre code de conduite. Cela ne m’étonne même pas d’elle. Comme toi, elle a beaucoup de mal a accepter de n’être rien. Alors aussi, il va me falloir te l’expliquer. Ici, il y a les Salazards et les autres. Ici, je suis le roi des serpentards, on se plie à mes volontés ou bien on subit mes foudres. Rien de ce qui se trouve en ces lieux ne t’appartient Allen, pas même ta misérable et insignifiante petite vie. Se soumettre ou souffrir, c’est le seul choix qu’il t’est donné.

Il est parvenu à se dépêtrer de ses draps et me fait a présent face avec sa baguette. Un simple experliamus suffirait à lui enlever toute illusion de défense. Mais encore une fois, pourquoi se presser, il ne connait pas ma propre puissance. J’aurai au moins essayé de lui donner le choix, de lui faire comprendre que tant qu’il sera chez nous, il devra se plier a nos lois. Sa colère est palpable, de même que sa crainte se lit dans ses yeux. Il se demande se que je lui réserve et évalue ses chances de s’en sortir. Le cliquetis de la serrure a mit ses sens en alerte, je le vois rien que dans sa posture. Etrangement, moi je suis calme. J’ai cette colère froide qui me permet de rester impénétrable.

-Malade ? Non, je ne crois pas. Je te l’ai dit Allen, te soumettre ou souffrir. Tu ne te soumettras jamais, nous le savons tout les deux, alors…il n’y a pas d’autre alternative. Tu es seul, personne ne viendra te sauver. Personne n’est assez fou pour me tenir tête, sauf une personne, mais a ton avis Allen, risquerait elle sa propre vie pour sauver la tienne ?

Il est comme une souris prisonnière d’une cage. Il sait que le piège c’est refermé sur lui. Je ne le connais pas suffisamment pour en être certain mais je suis convaincue qu’il sait également que ses demandes resteront vaines. Je ne le laisserai pas sortir. Chez les serpentards, le passé n’est jamais définitif que lorsque les choses ont été réglées. J’avoue avoir pris malin plaisir à l’époque à être celui qui distilla dans tout le château mon venin. Bien des rumeurs ont couru, mais nombre d’entre elles sont venues de moi. Il n’est pas dût au azard le fait qu’elles soient remonté jusqu’à lui, j’avais pris bien garde de faire en sorte que cela se produise. On est fourbe ou on ne l’est pas. Et pour ma part, je suis le roi de la fourberie.
Je le regarde s’acharner sur la porte, il ne l’ouvrira pas. Pour ça, il faudrait qu’il connaisse pas moins de trois sortilèges de magie noire. Et je le défis d’essayer de la défoncer, il se ferait bien plus mal qu’il ne le pense et la porte resterait close. Il me croit énerver, pourtant aucun trait chez moi ne lui permet d’affirmer une telle chose. J’aime l’odeur de l’effroi. Je le laisse s’acharner quelques minutes, histoire de faire monter d’un cran la pression.


-Tu ne sortiras pas Allen, autant te faire une raison. Ma porte est inviolable si je désire qu’elle le soit. Et a moins d’être un serpentard et de connaitre les contresorts tu n’as aucune chance de l’ouvrir. En effet, je pense que tu ne reviendras plus ici, mais je doute que cela soit pour les raisons que tu penses. Oh..Je dirais plutôt qu’il y a tellement de choses qui te font peur n’est ce pas ?

Il va se retourner je le sais, j’attends ce moment. Il ne peut rien contre moi.

-Non, je n’en veux absolument plus. Pour tout te dire Allen, je crains fort que même une fois mort elle ne te poursuive, attendu qu’elle se trouve la prochaine sur ma liste.

C’est sans doute le premier sourire jedusorien que je me permets depuis le début de cette conversation. L’idée des morts m’a toujours été agréable.

-Tu ferais tout aussi bien de revenir t’assoir, de toute façon tu ne sortiras pas…Sauf si je le décide mais j’en doute…A moins bien sur que tu ne me prouve que tu as plus de valeur que ce que je pense.

Autant le mettre de suite a la page, je n’aime pas les choses qui trainent en longueur. Je veux être certain de se que je pense. Winster a bien gardé le secret, même à Elynn elle n’a pas parlé des dons d’Allen. Il est toujours dos à moi, face a la porte. Ma baguette se pointe sur lui.Lançant de maniere informulé afin qu'il ne m'entende pas

*-Expulso Allen*

Tout en prononçant le sort je désigne le tapis juste en bas de mon lit.

Indubitablement, mon sort touche ma cible. Voilà maintenant Allen juste là ou je le voulais. Mon regard s’attarde sur lui. J’aurais tout aussi bien put lui enlever de suite sa baguette, mais a quoi bon.

-Bien maintenant que te voilà dispo, nous allons pouvoir discuter. Tu es légélimence n’est ce pas ?

Je lui demande ça froidement tout en le fixant. Il ne peut pas me mentir, il n’a aucune porte de sortie.


Dernière édition par Leonard Jedusor le Mer 29 Avr - 1:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyMer 29 Avr - 1:31

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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyMer 29 Avr - 18:43

    Merlin, que l'ambiance du dortoir était plate. Rien que le visage froid du vert glaçait à lui seul toute la pièce. William devenait de plus en plus fatigué, plus les heures passait. Il restait éveillé simplement par peur que Jedusort ne l'attaque. Le temps de le calmer, de lui expliquer qu'il ne ferait rien d'autre de mal.

    - Ah bon, tu trouves ? Non, ça va aller... touche pas à ma mémoire, Jedusort. Que si je vais finir par l'avoir ma paix ! Il n'y aura pas de prochaine, non, parce que je reviendrais plus si c'est ce que tu veux, essayes un peu d'être arrangeant, Jedusort ! Je reste juste une nuit et après tu me voit plus, d'accord ? ça te parait un bon marché ?

    Malheureusement, Jedusort prenait son intrusion comme un véritable crime. William allait devoir être un peu plus patient... ou pas. Visiblement Jedusort n'était pas de cet accord.

    - Mais c'est que t'a réellement envie de suivre son chemin pour devenir Maître du Monde ?! Tout ce que ça prouve c'est que ton père a été assez stupide pour essayer de le devenir, résultat il en est mort, alors je ne pense pas que tu arriveras à grand chose de plus... enfin, je ne dis pas ça méchamment, c'est juste... une remarque... ne crois pas que je te donne des conseils, mais si tu veux crever comme lui, c'est a dire en prévenant tout le monde, mais sans que personne s'en inquiète... bah c'est comme tu veux...

    Depuis quand y'avait des règles qui assurait sa survie ? Celle par exemple de ne pas entrer dans le dortoir ? Ah... bah Winster, qui était pourtant chargé de sa survie l'avait pas prévenu... enfin si, elle avait demandé de ne pas aller titiller le serpent qui dort, mais enfin quoi, il entrait juste dans le dortoir ! Et puis... de toute façon, depuis quand il écoutait Winster ?!

    - Oh je peux être pas grand chose, mais je serais jamais rien tu vois, Jedusort... Je me fiche de se qui se passe ici, et de la hiérarchie ! Moi j'obéis à personne qu'à moi même ! C'est comme ça que marche, je ne changerais pas ! Tu n'es pas le maître du monde, Jedusort, ou du moins pas encore, alors en attendant tes heures de gloires, laisse-moi un pe ok ? Mais on a toujours un troisième choix, Jedusort, tu devrais pourtant le connaître, toi qui est si lâche ! Fuir !! Et ouais, je me casse, tu vois, alors calmes-toi et je m'en vais...

    Sortant de ses draps, la serrure se bloque alors. Pourquoi diable n'est-il pas sortit plus tôt ? Merlin, le voilà bien coincé, bien énervé aussi. Personne n'a le droit de le retenir comme ça, surtout pas Jedusort, non, surtout pas un vert aussi narcissique que lui...

    - Bon, d'accord, le troisième choix ne marche plus... parce que je ne connais pas de contre-sort assez puissant, si tu veux, c'est bon, t'es le plus malin, ok. Maintenant, rouvre la porte ! Vraiment ? Mais je me demande bien qui est cette personne... mais vraiment Qui serait assez bête pour te tenir tête ?

    Le ton ironique devenait évident. William restait planté devant la porte, comme si, le vert, allait un jour lui ouvrir... bah dans se cas, il courait aussi vite que possible, dès le sifflet sonore... bref, il ne fallait pas trop rêver non plus... William se retourna, adressant un regard noir au vert pendant que sa conscience prennait un air désespérée...

    *Mais si il veut me tuer, il n'a qu'à le faire maintenant...*
    Dis pas d'idioties...
    *Enfin quoi... on meurt tout les deux...*
    Si son sort est vraiment puissant pour tuer deux personnes... je dirais que t'a de la chance de m'avoir...
    *Oh, il n'aurait juste à se rappeller que je suis né-Moldu pour que toute sa passion revienne au bout de sa baguette...*
    S'il l'avait vraiment, il t'aurais déjà tuer... tu crois pas ?
    *Alors il faut la concentration nécessaire...*

    Il ouvrit enfin la bouche pour répondre, incroyablement neutre, William s'étonna lui même du ton qu'il venait de prendre, aussi indifférent que possible.

    - Tu veux quoi ? Me tuer ? Vas-y... mais ne me fais pas trop attendre, veux-tu ? Ouais, ouais, c'est ça, tu me fiche la trouille, Jedusort... bon alors ? Tu la lèves ta baguette... non parce que tu vois, je suis pressé là... avant que quelqu'un ne nous interrompe... tu connais Miller, elle sait toujours tout, alors j'aimerais pas qu'elle me trouve en plein suicide... bon tu fais quoi ?

    Il croisa les bras, refusant de sortir sa baguette qu'il avait précédemment rangé dans sa poche. Il était presque curieux à l'idée de savoir les effets d'un tel sort... du moins si on ressentait quelque chose avant de tomber.

    - Ah ha... génial. Et c'est qui le troisième ? Non, mais plus on est de fous, plus on rit pas vrai ? Non parce qu'après m'avoir tuer moi et Winster... tu crois pas qu'ils vont faire le rapprochement ? Non, parce que moi, tout le monde la veut ma peau chez les verts... mais moi et Winster... ils vont commencer par diminuer les coupables potentiels. Ou on pourra toujours dire qu'elle s'est tuer par amour ou je ne sais quelle autre connerie que les ragots vont raconter après... et t'en mieux, je serais plus là pour les subir... tu vois, Jedusort, j'ai tout prévu après ma mort... non parce que je veux pas dire, mais toi... et si le troisième c'était toi ? Parce que sinon... t'as de quoi t'inquiéter... commence ton testament, fais quelque chose... on sait jamais...

    Jedusort s'accorde un sourire. William ne baisse pas son regard noir. S'il se croit malin... c'est vrai que Will ne fait pas mieux... lui et ses idées suicidaires... il est pas prêt de s'en sortir vivant, non... avec un mental pareil...

    - Quoi ? M'assoir ? Dans tes rêves ! Mouais, mouais... si tu veux vraiment que je sorte, bah fait moi sortir maintenant que ma compagnie sans valeur ne t'irrite pas plus...

    Le rouge ne bouge pas. Toujours aussi près de la sortie, attendant le top départ, les bras croisés et un regard noir. Et là il lui suffit d'une minute pour qu'il se retourne vers la porte pour que Jedusort lui jette un sort dans le dos. Surprit, il ne pense pas à réagir. Le voilà de nouveau face au vert et lorsqu'il tente de se relever, Jedusort engage la conversation et pas n'importe laquelle... le rouge se met alors à hésiter, ne parvenant pas à sortir une phrase entière tellement il a envie de toutes les sortir.

    - Quoi ? Mais je... tu... nan... de quoi... parle de... hein ?

    Il se redresse, encore à terre, mais assis désormais. Puis reprend ses esprits, sa conscience gardant plus que jamais ses décences.

    - Qui t'as dis ça ?! Non parce que... celui qui à raconté... ça... bah... mais c'est faux ! Enfin quoi... moi ? Tu m'imagines légillimens ? Non, non ! Allen est un Sang de Bourbe, en aucun cas il ne pourrait faire ça... non...

    Tu vois là, par exemple, si tu tenais vraiment à sortir, tu aurais du ne pas mentir... enfin, moi je dis ça, mais je dis rien...

    C'est vrai que son histoire sonne faux. Et William hésite beaucoup trop pour être crédible. De toute façon, lors de son arrivé, et de l'enchainement des souvenirs, il a autant vus ceux de Miller que ceux de Jedusort, alors le sien à aussi du être visionné. Sans doute de cette manière que le vert est au courant. William regrette presque d'avoir attaqué Winster ce jour là. Avec un certain regret, il avoue alors, à mi-voix.

    - Ouais, ok, bon, oui. Je suis légillimens...

    Et il ne compte pas en rester là, reprenant un ton plus ferme.

    - Mais en quoi ça te dérange ? Hein ? C'est bon, tu sais ça, c'est confirmé, affirmé, laisse-moi sortir maintenant ! Tout de suite !

    Quand même étrange de la part de Jedusort. Mais William ne s'attarde pas à cela, pour une fois les détails ne comptent plus, il veut simplement sortir, que le vert le laisse sortir.
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Leonard Jedusor
6ème année Serpentard
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyJeu 30 Avr - 21:47

Etre arrangeant, comme si moi, roi de serpentard je pouvais m’encombrer de chose aussi futile qu’un arrangement. Je frappe là ou je me trouve, je descant qui s’égare sur mon chemin. Il n’est pas d’arrangement qui tienne, si ce n’est celui que je donne au condamné. Le seul arrangement que je suis susceptible d’accepter, et encore, serait de répondre favorablement au supplice de celui que je tiens sous ma baguette. Si ma victime me demande une fin brutale, il m’arrive parfois d’y répondre favorablement. Pour qui me prend-il pour croire que je marchande avec le petit peuple ? Il n’est rien, je suis tout. J’ai la puissance, il n’a que les mots. Mon regard est posé sur lui, je n’aime pas les grands discourt. Je suis un homme d’action, les paroles m’ennuient.


-Penses tu vraiment que moi, Jedusor, je vais m’abaisser à faire un marché avec quelqu’un de ta trempe ? Je ne marchande jamais qu’avec les gens susceptible de m’offrir quelque chose de valeur en contrepartie, et pour le moment je ne vois rien que tu pourrais m’apporter en échange de ta précieuse paix. Tu es là ou je t’attendais Allen, tôt ou tard, tout le monde fini par tomber dans mes filets. Je suis un homme de patience vois tu, et la patience apporte toujours se fruits.

Il ne connait rien au pouvoir, rien n’a la puissance. Il ne connait pas les plans que je porte en moi. Qu’importe son jugement sur mon père, il n’a pas tout a fait tord. Mon géniteur pour être mort ainsi ne pouvait être que faible. Je déteste les gens sans envergure, les gens faibles, ceux pour qui une vie ne suffi pas pour atteindre leur but. Comme tous, Allen à bien appris ses livres d’histoire, il connait les faits de mon père, mais se qu’il ignore ce sont les actes qu’il préparait et que la mort est venue contrariée. Je sais que moi, je ne mourrai pas.

-Dans la vie Allen, il n’est de place pour aucun essai. Il faut faire les choses ou ne pas les faire, il n’y a pas d’essai. Ce que tu penses n’a guère de valeur a mes yeux en faite, mais c’est toujours intéressent de voir combien les gens sont capables de sous estimés les autres. Tu crois que je vais mourir ? Mon père avait commis l’erreur de sous estimer son principal ennemi, il avait aussi eut la faiblesse d’accorder sa confiance a des gens qui ne la méritaient pas. Crois tu que je ferai les mêmes erreurs ? Il n’y aura pas toujours un Harry Potter pour sauver le monde des sorciers. Et quant mon heure viendra, il n’y aura de place que pour ceux qui accepteront de me suivre. Vaincre ou mourir Allen, et dans mon cas il ne fait aucun doute que je vaincrai et que toi, tu mourras.

Le problème avec les rouges, c’est qu’ils se croient toujours au dessus de tout. Ils pensent avoir le choix, même quant on ne leur donne pas. La fuite…Il a un drôle de vision de ce que nous sommes. Les verts ne fuient pas, ils se préservent. Si les gryffondors sont assez bêtes pour risquer leur vie pour en sauver d’autre, les verts eux ne connaissent dans le danger que le crédo « chacun pour soit ». Nous ne sommes pas lâches, nous avons l’instinct de survie.

-La lâcheté a plusieurs dimension Allen ; tu te crois courageux pour oser m’affronter, pour te croire quelqu’un quant tu n’es personne, ce n’est en aucun cas du courage mais du suicide. Là où tu vois de la lacheté, je ne vois jamais que l’instinct de survie. Une chose dont tu sembles être totalement dépourvue. Mes heures de gloires ? Mais elles sont déjà là Allen, tu ne le vois pas ? Je ne suis peut être pas encore maitre du monde, mais je suis déjà maitre de ta misérable vie ainsi que de celle de tout ceux qui osent un jour affronter mon regard. Non…je ne crois pas qu’il y ait un troisième choix…la fuite Allen, c’est quant on peut encore sortir, on fuie avant de se retrouver prie au piège. Après il est trop tard.

Et trop tard il l’est déjà puisque le cliquetis de la serrure se fait entendre. Visiblement il n’est pas stupide, il l’a compris de lui-même qu’aucune fuite n’était négociable. Essaierait-il de me flatter ? D’ordinaire j’aurais trouvé cela agréable, mais il est navrant pour lui que dans sa bouche les compliments sonnent aussi faux. Il fait encore le malin. Comme si il ne savait pas qui, chez les verts est assez fou ou suicidaire pour me tenir tête.

-ne me donnes pas d’ordre Allen ! Je te l’ai dit, je n’ai pas dans l’intention de te laisser sortir. Evidemment que je suis le plus malin, ne suis-je pas celui par qui le chao reprendra ses doits ? Oh…je pense que tu sais aussi bien que moi qui est assez stupide pour me tenir tête. A dire vrai, je me suis toujours demander lequel des deux avaient déteint sur l’autre…Avant de te connaitre, elle était une serpy, tout ce qu’il y a de plus honorable. Malheureusement, il semblerait que tu me l’es rendu plus…humaine…

L’humanité, une chose que je ne supporte pas. Les gens humains, sont trop gentils, trop facilement malléables et surtout indignent de confiance. Visiblement, il sait qu’il va mourir, mais ce qu’il ignore c’est que je n’ai aucun besoin de me presser. Ma chambre n’est pas mon sanctuaire pour rien, quelqu’un qui s’y connaitrait un minimum sentirait dans mon domaine les relans de la magie noire, mais lui non, évidement. Personne ne risque de débarquer car personne n’a vue sur ma chambre. Les seuls susceptibles de s’inquiéter de son sort seraient à la rigueur les verts, mais je sais que tous me seront fidèles. Tous ? Non, sauf Winster bien entendu. Mais si elle se risque dans ma chambre, cela sera également à ses risques et périls.

-Te tuer ? Oh non…Cela serait beaucoup trop simple Allen. Bien sur, je pourrais vue ton impatience à mourir mettre un terme a tes pitoyables jours rien qu’en levant ma baguette. Mais non, j’ai d’autre projet pour toi et moi. Ne t’inquiètes pas, personne dans ce château ne peut surgir dans ma chambre sans que j’en sois avertis. Nul transplanage, nul feu de cheminé…Personne ne peut savoir que tu te trouves en ce moment même avec moi. Personne…ou plutôt devrait je dire que ceux qui le savent n’en diront mots. Tout ce mérite Allen, même la mort.

C’est si simple pour certain de se rendre courageux. Si simple de faire comme ci la mort ne les effrayait pas. Je me moque bien de ce que pourrait penser les gens en découvrant son cadavre et celui de Winster. Nul ne pourra remonter jusqu’à moi, ou en tout cas pas avec des preuves tangibles. J’en sais plus long que lui sur Winster, suffisamment pour savoir que la liste des coupables risquent d’être très longue. Il a tout prévu pour sa mort, mais moi j’ai tout prévu pour éviter la mienne. Ne suis-je pas l’héritier de Salazard ? Ne suis-je pas le fils de celui qui trompa la mort à deux reprises ? La magie noire n’a de limite que celle qu’on lui donne, et personnellement je ne lui en fixe aucune

-personne ne fera le rapprochement Allen. Pour toi, n’importe quel vert ferait un bon suspect. Le seul fait que tu sois chez nous constitue un danger pour ta vie, Miller le savait parfaitement. Si tu meurs, c’est tout les serpentards qui seront suspecté. Dans le cas de Winster..C’est plus délicat. Mais je ne suis pas le seul à vouloir sa mort. Et puis, vois tu, il sera finalement tellement plus simple de dire que tu as tué Winster et que quelqu’un pour se venger t’aura tué a ton tour. Tout le monde dans ce château sait combien vous vous détestez…Personne n’en sera étonné. Ma mort ? Allen, je suis celui devant qui tout le monde recul, crois tu que la mort oserait venir frapper a ma porte ? La mort n’est qu’un détail Allen, une futilité pour qui sait la contré.

Il refuse de s’assoir, je n’en suis pas étonné. Il a le regard noir de ceux qui laisse leur colère apparaitre. Je lui ai laissé le choix, devant son manque de réaction ma baguette a sut le mettre au pas. Je le voulais assis, il l’est à présent sur mon tapis. Je ne m’embarrasse pas de futilité et engage de suite la conversation que je voulais. Il hésite, il butte sur les mots. Il ne s’attendait pas à ça. Je l’observe en silence, il ment, tout en lui respire le mensonge. Il ment effrontément et terriblement mal.

-Non, en effet je ne t’imaginais pas cela et pourtant. Tu mens Allen, tu mens comme tu respires. Comme tous tes congénères tu ne sais pas mentir en gardant un visage impassible. Winster ne t’a donc pas enseigné cela ?

Il avoue enfin et un léger sourire de triomphe se dessine sur mes lèvres. Un sourire qui telle une vision s’efface aussitôt. Je le savais. La vision que j’avais eut de lui le jour de son arrivé ne m’avait pas trompé. Je ne compte pas du tout le laisser sortir, pas maintenant. Un légélimence est quelque chose de précieux, et rare sont ceux qui n’atterrissent pas chez nous

-La légilimencie est une branche puissante de la magie noire. Tu m’étonnes Allen, tu m’étonnes beaucoup. Tu peux lire les pensées des gens mais sais tu protéger les tiennes ?

Mon regard se fait lourd sur lui. Je ne croise pas son regard même si, je le sais, je ne crains rien. Mes barrières à moi sont puissantes. Il est toujours assis sur mon tapis pendant que je l’observe. La corruption est un art dans lequel il faut faire preuve de subtilité

-tu veux sortir Allen ? Alors…dis-moi, tout ce que tu sais de Winster. Ne me dis surtout pas que jamais tu n’as lut en elle, je ne te croirais pas. Donne moi ce dont j’ai besoin pour la faire disparaitre et tu sortiras d’ici en entier. Le marché est simple Allen…Associe ta puissance a la mienne, donne moi ce que je désire et je veillerai personnellement a ta survie ici.

Depuis toujours je sais que Winster a un secret, quelque chose qui lui donne un certain pouvoir. Elle n’est pas occlumence, la vision que j’ai eut d’elle me l’a prouvé, elle n’est pas non plus légélimence, depuis le temps que nous vivons ensemble je le saurais…Alors qu’elle est donc ce pouvoir qu’elle a et qui lui permet chaque fois de m’échapper ? J’observe Allen. Mon marché est simple oui…Très simple, trop simple pour qui ne lis pas les petites lignes. Ce n’est pas un simple marchandage que je lui fais…Sa vie contre celle de Winster...Un marché qui le liera a jamais à moi.
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyVen 1 Mai - 20:29

    Merlin que Jedusort peut être effrayant. En même temps, à part Lone... personne ne rêverait d’être enfermé avec Jedusort. William se demande vraiment comment le vert peut-il se faire une fille s’il est toujours aussi froid, aussi impassible. Réponse, qu’il n’aura sans doute jamais et c’est pas vraiment le moment d’y penser s’il veut sortir de là. En même temps c’est évident ! Le vert l’attendait, il savait bien qu’un jour au l’autre William viendrait, et lui, il a foncé droit, les yeux fermés !

    - Je... j’vois ça...

    Mais lui n’avait pas sa patience. Alors si c’était pour rester à se fixer, avec le regard le plus noir possible, bah ça servait pas à grand-chose ! Merlin, pourquoi Jedusort ne le laissait pas sortir, pourquoi ? William n’avait que des questions en têtes mais rares étaient celles qu’il osait poser. Non, il écoutait simplement Jedusort et ses plans pour conquérir le monde. Il jetait parfois des regards autour de lui, sans trouver aucune autre sortie. Non, il était tombé en plein dans le piège.

    - Génial, maintenant que je les connais tes plans, tu vas sans doute me faire taire, hein ? Pour que je ne le répète pas, c’est ça ?

    Ça aurait été idiot de la part de Jedusort. Pourquoi lui confier tout ça ? Maintenant ? Parce qu’il allait le tuer après ? Ouais. Peut-être. Ou alors il manquait une case au vert.

    - Je ne suis pas venu ici dans le but de te... pour te défier de n’importe qu’elle façon ! C’est clair ça ? La je te défie parce que tu as frappé le premier, je te signal ! En aucun cas, je suis coupable, alors laisse-moi tranquille !

    William n’arrangeait pas non plus les choses en essayant de tenir tête à Jedusort. Le cercle vicieux. Mais comme à son habitude, William ne savait pas s’arrêter quand il le fallait.

    - Je te demande de l’ouvrir, crétin ! C’est pas un ordre ça ! Si, tu vas l’ouvrir cette porte ! Tu vas l’ouvrir ou... ou je la fais sauter ! Vraiment ? Mais alors c’est qu’elle serait pas aussi débile qu’elle en est l’air ! Hein bien je sais pas se que t’appelle l’humanité, mais je crois tu te trompes, elle est toujours la même vipère, rassures-toi là-dessus, elle en aura toujours autant du venin !

    En même temps que Jedusort lui confirme que sa chambre est inviolable, William espère presque que quelqu’un va lui prouver le contraire. Il se relève alors, et sort sa baguette. Oh, que si, il va la défoncer sa porte ! William entend un bruit sourd... Merlin, ça marche même pas !

    - Bah alors tu comptes faire quoi si je n’ai ni le droit sortir, ni celui de mourir ? Hein ? Ouais, exacte, dis que j’ai tué Winster, j’aurais enfin gagné.

    Oh, sans doute qu’après sa mort, il y aurait d’autres ragots qui fuseraient. C’est impossible d’ailleur de les supprimer, William l’avait bien comprit, c’était à vie.

    - On s’en fou de Winster !! Qu’est-ce que t’as avec elle ? Tu veux te la faire ? Nan, pardon, te la refaire ? Mais cette fois Jedusort, je ne suis plus avec elle, alors tu as quartier libre !

    Au moment même en Jedusort le questionne sur la façon dont William s’y prend pour se défendre, sa conscience force le barrage. Tout deux craignent une attaque du vert, et William le sait, il va frapper, mais comme toujours, sans prévenir.

    - On dirais que tu en doutes... toi en cas, tu n’a pas non plus protégé les tiennes quand je suis arrivé, et que tu m’as interrompu avec Winster...

    William est de plus en plus bluffé par le vert. Quel est ce marché ? En quoi Winster l’intéresse tant ? Il veut sa mort alors ? Pas la sienne ? M’enfin, c’est bizarre qu’il préfère maintenant faire la chasse au sang pure qu’aux sang de bourbes, justement... mais bon, tant mieux pour William. Au point où il en est...

    - Tu sais comment ça s’appelle ça ? Hein ? Ouais de la corruption. Mais j’ai pas bien compris ce que tu veux savoir. Poser moi des questions, j’te répondrais. De tout façon, vu que j’ai plus rien à perdre, le marché est conclu. Simplement, je pourrais pas la tuer moi-même, mais seulement t’aider. Ouais, t’a compris. Elle m’a sauvé la vie...
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Leonard Jedusor
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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyDim 3 Mai - 0:27

L’effroi, la crainte, la peur, autant d’odeur que je reconnais parmi toutes les autres. Il n’est plus un lion, il est devenu souris. Une misérable souris qui voit la cage se refermer sur elle. Il vient sans doute de se rendre seulement compte de sa grossière erreur. Sans doute est il même en train de se demandé comment il a put être aussi stupide. Tout était pourtant si clair, si visible. Je n’ai fait que mettre en place la souricière et attendre tranquillement qu’il vienne se prendre les pattes dedans. Jusqu’à ce jour, je n’ai pas bronché, je n’ai pas bougé, rien, absolument rien. Il est dans ma nature d’attendre que la proie vienne à moi, jamais je ne m’épuise à lui courir après. Allen est tellement prévisible, je savais que tôt ou tard il en viendrait à monter dans les dortoirs. Ce n’est pas un azard si ce soir j’étais seul. Je l’avais observé tout ces jours durant, attendant le signe d’une baisse de sa vigilance. Et puis ce soir, j’ai compris qu’il était prêt. Il butte sur ses mots, cherche peut être la phrase qui pourra le sortir de ce mauvais pas. Je sens en lui la sueur froide glissé le long de son dos, il est face à moi et surtout, il est seul.

Il pense innocemment que je viens de lui confier mes plans de bataille. Peut être…ou peut être pas…S’il y regarde de prés il pourrait voir que la seule chose que je lui ai dite était qu’un jour je reprendrais le flambeau de mon père, mais en bien meilleur que lui. Ce débarrasser d’un témoin gênant est toujours simple. Un jour un élève est là, le lendemain on ne le retrouve plus. Mystérieusement disparut relateront les journaux. On parlera de fugue, on envisagera un suicide, on interrogera ceux qui l’on connu, nous aussi fatalement. Et puis l’affère se tassera, le ministère a bien d’autre chat a fouetté que de rechercher un ado en déroute. C’est cela qui me plait au final, cette impression de pouvoir tuer en toute impunité. Mais nous n’en sommes pas là


-Il est beaucoup de chose qu’il te faut apprendre Allen. Je peux te faire taire de bien des manières. Je pourrais te tuer…Simple, efficace mais un peu radical tu ne trouves pas ? Je pourrais aussi acheter ton silence…tout ce vend, il suffit d’avoir en stock la monnaie d’échange…je pourrais te torturer a te rendre fou si bien que tu oublierais tout…Simple aussi, très efficace mais quelque peu douloureux sans doute, ou alors je pourrais simplement te jeter un oubliette…un éclaire et puis plus rien. Tu ne te souviendras même plus de cette petite discussion. Tu penses réellement que je t’ai révélé mes plans Allen ? Je n’ai fait que t’apporter les affirmations à la question que tant de monde se pose. Les mangemorts se réunifient, un ordre nouveau est en marche et bientôt je serai à la tête de ce nouvel ordre.

Ce n’est aucunement un secret ce que je viens de lui dire. Du jour de mon arrivé a Poudlard, lorsque mon nom a été prononcé, j’ai vue tout les regards convergés vers moi. Un regard ou brillait la méfiance, la peur et même la colère. On ne voulait pas de moi ici, et pourtant j’y suis venu. Nombre d’entre eux craignait, a juste raison, quant a l’éducation que mon père avait put me donner. En première année, j’excellais dans chacune des matières, jamais ces ignares n’auraient soupçonné que tout ce qu’ils m’apprenaient là était bien minable comparé a ce que je savais déjà. Je n’avais pas attendu l’âge de 11 ans pour toucher une baguette, non moi j’avais à peine sut dire « papa » que déjà mon père me parlait des poisons et des préceptes important de la magie noire. J’ai grandit en lisant l’histoire de la famille Jedusor, en feuilletant les pages de vieux grimoires et en composant maintes potions aux effets plus que redoutable. Autant dire que oui, ils avaient bien raison de se méfier de moi. Je n’avais jamais cherché a caché mes intentions, au contraire, en formant le groupe des Salazard je n’avais fait que les affirmer.

Il semblait croire que je prenais son intrusion comme une sorte de défie. Cela pouvait en être un…ou pas. En faite je ne m’encombrais pas de ce genre de question. Le fait était qu’il était entré sur mon domaine, et que pour cela il en paierait le prix.


-mais pourtant tu es venu Allen, hors il ne me semble pas t’avoir invité. Tu me défies ? Non, tu essaies de te défendre plutôt…Et je dois dire que c’est assez…pitoyable à regarder comme technique de défense. Oh, non je n’ai pas frappé le premier, je n’ai même pas encore commencé a frappé Allen. Vois-tu, ce que tu as vu là, nous pourrions le voir un peu comme…un apéro ? Coupable…innocent…je ne vois guère la différence. Crois tu que je m’encombre de ce genre de détail lorsque je tiens quelqu’un au bout de ma baguette ? Je suis le pouvoir Allen, pas la justice.

Eternelle refrain de l’innocent piégé par son cruel bourreau. Il demande encore à avoir la paix. Il le demande, mais il sait que tout cela est vain. Pourquoi les hommes ont-ils donc sans arrêt besoin de gagné du temps ? Alors que fatalement ils finiront exactement là ou l’on voulait qu’ils soient. Les définitions changent d’un être à l’autre. Il à beau dire qu’il n’est pas en train d’ordonner son insulte à mon égard me prouve tout le contraire. Mais peu importe. Il dit vouloir faire sauter la porte, qu’il essaie donc, je me délecte d’avance de son échec évidant. Personne n’est aussi à même que moi pour rendre un lieu inviolable. C’est assez intéressant de voir combien certaine personne s’acharne à vouloir penser que vous vous trompez. Comme si moi, je pouvais ne pas reconnaitre une vipère quant j’en vois une. Assurément Allen manquait quelque peu de savoir dans ce domaine.

-Ce n’est pas un ordre mais ce n’est pas non plus une demande polie. Mais peu importe, puisque de toute façon je ne l’ouvrirai pas. Ce qu’il y a de pitoyable avec les gryffondor c’est qu’ils ne savent pas reconnaitre un vrai serpent d’une pâle copie. Une vipere Allen est en effet doté de venin qui la rend quasiment invulnérable. Winster n’est pas une vipere, une couleuvre à la limite. Un minuscule serpent qui ne doit sa force qu’a la peur des gens et aussi au soutient des vraies vipères. Je ne suis aucunement rassuré, loin de là. Le soit disant venin qu’elle distille sur toi n’est que faribole, rien à coté de celui que moi je pourrais infiltrer dans tes veines.

Je l’observe essayer de s’enfuir. Misérable petite souris prise au piège qui essaie en vain de desserrer l’étreinte de l’étau qui la retient. Il échoue, naturellement, et je sais que maintenant il n’en sera que plus a mon écoute. Entre moi et sa liberté il y a cette porte.

-Et bien Allen, je compte simplement te donner la possibilité de vivre une nouvelle vie. Gagné est un détail, ce n’est pas la victoire qui compte, c’est la manière dont on l’obtient. Si tu avais réellement voulu tué Winster, tu avais tout pour le faire. Mais le fait est que tu es faible et que malgré ton courage de gryffondor tu n’as pas trouvé celui de te soulager de ce nuisible.

J’ai sur les lèvres ce sourire ironique des grands vainqueur, c’est fou ce que les rumeurs peuvent galopés. Il m’a suffit une seule fois de laisser entendre qu’Elisabeth et moi avions eut une liaison pour que la rumeur fasse son chemin. La vérité est ailleurs, elle est là ou personne ne peut s’en douter. Jamais je n’ai touché Winster, même contrainte et forcé elle m’avait encore et toujours résisté.

-Je n’ai jamais fait quoi que ce soit avec Winster. Oh, ce n’est pas faute d’avoir essayé pourtant, mais elle a toujours sut me résister. Vois tu Allen, lorsqu’on veut détruire une personne on fait en sorte de commencer par la séparer de tout ce qui la rend fort. Exactement ce que j’ai fait avec Winster et toi.

Je ne doute jamais, je suis toujours certain de ce que j’avance. Je l’observe un moment a la dérobée sans répondre a sa question. Le fait est qu’a ce moment là je n’étais pas préparer à devoir lire ses pensées tout en empêchant une autre personne de lire les miennes. La légilimencie multiple est assez rare, on y est difficilement préparé.

-je n’avais nullement pour but de t’interrompre et je ne pensais pas que Lawena viendrait se mêler de notre petit échange. Mon esprit est une forteresse Allen, en règle général il est très rare que ceux qui ont put lire en moi s’en sorte vivant. Seulement…Lorsque j’ai vu ta vision, j’ai compris une chose…Nous ne sommes pas si différent Allen, nous nous ressemblons même en plusieurs points
.
Pour que je reconnaisse qu’un sang de bourbe est une quelconque ressemblance avec moi, il faut vraiment que le peu que je sache de lui ait réussi à me convaincre qu’il pouvait m’être utile. Je suis comme ça, j’avance les gens sur un échiquier géant de la même manière que je le ferais avec des pions. D’après ma vision est ce que je sais de lui, nous sommes tout deux orphelins, nous possédons tout deux un grand pouvoir et nous évoluons selon les mêmes règles, celles que nous instaurons par nous même.

Corruption, un mot qui me va tellement bien. Pour sauver sa vie, tout homme est capable du pire. Un ange peut devenir démon. Allen est certes un sang de bourbe, mais un sang de bourbe dont les pouvoirs peuvent m’être utiles. Il faut savoir choisir ses alliés de la même manière qu’il fait savoir se débarrasser de ses ennemis. Il conclu le pacte, un pacte avec le diable aurait sans doute été bien meilleur pour lui. Ainsi j’apprends que Winster lui a sauvé la vie. Futée, il faut savoir être plus proche de ses ennemis que de ses amis, je savais bien que malgré tout Winster avait retenu quelques leçon. Sauver la vie d’Allen, une manière d’être certaine de ne pas risquer de se faire tuer par lui.

Il ne dit rien, et pourtant je peux lire dans ses yeux le long questionnement qui s’effectue dans sa tête. Pourquoi Winster ? Pourquoi elle ? Pourquoi attacher autant d’importance a la vie d’une simple serpentard quelque peu récalcitrante. Il doit penser que c’est pour moi une vengeance à moins qu’il ne voie cela comme une manière dont je ferais preuve pour la punir. C’est ironique, se dire que finalement la vie de Winster tombera de la main, même indirecte de celui qu’elle a préservé de la mort.


-On ne peut jamais corrompre que les cœurs impurs Allen. Il n’y a aucune meilleure manière pour obtenir certaine chose. Une vie pour une vie, n’est ce pas là un marché équitable ? Oh…Elle t’a sauvé la vie…Que c’est stupide de sa part ! Peu importe, je n’avais pas dans l’idée de te la faire tuer toi-même, bien que cela aurait put être un spectacle des plus distrayant. Tu te demandes pourquoi Winster n’est ce pas ? Pourquoi elle n’est pas une autre ?

Mon regard accroche le sien durant quelque seconde

-Et bien Allen…la raison est simple…Comme je te l’ai dit Winster est une des rares Serpentardes à me tenir tête. Seulement, elle a beaucoup d’amis et d’énormes influences. A elle seule, elle a réussi à mobiliser la petite rébellion serpilliène. Incroyable n’est ce pas ? Je pourrais les tuer tous un a un, mais ce ne serait pas a mon avantage. Alors que si je tue Winster, je liquide le chef de troupe, j’affaiblie le mouvement et je me rends maitre de la situation. Tuer Winster c’est affaiblir Andrews.
Je sais que pour lui tout cela ne doit pas avoir beaucoup de sens. Il m’en a fallut moi-même du temps pour comprendre le but ultime d’Andrews. Ce but qu’elle c’était fixée, celui de prendre un jour ma place. Andrews est une menace qu’il me faut anéantir rapidement, mais ses liens avec les Patterson ne me donnent pas le pouvoir de la faire disparaitre simplement. Mes serviteurs sont des pions, hors les Patterson sont de loin les plus important de mon jeu.

Mais pour tuer Winster, je dois comprendre certaine chose, savoir certain détail.


-Je sais que Winster ne porte pas la marque des ténèbres malgré que sa famille ait toujours soutenue notre mouvement. Mais serait-elle capable de trahir les siens en défendant la cause adverse ? Il y a autour de Winster des mystères qui demeurent, par je ne sais quel lien, elle se trouve lié a ma famille. Hors, elle n’est pas légilimencie ni occlumence. Quel est donc ce pouvoir qu’elle possède et que je ne peux détecter ? Et dernière chose Allen, toi qui a vécu a ses cotés, tu dois bien savoir a quel degré ce situe son entrainement en magie noire ? Winster ne se sert que rarement de sa baguette, elle est bien trop prudente pour exhiber ses pouvoirs face a moi. Mais face a la personne a qui elle a donné stupidement son cœur, je suppose qu’elle n’aura pas prit de précaution.

L’amour…j’ai toujours dit que c’était ça qui finissait par perdre les gens.
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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyDim 17 Mai - 21:53

    Jedusort avait de ses manières pour parler. Un beau parleur, en faite. Il savait toujours faire retourner les choses à son avantage. Ce qui n'était pas du tout le cas de William, qui au contraire, disait parfois trop de bêtises. Plus les minutes passait, plus William semblait se détendre. Il était désormais bien plus intrigué par Jedusort qu'angoissé. Mais sa conscience gardait cependant ses sens en alertes.

    - Mouais... si tu le dis. Ah mais ça, je n'en doutais pas. D'ailleurs je regrette que les professeurs de Poudlard ne te surveille pas toi au lieu de perdre leur temps avec de stupides punitions....

    Ce n'était pas faux. Jedusort ne s'était jamais caché, et jamais fait prendre. William, lui se cachait toujours pour jouer des tours, et pourtant, un professeur finissait toujours par le trouver la main dans le sac. C'était injuste. William devenait presque envieux.

    - Je suis venu uniquement pour dormir, pas dans un quelconque but d'empiéter ton "territoire", comme je te l'ai dis, mais si tu préfère croire autre chose. Le pouvoir, tu n'as que ça à la bouche, Jedusort. C'est toi qui es pitoyable maintenant.

    Cette fois, c'est sûr. William devient de plus en plus curieux à son sujet qu'il se sent prêt à regarder à l'intérieur même du personnage. Entrer dans son esprit. Mais visiblement, sa conscience n'est pas de cette avis et fait échouer sa tentative. William ne laisse rien paraître, et abandonne son regard pénétrant.

    - Oh ! Mais j'ai vraiment très peur ! Au point où j'en suis, je ne risque plus rien, n'est-ce pas ?

    La question ne s'adressait pas forcément au vert. Peut-être à William lui-même. Il ne savait pas vraiment pourquoi ça lui était sortit. Il y a de ses mots qui partent tous seuls.

    - Je t'interdis de dire que je suis faible, Jedusort, ce n'est pas vrai !!

    Un sourire ironique se traça sur le visage froid du vert. William n'en fut que d'autant plus intrigué.

    - Je le sais bien. J'ai lus en elle. Une nuit, alors qu'elle faisait sa ronde avec Malfoy, c'est bien ça ? Ouais, je suis courant. Et il n'y a pas de quoi te venter, Jedusort. Mais... enfin... maintenant je ne crois plus que cela marche encore, alors laisse-nous tranquille, veux-tu ?

    William hocha la tête, négativement. Ce souvent par bribes que ce qu'il avait réussit à voir, ce jour là.

    - Ne dis pas ça !!! On est totalement à l'opposé !! Je ne suis pas chez les verts moi... enfin... même, ne dis pas ça !!

    Finalement, le vert n'avait pas tord. Il n'empêche que se comparer à Jedusort n'est pas valorisant en tous points. D'ailleurs depuis quand on Sang de Bourbes pouvait-il ressembler à Jedusort ?

    - Exactement. Pourquoi elle est pas... moi. Parce que je suis tout de même tout ce que tu déteste, rouge et né moldu. Et tu dis pourtant avoir des ressemblances... je ne te comprend plus là...

    Le vert clarifia aussitôt les choses. William se demandait se qu'une alliance Jedusort/Allen pourrait apporter, tout en craignant l'échec.

    - Tu n'es pas si idiot. Mais tu crois pas qu'après ça, d'autre risque de reprendre sa place ? Ah ! C'est sûr, ça peut affaiblir le mouvement, mais aussi lui donner de meilleur raison de continuer à te provoquer...

    Vendre la mèche. D'ordinaire, William aurait sans doute répondu à Jedusort d'aller se faire voir puis l'aurait planté ici. Mais là, il n'avait plus le choix. A vouloir jouer avec les nerfs du vert, voilà où il en arrivait.

    - Non, c'est vrai, elle ne l'a pas... encore. Ou peut-être ne l'aura-t-elle jamais. Bon, je te le dis, mais ne lui dis pas tes sources, ok ? Surtout pas que c'est moi. Elle a un don, en effet, je ne sais pas si ça peut t'aider, mais au moins tu sauras ceci en plus. Elle est Fourchelang. Je ne l'ai jamais entendu parler, c'est vrai, elle me l'as juste dis, mais je ne verrais pas pourquoi elle m'aurait mentit...

    William observe maintenant Jedusort. Ne manquerait plus qu'il soit à côté de la plaque. M'enfin, peut-être le sait-il déjà.
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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyLun 18 Mai - 3:11

Il est perspicace, j’aime les gens qui sont capables d’analyse rapide des situations. Je sens que quelque part une part de lui a peur, une autre pourtant est assez curieuse de découvrir ce que je suis vraiment. Il sait que je suis une menace, il le sait non parce que je lui ai dit, mais parce que son instinct le lui souffle. C’est assez étrange ces sentiments a controverse qui semblent animer le rouge. D’un coté je le dégoute et d’un autre, je crois bien qu’il m’envie. Il n’a pas encore compris que dans ce château, bien des choses sont sous mon contrôle. Pourquoi des profs ayant jadis prêté serment a mon père, viendrait aujourd’hui me faire la morale sur mes agissements ? La vérité est terrible aux yeux de certain. Je suis un intouchable, tout simplement.

Les punitions, je n’en ai jamais effectué aucune. Pour moi, seul les gens idiots se retrouvent punis. Une simple justice au fait qu’ils ont été assez stupides pour se faire prendre. Dans la vie, il y a ceux qui sont doués, comme moi, et ceux qui ne le sont pas, comme lui par exemple. Et pour ceux qui ne le sont pas, il n’y a aucun avenir à envisager.

-Tu vois Allen, la raison pour laquelle personne ne me surveille est très simple. D’un coté il y a les gens qui attendent sagement que je prenne le contrôle pour me prêter serment comme ils l’avaient jadis fait pour mon père et de l’autre il y a ceux qui se laissent aveugler par mes mensonges. Je suis bon élève, jamais de punition, jamais de retenu…Et quant par malheur un a tragique accident se produit, j’ai toujours un alibi. Voilà ce qui nous différencie Allen, je suis doué pour la manipulation, le mensonge et pour cultiver les apparences, alors que toi…on lit en toi comme dans un livre ouvert.

Mais ne t’y fie pas, je suis tout de même surveillé, sauf que j’ai assez d’influence pour que cela me porte préjudice.

C’est vrai, je sais qu’Unless a un œil sur moi par exemple. Je ne suis pas un serpent laissé sans surveillance aucune, loin de là. Le ministère aussi a les yeux rivés sur moi. Pour l’heure, je suis juste un ado sans grand danger, selon eux, mais ce qui les inquiète plus c’est de savoir ce que je deviendrai une fois sortie de Poudlard. C’est assez étrange d’entendre Allen dire que je suis pitoyable. Etrange et insultant même. Mon regard se pose un instant sur lui, un regard noir, glacial. Il ne comprend rien, il ne sait pas. Dans la vie seule le pouvoir compte ! Ceux qui prétendent le contraire ne sont que des êtres faibles incapables de l’obtenir.

-Même en admettant que tu ne sois venus là que pour « dormir », ne me dit surtout pas que tu ne savais pas a quel accueil t’attendre Allen. La vérité tu vois, c’est que tu savais, tu as bien vue tout les verts baisser les yeux devant moi. Oui, tu savais, mais tu avais besoin de venir constater par toi-même. La vérité Allen, c’est que tu es une tête brulée, et que cela te conduira a ta perte. La pouvoir, c’est tout ce qui importe. Dis-moi, qu’est ce qui fait tourner le monde ? Qu’est ce qui pousse les gens à se battre ? Qu’est ce qui rend les gens heureux ? Le POUVOIR ! Il n’y a rien d’autre que le pouvoir Allen, et ceux qui prétendent le contraire sont soit des fous, soit des faibles. Je suis tout, sauf pitoyable Allen. Tu ferais bien de ne pas insulter quelqu’un capable de t’ôter la vie aussi facilement qu’on soufflerait une bougie.

Pour bien illustrer ma comparaison, je pointe ma baguette vers lui. Il y a tant de sortilège basique.

-*renvers genoux*

Un sortilège en informulé, fort peut agréable pour celui qui le subit. J’entends un vague craquement tandis que les genoux d’Allen se retournent.

-oui, ça fait mal n’est ce pas ? Oh…Mais je peux tout arranger, simplement a l’avenir penses y a deux fois avant d’insulter quelqu’un de plus malin que toi.

Je ne vais pas répondre a sa question, a quoi bon ? Ne viens je pas précisément de lui montrer qu’au contraire il avait plus d’une raison d’avoir peur ? Il ne risquait plus grand-chose, nan, à moins qu’on ne considère que mourir soit une chose affreuse plutôt que libératrice, enfin dans son cas du moins. Je sens son regard pénétrant se poser sur moi, crois t’il réellement que je serais assez stupide pour laisser mes portes sans défenses aucunes ?!

Un vague sourire plane sur mes lèvres. J’aime cette façon de se rebeller, d’affirmer ne pas être faible alors que les actes parlent d’eux même. Tous les gryffondors sont des êtres abjects et misérables, ce n’est pas lui qui fera l’exception.

-tu n’as rien à m’interdire Allen, je ne crois pas que tu sois en position d’objecter quoi que se soit ! Ha non, tu n’es pas faible ? Alors explique-moi pourquoi cette fille qui est responsable de tous tes malheurs est encore en vie ? Tu es faible Allen, et lorsque je t’aurai complètement brisé, tu en viendras toi-même à me supplier d’achever mes tortures. Car vois tu, si la torture physique est fort jouissive, la moral est d’un divertissement encore plus passionnant.

J’avoue que je suis assez surpris. Non pas qu’il ait put lire en Winster, cette fille n’a aucune barrière mentale. Non ce qui me surprend c’est plutôt qu’il sache et qu’il prenne la chose avec autant de calme, et aussi ce ton soudainement polie, trop polie pour être vrai.

-C’est bien ça. J’étais ivre, Elisabeth une fois encore a voulue me faire la morale. Nous nous sommes battus et elle a perdu. Bien évidement cela ne pouvait être que comme cela. Ensuite, et bien …Winster est plutôt jolie, le couloir était désert…on va dire qu’il n’a pas été très difficile d’immobilisé celle qui était ta petite amie et de la contraindre à m’embrasser. Sans doute les choses auraient elles prient un caractère encore plus intéressant si Scorpius n’était pas arrivé. J’avoue que je pensais qu’un oubliette aurait suffit à lui effacer ça de sa mémoire. Et pourquoi ne pourrais-je pas m’en venter ? Le lendemain, il m’a suffit de dire que j’avais passé la nuit avec la préfète des serpentards pour que la rumeur remonte…remonte jusqu’à toi. Et là, ce fut un véritable moment de bonheur que d’assister a votre rupture. « Nous » ? Tu as bien dit « nous » ? Et pour qui donc ce nous ? Malheureusement, je crains de ne pouvoir donner une réponse favorable à ta requête. Vois tu Allen, il n’y a jamais de repos pour ceux qui me barrent le chemin.

C’est fou comme un simple mot peu provoquer une réaction de feu. Comparé un rouge a un vert, pour eux c’est comme une insulte. Personnellement, je trouve que c’est là le plus beau compliment qu’on puisse faire à quelqu’un. Après tout, les verts sont la perfection.

-Opposé tu dis, non je ne crois pas Allen. Certes tu n’es pas chez les verts, bien que là pour le moment tu y es tout de même. Nous nous ressemblons plus que tu ne le penses Allen, simplement tu refuses de le voir. Nous sommes orphelin tous les deux, nous avons de grands pouvoirs tout les deux, nous sommes tous les deux des manipulateurs, nous sommes tous les deux des menteurs, des joueurs, des êtres sans scrupules aucun. Chacun de nous compte plus d’ennemi que d’ami et pour finir toi, comme moi ne respectons rien absolument rien mis a part ce qui a été établi par nous même.
Tu sais Allen, si tu n’avais pas été un sang de bourbe, il ne fait aucun doute que tu aurais été à serpentard, de même qu’il ne fait aucun doute que tu aurais marché dans mes pas.

Mon regard se pose sur lui et le transperce. S’il n’avait pas été un rouge, il aurait été un Salazard de choix. Mon père avait commis l’erreur de sous estimé les sangs de bourbe, même si jamais je ne les traiterai comme nos égaux, je ne ferai pas cette erreur. Il n’y avait rien d’étonnant a ce que William soit perdu, je suis quelqu’un d’habile pour brouiller les pistes.

-La différence Allen, c’est que toi tu es un sang de bourbe qui assume sa condition alors que Winster est une sang pure qui tache notre haut rang. Elle est la honte de sa maison. En effet, tu incarnes tout ce que je vomis, mais parfois le chemin vers le pouvoir passe par des alliances étranges. Je te l’ai dit Allen, nous ne sommes pas si différent.

Bien sur que je ne suis pas idiot, j’ai déjà réfléchit a toute ces choses. Allen pense comme un gryffondor, comment pourrait ce être autrement. Il ne sait pas, il ne connait pas le manque de conviction des serpentard, leur lâcheté, leur peur. Chez les rouges, lorsqu’un ami tombe, il ait toujours quelqu’un pour le venger. Chez nous, si un ami tombe, on considère d’avantage ce qui l’a fait basculer. Si je tue Winster, personne ne prendre sa place. Si je la tue, ils comprendront tous que je suis le plus fort.

-Bien pensée, Allen. Mais non. Vois-tu, si j’élimine Winster, personne ne prendra sa place. Tu sais pourquoi ? Parce que si je l’élimine, ils auront tous peur d’être le prochain. Si je l’élimine, Allen, je m’assure de les dominés par la crainte autant que par le respect. Andrews sans Winster ne sera plus qu’un simple détail. Le simple fait de se rappeler qu’elle n’aura pas réussi à protéger sa meilleure amie suffira à la détruire.

Nous y voilà, à ce moment ou l’homme redevient animal. A cet instant où l’on prouve que l’amour n’est que faiblesse. Si Winster avait pris la précaution d’éliminer Allen, cela lui aurait évité d’être trahit. Dans le fond, je sais maintenant qu’Allen est effectivement faible, mais cruellement mon homologue. Pour sauver sa peau, il est prés a tout, même a vendre les autres.

Son information rebondit dans ma tête. Winster serait une fourchelang…C’est impossible ! Et pourtant, j’ai beau fixer les yeux d’Allen, je n’y distingue aucune trace de mensonge. Assurément, elle lui a bien confié être capable de parler cette langue. Je reste un moment silencieux, je me repasse mentalement certain de nos duels. Tout s’explique. Oui, tout. De la même manière qu’à présent, je n’ai plus de doute sur Andrews. C’est bien elle. Les éléments se mettent en place, je sais à présent avec certitude que Lindsay Andrews est cette fille dont mon père me parlait. Je secoue la tête

-non, effectivement elle ne l’aura jamais. Il n’y a pas de place dans mes rangs pour des personnes sans ambitions aucune, pas de place pour ceux qui n’ont rien à m’apporter. Sais-tu ce que cela signifie Allen ? Si Winster est fourchelang, as-tu idée de ce que cela veut dire ? Je suis le dernier fourchelang connu, et je le suis parce que mon père l’était, et surtout parce que je suis a ce jour le dernier hérité connu de Salazard serpentard. Si Winster parle cette langue…Alors elle est forcément liée à ma famille.

Un éclaire passe dans mon regard devenu noir. Imaginer Winster, même comme étant une cousine éloigné au millième degré m’ait plus que désagréable. Je relève ma manche, laissant apparaitre les contours d’une marque des ténèbres. Je la porte depuis que je suis enfant, un héritage en quelque sorte.

-Ceci est mon héritage, je ne laisserai pas une traitre a son sang venir ternir ma noblesse ! Oh, que si Allen, je lui dirai comment j’ai sut ce qu’elle était. Si, bien évidement. D’une part parce que tu n’as rien pour acheter mon silence et d’autre part parce que, au moment ou elle sera ou bout de ma baguette, ou son regard sera empli de terreur, je veux pouvoir lire en elle la douleur de savoir qui m’a conduit jusqu’à elle. Mais, qu’importe puisque ensuite elle sera morte. L’amour Allen, c’est se qui les perdra tous !

Je laisse échapper un rire glacial, un de ces rires qui en fait frémir plus d’un et qui n’est pas sans rappelé au plus vieux celui de mon père. Je ne suis plus complètement humain, mais ça personne ne le sait. Pas même Elynn. Mes yeux descendent vers ceux d’Allen, mon regard plonge soudain dans le sien. Je ne cligne pas des yeux, je le transperce de mon regard. Je caresse du bout de ma baguette ma marque des ténèbres encore dénudé

- rejoins-moi, Allen. Prête-moi serment, associe ton pouvoir au mien. Porte a ton tour cette marque et devient enfin quelqu’un. A mes cotés, tu apprendras plus de choses que tu n’en avais jusque là rêvé. Engage toi au coté des gagnants…Et si tu le fais Allen, je ferai disparaitre ce lien qui te lie a elle…A tout jamais.

A-t-il vraiment le choix ? Est-ce une demande que je lui fais ou bien ais ce encore au final qu’une simple manœuvre manipulatrice de ma part ? Je l’ai dit, pour atteindre mon but je suis prêt a tout…même a faire entrer dans mes rangs un sang de bourbe.



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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyLun 18 Mai - 3:11

Le membre ''Leonard Jedusor'' a effectué l''action suivante : Lancer un sortilège

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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptySam 1 Aoû - 0:05

    Tout compte fait, Jedusort n’est pas qu’un simple crétin qui rêve de devenir maître du monde... non, enfin, si, bien sûr que Jedusort est un crétin, un sale crétin même ! Mais il n’est pas seulement ça. William se fascine de plus en plus par le mystère qu’il dégage. Le rouge est désormais à l’aise. Peut être beaucoup trop en sachant de qui il est en face. Sans doute encore un stratagème du vert pour qu’il baisse sa garde, après tout, William n’est pas du genre à regarder avant de traverser.

    - Mais moi je ne suis dans aucun de tes camps. Moi et James, également, on est de ce qui savent très bien que tu manigances, parce que tu t’appelles Jedusort. Et même si ne parvient pas à t’en empêcher, même si on ne sait pas le quoi, ni le comment de ton plan machiavélique, on sait le quand : bientôt !

    Il venait de répondre à Jedusort calmement, avec cependant un grain de défi. Puis il se reprend, avec un discours, un peu moins justicier.

    - Cependant tu as raison... mes techniques sont à revoir...

    William venait de dire cela en détournant le regard vers la pièce, très pensif, presque pour lui-même. Juste après que Jedusort ait posé sa question, William réfléchir un petit moment à voix haute. Il est vrai qu’il n’avait pas vraiment réfléchit en montant là haut, simplement qu’il était épuisé de fatigue.

    - Eh bien... en faite... je ne souviens pas avoir pensé à quoi que ce soit... je suis juste monté sans rien prévoir et c’est... assez idiot dit comme ça... Comment ça ? Ça conduira à ma perte ? T’es Medium en plus d’être Légillimens, Léonard ?!! Je... euh... Jedusort.

    William était à présent tellement à son aise qu’il en prononça le prénom du vert. Et chacun savait qu’il en avait horreur. Mais le rouge, ne s’en faisait guère, et il reprit aussitôt.

    - Je... je ne crois pas que le pouvoir et la meilleur chose que tu puisses avoir dans une vie. Enfin je ne sais pas... si quelqu’un a du pouvoir, même beaucoup de pouvoir, je ne pense pas qu’il en es heureux pour autant. Regardes, parfois des gens très puissants se suicide, parce qu’il ne supporte plus ce pouvoir, parce que... je n’en sais rien, mais ne me dis pas que toi tu feras mieux que les autres. Si, si, je sais très bien que tu allais le dire, Jedusort, peut-être pas comme ça, mais c’est ta façon de penser : "Je suis le meilleur". Et bien on a toujours mieux que soit, Jedusort, et quand tu trouveras cette personne, j’espère que tes plans diabolique, elle les foutera en l’air !

    En aucun sens, William ne pensait à lui à ce moment. Parce que dans un sens, Jedusort ne lui a pas fait grand-chose. Oh, il a peut-être mit sa relation avec Elisabeth en pièce mais étrangement, maintenant, le rouge ne ressent plus cette haine. Peut-être que le temps à apaisé les choses ou peut-être n’était-ce encore une manœuvre du Serpentard.

    Le rouge recule, de surprise. Jedusort vient juste de lever sa baguette, comme prévu, à un moment ou William ne s’y attendait pas. Et voilà que le sort le touche en plein fouet. Il pousse un cri, ses genoux lui font terriblement mal, il les tient de ses deux mains, rien n’y fait, la douleur ne s’atténue pas. Il n’entend même plus Jedusort, trop concentré sur la voix de sa con

    Espèce de crétin ! Si tu étais sur tes gardes comme moi !
    *Mais je... Aïe ! Qu’est-ce que ça fait mal !*
    Arrête de gémir et laisse-moi faire !


    Soudain tout s’arrête. William se rend juste compte qu’il est à terre. Sans doute est-il tombé, sous le poids de la douleur ? Il observe à présent Jedusort. Il n’avait pas pensé à ça. William n’avait pas sa baguette, il n’était pas sensé s’en remettre avant le contre sort... Si le vert le coince c’est fini...

    Le rouge se relève aussitôt, paniqué. Rejoins la porte et essaye d’enfoncer la poigné. Il faut sortir d’ici, absolument. Il se met alors à crier en même temps de tambouriner la porte, par faute de moyens.

    - Y’a quelqu’un ??!! Ouvrez la porte !! Ouvrez vite !! É... Elisabeth !! Elisa vient tout de suite !!

    Les paroles de Jedusort viennent l’interrompre dans son geste de détresse. Si Jedusort est n professionnel du visage froid, William ne se cache pas aussi bien. La preuve, Jedusort vient de trouver qui se cachait dernière le masque...

    - Je... non... non, t’as rien compris ! Elisa ne fait rien de mal ! Toi par contre, c’est to... toi !! Tu avais tout prévu ! Et ça a si bien marché, en plus !! C’est faux ! Tout ceci ne m’atteint pas ! Je ne me rendrais jamais à ta personne ! Parce que tu crois que tu me faible, mais tu as tords, Jedusort !! Tu m’entends t’as TORDS !!

    La raison pour laquelle William cette histoire d’ivresse ne le touche plus, c’est simplement qu’il y a longtemps qu’il le sait. Il s’y ait fait, à cette idée. Ce n’était pas comme si Jedusort venait de lui dire, dans quel cas, il n’aurait évidemment pas réagit aussi froidement. Il se souvint qu’Elisabeth lui avait fait juré de ne rien dire... Rha c’est malin ça ! Il ne s’en rappelle que maintenant ! Maintenant qu’il l’a dit à James ! Et à présent à Jedusort ! Autant dire tout le monde !!

    - Mais je... enfin... je l’ai lu en elle je ne sais pas si elle s’en souviens. Ceux qui te barre le chemin, hein ? Je vois...

    Le rouge était pensif. Il ne voyait pas vraiment ce qu’il avait fait de mal sauf si l’on considérait que sortir avec Elisabeth lui barrait le chemin. Jedusort était un bien étrange individu. A présent, William est carrément bouche bée face au vert.

    - Je... ne dis pas ça... ne... je... MENTEUR !! Je ne te ressemble pas, je ne te ressemblerais jamais !! Tais-toi !! Tu n’as pas le droit de dire ça !!

    William reste abasourdit. Jedusort reprend alors le discours.

    - Je... tu n’es qu’un sale manipulateur, Jedusort, moi j’espère être un peu mieux que ça !! Je... Rha TAIS-TOI !!

    Sans savoir ce qui lui prenait, sans y avoir pensé avant, William laisse haut le poing et vise exactement la joue du vert. Se rendant enfin compte de son geste, il recule, se massant le poing. Il faut qu’il sorte, cette fois c’est fini. William tambourine à nouveau la porte, essaye par trois de l’enfoncer, mais rien n’y fait. La porte reste tout à fait immobile. Jedusort doit connaître de ses sorts !
    Le Gryffondor ne rajoute rien au scénario du vert. Il a sans doute raison. Après tout, il connaît bien mieux ses camarades que lui. William se rend à présent compte à quel point il a vendu Elisabeth. Et visiblement, la révélation du rouge s’avère de choix. William voit clairement un éclair passer dans les yeux de Jedusort.

    - De... QUOI ? Mais... mais... mais, réfléchit c’est pas possible !! Et je suis sortie avec... Haha ha ! Non, non, elle n’est pas Fourchelangue, je blaguais, je blaguais !! C’était une mauvaise plaisanterie ! Son nom est Winster ! Et à moi que tu ne te sois marié avec elle en vitesse, ce qui me... enfin, bref, c’est... ça... ça ne tient pas debout !

    Jedusort relève alors une manche de sa robe de sorcier. William remarque immédiatement sa marque, noir, contrastant parfaitement avec sa peau, impossible de la manquer. C’est d’abord avec dégoût que le rouge jette un œil à la tâche noir, puis sa curiosité l’emportant, il se penche sur le bras de Jedusort, une question lui brûlant les lèvres.

    - Est-ce... est-ce que ça fait mal ? Ça pique ou... ?

    Que lui prenait-il ? Depuis quand le sujet l’interressait-il ? Ce séjour à Serpentard avait du lui laver le cerveau ! Maudit soit Miller ! Il relève aussitôt le nez.

    - Je veux dire... Ah ! C’est dégeux, c’est moche... c’est... mais qu’est-ce que ça fait réellement ? Tu la sens ou... ?

    William s’emporte. Il se racle la gorge, tachant d’oublier tout ceci. Que Jedusort oubli ses questions, qu’il n’y répond pas, qu’il les ignore ou le rouge va se faire prendre par sa curiosité.

    - Quoi ?! Ah non, non !! Tu ne lui diras rien !!! Et qu’est-ce qu’il faut faire pour l’acheter ton silence ? De l’argent ? Ok, parfait, en ce moment t’as de la chance, mon portefeuille est trop lourd.

    Jedusort le regarde bien trop fixement. Etrange, pourtant il n’a pas l’air de vouloir entrer son esprit. Il s’apprête à dire quelque chose. Quelque chose de très important...

    - Hein ?! Je ne porterais jamais un truc pareil !! Je n’ai pas besoin de toi ! Je ne rêve pas d’être puissant ou d’avoir un quelconque pouvoir !! Le... lien ? Hého, Léonard, espèce sale petit de crétin manipulateur ! C’est moi ! Le sang de bourbe de Gryffondor que tu demande dans tes rangs ?! Je suis faible, rappel-toi, je ne te suis utile en rien ! Je suis pitoyable, tu l’as dis toi-même ! Alors pourquoi aurais-tu besoin de moi ?!
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Leonard Jedusor
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptySam 1 Aoû - 5:22

Difficile d’éviter une chose lorsqu’on ne sait pas ce qu’elle est avec précision. On a beau savoir que quelque chose va arriver, si on ignore quoi, il me semble difficile de l’éviter. Je n’ai jamais été dupe, j’ai toujours sut que certaine personne s’attendait à me voir bouger. C’est assez étrange d’ailleurs, ils pensent tous que mes motivations reposent sur mon simple nom. Oui, je suis un Jedusor. Mais qu’est ce qu’un Jedusor dans le fond ? Rien de bien précis….Je suis ce que je suis parce que c’est la seule chose qu’on m’ait apprit à être, rien à voir avec un nom de famille.

L’évocation du nom de James, me laisse sur les levres une trace d’un sourire. James Potter, il y aura donc toujours un Potter pour se dresser devant les plans de ma famille. Je trouve cela tellement naïf de pouvoir penser qu’on appartient à aucun camp. La vie est une balance, nous finissons tous un jour par prendre place sur l’un des plateaux. Mon regard froid se pose sur lui

-Si tu n’es pas dans mon camp, tu es donc forcement contre celui-ci. La neutralité est une illusion que se donne certain pour croire qu’ils ont réellement le choix. Mais en vérité, il n’existe qu’un seul et unique choix. De quel coté veut on être ? De celui des gagnants ou bien dans celui de ceux qui se feront écrasés ? Penses tu vraiment que Potter ou toi puissiez faire quoi que ce soit ? Illusion, encore Allen. Tu penses connaitre Potter n’est ce pas ? Et pourtant…Tu serais bien étonner des choix qu’il pourrait faire. L’amitié Allen, c’est un peu comme l’amour. Plus on y croit, et moins on y voit claire. Bientôt c’est un peu vaste pour se préparer à résister à une chose dont on ne connait même pas la nature, tu ne crois pas ?

Un rire sarcastique m’échappa. Je commençais à aimer de plus en plus ces gens qui se mettaient en quatre pour essayer de former une barrière à ma puissance. Personne ne savait de qui j’étais réellement capable et, les voir miser sur une tonne de suppositions, me donnait l’avantage de pouvoir les prendre par surprise.

Allen aussi était un personnage plein de surprise. Son ton passait de l’amer au doux sans même que j’aie le temps de m’y habituer. J’avais l’impression qu’il redoutait mes réactions. Il se tenait sur ses gardes, essayant de deviner à quel degré je pouvais être dangereux pour lui.

-En effet. Je pourrais peut être t’enseigner quelque règles de base. Avec un peu de chance, cela t’éviterait a l’avenir de te retrouver dans des circonstances fort peu glorieuse…Il faut bien reconnaitre que pour les gens de ta maison, voir un des leur finir chez nous, cela n’a rien d’une prouesse. Bien au contraire. Je crois que certain pourrait y voir là un acte de traitrise de ta part. Enfin, ce n’est pas comme si les pensées de ces moins que rien avait une quelconque importance, j’imagine.

Pour moi, elles n’en ont aucune. Pour lui, je ne saurais dire. J’imagine que dans son fort intérieur, passer pour un traitre ne doit pas lui mettre le cœur en joie. Mais c’est sa faute, entièrement sa faute. S’il avait muselé dés le départ tous ces chiens avides a se jeter sur un os, il n’en serait pas là.

Et là, l’erreur surprime. De sa bouche sort ce nom que personne n’est en droit de prononcer. Le prénom tabou. Léonard. Je déteste ce nom, je la hais ! Mon regard aussitôt se fait noir malgré sa tentative de rattrapage. Nul ne peut m’appeler ainsi et s’en sortir sans dommage. Entendre ce nom, c’est un peu comme entendre la pire des immondices. Cela d’éclanche en moi des vagues de fureur, des envies de meurtres. Je tache de me retenir, la souffrance est encore meilleure lorsqu’elle est savourée.

-oui, mais en même temps tu restes un gryffondor. C’est pourquoi je ne peux te reprocher ta bêtise. Après tout, ce n’est pas ta faute si cette maison est incapable d’inculquer à ses sorciers la moindre once d’intelligence. Non, je ne suis pas medium, William. Mais je n’ai pas besoin de lettre pour prédire que tu finiras mal. Toutes les têtes brulées de l’histoire ont mal fini. James Potter senior, Sirius Black ou encore Fred Weasley en sont de parfait exemple. Autre chose Allen, point besoin de boule de Crystal pour te prédire que si jamais ta langue venait encore à fourcher, il te faudrait rapidement apprendre le langage des signes. Une petite cuillère ferait parfaitement l’affaire pour te l’arracher.[/size]

[size=12]C’est assez étrange de voir combien mon pouvoir agit vite sur Allen. Une preuve supplémentaire a mon sens, qu’il perd son temps dans une maison qui bride ses capacités. Comme tout rouge qui se respecte, il est empli de défaut. Celui de me faire bailler devant son discourt sur le pouvoir par exemple. Je n’ai pas besoin de croire que je suis le meilleur, je sais que je le suis. Un jour, peut être viendra capable de me détrôner, mais d’ici là, j’aurai étendu si loin ma dictature que devoir me renverser coutera la vie a des milliers d’hommes et de femmes.


-Et quel serait selon toi la meilleure chose que l’on puisse avoir dans une vie ? Le pouvoir à lui seul ne suffit pas pour être heureux, je te l’accorde. Il faut le combiner à des choses plus concrètes telles que la torture, le meurtre, l’accroissement des connaissances et le développement du stéréotype de bridage de la magie. Le secret du bonheur, résiderait en un monde sorcier entièrement ne composé de personne digne de porter cette nomination. Apres tout, il ne suffit pas d’une baguette pour être sorcier. Encore faut-il être capable de s’en servir, sans aucune hésitation. Si, bien sur que je ferai mieux que les autres…Parce que je ne ferai pas leur erreurs. Qui viendrait s’imposer face à mes pouvoirs de destruction ? Je suis capable de pervertir les âmes les plus pures, Allen. Je ne connais pas grand monde qui refuserait un peu de pouvoir contre ma sécurité.

Mon sort l’a frappé de plein fouet. Son crie est une douce musique a mes oreilles. Tout homme à besoin d’être discipliner pour comprendre qui est le maitre. Allen, une fois passer la première douleur semble se remettre d’aplomb à une vitesse fulgurante. J’en suis presque étonné. Visiblement, mon ami gryffondor à bien des choses a cachés. Sa baguette n’a pas bougé d’un pouce et pourtant mon sortilège c’est annulé. En un geste désespéré, il se rut sur la porte. Je reste assis, calme, et je l’observe. Il ne fuira pas de cette façon. C’est assez divertissant d’admirer la peur dans tous ces états. Ce n’est plus un lion en cage, c’est un fauve.

J’admire sa ténacité, je l’ai pourtant prévenu que personne ne viendrait le sortir de là. Surtout lui. Tandis qu’il appel Winster a grand crie, je soupire. Il me fatigue les oreilles là.

-Au mieux, tu arriveras peut être à te faire une extinction de voix. Personne ne viendra je t’ai dit. Surtout pas Winster. Pourquoi diable viendrait-elle te sauver. Pour préserver sa place a l’école ? Voyons Allen…Winster ne peut être tenu responsable pour un accident…Tu te seras pris les pieds dans ce tapis vert là, ta tête aura frappé le montant du lit. Mort sur le cou…Winster est blanche comme neige…Winster n’a aucune raison de venir ici, même en t’y sachant. Elle sait qu’elle ne fait pas le poids, elle se refusera à livrer un duel…

On dirait bien qu’il commence à comprendre, à lever le voile du mystère. Je ricane. J’avoue que là, je ne sais plus si Allen souhaite la disparition de la préfète ou bien s’il essaie de la protéger. Personnage ambigu que nous avons là. Bien sur que moi, j’avais tout prévu. Je ne laisse aucune place pour les hasards. Mes plans fonctionnent toujours, il faut avouer que celui là avait été une perfection à l’état pur. Face a eux, j’avais réussi à prouver du même cou que vert et rouge n’était pas fait pour vivre ensemble.

-Ha, Allen…Pas de mal, tout dépend a qui et comment…Nous parlons de Winster là, rien de ce qu’elle fait ne peut être considéré comme étant sans mal. Dois-je te rappeler qu’avant d’être ce qu’elle est je l’ai côtoyé durant 4 années ? Winster est toujours là ou il ne faudrait pas. Scorpius, en aurait même fait les frais s’il n’avait pas eut l’intelligence de garder assez de distance pour ne rien ressentir lorsque la belle c’est envolé. C’est une charmeuse née, bien peu arrive à lui résister…Et ça, c’est déjà un grand mal. Vraiment, tout ceci ne t’attend pas ? Alors, c’est donc parfait…Il aurait été tellement dommage que sa mort te donne des remords ou des regrets. Oh, si tu te plieras a moi Allen, pace que c’est ce qu’ils font tous. Quant à ta faiblesse, elle n’est certainement pas dans ton esprit. Tu es quelqu’un qui attise de plus en plus ma curiosité Allen, comme par exemple ce don qui te permet de rompre un sortilège sans utiliser de baguette…

Je plongeai à nouveau mon regard dans le sien. Tout cela était totalement fascinent. Allen était bien plus fort que ce qu’on voulait nous laisser croire. Il serait un allier de taille, pour peut que j’arrive à le rallier a notre cause. Les Salazards avaient besoin de sang neuf, je pouvais lui offrir une place au sommet. Mais avant ça, il devrait faire ses preuves naturellement. Et perde un peu de cette arrogance naturelle qui lui dinait l’air de tout savoir sur tout.

-Elisa est un esprit étriqué. Je suis étonnée qu’elle n’ait pas d’avantage été sur ses gardes avec toi. Une fois, alors que j’essayais de percer ses barrières sais tu ce qu’elle a fait ? Elle c’est mise à chanter mentalement l’hymne de Poudlard en boucle. Elle avait focalisé son esprit là-dessus, impossible d’y voir quoi que ce soit d’autre. Bien évidement que tu me barres le chemin Allen. Lorsque tu étais avec elle, tu représentais une force, un pilier sur lequel elle s’appuyait. Avec toi a ses cotés, rien n’arrivait a la brisé…c’est pour cela que nous avons fait en sorte que ce soit toi qui la brise, même indirectement.

Il s’énerve. La vérité est une chose qui blesse, une chose que peu de monde a envie d’entendre. Il refuse nos ressemblance pourtant frappante. Plus les gens ont peut et plus il cherche à se défendre.

-Si, j’en ai parfaitement le droit. Oh que si Allen, tu me ressembles. C’est bien ça qui te fait peur chaque matin quant tu te regardes dans un miroir. Tu me ressemble tellement Allen, que tu crève de trouille a l’idée de m’approcher de trop prêt. La vérité blesse l’homme qui les fuies. Exactement comme tu le fais.

Me faire traiter de manipulateur, voilà qui est un compliment. J’hausse les épaules

-Je suis fort haïsse que tu es enfin compris ce que je suis. Mais toi-même, tu es un manipulateur William. Regarde un peu avec quelle aisance tu parviens à faire faire tout ce que tu désires a James…

Il c’est approché, menaçant. Je regarde son point se lever dans une tentative de me frapper. Il retient son geste a temps, retourne s’en prendre a la porte. Il ne comprend donc pas ? Est il borné, idiot ou stupide ? Peut être un peu des trois. Je me lève à mon tour, me dirige d’un pas lent en sa direction. Nous sommes a présent face a face. Je soutiens son regard, je ne lui donne aucune chance de se défiler. Dans un élan de remord, il tente un mensonge. Les gryffondor mentent mal, quant vont-ils comprendre ça !

-Oui…Et a quel moment mentais tu ? Tu mentais en prétextant que c’était la vérité ou tu mens là maintenant en prétextant que c’est un mensonge ? Il est trop tard Allen…trop tard, pour te rattraper. Oh que si, c’est tout à fait possible..Son nom est Winster oui…Mais dis moi Will, Elisabeth t’a-t-elle déjà parlé de sa mère ? Je n’ai jamais eut l’occasion de connaitre la mienne…Ce qui ne tient pas debout, parfois, ce sont les évidences qui nous crèvent les yeux. Ne t’inquiètes pas, il n’y a aucun risque a ce que j’épouse Winster, même en vitesse…je laisse ce plaisir a quelqu’un qui ne sera pas trop regardant quand t a la qualité de la marchandise….

Je relève alors ma manche, lui laissant contempler les vestiges de mon héritage. La marque des ténèbres suscite toujours l’intérêt. Il ne fait pas exception. Dans son regard je lie le dégout et l’admiration, la crainte et la volonté farouche. Malgré sa tentative d’auto persuasion, il n’arrive pas à la quitter des yeux.

-Elle est sans douleur…Oh, bien sur, c’est assez douloureux quant on te la pose, mais ensuite elle fait partie de toi. La plupart du temps, elle est comme là, discrète. Ce n’est qu’en cas de rassemblement de mangemort ou si l’un deux m’appel que la marque chauffe et devient d’un noir. La marque des ténèbres te relie à tes semblables, elle peut aussi te servir de guide. En cas de danger, elle a le pouvoir de te faire transplaner auprès de ton chef directe, même si tu ignores ou il se trouve, elle, elle le sait.

Dernière édition par Leonard Jedusor le Sam 1 Aoû - 14:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptySam 1 Aoû - 5:22

Encore une fois, sa réaction est étrange. Pourquoi s’intéressé ainsi aux révélations que je pourrais lui faire ? Je ne peux m’empêcher de lâcher un rire quelque peu démoniaque. Comme si moi, l’hérité de Salazards je pouvais avoir besoin d’argent. Je secoue la tête

-Pourquoi attacher autant d’importance a ce que je pourrais lui dire ? Craindrais-tu sa réaction ? Non, Allen, l’argent n’achète rien avec moi…Seul compte les pouvoirs que tu pourrais me fournir. Comme celui qui t’a permis de te libérer seul de mon sortilège par exemple.

Encore cette fichue erreur. Cette fois, je plonge directe dans son regard. Je ne prends pas la peine de m’armer de douceur. Le premier souvenir que je rencontre, est l’un de ceux qui l’unis à Elisabeth. Je les revois tout deux assis au bord d’un lac, admirant un ciel étoilé. Les résistances de Will sont bien présentes.

-Je sais qui tu es, Allen. Oh, mais peu importe que tu ais ou non besoin de moi…puisque moi, j’ai besoin de toi ! Oui, c’est a toi que je demande de venir me rejoindre…Et je te l’ai dit, ton sang n’est pas un problème. Si, bien sur que si tu me seras utile, sinon tu serais déjà mort ! A toi de choisir Allen..Es tu inutile, et par conséquent tu n’as aucune valeur, donc a quoi bon te garder, ou bien as-tu quelque chose à m’apporter ? Tu es pitoyable c’est un fait, mais ce sont de tes pouvoirs que j’ai besoin et non de toi…Quant a la marque, ce n’est qu’un détail, tu peux attendre avant de la recevoir…A mes cotés Allen, tu n’aurais plus de punitions stupides, plus non plus de Winster pour te gâcher l’existence. Si le pouvoir ne t’intéresse pas, les avantages peuvent peut être le faire ? Je te laisse une dernière chance William, après celle là, je te montrerai exactement ce dont je suis capable…ha, au faites…Magnifique ce souvenir de ballade au bord du lac avec Winster….
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptySam 1 Aoû - 12:16

    A ce moment, William se rend vraiment compte de tout le pouvoir manipulateur de Jedusort. Comme une fumée toxique que vous essayer d’attraper avec les doigts, mais rien n’y fait, vous inspirer tout de même cette fumée, vous ne pouvez rien faire, maintenant. William se retrouvait dans se même cul-de-sac. Il était coincé. Et Jedusort ne le laisserait sortir qu’à une seule condition.

    Parler de James Potter rend un faible sourire au vert. Un sourire bien étrange d’ailleurs. Que s’imagine-t-il ?

    - Bien sur que je suis contre toi, contre tes plans, contre tes idées arrêtées, évidemment ! Oh non, ça, ça n’a rien à voir ! Tu vas du côté que tu crois juste ! On s’en fiche si tu gagnes ou si tu perds, tu vas du côté que tu penses meilleur. Bien sûr ! On te coincera forcément un jour, Jedusort, et si c’est pas nous, on fêtera ça dans notre salle commune et on fera de se jour un jour commémoratif. Quelle chance ! Tu auras ton nom dans tous les calendriers !

    Là-dessus, c’est indéniable. Bien que difficile à avouer, Jedusort à raison. C’est pas difficile de se préparer à résister à une chose que l’on ne connaît pas. William reste silencieux. C’est tellement plus facile que d’avouer ses tords.

    Le rouge surpris, retour les yeux vers son interlocuteur. D’habitude, Jedusort lui aurait dit effectivement, que ses méthodes étaient à revoir, en n’en rajoutant un peu, qu’elle étaient même préhistoriques. Jamais au grand jamais il ne lui aurait proposer de lui enseigner quoi que se soit là-dessus. Et tout ceci effrayait le rouge. Etait-il devenu plus proche encore de Jedusort ? Etait-ce vraiment mal ? Qu’est-ce que cela lui apporterait-il à l’avenir.

    - En... effet. Pour eux je suis un traître à leur maison. Mais que veux-tu... il y a des idiots partout...

    Il venait de répondre assez mystérieux. Jedusort en savait déjà beaucoup trop sur lui. Aussi s’aviserait-il, à l’avenir, de ne répondre qu’aux sujets sans importance. Et d’éviter ainsi de se faire découvrir. Méthode qu’il appliqua à la question suivante.

    - Oui... Léonard

    Cette fois il recherchait réellement la guerre. Il eut un léger sourire, sur un ton de défi. Jedusort ne lui plus peur. Répondre arrogant lui démangeait trop la langue.

    Tu veux vraiment qu’il te tue ?
    *Il ne peut pas me tuer. Et ça, ça va le rendre fou de rage.*


    En effet. Si Jedusort visait William, celui-ci ne pourrait pas mourir car sa conscience le maintiendrait en vie. Malheureusement, s’il s’attaquait à sa conscience, William disparaîtrait aussitôt. On n’est jamais immortelle. Du moins jamais entièrement.

    - Je n’en sais rien... mais ce n’est ni l’argent, ni le pouvoir. Mais ? Mais ? Mais est-ce que tu t’écoutes quand tu parles ? C’est horrible ce que tu dis ! En aucun cas ça ne pourrait faire le bonheur de quelqu’un ! Non ! Tu ne feras pas mieux qu’eux ! Tu feras d’autres erreurs encore ! Qui s’oppose ? Mais moi ! Moi, Jedusort ! Je ne laisserais personne me dire ce que j dois faire, surtout si celui-ci s’appelle Jedusort ! Eh bien ces personnes sont faibles ! Moi je ne te donnerait rien en échange de sécurité, parce que je ne suis pas faible !

    C’est dans un moment désespéré que William tente de s’enfuir. Mais encore une fois c’est impossible, la porte reste toujours aussi immobile. Et sa conscience ne connaît en rien se sort. Se doit être de la magie tellement noir que seul les vieilles familles de sorciers pur doivent connaître.

    Le rouge adresse un regard au Serpentard lorsque qu’il mentionne Elisabeth et sa perte. Bien entendu que William ne resterait pas sans rien faire. Il ne laissera pas Jedusort s’attaquer à n’importe qui.

    - Eh bien je ne suis pas tout le monde ! Nan, nan, ça ne marche pas. Tu as dis que j’étais faible, ok je suis faible alors n’essaye plus de me corrompre ! Je ne te saurais d’aucune utilité ! Oh vraiment, bien que j’en sois ravi, je ne vois absolument pas en quoi un Bouffondor Sang de Bourbes puisse attiser ta curiosité ! Je... je n’ai pas de don. Ne va pas croire n’importe quoi ! C’est impossible de faire un contre sort sans baguette ! C’est... c’est... simplement que tu as mal visé... ah nan... nan... je me le suis pris en pleine face... sans doute pas assez fort ?

    William se trahissait. Pas assez fort ? Il avait carrément hurlé de douleur ! Il était coincé de toute façon. Jedusort maniait si bien la situation que William se retrouvait toujours coincé par ses propres paroles.

    Jedusort l’inquiétait à nouveau. Pourquoi se regard si profond ? A quoi pensait-il ? Impossible de savoir. Le rouge se doutait bien qu’il avait constamment ses barrières, des barrières mêmes très puissantes. Il serait aussi douloureux pour lui que pour Jedusort de les forcer.

    Il eut un sourire lorsque Jedusort lui révéla une anecdote sur Elisabeth.

    - Haha ha ! Moi je trouve au contraire que c’est remarquable ! L’hymne de Poudlard ! Haha ha ! C’est... c’est... merv... C’est dégelasse ce que tu dis, Jedusort !! Je n’ai rien fait ni directement, ni indirectement, ce n’est pas ma faute, tout est la tienne !!

    Il ne pouvait pas croire ce qu’il entendait. Serpiland le corrompait de trop, Jedusort en rajoutait. S’il fallait rester une semaine de plus, William deviendrait Mangemort et refuserait de retrouver à Gryffondor. Le rouge chassa aussitôt cette idée de sa tête.

    - NAN !! Ne dis plus rien... ne dis rien que... enfin la ferme !! Ferme-la Jedusort, je ne veux plus rien n’entendre !!

    Il plaque alors ses mains contre ses oreilles. Mais rien n’y fais, Jedusort se fait encore entendre.

    - Arrête ça !! Espèce de menteur !! Je... ne je... pas... de...

    Le Gryffondor en perd la voix. C’est vrai que parfois, James lui est d’une grande utilité. Parfois, oui, il ne lui sert que d’objet... mais parfois aussi, James est un ami, un très bon ami, même, le meilleur ! Ses pensées se confondent dans son esprit, se noircissent...

    Si, si, James ne lui sert que lors des tâches qu’il ne veut pas faire. C’est bien lui qui a prit une retenue à sa place pour l’histoire des sabliers. Jedusort à raison ils ne sont pas si différents... tous deux manipulateurs, et pas si mauvais... la vérité vient clairement à sont esprit maintenant tout est net...

    Tu vas pas te faire roulé par ça, hein ? Mais qu’est-ce que tu crois ?
    *Regardes les faits, il n’a pas tord*
    Allen, espèce de crétin, je ne partagerais pas mes pouvoirs avec un mangemort !
    *Je me débrouillerais*
    Faux ! Je te laisse deux secondes tout seul, tu pars en vrille ! Tu ne vas pas l’écouter, pas vrai ? Ce n’est qu’une coïncidence que tu sois orphelin et lui aussi ! Vos parents on étés tués, certes, les tiens par injustice, mais les siens pour une cause juste : la paix ! Es-tu donc aussi débile pour l’écouter et le croire aussi facilement ?! Vous êtes Légillimens, parfait, mais lui, rappelle-moi à quoi lui sert ce pouvoir ? Ce n’est pas la puissance que tu veux, pas vrai ? Tu veux la paix ! Alors va dans le camp qui est en accord avec tes idées !
    *Oh... mais j’aurais sans doute la paix avec Jedusort*
    Je ne crois pas non. Et que va penser James ? Tu l’as déjà oublié ? Et Elisabeth ? Et tes parents ?! Hein ? Tes parents ? Tu as déjà oublié que tu avais juré de les venger ? Ce n’est pas en entrant chez les mangemorts que tu vas réaliser cela, tu leur feras honte !!


    William est en pleine confusion. Il revient alors à la conversation, toujours perturbé. Il l’a appelé Will ? Son ennemi juré l’appelle par son prénom ?! Impossible. Cette erreur montre exactement à quel point il se rapproche dangereusement du vert, des verts en général. Ce que le Gryffondor veut encore lutter contre.

    - NE M’APPELLE PAS PAR MON NOM !! La marchandise ?!! T’es horrible, Jedusort, t’es horrible !! Moi, je ne suis pas comme toi !!

    Il écoute, méfiant, Jedusort parler de sa marque. William ose jeter à nouveau un coup d’œil.

    - Mais je... oui ! C’est Elisabeth après tout ?! Je me fais assez traité de traître, je n’ais envie qu’elle s’y mette ! Mais... quoi mes pouvoirs ? T’es Légillimens aussi alors je vois... ce que... je... NAN !! Ne te fais pas d’idées ! C’est juste toi qui a raté ton sort, moi j’ai rien fait !

    Sans prévenir, Jedusort se glisse dans l’esprit de William. Celui-ci est prit au dépourvut, sa conscience avait aussi relâché les rennes. La douleur le prend, il ne pense plus à réagir, il se perd, se laisse faire.

    Sa conscience exaspéré met en place ses barrières, mais Jedusort étant déjà entrer, il est plus difficile de le faire ressortir. Heureusement, après une poigné de secondes, sa conscience y parvient, et Jedusort la ressent en temps que l’esprit de William, ce qui est totalement faux, vu que le pauvre s’est écroulé.

    Le souffle haletant, comme à chaque intervention par l’esprit, le rouge essaye de se calmer.

    - Et qui suis-je, alors ? Pour toi ?! Tu te fiches de moi !! Tu crois que tu as besoin de moi, mais c’est pas vrai, c’est pas vrai du tout !! Je te suis INUTILE !! Combien de fois je fais te le répéter ?! Eh bien je ne veux pas de quelqu’un qui ne me prend que pour mes pouvoirs !! Enfin... je veux dire... si j’ai un quelconque pouvoir... je... mais... mais je n’ai pas de pouvoir ! Tu délires, Jedusort, tu t’es cogné la tête quelque part ?! De... hein ? Souvenir ? La ferme !!
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Leonard Jedusor
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptySam 1 Aoû - 18:17

Le meilleur des cotés n’est il pas celui qui peut vous garantir la victoire ? Comment peut on imaginer qu’un camp est bon, s’il ne peut vous assurer que vous en ressortirai sain et sauf ? Je n’avais pas la prétention de dire qu’aucun de ceux qui me suivaient n’y laisserait la vie, mais j’étais assuré que si cela arriverait, je n’en serais pas fautif. Je ne voulais pas la guerre, tout aurait put être simple. Les coupables c’étaient les autres, ceux d’en face. Ceux qui se rebellaient, qui entrainaient dans un combat des hommes, des femmes, sans être certain d’en revenir. Si personne n’avait essayé de me stopper, personne ne serait mort. Je n’attaquais pas, je me défendais. Alors, oui, bien évidemment je tuerais des gens, j’en ferais tuer…mais au final la raison qui me pousserait a cela ne serait elle pas la même que la leur ? Moi aussi je voulais la paix…une paix régenté selon mes convictions, avec mes lois..Une paix qui nous ouvrirait les porte d’un ordre nouveau et ou enfin, les sorciers tiendraient la place qui depuis des siècles leur est volées.

Cette certitude que je voyais en lui, cette affirmation qu’il pourrait célébrer ma chute, me fit ricaner. Quant bien même je finirais comme mon père, quel certitude avait il qu’il serait encore de ce monde pour fêter l’événement ? Il était plus naïf que je ne le pensais, à croire que seuls les méchants meurent a la fin.

-Meilleur pour qui Allen ? Pour toi, ou pour ceux qui se servent de toi pour garder le monde des sorciers sous leur contrôle ? Pour qui te bats-tu, a ton avis ? Tu m’accuses de me servir de mes partisantes, mais ceux qui me font face ne réagissent ils pas de la même manière ? Ils se servent de vous, pour être certain de ne pas perdre le pouvoir ! Ils se servent de votre magie pour conserver leur place, Allen. Ils refusent que le monde des sorciers évoluent, ils nous contraignent à rester caché pour « le bien de tous »…Est-ce donc là la vision d’un camp qui se dit meilleur que le mien ? Qui mène les combats ? Qui livre a ce monde une véritable guerre ? Je n’ai pas attaqué, moi, Allen. Ce sont eux, vous, tous ceux qui se rangent contre moi qui ai déclenché ce nouveau conflit. Je n’ai fait que me défendre. Défendre mon camp, mes idéaux. Toutes guerres comptent ses morts, Allen, comment peux tu être certain que si je venais à vous tomber tu serais là pour en jouir ? Si je tombe, vous célébrerai mon échec jusqu'à la nuit des temps…Si vous tombez, qui se souviendra encore de vous dans 10 ans ? Tu te voiles la face, Allen…gagnai ou perde n’est pas sans importance…il y aura toujours quelqu’un pour reprendre le flambeau, et un jour, si ce n’est pas moi, un autre réussira à conduire le monde des sorciers vers ce but que nous visons. A quoi bon reculer pour mieux sauter ? Pourquoi rejoindre un camp qui ne peut garantir ta survie, mais qui en plus vous demandera de combattre encore et encore à chaque génération ? Tu ne te poses pas les bonnes questions, pour la simple raison que tu crains les réponses.

J’ai réussi à semer le doute dans son esprit. Je suis un manipulateur né, un véritable enfant du diable. Je sais agir quant il le faut. Ni trop, ni pas assez. Juste e bon milieu. L’importance ne réside pas dans la capacité qu’il m’est donné à lui faire croire ce que je veux, mais dans celle qui me permet de le laisser pensée que tout vient de lui. Il est tel un enfant que je conduirais sur un chemin, tout ce que j’ai à faire c’est le laisser venir à moi.

Dans ses yeux, je peux voir le combat intérieur qu’il se livre. Difficile de savoir finalement si oui ou non, je suis bien le mal que les autres veulent lui faire croire. Oui, je suis violent. Oui, encore je punis ceux qui me défient. Mais suis-je réellement quelqu’un qu’il faut craindre ? Je connais la réponse…oui, il faut me craindre, mais nullement pour les raisons que les autres évoquent. La peur les fait tous trembler, elle les aveugle, les prive de leur faculté a raisonné avec justesse.

C’est il rendu compte qu’il vient de dire « leur maison » ? Et non plus, « notre maison »…Déjà, sans s’en rendre compte, il n’arrive plus à s’assimiler complètement à un gryffondor. Je suis proche, très proche de ce moment ou il réalisera que j’ai raison. Comme compatissant, ce que je ne suis pas, je soupire

-Oh, oui..Partout c’est bien le mot…Mais n’est il pas dommage que tu te vois contraint de supporter ces idiots ? Tu vaux tellement mieux que ça…c’est un gâchis que de voir quelqu’un a l’esprit si vif, devoir supporter ces minables…Leur maison n’est peut être finalement pas celle qui pourrait t’apporter la paix….Qui, ici, dans notre maison, vient te chercher querelle ? Qui, vient t’importuner, te pousser a bout, de faire hurler pour obtenir un peu de calme ? Qui …Personne…Ici, tu as ce que tu as toujours désiré…les autres t’ignorent, ne viennent pas te parler, te laisse ruminer dans ton coin…tu as ici ce que tu n’aurais jamais dans leur maison Allen, la paix.

Effectivement, il ne peut dire le contraire. Ici personne ne vient lui casser les pieds. Qu’importe les raisons qui motivent les verts à ne pas lui parler, il doit tout de même admettre que cela lui convient parfaitement. Il jouie chez nous d’un calme qu’il n’aura jamais a gryffondor.

Encore ce prénom. Je vois en lui cette lueur de défie. Il cherche à me provoquer, a tester mes limites. Je pourrais lui donner satisfaction en laissant éclater ma colère, mais si je veux atteindre mon objectif je me dois d’être un peu plus complaisant. Je serre mon poing gauche, seul marque visible de mon agacement.

-Ne joue pas avec le feu, William. Surtout lorsque tu ignores la chaleur que celui-ci peut dégager.

Allen semble au dessus de la mort elle-même. J’ignore ce qui lui permet de ne pas la craindre, ce doit être ce qu’on appel chez les rouges et or, l’instinct de suicide. On dirait bien que mes propos ont choqué le jeune homme, pourtant je n’ai fait que lui nommer des évidences. Bien sur, évidemment qu’il n’est pas faible. Il est même beaucoup plus résistant que ce que je ne le pensais. D’ordinaire, je ne laisse pas beaucoup de temps au gens pour faire leur choix. Lui, je le laisse réfléchir, bien peser le pour et le contre. Il n’ira nul par de toute façon. Petite souris prisonnière dans l’entre du serpent. Il ne saisit pas, j’ai une offre bien plus alléchante à lui faire…une offre qui se mérité.

-Que de grands mots, Allen. Tu penses que dans ton monde, celui des « gentils », le bonheur tient à autre chose qu’a la satisfaction d’être au sommet. Qu’importe le camp, il est une vérité pour les deux. Il y à ceux qui sont assez malin pour être au sommet, et ceux qui ne sont que des marionnettes dans les mains des premiers. Ta cause est peut être noble, je n’en sais rien, personnellement je préfère de loin les sorts offensifs, mais il n’en reste pas moins que ton sang n’a aucune importance pour ces gens que tu défends. Allons, Allen, ne te mens pas a toi-même ! Tu vaux mieux que cela ! Ne viens pas me dire que tu n’as jamais ressentie cette émotion, ce plaisir que tu aurais en faisant du mal à une personne qui le mérite ! Tenir la vie de quelqu’un dans ses mains, n’est il pas grisant ? Mia si je ferai mieux qu’eux, je le fais déjà ! Je ne rêve pas du pouvoir suprême moi, ni d’immortalité ! Je ne sème pas sur mon passage des ennemis capable de me vaincre ! Ce que je vise c’est un monde meilleur, un monde ou les sorciers n’auront plus à se cacher ! Je vise un monde ou le pouvoir sera entièrement aux mains des porteurs de baguettes daignent de ce nom ! Qui te parle de te dicter tes actes William ? Je ne te propose pas une place de marionnette, contrairement a ceux de ton camp…moi, je te propose un rôle de maitre…un rôle de chef, de meneur…je te propose de t’assoir a mes cotés ! N’as-tu donc jamais entendu parler des Salazards ? Si…bien sur..Tu sais de qui je parle…

Un vague sourire flotte sur mes levres tendis que mes prunelles brulent les siennes de mon regard perçant.

-Les Salazards ne sont pas faibles…bien que parfois j’aie put commettre des erreurs de jugement quant a ceux qui pourraient être digne d’en faire partie. Deviens notre égal, Allen. Imposes toi, montre aux yeux du monde qui tu es réellement ! Fais taire ces rumeurs idiotes sur ton compte, fais leur redouté ta colère ! Je t’offre une place de choix, une place au premier rang…

Nous voilà d’accord sur un point, il n’est pas tout le monde. Allen est unique, plus redoutable qu’il ne semble le croire. Mon père avait jadis sous estimé la puissance de son ennemi, je ne ferai pas la même erreur. Si je désire Allen a mes cotés, si je suis prêt a faire une entorse a mes propres lois, ce, n’est pas pour rien. Il est un danger…Mort, il ne servirait plus a rien..Ce serait réellement dommage de devoir en arriver là.

Il est doué pour essayer de faire des diversions, nul en mensonge. Il a encore beaucoup à apprendre mais à l’image d’Elynn, je sais reconnaitre quelqu’un qui a du potentiel. Et lui, il en a !

-Tout cela me semble confus Allen…tu n’es pas assez faible pour désirer te cacher derrière moi, et pourtant tu affirmes à présent n’être qu’un simple gryffondor sans intérêt. Je crois que tu mens…Ne m’obliges pas à prendre des mesures ! Je ne suis pas Winster ou Potter, ma patience n’est pas inépuisable ! Pas assez fort ? Oh…je vois…sans doute a tu envies de tester mon doloris ou mon imperium…A moins que l’on en vienne directement a un avada…oui...J’en serais navré, crois le bien, mais je ne puis ainsi te laisser douter de la force de mes pouvoir…

Je fais mine de réfléchir au sort que je lui réserve. Je ne souhaite pas arriver à de tels extrêmes. Je sais ce que j’ai vu, et ce que j’ai vu défie le résonnement magique. Allen est capable de faire de la magie sans baguette, un pouvoir réel, mais qu’il faut des années d’expérience pour acquérir. Hors, il est bien trop jeune…

- Tes pouvoirs combinés aux miens, nous en deviendrons invincible. Ne pense pas être en mesure de me berner, Allen…tu n’es pas quelqu’un de banal…

Je le reconnais bien là, incapable de reconnaitre ses propres erreurs. Il semble s’amuser de ma tentative de legilimencie sur la préfète, je lui laisse le droit de trouver cela amusant. Nos regards sont soudés l’un a l’autre. Je sens qu’il cherche une entrée, une fissure dans mes défenses. Il voudrait savoir ce a quoi je pense, savoir si ma tentative de corruption est un bluff ou bien si je suis sérieux. Je pourrais le laisser entrevoir un peu de ce que j’ai dans ma tête, juste un bout, de quoi le satisfaire. Mais je n’abaisse pas facilement mon mur de protection, s’il veut entrer, il va devoir forcer le passage. Cette concentration a pour effet de nous donner un mal de tête terrible. J’y suis habitué, je n’y prête plus aucune attention.

Je joue du sarcasme

-Oh, non, je ne crois pas…non…vois tu Allen, nous t’avons mit la grenade dans les mains, et nous t’avons montré comment la dégoupiller…Nous ne t’avons nullement obligé à le faire…c’est toi, oui c’est toi qui a fait explosé la grenade. Toi, et toi seul. Tu avais le choix..Tu aurais put écouter Winster, tu aurais put avoir confiance tandis qu’elle essayait en vain de t’expliquer qu’elle n’avait rien fait…Mais tu as choisis de nous croire nous, de me croire MOI. Tu peux continuer à te voiler la face, Allen…La réalité n’en est pas moins là…tu es le seul responsable de ta rupture…Mais dans le fond, considérons que nous t’avons rendu service en te mettant la grenade dans les mains.

Nous y voilà…A cet instant ou tout bascule. Ce moment ou l’autre se bouche les oreilles de peur d’entendre les vérités. Nous y voilà à cet instant ou l’autre comprend que nous avons raisons. Nous touchons au but, nous n’avons plus qu’à attendre. Chacun de ses ordres pour que je me taise me fait sourire intérieurement. Il a les doigts dans l’engrenage. Le doute a fait son chemin dans son esprit, j’ai réussi à le mettre face a lui-même. Son reflet est si proche du mien que l’autre en éprouve une crainte sourde. Il lutte, il lutte contre lui-même. Une part de lui sait que j’ai raison, l’autre part essaie de se défendre. C’est un véritable duel mental qu’il est en train de se livrer. Je reste impassible lorsqu’il affirme que je suis horrible…Au moins autant que lui sur ce point là…Je secoue la tête…J’en serais presque amusé de l’entendre hurler qu’il refuse que je l’appel par son prénom.

-Tu as raison…prince des ténèbres serait une dénomination qui te conviendrait d’avantage que le prénom de William…Horrible dis tu…oui, peut être…Bien que, lorsqu’il s’agit de Winster, je ne vois guère comment je pourrais être autrement. Ceci étant, Will…je le defie du regard, un sourire sur les levres,ne sautes pas trop vite à la conclusion…Etais tu différends de cette abomination que tu sous entend que je suis, le jour ou tu t’es affiché avec une autre, une Weasley en plus, juste sous le nez de Winster ? N’étais tu pas horrible, chaque fois que tu essayais de la blesser pour le simple plaisir de voir les larmes lui monter aux yeux ? Tu vois…De mon point de vue, non, tu n’étais pas horrible…mais si on s’en tient a ta vision des choses, alors tu dois te sembler horrible et cruel a tes propres yeux…Donc, nous ne sommes pas différent.

Je secoue la tête, les choses sont bien trop évidente a mes yeux. Allen observe ma marque avec méfiance, comme si elle pouvait lui faire quoi que ce soit.

-Quel importance ce que les autres, qui sont idiots nous en avons convenus, pense de toi ? Et quel importance cela peut il avoir que Winster te considère comme un traitre ? Effectivement, ce n’est QUE Winster, je ne vois donc pas ou il est lieu de s’inquiéter. Je n’ai pas raté mon sortilège, Allen…Tu le sais très bien…ne me mens pas ! Pourquoi faut-il toujours que tu rendes les choses difficiles ?
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptySam 1 Aoû - 18:18

Ma petite intrusion dans son esprit le laisse essoufflé. Il est meilleur légilimence qu’occlumence visiblement. Je n’ai réussi qu’à effleurer la surface de son esprit et pourtant, il est aussi fatigué que si j’avais pénétré au plus profond de lui-même. Je l’observe songeur. Quelque chose m’échappe. La violence avec laquelle il est parvenu au final à me mettre dehors est assez inhabituelle chez une personne qui ne s’entraine pas couramment. Je suis a présent face a lui, ma baguette levé, point é sur sa gorge. Il est grand temps de maitre un terme à ses hésitations.

-Qui tu es ? Je serais tenter qu’en ce moment tu es le prochain nom figurant sur ma liste des gens « menaçant » dont il faut que je me débarrasse a défaut de les convaincre qu’ils auraient leur place a mes cotés. Très bien Allen…En ce cas…Si réellement tu t’acharnes à penser que tu ne me seras d’aucune utilité…N’insistons pas…

Je soupire, plante mon regard dans le sien. Sa dernière sommation pour me faire taire, d’éclanche chez moi un rire glacial

- Serions-nous un peu émotif Allen ? A moins que tu n’éprouves encore quelconque sentiments pour notre préfète…Oui...

Ma baguette appuie sur sa carotide, un sortilège, un seul…Et les elfes de maison auraient du boulot dans ma chambre…

-Si tu es inutile Allen, si je me trompe en pensant que tu as un pouvoir dépassant de loin ceux de n’importe lequel de mes alliés…Je ne te désire pas uniquement pour ton pouvoir, cela dit…je te veux a mes cotés pour tout ce que tu es…mais bien…Alors, écourtons cette conversation.

Une éclaire passe dans mon regard

-AVADA....

Ma baguette est là, sur sa carotide, je ne peux pas le louper. Mon regard est rivé au sien, je veux pouvoir y voir l'ombre de la mort. Mais...Peut être bien qu'il mérite une derniere chance...Juste une derniere...Si sa vie ne lui es pas assez précieuse, si je ne peux me garantir d'en faire mon allié rien qu'en lui promettant la vie sauve...je peux peut être trouver autre chose...Quelque chose qu'il ne pourrait pas refuser...Si Allen avait encore de la famille, je pourrais a la limitte m'en servir pour faire pression sur lui...Mais je sais qu'il est orphelin....Long soupire...Mon pére aurait tout de même put éviter de tuer ces moldus si tôt! Enfin...Puisque celà est déjà fait, ce n'est pas la peine d'y revenir...Il me faut donc trouver la corde sensible...Celle qui fera pencher la balance de mon coté

-Tout condamné a droit a un dernier mot, une derniere requette....Mais, avant d'en arriver là Allen, laisse moi te proposer un marché...Visiblement, ta vie vaut beaucoup plus pour moi que pour toi...je doute donc que tu fasses le moindre pas pour te sauver toi même...Aussi.....Voilà ce que je te propose, Allen...Si tu me rejoins, je fais le sermant de laisser la vie sauve a James Potter, ainsi qu'a l'ensemble des personnes qui te sont cheres...Même a Winster, si tel est ton désir...Bien que dans son cas à elle, tu comprendras que je ne pourrai te garantir sa sécurité si c'est elle qui vient a moi...Je ne toucherai pas à un seul de leur cheveux tant qu'aucune guerre effective n'aura été déclaré...En revanche, si tu refuses de te joindre a moi...Non seulement, tu mourras, mais tu emporteras avec toi chacune des personnes qui te sont proches. Je les corromprai les un aprés les autres, j'en ferai des tueurs, j'userai de l'imperium pour les pousser a comettre les pires choses...Et puis a la fin, lorsqu'ils ne me seront plus utils, je les tuerai, un a un....A toi de choisir Allen...tu peux tous les sauver ou tous les condamner...Reflechies bien, mais fais le vite...

Ma baguette s'écrate de quelque millimetre. Mon regard est toujours dans le sien. Quel est la valeur de ma promesse? Elle ne m'engage pas à grand chose, si ce n'est a ne tuer personne parmis ses proches tant que ceux ci ne cherche pas à me tuer moi...S'il refuse...Ils tomberont tous, les un aprés les autres...Je me crois bon d'ajouter

-Tu te dois de savoir Allen, que Potter était prét a se sacrifier afin que je te fiche la paix...Mais, comme je le lui ai stipulé, son offre ne m'interressait aucunement...Ce qui signifie que maintenant, en haut de la liste des personnes a éliminer, il est le premier
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MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyLun 3 Aoû - 22:12

    Je n’aurais jamais dû venir ici. Je n’aurais jamais dû venir ici. Je n’aurais jamais dû venir ici. Cette phrase ne cesse de se répéter dans l’esprit de William. Je n’aurais jamais dû venir ici. Et il avait raison, parce que le vert l’avait merveilleusement bien coincé...

    - Pour qui je me bats ? Mais euh... pour... je... Et alors ? A la limite, je veux bien qu’on se serve de moi, si c’est pour une bonne cause ! C’est simplement que ta façon de le faire évoluer ne convient à personne, Jedusort ! Tu dis n’importe quoi, si, tu dis n’importe quoi.

    William se tut sur cette évidence. Personne ne viendrait fêter leur mort si Jedusort gagnait. Non, il abandonnerait les morts en tant que simple mission accomplit ou autre tâche déplaisante.

    En effet, William ne sait plus vraiment vers qui se tourner à présent. Ce qui doit bien faire plaisir à Jedusort. Lui qui a réussit, une fois encore à manipuler quelqu’un. William se rend à peine compte de ce que le vert lui fait dire.

    - Quoi leur maison ? Pourquoi tu dis ça ? C’est ma maison également, même si certains ne sont pas tous digne d’y être, ils sont tout de même dedans. Notre maison ? Je ne suis pas chez Serpentard ! Enfin j’y suis... mais... j’y suis pas... pas en vrai ! Ma maison, Jedusort, Gryffondor est ma maison !

    Jamais William n’aurait pensé que Jedusort lui tiendrais ce discours. Dans chacune de ses blagues, chaque fois qu’il en parlait, ce n’était que pour plaisanter sur son idiotie et son idée folle de conquérir le monde. Et après tout cela, William n’a même plus le cœur à se défendre, il ne répond plus que simplement. Trop simplement. Il rendra la tâche bien plus facile à Jedusort.

    - Ne m’appelle pas par mon prénom

    Il ne peut se retenir qu’a cela. Personne, personne, ne ce fait appeler par son prénom avec le vert. C’est toujours, Winster, Andrews, Potter... pas de prénoms.

    - Tu n’as toujours pas compris, je ne veux pas de cette place !

    Et dire que rien de tout ça ne serait arrivé si... Il n’était jamais venu ici.

    - Je suis désolé, mais c’est bien ce que vient de se passer. Je ne mens pas. Ton sort n’a duré que quelques secondes !

    S’il avait été un peu plus doué pour mentir, ça lui aurait bien servit. Il ne fallait pas que Jedusort découvre sa conscience, dans quel cas, il en voudrait une lui aussi... et... ça serait bien trop dangereux pour le monde des sorciers.

    - Je ne veux pas être invincible, personne ne l’est... du moins pas longtemps. Si, si, je suis comme tous ses Bouffondors, comme tu dis. Si j’étais autrement que ça, tu l’aurais remarqué, pas vrai ?

    Là-dessus, William peut se félicité d’être resté aussi longtemps hors de danger... ou presque. Il ne savait pas quelle était le pire. Que Jedusort le prenne pour un Sang de Bourbe qui n’a pas sa place ou quelqu’un qui pourrait rentrer dans ses rangs. Les deux, en faite.
    Encore une fois, Jedusort n’a pas tord. Ce qui laisse de nouveau William dans un silence. En effet, il aurait pu croire en Elisabeth, mais il ne l’a pas fait... et il aurait dû.

    - Tais-toi, Jedusort, tu ne racontes que des conneries ! Ne m’appelle pas par mon nom !! De quoi... je... qui t’as dis ça ? Comment tu le sais ? Et en quoi c’est tes affaires, hein ? Lé-o-nard ?! Ce n’était pas juste sous ses yeux ! Elle n’était pas censé venir, tu n’étais pas censé venir, enfin vous, n’étiez pas censé venir, j’avais dis tout le monde SAUF les Serpentards ! Je ne fais pas ça... ce n’est pas vrai !! Au contraire, on est... différent, totalement opposé, tellement que tu peux rien comprendre, là à ce que je raconte.

    Le rouge a toujours été curieux au sujet de cette marque. Cette curiosité en a effrayé d’ailleurs.

    - SI tu l’as raté !! Je ne mens pas, la preuve, il n’a tenu que quelques secondes ! Combien fois je vais devoir te le dire pour que tu comprennes ?! Je ne les rend pas difficile, c’est toi qui comprends jamais rien, ou comprends de travers.

    Jedusort ne choisit pas le meilleur pour tester William. Celui-ci est épuisé par ses nuits blanches, celle-ci risque d’en être une de plus. Jedusort, lui-même, ne le mais pas en condition, après avoir semé le doute en lui, comment peut-il espérer mieux ?

    Sa baguette tout près de lui, William le souffle court, laisse Jedusort et ses menaces courir. Il sait très bien qu’il n’hésitera pas, ils sont seuls dans la pièce et personne pour les entendre, il n’y aura aucun témoin.

    - Si tu veux vraiment me tuer, Jedusort, ne me fais pas trop attendre...

    C’est fini. Et il en arrivait la simplement parce qu’il... avait souhaité dormir. C’est étrange parfois, quand dans la vie, un simple détail peu prendre de grandes ampleurs.

    - Je ne suis pas émotif... et... je veux tu gardes Winster en vie dans quel cas je n’aurais plus personne à qui jeter mes sarcasmes... enfin quoi... c’est un jouet que peu de personne savent apprécier, n’est-ce pas, Jedusort ?

    William comprend tout de suite qu’il va prononcer l’incantation. Il ne peut rien faire, c’est fini, il ne reverra jamais James, et n’échangera plus un sarcasme de plus avec la préfète des Serpentards. Mais il garde encore la tête froide, et soutient le regard perçant du vert.

    Mais la formule ne fut pas entière. Il n’y eut aucun éclair. Jedusort poursuit alors ses menaces toutes aussi horribles les unes que les autres... et celle-ci et pire... il aurait préféré qu’à la place, il ne lui retourne une seconde fois les genoux, mais le vert n’avait pas de temps à perdre, visiblement.

    - Tu n’es qu’un fourbe, Jedusort. Un serpent fourbe doublé d’un manipulateur. Tu n’es rien d’autre que ça.

    Le choix peut paraître évident, cependant William s’efforce de trouver le détail qui pourrait lui donner un autre choix, mais Jedusort est bien trop doué pour les menaces.

    - Et... si... ? J’acceptais... je dis "si", on est bien d’accord ? Tu me laisserais dormir tranquille ? Et... est-ce que cela peut rester... secret ? Je veux dire... entre nous ?
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Leonard Jedusor
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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyMar 4 Aoû - 18:45

A quel moment peut-on être certain d’avoir piégé quelqu’un ? A l’instant précis où il commence a de voir réfléchir pour savoir ce qu’il peut dire pour se défendre. Exactement ce qu’était en train de faire Allen. Les nobles sentiments, tout ces gens persuadés qu’il se batte pour la bonne cause, simplement parce que les méthodes sont plus conventionnelles, moins violentes, tout cela me faisait pitié. Du moins si j’avais put éprouver de la pitié. Disons donc que tout cela me donnait mal à la tête, tout en me donnant une irrépressible envie de vomir. Je décidai donc de le piégé a ses propres propos.

-Qu’est ce donc qu’une bonne cause, Allen ? Tu parles de cette cause là qui se sert d’enfant comme de bouclier ? De cette même cause, au moins aussi corrompu que peut l’être la mienne selon tes dires ? Est-ce bien là cette noble cause qui aurait le droit de se servir de toi ? La cause que tu désignes comme « bonne » Allen, ne l’est que pour ceux qui préfèrent vivre dans un monde d’illusion. Ceux qui détiennent le pouvoir ne vivent que dans la crainte de le perdre. Si ta cause est si bonne, alors, pourquoi ne vous ont il rien dit de ce qu’il se passait dehors ? Pourquoi la gazette ne parle t’elle pas de cette vague de meurtre, dont nous ne sommes pas responsable ? Il ne faut pas inquiéter l’opinion public…Voilà ce qu’ils disent ! Ma façon d’évoluer ne convient à personne ? Mais personne n’a pris le soin de venir me demander ce que je comptais faire. Si je comprends bien, vous préférez rester dans un monde de corruption, qui n’offre aucune possibilité d’évolution, qui vous cache des choses, vous laisse croire que tout va bien dans le meilleur des mondes…plutôt que de rallier ma cause qui vous offrirait un monde nouveau ! Oui, avec moi du sang serait versé, je ne l’ai jamais nié moi, au moins ! Mais il ne le serait que pour permettre d’accomplir de grande chose, pas pour garder un monde dans l’ignorance ! Ne sois pas stupide Allen, être l’homme du ministère ne te servira à rien…ta cause n’est pas bonne justement !

Pauvre petite chose entre mes mains, pauvre petit Allen essayant de se raccrocher à la seule certitude qu’il puisse encore avoir. « Je suis à gryffondor »…En est il vraiment certain ? Est-ce bien là sa véritable maison ? Personnelement, j’en doute. Je suis plus que sur qu’Allen n’est pas un rouge. L’année de sa répartition, le choixpeau à commis nombreuse erreur. Des verts se sont vus atterrir chez les gryffondor et des rouges ont finis chez nous. Un monde totalement inversé, une habile stratégie visant certainement a rapproché nos maisons. Habile, mais totalement veine. Les masques sont tombés, plus que jamais les deux maisons son t en guerre l’une contre l’autre mais aussi a l’intérieur d’elles.

-On peut voir les choses comme cela ou bien, on peut également ce demander si tout ces idiots ne sont au final pas à leur place véritable et si, par conséquent, ce ne serait pas toi qui serait dans la mauvaise maison. Oh, je ne dis pas que tu n’es pas digne d’être gryffondor, loin de là, seulement je crois que justement tu es TROP digne pour eux…Tu voudrais bien t’en convaincre Allen, n’est ce pas ? Que ta maison est bien gryffondor…tu voudrais bien t’en convaincre… Mais tu n’y arrives pas !

Il se raccroche a ce qu’il peut, terrifié qu’il est de nous voir devenir proche. Il se dit certainement que tant que je m’en tiendrai aux « Allen », il sera hors de ma portée. Cette façon de croire m’amuse. Je sais que le rouge n’a aucun problème avec son prénom contrairement a moi. Sa volonté farouche de ne pas vouloir que je l’utilise cache quelque chose de bien plus complexe que cela.

-Et pourquoi ne puis-je pas l’utiliser ? N’est ce pas plus sociable de s’appeler par nos prénoms plutôt que par nos noms ?

« Sociable », c’est assez étrange d’entendre ce mot dans ma bouche. Je ne suis pas quelqu’un de sociable, pas plus que je ne suis quelqu’un d’habitué à être entouré d’un tat d’ami. La seule personne comptant à mes yeux est Elynn, les autres ne sont au final que des pions sur un échiquier. Le manque de sommeil ajouté au caractère instable de l’individu le rand de plus en plus nerveux.

-C’est toi qui n’as toujours pas compris Allen ! Tu penses encore que je suis en train de te donner le choix…Alors qu’en fait depuis l’instant au tu as passé cette porte, les jeux étaient arrêtés. Cette place est ta seule chance de sortir d’ici en vie…La seule…

Son regard transpire le mensonge. Il n’a pas l’aplomb, pas le savoir faire et encore moins la froideur des verts. Même Winster est capable de mieux mentir que lui…

-Mon sort était capable d’immobiliser une vache dans d’atroce souffrance durant au moins une bonne heure ! Alors à moins que tu n’avoue être plus fort qu’une simple vache, je crains fort de devoir le redire : tu mens ! Mais peut importe, je découvrirai bien la vérité tôt ou tard…De ton propre chef ou par la force.

Il a raison sur un point, nul n’est invincible. Quel que soit la marinière utilisé pour vaincre les choses, la mort elle-même par exemple, il arrive toujours un moment ou quelqu’un vient briser nos rêves. Ce que je trouve incroyable chez lui, c’est cette façon qu’il a de croire que je ne l’ai jamais observé. A dire vrai, mon regard ne l’a pas quitté depuis ses débuts et il c’est amplifié encor d’avantage lors de sa relation avec Winster. L’avantage, alors qu’il était avec elle, c’est que nous avions tous le loisir de le côtoyer sans que cela paraisse étrange. Nous faisions semblant d’être importuné par sa présence mais en vrai, nous observions.

-Précisément, mais je crois bien que justement Allen, je l’ai remarqué. Si tu n’étais pas autrement que comme les autres bouffondors, déjà tu ne serais pas sortie avec notre préfète, ensuite tu ne serais pas un très bon légilimence et pour finir le choixpeau n’aurait pas eut cette longue hésitation…parce qu’il a hésité n’est ce pas ?

Aucun secret ne peut le rester longtemps dans ce château. En vérité, j’ignore si le choixpeau a hésité entre serpentard et gryffondor, tout ce que je sais c’est que sa répartition a été plus longue que d’ordinaire. Allen n’étant pas un bourreau du travail, je doute qu’il est été susceptible d’aller à Serdaigle. Quant à Pouffsoufle c’est assez exclu au vue de son caractère. Ne reste donc que nos deux maisons…

Je siffle comme un chat que l’on vient d’attaquer lorsqu’il prononce à nouveau mon prénom. Je sais que c’est là de la provocation, mais j’ai bien du mal a ne pas succomber a l’envie de lui montrer ce qu’il arrive aux gens un peu trop téméraire. Evidemment que nous n’étions pas supposer aller a cette petite fête, bien entendu sinon ou aurait été le coté drôle de la chose ? Je vous le demande…

-Au cas où tu aurais oublié Allen, j’étais là ce soir là. Oui, j’étais là lorsque Winster c’est précipitée dans les escaliers alors que Potter venait de faire, encore, une bourde. Oh…Et bien ce ne sont pas réellement mes affaires, mais il faut avouer que j’ai passé un agréable moment. Winster est ce qu’elle est, mais il faut au moins être honnête, lorsqu’elle est en colère, tout en elle respire le serpentard. S’en est presque déroutant d’ailleurs…Allen, nous sommes dans cette maison, les numéros un au classement des potins en tout genre. Pensais tu réellement qu’une fête pouvait avoir lieu sans qu’on le sache ? Et puis, un peu de bon sens ! Winster à un tat d’amis chez vous, elle aurait forcement été mise au courant et même sans nous, elle serait probablement arrivé avec l’un de ces nombreux amis ! Au final, tu ne pouvais pas éviter sa venue, et tu le savais très bien. Oh que si, tu fais ça. Ouvre un peu les yeux Allen…Winster ne cesse de te montrer qu’elle souffre de cette situation et toi, sans arrêt tu es là à enfoncer le clou. La vérité, c’est que rien ne t’atteint. Plus loin encore, je serais prêt a aller jusqu'à dire que le plus serpy de vous deux, c’est toi…Mais ça aussi tu le sais déjà…C’est ce qui fait d’ailleurs de toi quelqu’un de si intéressant. Mais non, nous ne sommes pas opposé, ça c’est ce que tu aimerais réussir à te faire croire….mais tu n’y parviendras pas !

Je secoue la tête, visiblement arrivé au terme de ce que je suis capable de supporter en matière de mensonge. Je ne vais pas me répéter a quoi bon ? Je sais qu’il ment, de même que je sais qu’il cache quelque chose…Un brin de réalisme effleure son esprit, il a donc enfin compris qu’à trop me pousser, il risquait bien de finir mort ici, sur ma descente de lit. Bien que l’idée d’avoir un sang de bourbe en guise de tapis de chambre ne soit pas une mauvaise idée, je préférerais que ce ne sois pas lui. Il peut encore m’être utile, je n’aime pas jouer si je dois perdre. Je suis un fin stratège, j’obtiens en général tout ce que je veux…

Une phrase, viens me couper dans ma réponse. Cette fois je ne peux m’empêcher de ricaner franchement.

-Un jouet ? Voilà, qui me semble fort incongru dans la bouche d’une personne qui se désigne comme étant différant de moi. Et bien soit…j’imagine que je pourrais faire un effort et ne pas te priver de ton jouet favoris trot tôt…Cela dit, tu possèdes dans ta collection un autre jouet de grande qualité : Potter.

Nous arrivons au moment fatidique, cet instant ou las d’attendre je me décide à mettre fin a notre discussion. A quoi bon, il semble bien qu’il ne changera pas d’avis. Puisqu’il se refuse à être avec moi, le voilà donc contre moi. Je ne laisserai pas quelqu’un avec ses pouvoirs entre les mains du camp d’en face. Rien que sa légilimencie pourrait me poser des problèmes. C’est en le fixant dans les yeux que j’amorce la formule du sortilège de la mort. Je n’ai aucune envi de le tuer, il pourrait être tellement précieux. Mais il ne me laisse pas le choix. Si ce précieux ne devient pas mon précieux, il ne sera celui de personne.

Soudain, je me rends compte que je n’ai peut être pas appuyé sur la bonne corde sensible avec lui. Bien que je lui ais prouvé qu’il est comme moi, je sais aussi que son coté rouge ne supportera pas d’entrainer dans sa chute d’autre personne. Allen est peut être insensible, mais il lui reste encore pour l’heure un fond de bonne conscience. Une chose qu’il faudra lui apprendre a éliminé.

-Ravie de voir que tu es capable de reconnaitre un serpentard quant tu en croise un. Je suis flatté par tous ces nobles compliments, mais je crains fort que cela ne réussisse pas à te sortir d’affaire.

J’ai gagné…je le sais…il a beau dire « et si »…je sais que j’ai gagnai. Il n’est pas en position de me demander quoi que ce soit, mais je vais être clément, après tout ses requêtes ne sont pas grand-chose. Je tache de faire comme si sa décision n’était pas déjà prise, et lui répond froidement.

-Bien que tu ne sois pas en position pour faire des demandes, j’accepte de répondre favorablement à celles-ci. Si…Puisque tu tiens a ce que « si » il y est, tu acceptes de me rejoindre, je t’apposerai la marque et ensuite nous pourrons tout deux regagner nos lits. Tu seras dans ce dortoir comme chez toi, toujours le bienvenue. Plus personne ne viendra te chercher d’histoire, tu seras sous ma protection, nul ne viendra contredire cela. Bien entendu, je resterai discret. Nous ferons en sorte que personne d’inutile ne soit au courant de ton appartenance au mangemort. Bien entendu, nos semblables eux, sauront que tu es des nôtres. Mais aucun ne te livrera, les mangemort ne sont pas des enfants de cœur, mais ils sont loyaux. Je peux donc t’assurer qu’à moins que toi tu n’en décides autrement, ni Potter ni Winster ne seront au courant de notre petit arrangement…Sauf si l’un deux devient des nôtres, ce qui serait fort étonnant. Ce n’est pas une fleure que je te fais là Allen…Disons que j’ai aussi mes propres intérêts à garder tout cela secret. L’effet de surprise jouera en notre faveur…Et si besoin est de te déculpabiliser, William, dis toi que tu n’es pas le premier gryffondor à me rejoindre.

Je n’ajouterai pas un mot de plus. L’autre gryffondor mérite aussi que je conserve son nom secret même si, dans son cas à elle, il ne m’a guère fallu la convaincre de se joindre à moi, elle est venue d’elle-même.
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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyJeu 13 Aoû - 22:42

    William ne comprenait plus rien... Comment avait-il put en arriver là ? Lui, qui avait perdu ses parents lors d’une visite des mangemorts dans le monde moldu ? Lui, qui c’était dit qu’il se vengerait ? A présent toutes ses paroles paraissent bien lointaines. Comme s’ils les avaient jurées dans le vide... sans vraiment y croire. On ne peu être plus perdu que lors qu’on est corrompu.

    - M... mais qui a dit que je serait chez les crétins du ministères, hein ? Tu lis dans les étoiles, toi aussi ? Je sais quand même mieux que vous ce que je vais devenir, nan ? Rha... c’est pas vrai ça...

    Il venait de marmonner ses phrases, sans être agressif, en tant que simple remarque, avec cependant une pointe d’ironie. William se demandait lui-même comment faisait-il pour trouver encore de quoi plaisanter dans un moment pareil. Les mots sortaient tous seuls de sa bouche.

    - S... si, j’y arrives. Jedusort ? Pourquoi a ton avis, j’ai choisis Gryffondor au lieu de Serpentard, su ce n’est que parce que je savais que c’était ma place ?

    Ce ne fut qu’après avoir prononcé ses mots qu’il se rendit compter de sa bêtise. Les plaisanteries sortaient peut-être toutes seules, mais les idioties aussi. Pourquoi fallait-il que Jedusort lui fasse sortir les vers du nez ?

    - Enfin... j’veux dire... j’ai pas choisis d’aller à Gryffondor ou pas... le Choixpeau l’a fait pour moi, ça veut donc dire que j’y ais ma place, nan ? Et puis pourquoi je devrais me justifier de toute façon ?! Fous-moi la paix, c’est tout !!

    Ce n’était pas une question de sociabilité ou non. Mais ça, le vert devait bien l’avoir comprit. A son sourire, son visage froid. Comment faisait-il pour rester aussi impassible ? Et pour simple demande à leur façon de s’appeler, William lui adresse un regard noir pour simple réponse.

    Si. Bien sûr qu’il le comprend ça, dû moins maintenant. Il le comprend qu’il n’a pas le choix. Et il a beau essayé de trouver une faille dans le marché du vert, il n’en existe pas. Aussi se contente-t-il de garder le silence.

    - JE MENS PAS !! Je dis que la v...

    Jedusort continue de lui faire peur. Qu’a-t-il l’intention de faire pour découvrir l’existence de sa conscience ? Et quand a-t-il remarqué qu’il n’était pas le stéréotype que s’inventent les Serpentards des rouges ? Il prononça sa première phrase comme s’il s’agissait d’un crime.

    - Je ne suis pas le seul ! D’autres Gryffondors sortent avec des Serpentards, mais ils se cachent, ils savent très bien ce qui se passe s’ils s’affichent aux yeux de tous. Et tous ça, à cause de toi et de tous tes préjugés. Aussi, tu comprendras que je n’en donnerais pas les noms.

    Et il en avait un. Rien que ça. Il avait un très gros scoop. James Potter. Il s’empressa de fermer son esprit. William virait sans doute du mauvais chemin, mais il n’en deviendrait pas totalement lâche.

    - Encore un de tes préjugés débiles, Jedusort. Ce n’est pas parce que tu es rouge que tu es forcément mauvais Légillimens ! Pourquoi le Choixpeau à hésité ? Mais parce que... tu le connais, il aime bien raconter sa vie. Nan ? Sérieusement, il hésité à m’envoyer à Ser... daigle... hem, oui c’est ça, Serdaigle... je m’en souviens maintenant.

    C’était surtout dingue de mentir. Il ne savait pas pourquoi il faisait ça. Jedusort ne le croirais jamais. Son discours ressemblait presque à de la morale et William se surpris à avoir honte de s’être comporté ainsi.

    - Mais je... n’avais pas pensé à tout ça... en organisant cette fête. C’est toi qui te fais des idées.

    En effet, il n’y avait pas vraiment pensé. Non, en faite si, une fois. Mais il c’était dit que leur plan était trop ingénieux, trop bien pensé, tellement bien fait que les crétins de verts ne le découvrirait pas.

    William hésite à répondre, mais se mord la langue. Jedusort n’oserait pas toucher ni à Winster ni à Potter. Il ne le ferait pas s’il veut le rouge dans son camp. William à intérêt à jouer là-dessus. Raté. Jedusort prend ses insultes pour compliments. Peut-on seulement faire plus Serpentard que lui ? Au terme du marché, une phrase l’arrête. La marque ? William a beau y penser, il n’arrive pas à prononcer le mot.

    - Quoi ? Ah nan ! Tu me mettras pas de... j’en veux pas ! C’est pas dans le pact, ça !

    Le rouge affiche un regard pensif. Un autre Gryffondor qui serait venu de lui-même ? Une fille ? Mais qui cela peut-il bien être ? Ses derniers mots sont rongés de curiosité et c’est presque un ordre que William prononce.

    - Et qui est ce ? Je finirais bien par le savoir si elle est mangemort. Dis-le.
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Leonard Jedusor
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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyDim 16 Aoû - 15:35

Je le tenais. Je voyais bien qu’il commençait à avoir des doutes sur ce que son futur pouvait lui réserver. Il affirmait qu’il ne suivrait pas les idiots du ministère, voilà qui se révélait intéressant. Le monde se divisait en deux : ceux qui étaient contre moi et ceux qui étaient avec moi. Dans l’ensemble, tous ceux qui étaient contre le ministère ne pouvaient alors qu’être avec moi. Du moins, d’une certaine façon. J’étais assez surpris d’entendre qu’il semblait porter un intérêt quelconque à la divination. Personnelement, je ne croyais en rien. Un sourire se posa au coin de mes lèvres.

-Intéressant…Très intéressant même. Vois-tu Allen, si tu penses ce que tu dis, alors cela veut dire que tu penses que le ministère n’est pas à la hauteur. Par conséquent, toujours selon toi, tu ne comptes pas les rejoindre. Par déduction, on peut donc considérer que si le ministère te demandait de les aider, tu refuserais. Ainsi donc, te voilà contre le ministère. Hors, les ennemis de mes ennemis sont mes amis, non ? Je ne lis rien dans les étoiles, je n’en ai pas besoin. A dire vrai, je crois que je sais parfaitement ce que tu vas devenir : L’un de mes plus proches collaborateurs. A moins que tu t’entêtes et dans ce cas là, cela signifierait que tu n’aurais plus besoin de lire dans les étoiles, vue que je t’enverrais les rejoindre.

Voilà que maintenant c’est à moi qu’il demande des réponses. Il commence par me dire que le choixpeau lui a laissé le choix, puis revient lamentablement sur ses paroles, conscient sans nul doute d’en avoir trop dit. D’ailleurs il s’emporte à nouveau, mais pas contre moi, contre lui-même. Il sait qu’il a commis une bourde.

Je savais, j’avais toujours sut même, que le choixpeau n’avait pas choisis de le mettre a gryffondor. Son caractère était bien trop a l’opposé de celui des rouges. J’avais une réponse toute faite à sa question, une réponse simple. Je le laisse se rattraper, je le laisse mentir simplement pour se donner l’illusion qu’il a encore le contrôle, puis je secoue la tête en soupirant.

-Allen, un jour peut être, tu arriveras à mentir avec aplomb. Mais pour le moment, je te suggère d’éviter de le faire, tu sembles ne pas être doué pour ça. Penses tu que je ne sais pas que parfois, le choixpeau laisse au gens le choix ? Si pour la plupart d’entre nous, le message est clair, pour d’autre il est plus confus. Quelque fois, le choixpeau hésite, consulte la personne pour savoir ce qu’il pense. C’est exactement ce qui est arrivé avec toi, ne le nie pas, tu as passé plus de temps que la moitié d’entre nous sous le choixpeau. Crois tu que je te demande de te justifier ? Pas le moins du monde, attendu que je sais pourquoi tu as fait ce choix. Vois tu Allen, tu n’as pas choisis d’aller chez les rouges parce que tu savais que c’était ta place, non tu l’as fait parce que serpentard te faisait peur. Tu craignais en venant chez nous, que cette partie de toi, si noire, si violente et si fatalement serpentard, ne prenne le dessus. En allant a gryffondor, tu pensais pouvoir te cacher, fuir une partie de toi-même. Hélas, ce ne fut pas une réussite, vu que prés de 7 ans après avoir fait ce choix, on constate que cette part d’ombre en toi, est de plus en plus présente. Tu as choisis Gryffondor parce que tu refusais de trahir tes parents ! Tu as fait ce choix, simplement par peur de se que tu pourrais devenir a nos cotés, la peur d’être toi, tout simplement. Ajoutons que tu es un né moldus, serpentard pour toi, semblait inimaginable. Et pourtant, il faut bien constater qu’à gryffondor, mis a part Potter, tu ne comptes que très peu d’amis. Pour cause, ils voient tous en toi le serpentard qui sommeil. Exactement ce que moi, je vois. Donc, pour répondre à ta seconde question, personne n’est moins à sa place chez eux que toi.

Plus le temps passait et plus William se sentait piégé. Il n’avait plus pour se défendre que ses regards noirs. Chaque fois que je l’appelais Will, l’étau du piège se refermait sur lui. Il craignait que l’on ne devienne trop familier, il redoutait de finir par devoir me compter parmi ses connaissances proches. Tout cela aurait put être amusant, si je n’avais pas eut en tête un but bien précis.

Je voie la peur dans son regard, l’effroi. Il essai par tous les moyens de trouver en lui cette volonté de rester impassible. Mais on ne s’improvise pas serpentard, mon cher ami, on le devient. A l’image de certain de nos premières années, il a beaucoup à apprendre, mais je sais qu’il est intelligent. Un mois a mes cotés, et je garantie que plus personne ne sera capable de le percer a jour. Il pourra mentir avec tellement de facilité, que nul ne sera capable de déterminer s’il dit la vérité ou non.

Je sens quelque chose en lui, quelque chose de puissant. Un secret bien gardé, que je ne pourrai mettre a jour qu’en faisant preuve de ruse et de patience. Mais ce que Jedusor veut, Jedusor obtient. Laissons le s’acclimater, ne le brusquons pas.

Et voilà…Un éclaire passe dans mon regard. Brave Allen, qui parle toujours sans réfléchir. C’est à croire qu’il me donne de précieux renseignements de son propre chef, sous le couvert de sa stupidité. Mon sourire grandi encore, mauvais signe pour lui.

-Ha vraiment ? Je vois que tu es bien renseigner sur les couples contre nature qui traine dans Poudlard. Voilà qui est intéressent. Ainsi donc, malgré mes menaces, des serpentards osent encore braver mon autorité en s’exhibant avec des gryffondor ? Voilà qui est déplorable autant que répugnant. Mais grâce a toi, je sais a présent qu’il va me falloir ouvrir l’œil. Oui, je comprends tout a fait que tu ne veuilles pas me donner de nom, au vue de ta propre expérience lamentable, je peux comprendre que tu veuilles épargner cela a certain de tes congénères. Pourtant, je ne te connaissais pas si loyal envers les gryffondor…Aussi, je miserais d’avantage sur ta volonté à protéger une personne qui t’es cher. Ce qui du cou, me permet d’éliminer pas mal de noms. Oui, Allen, je te l’ai dit, tes sentiments te conduiront à ta perte. Si les gens se cachent, c’est que je leur fait peur. En résumé, je suis tout de même vainqueur car, nul ne peut se cacher éternellement. >Et puis n’oublies pas…ce que tu ne veux pas me donner de ton propre chef, je peux toujours l’obtenir par la force…

Pour autant, je ne cherchai pas à entrer dans son esprit. J’avais tout le temps pour régler ce léger problème de discipline chez les serpentards. Il m’accusa d’être plein de préjugé…Oui, peut être, bien que pour ma part je me considérerais d’avantage comme un conservateur.

-Si j’avais autant de préjugés que tu le sous entends, serais je là, ai discuté avec toi ? Permets-moi de te contredire William, la légilimencie, tout comme l’occlumencie sont deux branches assez porter sur la magie noire. Je ne dis pas qu’aucun rouge ne peut être légilimencien, simplement ils seront toujours inférieurs a un vert en la matière. Quant a l’occlumencie, pas besoin de dessin. Les gryffondor sont de piètre occlumence. Oh vraiment ? Serdaigle ? Navré.Bien que tu sois intelligent, je ne vois guere le choixpeau t’envoyez chez les aigles. Malheureusement, il te manque la vivacité d’esprit et la soif de connaissance pour aller chez eux. Su tu avais l’étoffe d’un bleu, tu n’irais pas aussi souvent en retenu. Non Will, si le choixpeau a hésité, c’est parce qu’il voulait te mettre chez nous mais que le fait d’être un sang non pure ne lui donnait pas le droit, en théorie, de faire une telle chose.

Bien sur, bien sur qu’il n’avait pas pensé. Evidemment. Pour le moment, il est encore au stade du jeune homme qui ne songe pas, qui fait du mal par accident. Mais je suis confiant, dans peu de temps, il fera mouche du premier cou. Il connait déjà le gout du plaisir que l’on éprouve à rendre le mal par le mal. Ce gout de justice qui s’infiltre dans nos veines lorsqu’on a mit à terre un ennemi. Il lui faudra peu de temps avant de devenir un serpentard par excellence, un être au dessus de toute douleur mais qui, lorsqu’on essaie de le blesser, rend cou pour cou.

-Et bien, en admettant qu’effectivement tu n’avais pas pensé a mal, tu ne peux nier avoir eut un certain plaisir à lire la douleur sur le visage de ta vipère favorite. Il faut reconnaitre que tu es très doué. Tu connais les failles de son masque de froideur, tu sais frapper là ou ça fait mal. J’admire. Sans compté que tu n’éprouve aucune pitié et que par conséquent tu ne l’achèves pas trop vite. Faire durer le plaisir, regarder l’autre se détruire petit à petit sous nos attaques. Voilà qui correspond bien a l’image que j’ai de toi.

Je l’observe tandis qu’il essaie dans un ultime effort de repousser le moment ou il lui faudra prêter semant. Qu’imagine-t-il ? Que sa parole me suffi ? Sa parole ne vaut rien, il n’y a que par la marque des ténèbres que je m’assurerai de sa fidélité. Je choisis avec soin chacun des mes futurs mangemort. Peu d’entre eux porte la marque, simplement parce que soit je les tiens autrement, soit parce que je sais qu’ils me seront fideles jusqu'à la mort. Elynn, par exemple n’a pas besoin de porter cette marque. Elle est un bout de moi, je suis un bout d’elle. Malefoy, jusqu'à présent ne la portait pas. Maintenant, je songe de plus en plus à la lui imposer.

-Will, je crains fort que tu ne sois pas en mesure de déterminé toi-même les termes de notre pacte. Il va de soit qu’en acceptant de me rejoindre, tu acceptes du même cou à porter cette marque. Sinon, comment pourrais-je m’assurer de ta loyauté ? Cette marque n’est pas discutable. Cela dit, je peux te promettre de faire en sorte qu’elle ne te soit pas trop douloureuse. Pour le reste, il n’en tiendra qu’a toi de prendre garde à ce que personne ne la découvre. Avec le temps, je t’apprendrai a la dissimulé au regard des autres.

Il y a en lui, quelque chose qui me rappel mon père. Sa façon d’essayer de se faire obéir, de donner des ordres, de forcer les autres à lui prouver que leur paroles ne sont pas un simple jeu de dupe. Son « dis le » n’est pas une demande, c’est un ordre. Il veut savoir, il veut être dans les secrets des dieux. Mais je ne suis pas disposé à lui livrer ces secrets. Il m’a demandé l’anonymat, il lui faudra en ce cas respecter celui des autres. Je sens en lui un besoin de comprendre, un besoin de ne plus se sentir le seul rouge différent.

-La curiosité est un vilain défaut. Pour connaitre les choses, il faut observer. Certain d’entre nous sont capables d’être invisibles si tel est leur désir. Tu veux connaitre son nom ? Alors, il te faudra le deviner. C’est ainsi que l’on apprend, Will. Devenir l’un des nôtres ne fera pas de toi quelqu’un qui saura tout de nous. Cet autre gryffondor, vois tu, n’avait nul besoin de marque. Pour des yeux aveugles, elle semble innocente, bien qu’elle ne cache pas ses préférences. Joues-tu aux échecs, Will ? Non ? Alors tu devrais..Aux échecs, il y a la reine, le roi, les fous, les cavaliers, les tours et les pions. Les pions sont les pièces que l’on peut sacrifier, car elles ne valent rien. La reine est la pièce qu’il faut protéger coute que coute car elle est la maitresse du jeu. Si la reine échoue, tu perds la partie. Le Roi est également important. Alors, dis-toi que si cette gryffondor devait être une pièce de mon jeu, elle serait la reine. Quant à toi, tu pourrais être mon roi.

Vous êtes les pièces de valeur, les pièces que personne ne s’attend à voir surgir dans mon jeu. C’est pour cette raison que son identité a elle, restera un secret. Quant à la tienne, comme je te l’ai dit, elle restera également un secret pour qui n’est pas digne d’en connaitre le nom. Mais si cela peut te consoler, je n’exclue pas un jour de voir arriver dans mon jeu une pièce de choix, un Potter par exemple…

Un court instant, je m’amuse avec ma baguette. Mon regard se soude à nouveau au sien.

-Alors quel est ton choix ?
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Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- Vide
MessageSujet: Re: Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort-   Bonnes Résolutions... à Noël ? -Jedusort- EmptyDim 11 Oct - 19:06

    C’est dingue ça. Comment une simple phrase peut retourner la situation. William n’aimait en effet le ministère. Il n’aimait rien ni personne qui fixait des lois, d’ailleur. Mais de là, à en déduire qu’il rejoindrait Jedusort pour ça... c’était un peu fort.

    - Je n’approuve peut-être pas le ministère, mais je ne pense pas que cela veut dire que je t’aiderais. Tu te fais des films tout seul, là.

    A un moment, le vert allait perdre patience et sortir sa baguette. William n’en revenait pas lui-même de l’arrogance dont il faisait part, de un et de deux, que malgré tout, Jedusort n’en apparaisse pas moins énervé. Ce type était incroyable.

    William se sent vexé d’entendre de la bouche de Jedusort qu’il ne sait pas mentir. Mais c’est en même temps un vrai problème. Mentir c’était l’une des choses les plus essentielles qu’il fallait savoir faire dans la vie, si on voulait s’en sortir. Et malheureusement pour lui, William avait encore du travail.

    Il écoute le vert et il ne comprend pas comment il a aussi bien comprit. Lui, n’a rien tenté, ni son esprit, ni la moindre question, et pourtant, le voilà, ici, à lui raconter toutes ses pensées et ses craintes. Will se décide de se taire pour ne pas s’enfoncer plus. Il a certes, toujours été curieux de la magie noire, mais il ne l’avouera jamais. Pas à Jedusort. Un peu honteux d’un tel discours, il baisse les yeux, n’osant plus fixer le vert dans les yeux, de peur de se trahir.

    - Contre nature ? Il n’y a pas de... Rha comment tu peux croire ça ? Tu... tu choisis pas qui tu aimes, Jedusort. Moi j’ai pas choisis d’aimer Winster, nan, parce que j’aurais préféré quelqu’un d’autre, qui m’aurait pas attiré d’ennuis. Mais tu choisis pas, nan. Tu n’as pas intérêt. Je t’interdis de le faire, tu n’y arriveras pas !

    Pour une fois, William est presque fier d’avoir parlé avec son cœur. De cette façon, il a l’impression de creuser une limite entre lui et le vert. Il essaye ainsi de se différencier de la froideur du Serpentard.

    Mais ce discours si franc joue maintenant en sa défaveur. Il pensa aux conséquences si Jedusort apprenait qu’un Potter sortait avec une fille de mangemort. Un scoop, oui. C’est clair. Sa conscience cependant, jura de l’aider et il en fut un peu plus rassuré.

    Un point pour lui. En effet, on imaginait mal William en parfait écolier. Lui qui connaissait si bien la salle de retenue et les missives que les préfets s’envoyait pour coller machin avec truc. Le bruit des rubis qui remontait dans la partie supérieure du sablier, aussi, il connaissait bien. En résumé, tout ce qu’un bleu aurait honte.

    - Désolé de te décevoir. Mais je ne suis pas du tout comme ça

    Jedusort devient blessant. Face à ces mots, William se voit plus comme un sale type qu’une victime. Il commence à se remettre en question, se rassurant en ce disant que si Elisabeth avait la possibilité de se venger de la même manière, elle le ferait aussi sans regrets.

    - Non !! Je... je... c’est impossible ! Je me ferais forcément découvrir ! Enfin quoi, sur le bras, ça va forcément être... enfin quoi nan !!

    Et pourtant c’est déjà trop tard. Depuis qu’il est entré dans la pièce, et William refuse toujours d’y croire, tout était déjà préparé, calculé par Jedusort.

    - Rha pitié, ne me fais pas la moral ! Toi aussi ça a dû t’arriver de vraiment vouloir savoir quelque chose, pas vrai ? Bah là c’est pareil pour moi ! Essayes un peu de comprendre !

    Mais il n’y a rien à faire, Jedusort n’en dira rien. William reste toujours aussi curieux sur le sujet. Il allait bientôt le savoir, il finirait forcément par le découvrir, d’autant plus si elle est de sa maison.

    - Mon choix ?! Je... je n’en ai pas, Jedusort ! Je suppose que si je refuse, tu exécuteras tes menaces ? Alors pourquoi tu me le demande si tu sais très bien que je ne l’ai pas ?

    William ne s’abaissera jamais à dire oui. Il préféra jouer des sous-entendus.

    [Tu finis ? A moins que Jedusort n’ai autre chose à dire ?]
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