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Tu joues dans la cour des grands maintenant. |
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James Sirius Potter
7ème année Gryffondor
Nombre de messages : 337
Age : 33
Maison : celle des maraudeurs
Emploi : dire des conneries, faire mon boulet, être arrogant...
Humeur : C'est comme si d'un cou tout le bonheur du monde c'était éteind
Feuille de personnage
Côté coeur: L'amour si doux et amer a la fois...ma Eloise
Camp: Le bien
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant.  Lun 2 Mar - 23:10 |
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Mais c’est qu’elle avait du répondant la vipère ! Bon sang là comme ça, j’avais presque envie de lui arracher la langue, maintenant je comprenais mieux pourquoi William passait son temps à l’éviter ou a se disputer avec, au choix.
On enchainait sarcasme sur sarcasme et je venais de trouver un allié improvisé en la personne de William. A moins que sa ne soit moi, qui soit devenu le sien, tout dépend comment on regarde les choses.
En tout les cas, mon confrère avait l’art et la manière de faire des comparaisons douteuse. Je le fixai un instant indécis avant d’hausser les épaules
-oui, bien sur, si on se place de se point de vue sa change tout. Quoi que, dans ce cas précis, si tu avais essayé de tuer mon frère, tu nous aurais débarrassé de Winster, finalement sa aurait été un mal pour un bien.
C’était bien de moi de dire ce genre de chose. Mais en même temps après tout c’était la verte qui c’était mit devant Albus hein, après tout si William l’avait tué, cela aurait été un accident…regrettable…ou pas.
Bon, je décidai de passer sur l’épisode du sort. Y’avait pas de bobo, Albus était entier, on n’allait pas en faire une tarte a la citrouille pendant des lunes. William reconnaissait qu’il c’était énervé, a quoi bon insister…Sans compter que finalement Albus avait aussi sa part de responsabilité alors, comme dit papa, si il y a des tords des deux cotés le match s’annule
-C’est bon, on fait tous des trucs irréfléchie quant on est énervé. Tu l’étais, Albus l’était…J’imagine que dans ces cas là on pense pas vraiment a l’âge de son adversaire. Et puis bon, c’est pas comme ci tu me l’avais amoché, là oui, je t’en aurais surement d’avantage voulu.
Fin de l’histoire, enterrons la hache de guerre, on va pas se battre entre frère quant même. Zut, j’avais manqué de tact sur ma réplique, voilà c’était tout moi. Juste au moment au William commençait à se calmer je venais de mettre de l’huile sur le feu. Hahem, c’est pas pour dire, mais rattraper ça sans m’enfoncer sa allait être dur, surtout que Winster en rajouta une louche.
-Mais non tu les fréquentes pas, enfin pas volontairement. C’est vrai quoi c’est pas ta faute si tu as une verte enragée qui te colle aux chaussures et qui du cou t’entraine dans des punitions incroyable. Mon pauvre ami, on peut le dire tu n’a pas de chance. Winster, au passage tu as parfaitement raison…William est un maitre pour moi. Et je dois dire que c’est un grand honneur pour moi que de subir son influence, au moins sa me permet de savoir qu’elle genre de langue de vipère tu es.
Et Bam, le truc qui tue. Je continue sur ma lancé
-Oh non ne t’en fait pas pour me distraire, il me fait beaucoup plus que la vision fort désagréable de ta tête. Tu es peut être jolie Winster, mais niveau QI t’as du soucie à te faire. Enfin, heureusement pour toi, on demande pas à un mangemorts d’être intelligent.
Le cou de poignard dans le dos. Merlin que je suis méchant…Mais que c’est bon d’être méchant avec une serpy. Je laissai William régler son propre problème d’égaux avec notre « amie » pour m’occuper de mon frère. Gentiment celui-ci me rabroua. Visiblement que je m’inquiète pour l’agaçait plutôt qu’autre chose. Bon, ok. Je me contentai d’hochai la tête, il était peut être préférable que je lui foute la paix. Il avait besoin de récupérer.
Winster trouva le moyen de m’envoyer un pic auquel je n’étais pas préparé. Diable, là j’enviais William qui trouvait toujours réponse à tout.
-Ha bon ? Sa te déprime vraiment ? Dire que je pensais que la dépression était ton état naturel. Il faut dire que tout ce vert là, c’est pas bon pour les nerfs. Quant a ma tête Winster, ne t’en fait pas, elle enfle peut être mais c’est uniquement pour y mettre tout ce savoir que tu n’auras jamais. Et puis, merlin qu’ais je entendu ? Une grossièreté ? Dans ta bouche ? Voilà qui a dut faire retourner ce bon vieux Salazard dans sa tombe. Tu me déçois beaucoup Winster, je te croyais suffisamment noble pour ne pas t’abaisser a ce genre de chose. Vraiment les serpentards de nos jours, ils ne respectent plus rien. Tu trouves pas William ?
Là ça sonnait comme le SOS, elle m’a coincé et je veux pas perdre la face. J’étais pas certain que le gryffondor soit d’humeur à me sauver, et en faite je savais même pas s’il était du genre solidaire. Mais je perdais rien à essayer.
Tien d’ailleurs Elisabeth venait de contrattaquer sur lui.
-Ma chère préfète, tu sauras que nous autres gryffondor pensons en continue, et la seule raison qui fait que nous ne le montrons pas c’est parce que nous sommes humble. On a tellement pitié des verts qu’on c’est dit qu’exposer sans arrêt nos pensées alors qu’eux en sont encore au niveau bac a sable, cela serait gâcher notre précieux savoir.
On m’avait rien demandé a moi, mais j’avais pas put me retenir.
William s’excusa encore et je lui fis un signe de la tête pour lui faire comprendre que l’incident était clos. Nous en vînmes à parler entre nous de choses bien plus intéressent. Il était comme moi, il n’appréciait pas tellement l’adulte là qui nous toisait et nous excusait sans rien nous expliquer.
-nan, pas un concierge il a plutôt une tête de serial killer moi je dis…Je suis pas certain que ce soit une serpy comme les autres, mais se que je suis sure c’est que j’aime pas sa façon d’être au petit soin pour Albus. Oh, je vois en résumé c’est le genre de fille qu’il vaut mieux ne pas connaitre quoi. Elle est quant même jolie brin de fille, faut le reconnaitre. C’est pas pour dire, mais si on occulte que c’est une serpy tu as beaucoup de gout.
Mais qu’est ce qui me prend à moi de lui dire ça. A tout les coups il va me foudroyer, sa y’est je voulais me faire un ami, et je vais me faire un ennemi. Dans la famille Potter je demande Monsieur Boulet.
Je lui glisse un sourire, peut être sa va l’amadouer. Juste à ce moment, il s’en prend à l’adulte et Winster vient en renfort. Enfin…Si on peut appeler ça du renfort. A mon tour je m’adresse à l’homme.
-nan, vous avez pas que l’aire vous avez aussi la chanson.
Remarque pitoyable, peu mieux faire.
-Et je me disais que vous aviez dût forcement passer a Poudlard a un moment ou a un autre vue que vous saviez pour la magie dans les couloirs. Enfin c’est pas tout ça, mais vous commentez beaucoup de choses, mais en attendant on sait toujours pas votre nom. Et, vous étiez dans quelle maison a votre époque ?
C‘est important ? Oh que oui sa l’est, parce que si il répond Serpentard, de sure ce n’est pas bon pour nous qu’il en sache autant.
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 3 Mar - 23:27 |
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Le conflit redevient aussi vif avec l’arrivé en renfort de l’aîné des Potter, qui se retourne vers la préfète. Le match n’est pas égal, une femme contre deux hommes et un jeune homme qui hésite entre les deux camps, c’est presque pathétique de leur part. Je commence à avoir pitié pour le jeune Potter qui assiste à un tel déversement de sarcasmes et d’ironie alors qu’il n’est pas lié à l’histoire, et ne s’y mêle toujours pas. Réaction raisonnable, contrairement à ces trois railleurs.
Dorénavant, le but n’est plus d’avoir le dernier mot, mais d’avoir le meilleur ! Que les lois terribles étaient terribles entre ces trois adolescents ! On pourrait confondre Poudlard à une jungle d’animaux en tout genre, où le plus fort gagnait, comme dans toutes les jungles. C’est assez décevant. A la place de respecter le règlement, ceux-ci s’inventent d’autres règles superficielles qu’ils se tiennent d’appliquer, sans doute les seules, seront nous d’accord.
La discussion tourne autour du même sujet et ne décolle pas. Ils ont beaucoup savoir être ironiques, et avoir toujours une fabuleuse réplique, ils ne reviennent qu’au même sujet. Ils enchaînaient dans leurs réponses sans savoir quand est-ce que cela ce terminera-t-il. Peut-être jamais si je n’interviens pas.
Je remarque que Monsieur Potter, l’aîné et Monsieur Allen entament une discussion « privé », pourrais-je dire, à mon sujet ou à celui de Mademoiselle Winster, je dois avouer, je n’en sais trop rien. Je me décide d’arrêter mes notes pour passer au dossier de la préfète des Serpentards. Je m’arrête aux notes sur ses parents. Je suis très bien informé, je me demande ce que j’aurais pût bien faire sans... Je comprends alors un peu mieux ce pour quoi Monsieur Potter et Monsieur Allen s’acharnent, mais ce ne doit pas être l’unique raison. Ils interrompent leur litige pour se retourner vers moi. Je vois, ils font un bon public.
Je réfléchis un instant aux questions de Monsieur Allen, puis tour à tour Mademoiselle Winster et Monsieur Potter. Je remarque que le jeune Potter n’a cependant pas dit genre chose à mon sujet. Non pas que je veux parler de moi, je suis loin d’être narcissique, mais son comportement est étrange, serait-il quelqu’un de discret ? A l’inverse de son frère ? J’avais crut au contraire que l’aîné aurait eut répercutions sur le cadet... je me suis donc trompé... ?
Voilà que Monsieur Allen s’enflamme. Je ne réponds pas tout de suite, ni à son regard noir, ni à son agacement. Je répond malgré tout à sa question, espérant lui apparaître moins criminel qu’il ne le pense.
- Vous êtes d’une imagination débordante, Monsieur Allen... l’administration me l’a donné, si vous tenez à le savoir. Je ne vous espionne pas, rassurez-vous, je perdrais mon temps si c’était le cas... Haha ha ! Par Merlin, non, j’ai horreur de travailler dans le dos des autres. Nous ne sommes pas dans un interrogatoire, Monsieur Allen, si c’était le cas, ne croyez-vous pas que j’aurais déjà sortis une potion de Véritasérum ? Hm ?
Mademoiselle Winster ce lance ensuite, beaucoup plus posé que Monsieur Allen. Je crois bien dire que ces deux là sont tous à fait opposés, à se demander même s’ils le font exprès. Je la reprends, incapable de m’en empêcher.
- De Monsieur Allen, Monsieur. Et que vous déplait-il dans mon discours ? Hm... je comprends, tout à fait. Douteriez-vous également de ma présence légale ? Rassurez-vous, je travaille avec votre Directeur, Monsieur Sand, n’est-ce pas ? Ais-je dis vouloir vous mettre en retenue ? Ou une quelconques autre punition ? Pas que je me souvienne... Haha ha ! Mademoiselle Winster ! Reconnaissez-vous que votre dispute est futile ? Que vous fait-il croire que j’ai autre chose à faire ? Hm, désolé, ce... ce nom ne me dit rien, serait-il celui d’un de vos professeurs ? Ou autre ? Je ne vois pas, pardonnez, à mon tour, mon ignorance
Je ferme d’une main le dossier. Voilà que l’aîné Potter refait de l’humour. Je m’esclaffe un instant avant de rendre compte que ce n’est pas le bon moment. Je dois déjà être bien peu de chose pour eux, inutile de me rendre plus ridicule.
- Vous avez une bonne ouïe, Monsieur Potter, ceci voudrait-il dire que vous m’écoutiez attentivement ? C’est bien vrai, je connais le règlement du château pour y avoir fait mes études. Pourquoi faites-vous lien entre ces deux phrases ? Aurais-je dû me présenter avant de commenter votre... hm... affront ? D’ailleur je vous ferais remarquez que je ne commente pas, je constate... simplement. Et ? Vous importez donc un grand intérêt à mon blason ? Faites-vous de même avec les gens que vous côtoyez ? Les demoiselles auxquelles vous... faites la cour... ? Hm ? Bien sûr maintenant je ne constate plus, je questionne. De simples interrogations, cependant, répondez-y simplement par oui ou non, Monsieur Potter
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Invité
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mer 4 Mar - 21:57 |
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Ce gars remettait toute la discussion autour de lui, il voulait quoi ? Qu'on le plaigne ? On allait finir oui, s'il ne dégageait, et vite fait, il finirait à l'infirmerie ou tout le monde pourrais le plaindre pour avoir une tête enflé trois fois plus que la normale !
William était trop énervé pour penser sérieusement. Ouais, James ne releva pas sa comparaison prit par l'extrême. Tant mieux, parce que William était aussi trop énervé pour être patient.
En effet, Albus n'avait rien, William approuva en un hochement de tête, inutile de s'excuser encore une fois, il était pardonné. Il ricana, mauvais, James avait de sacrées répliques. Il avait hâte de savoir comment la préfète allait lui renvoyer.
- James se débrouille très bien sans moi, regarde, il t'envoie balader en à peine trois mots, il n'a pas besoin de moi
Et alors là... le coup final. James lança une de ses répliques... inimaginables ! C'était LE cou de grâce qui fit exploser William de rire. Merlin que c'était bon ça, de lui fermer son clapet. Il ria comme un bourré quelques minutes avant de reprendre, toujours en riant.
- Hey, Winster ! Tu l'as eut en pleine figure celle-là ! Félicitation James, c'est... incroyable... tu l'as... envoyé mais loin, loin ! J'en reviens pas...
Trop facile, depuis le temps qu'il avait décidé d'avoir le dernier mot, toujours, avec tout le monde, William avait fait de nombreux progrès et peu à peu avait apprit à rebondir sur les sarcasmes des autres, il y avait encore quelques progrès... mais c'était là...
- Il faut dire que... la seule fois où j'en ai vraiment fréquenté une... ça m'a donné plus envie après... j'ai vite compris que c'était pas la peine de m'attirer plus d'ennuis...
C'était bien vrai ça. Mais qui suivait vraiment les stéréotypes dans chaque maison ? Même lui, qui était sensé détester les Serpentards, suivant ainsi la longue haine entre les deux maisons.
- Les temps changent, James...
Aïe c'était chacun son tour, James puis lui, James puis lui ça n'arrêtais jamais. Il afficha un sourire drôlement tordu avant de répondre.
- Je te remercie... oui, alors finalement tu avoues que je ne suis pas un imbécile, mais je le parais seulement, mais c'est très gentil... dommage que je ne puisses pas te renvoyer le compliment... ce ne serait pas faute de vouloir être sympathique, au moins...
Elisabeth revient à la charge au moment ou William s'y attendait le moins.
- On t'a adressé la parole à toi ? Non, pas que je me souviennes. Mais, si j'ai besoin de toi, t'inquiète, je t'enverrais un hibou... ça risque de prendre du temps, mais... bon. Bien sûr que je penses ! Tu l'as dis toi même je ne suis pas un imbécile !
Ils arrêtèrent les hostilités le temps de mener deux discussions différentes, mais pour après s'unir face à l'étrange Monsieur X. Il répondit à voix basses aux interrogations du Gryffondor.
- Si tu le dis... Hem... ouais... j'aimerais bien dire qu'elle à un côté Gryffondor, mais ce serait... quel est le mot ? Dégradant pour notre maison alors disons simplement qu'elle a une obsession à vouloir aider les autres. Ouais, c'est ça, je crois que tu as compris. Je... hein ?!
William lança un regard noir. Il s'était reprit à temps, qui sait James avait des pouvoirs d'hypnotiseur ? En tout cas, il avait faillit parler sans réfléchir. Il se reprit, sans baisser la voix.
- Si... si tu le dis
L'adulte vient de battre son record. Il vient d'enchaîner plus de cinq mots à la suite ! Et dans le bon ordre, pour que ça ais du sens ! Dommage pour lui que ces mots ne soient pas en faveur du rouge.
- Mais vous vous prenez pour qui pour nous faire la leçon, là ?
Heureusement, William n'est pas le seul à se faire reprendre. ça aurait été bien plus grave pour lui s'il n'avait été le seul.
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Invité
Invité
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Jeu 5 Mar - 14:31 |
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Un match de tennis. Tout simplement . Ils n'arrêtaient pas, et que je te renvoie la balle, jeu set et match. Bon, manquait plus que les applaudissements d'un public inexistant .
Albus rouvrit les yeux, il supportait de moins en moins que deux Gryffondor même si son frère en faisait partit puisse rabaisser à tel point Elisabeth. Il avait presque envie de lancer deux experlliamus pour les envoyer promener. Mais la raison le reprit vite, et il se rendit compte de l'erreur qu'il aurait pu commettre. William s'excusa rapidement, Albus n'en tint pas compte, il était trop préoccupé par l'inconnu qui tenait lieu de...psychologue ?
Ce qui l'énervait le plus, c'était bien qu'il écrivait quelque chose en regardant James d'une drôle de façon. Et Elisabeth qui s'en prenait plein la figure, bon dieu que ça devenait insupportable.
Le jeune sorcier se leva, et vint se placer aux côtés de sa nouvelle amie, puis s'adressa à son frère :
- James, arrête s'il te plait. Laisse la.
Aucune colère, mais un certain goût amer dans le ton.
Il préféra ignorer William pour ne pas s'attirer d'ennuis, mais se tourna face au psy, et déclara d'une traite avec un sérieux tout aussi impressionant :
- Mon frère possède une raison légitime de s'être emporter, bien que je n'accepte qu'une partie de ce qu'il a dit. Et ce n'est pas en lui demandant de répondre par oui ou par non qu'il va obéir, c'est justement le fait de lui demander qu'il va faire le contraire. Vous vous dîtes professionnel et connaisseur des caractères de chacun mais vous êtes totalement incapable d'anticiper les réactions d'autrui.
Il s'arrêta là, fixant l'homme avec son regard bleu perçant.
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Emploi : Elisa de jour...Bella de nuit
Humeur : En manque...='(
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Jeu 5 Mar - 16:11 |
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William s’excusait, James pardonnait, voilà c’était parfait ! Nan mais quel bande d’hypocrite ces rouges ! Alors comme ça juste parce que ils y avaient eut énervement, juste parce que l’on s’excusait on effaçait tout ? Facile, trop facile, mais au final tellement gryffondor que sa en donnait envie de vomir a la verte.
Non, William n’avait pas amoché Albus, mais évidement il n’y avait que cela que James retenait. Dans sa grande imbécilité, il en oublia que si cela n’avait pas été c’était uniquement parce qu’elle avait servit de bouclier au jeune homme. Mais à quoi bon le lui rappeler ? Puisque assurément il n’y avait que ce que Will pouvait dire qui avait de la valeur. Forcément hein, lui ne portait pas de blason de serpent, et c’est bien connu, pour un rouge le blason fait le personnage.
En principe la verte était habitué a joué au jeu du sarcasme avec William, mais c’était toujours a un contre un alors que là, ils se mettaient a deux pour la descendre. C’était à la fois pitoyable et drôlement injuste. La verte serra les points, si l’adulte n’avait pas été là, ces deux là seraient surement en train de récurer le sol avec leurs postérieurs à l’heure qu’il était.
Elle foudroya William du regard
-Tu parles, il ne la ramène que parce que tu es là juste a coté de lui ! Tu ne vois même pas qu’il cherche à t’en foutre plein les yeux ? En faites c’est même assez drôle, je crois que j’aime encore mieux jouer a ce jeu avec Potter qu’avec toi, lui a un certain panache que tu n’auras jamais. Quant a m’envoyé loin, c’est une autre histoire, mais si par loin sa signifie loin de toi, j’irais avec grand plaisir.
Et vlam, voilà pour toi Allen, maintenant à Potter
-Fais gaffe Potter, la vipère elle a des crochets et elle pourrait bien s’en servir au moment ou tu ne t’y attendras pas !
Elle ne releva pas l’allusion perfide sur sa fréquentation avec William. Ils pouvaient bien dire ce qu’ils voulaient ces deux là a ce sujet, elle était décidé a affiché une grande indifférence
-c’est ça, parlez, parlez, vos idioties ne m’atteignent pas le moins du monde. Oh, simplement je tiens à rendre a César ce qui est a César, c’est donc par pure justice que je rappellerai que se sont toujours les gryffondors qui attirent les problèmes et qui entrainent les autres dedans. Par conséquent, si Allen prétend que les verts, et en particulier moi, lui ont apporté des ennuies, il oublie de dire que c’est lui qui c’est conduit comme un idiot.
Et on enchaine, William, James, James, William…A force la verte en perd son latin et ne sait même plus quoi répondre a qui. Elle relève au azard, faisant confiance aux garçons pour savoir à qui s’adresse chaque chose
-Je ne suis pas mangemorts ! Ce n’est pas parce qu’on est serpentard que forcement on œuvre pour les forces du mal ! Quant a mon QI, il doit être largement supérieur au tien vue que, je te ferais remarqué que c’est Allen et toi qui avez ouvert les hostilités et cela uniquement parce que j’ai pas le même blason que vous ! Vous êtes deux gamins puérils et débiles !
Moi dire des grossièretés ? Avant de te permettre de me juger sur mes paroles, balances toi donc un sortilège de savon sur la langue Potter, et peut être pas que là d’ailleurs, parce que franchement tout chez toi n’est qu’odeur d’ordure en putréfaction ! Les temps changent en effet, mais il est drôlement dommage de constater que certain ne changeront jamais tellement ils se sentent obligés de perpétuer des traditions d’âge mental zéro ! Et Potter, laisse donc Salazard là ou il est, parce que si lui se retourne dans sa tombe, le pauvre Godric en voyant vos sales têtes dans sa maison doit être en train de pleurer ! Lui qui voulait un monde d’égalité et de justice, il doit bien être amer en vous entendant !
Elle reprit son souffle. Waouh, sa devenait dure de tenir la distance. L’intelligence d’Allen étant un sujet complexe, il était préférable de se contenter d’hausser les épaules
-Potter, si les gryffondors sont si intelligent, tu peux me dire pourquoi ils sautent toujours a pieds joins dans les ennuies ? Ne serais ce pas là une tard congénital ? Allen, même en rêve je ne reconnaitrais pas que tu es intelligent ! Quant a être sympathique, pour ça faudrait déjà que tu saches se qu’un tel mot veut dire !
James amena sur le tapis le mot « bac a sable », oh non…Encore ce mot là…vraiment fallait qu’elle pense à regarder se que sa voulait dire. Mais vue comment il le prononçait, il était fort probable que se soit pas vraiment un mot de sympathie. Elle leva les yeux au ciel, s’avança vers Potter et lui flanqua une baffe magistrale.
-ça c'est pour le mangemorts et pour toutes les autres conneries que tu as dites a mon sujet
Puis elle se détourna de lui pour revenir à sa place. Ha, ça faisait du bien.
Ouf, temps mort. Potter et Allen discutait de leur coté. A ce moment là, elle sentit la présence d’Albus a ses cotés. Son regard toujours aussi posé n’en était pas moins froid. Il s’adressa a James et la verte lui adressa un sourire. Puisque les deux autre faisait discussion a part, elle en fit de même avec Albus
-C’est pas grave…j’ai l’habitude tu sais d’être juger par mon blason. Et puis venant d’Allen c’est pas comme si c’était une nouveauté, c’est juste que j’aurais aimé que ton frère n’en rajoute pas une louche. Enfin bref, tu as l’aire d’aller mieux toi.
Elle prit la main d’Albus dans la sienne et la serra. Elle lui fit un nouveau sourire
-Mais c’est toi qui a raison, il est grand temps d’arrêter cette querelle.
Albus à son tour interrogea l’adulte. James s’y était également essayé en laissant pointé son humour dont visiblement il ne se séparait jamais, quant a Will lui Fidel a sa personne, il contrattaqua de manière presque insolente. Enfin, tout ceci pour constater qu’on en était au point zéro, qu’on ne savait toujours pas qui était cette homme mais que surtout il en savait beaucoup sur eux. Chacun en reçu pour son argent comptant, elle remarqua que plus ils s’énervaient sur lui et plus l’adulte les enfonçaient avec une facilité déconcertante. Mieux valait donc ranger son frein, et s’y prendre autrement. Elle observa l’homme qui inscrivait quelque chose dans son cahier et se décida à lui répondre. Elle avait faillit rester déconcerté lorsqu’il lui avait suggérer de donner du « Monsieur » a Allen. Et pourquoi pas des truffes a un cochon tant qu’on y était ?
-Monsieur ? Ou vous voyez un monsieur vous ? Moi je vois juste Allen, gamin pathétique, quelconque, instable, orgueilleux, puéril, immature…je dois continuer ma liste ou sa vous suffit ? Enfin bref, je ne doute aucunement de votre présence légale monsieur, mais attendu qu’il n’est pas prudent de parler aux inconnus, vous me voyez contrainte de vous demander a nouveau de nous signalez votre identité afin que chacun ici puisse savoir a qui il a à faire. En effet, Monsieur Unless est notre directeur, et si c’est lui qui vous envoie, je suppose que vous devez avoir dans votre fatras un document qui confirme cela. Non, en effet vous n’avez point fait allusion a ce genre de chose, se qui m’amène à penser que vous ne pouvez être un professeur, mais attendu que je suis préfète je pense qu’a défaut de nous dire QUI vous êtes vous pourriez aussi bien nous indiquez ce QUE vous êtes.
Je ne dirais pas que je juge cette dispute futile, simplement monsieur je suis serpentarde pas masochiste ! Quant on m’agresse je ne vois guère se que je puis faire d’autre a part me défendre. Je veux bien vous pardonnez, a ceci prés que si vous ne connaissez pas madame Miller c’est que vous ne connaissez pas le château aussi bien que vous le laissez prétendre, et ça c’est déjà une preuve que nous ne pouvons avoir à votre égard que de la méfiance.
Elle le transperça de son regard, sans même lui indiquer qui était Miller.
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James Sirius Potter
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 6 Mar - 4:08 |
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J’avais cassé Winster, moi James Potter je venais d’envoyer Elisabeth Winster, préfète de son état encore plus loin que la lune. Y’avait de quoi être fier d’autant quant plus la demoiselle perdait pied et ne trouvait pour rebondir que des choses molles et douteuse. Je crois que là, j’avais presque envie d’entamer une danse de la victoire. Mais, il n’était pas temps de baisser ma garde, et c’est avec sérieux que je répondis à William
-merci, la prochaine fois faudra qu’on pense à prendre des multipliettes pour suivre sa trajectoire. Tu crois on devrait prévenir Miller que le ciel comporte un nouveau astéroïde du nom de Winster ? Ho, parce que tu penses que j’ai besoin d’avoir William comme public pour te remettre a ta place Winster ? Mais pas du tout, et je te le prouve quant tu veux. En effet, j’ai du panache et je suis aisé que tu le reconnaisses, mais avec toi ce n’est même pas drôle, tu es bien trop facile a battre.
Je comprenais, comment ne pas vouloir se tenir éloigné d’une fille comme celle là ? Pauvre William, il avait dut en voir de belle. Surtout qu’au même moment qu’il me faisait sa confidence la demoiselle me menaçait de planter ses crochets dans ma modeste personne.
-Oui, c’est sur qu’après celle là, tu n’as pas dut avoir très envie de goutter a d’autre. Et mais…C’est qu’elle veut me mordre la sale bête. Quant je ne m’y attendrai pas ? Oh oui je vois…oui forcement, il faut dire que les serpentards sont connus pour leurs attaques dans le dos ! Alors Winster, on affiche sa lâcheté en public maintenant ? Tutute, ce n’est pas très sérieux ça. Will, comme tu es meilleur que moi en potion tu pourras me préparer un contreWinster efficace tu crois ? Pas que j’aie peur, mais avec ces serpentards, on sait jamais ou leur crochets ont été trainé, je voudrais pas attraper une de leur maladie.
Je connaissais pas assez leur histoire pour déterminé qui des deux avait en premier mit le cou de canif dans leur histoire, mais j’étais solidaire avec William, d’autant que les bruits de couloir n’allait pas vraiment en la faveur d’Elisabeth.
-et bien, il ne faudrait pas confondre César et Brutus, ni mélanger les affaires de César avec celles de Cléopâtre. Tout cela pour dire Winster que William a peut être fait des erreurs, mais au moins ce n’est pas lui qu’on a retrouvé en train de fric coter avec Malefoy et avec Jedusor. Et bien quoi Winster, sa t’étonne que tout le monde en sache long sur ta légèreté ?
Fataliste, je répondis a William dans un faux soupire
-Oui, les temps changent, mais hélas les mauvaises graines se reproduisent sans arrêt.
Winster fit un rebond assez impressionnant, mais au final je m’amusais
-Nan, tu as raison en faite être a serpentard ne prouve pas que tu fais de la magie noire, juste que tu as été élevé dedans. Et sa prouve aussi que tu es si lâche que sa en fait peur. Oh et accessoirement on peut parler de l’égoïsme de ceux de cette maison. Nous ? Nous nous sommes ouvert les hostilités ? Mais pas dut tout Winster, c’est toi qui a commencé ! Après tout je suppose que mon frère ne t’avait rien demandé et que par conséquent tu n’avais rien à foutre dans ce couloir. Sans parler qu’après tout c’est toi qui t’es mit entre un différent qui opposait William a Albus. Figure toi que je suis même certain que si tu n’avais pas été là, les choses auraient été beaucoup plus pacifique. Mieux vaut être débile et puéril qu’idiote et fourbe. Winster tu me déçois là, tu n’es même pas capable de reconnaitre ta propre odeur ? C’est désolant, enfin je suppose qu’a force de vivre avec une ord de poubelle sur patte on s’habitue à en sentir les relents de pourriture. Et n’insulte pas Godric tu veux ! Il voulait un monde d’égalité, il a jamais dit qu’il voulait un monde dans lequel on devrait respecter les serpentards, d’ailleurs relies ton histoire, Godric ne pouvait pas piffer Salazard !
Je pouffe de rire malgré moi-
un hibou, fais gaffe ne lui envoie pas le tien elle serait capable de te le renvoyer déplumé. Hey Winster, on ne saute pas à pieds joint dans les problèmes, simplement on les affronte. Mais ça, c’est un mot que tu connais pas hein ? Affronter tu sais c’est le contraire de fuir ! Et puis justement c’est parce qu’on est intelligent qu’on a des ennuies, nous on pense on se contente pas de jouer les moutons de panurge.
J’aperçois Albus qui se relève et vient juste à coté de la jeune fille. Je le couve du coin de l’œil. Avec Will nous avons une discussion passionnante
-ha non en effet il ne serait pas convenable de dire que cette vipère cache un coté lion, franchement ou irait notre maison avec une emmerdeuse pareil ? Une serpy qui veut aider les autres ? C’est louche ça, je flaire a cou sur le cou tordu, genre elle t’aide et Bam sans que tu t’en rendes compte elle c’est déjà installé dans ta vie.
Je surprends Will qui manque de se confier plus que prévu mais il se reprend juste à temps. Je lui fais un clin d’œil
-T’inquiètes, c’est pas moi qui irais lui dire que tu la trouves toujours jolie.
Je rie, je rie, je rie si bien que je ne la vois pas venir vers moi et vlan, un grand clac qui raisonne.
-Aie !
Je sens ma joue qui chauffe, c’est le genre de baffe qui a dut laisser une trace bien rouge de cinq doigts, et bordel ça fait mal. Je me frotte la joue, au même moment j’entends Albus me demander de lui foutre la paix, je lui jette un regard noir
-nan mais attend là, c’est cette folle qui vient de me frapper !
La folle en question tien maintenant mon frère par la main et lui annonce qu’elle lui donne raison. Alors là je rêve ! Que dis-je ? Je cauchemarde ! Pincez moi, non me pincez pas je viens déjà de me prendre une gifle sa suffit. Je prends Will à témoin
-Non mais tu as vue ça ? Cette grâce m’a tapé dessus !
Je lui lance un regard plein de haine.
-Winster, tu peux te planquer derrière mon frangin, je te propose un duel de sorcier ! Alors tu te dégonfle lavette ? Un duel et William sera mon second.
Pauvre William j’aurais put lui demander avant
-tu veux bien Will ?
J’attends sa réponse en me rappelant que là y’a justement un adulte. C’est mon tour de me remanifester bien qu’Albus ait assez bien présenté mon caractère.
-Et vous là, depuis toute a l’heure vous commentez mais là quant elle me gifle vous dites plus rien ! C’est un monde ça ! Acte de violence sur un élève sa va dans les 50 points ça ! Bien sur que je vous écoute, je ne suis pas comme cette cruche verte, je peux faire plusieurs choses à la fois. En règle générale les gens commencent par se présenter oui, avant de débouler au milieu d’une conversation qui ne les regarde pas ! En tout cas c’est ce que toute personne poli ferait ! C’est le blason qui fait l’homme et non l’homme qui fait le blason. J’apporte de l’importance à tout blason passé, présent et même futur pour me faire une idée de la personne. Un blason c’est le caractère d’une personne. Je…non mais dites, est ce que je vous demande avec qu’elles femmes vous compter fleurette moi ? Je ne vois pas en quoi mes conquêtes vous regardent ! Et vous questionnez sa c’est une certitude mais pour se qui est de nous répondre simplement c’est une autre paire de manche ! Je sais pas vous pourriez par exemple dire « je m’appel X et je travail dans… » juste histoire qu’on sache si on a affaire a un membre de ce château ou a un blaireau égaré qui a rien d’autre a foutre que de venir brouter l’aire d’adolescents innocents.
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Jeu 2 Avr - 16:25 |
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[Excusez-moi du retard... j'ai eus quelques problèmes avec mon internet... enfin plusieurs problèmes même... non, ne vous inquiètez pas, je ne vous ais pas oublié...]
Mon enquête progressait. J'allais finir par savoir toute l'histoire de l'ex-relation Allen et Winster. D'ailleurs, si je comprennais bien, je devais bien être un des rares. On entendait souvent leurs noms ressortir dans la salle des profs et dans les ragôts de Poudlard. Parfois même, dans le journal de l'étasblissement, la dernière fois que ces deux là c'était fait collé vingts-quatres heures, si j'avais bien comprit. J'aurais bien aimé être là... voir leurs réactions.
Monsieur Potter, l'aîné, venait d'envoyer une très mauvaise, mais très belle, il fallait l'avouer, il avait de la répartit beaucoup plus que moi-même. Peut-être à force d'entendre William répliquer. Oui, car je doute que les Potter l'ais élevé aux sarcasmes, par contre, pour Monsieur Allen, cela ne m'étonnait pas... typiquement Moldu.
Je suis de prêt leur conversassions. Monsieur Allen et Monsieur Potter continue leur discutions entre eux. Je remarque que c'est l'aîné qui pose les questions et Monsieur Allen qui y répond... ou pas. D'un côté, je le comprends, après avoir plusieurs de ses camardes colporter sa vie pas forcément aux meilleurs personnes, je penses qu'il a comprit qu'il fallait mieux rester discret. Mais de l'autre, je doute fort que Monsieur Potter soit de ce genre de personnes. Son père a sûrement dû lui enseigner la franchise.
Oh, ho. Le Hall résonne bien. Voilà que Miss Winster vient de giffler l'aîné des Potter. Moi qui était en train de me perdre dans mes notes, je relève les yeux vers nos adolescents en crise. Je crois pouvoir dire que les élèves de ce château on perdu en maturité. Le jeune Potter et Miss Winster se retrouvent contre l'aîné des Potter et Monsieur Allen. Je ne m'attendais pas à ça. Un Duel ? Mais quelle idée !
- Non, non, Monsieur Allen ! Si je vois un seul sort provennant de vos baguette, j'en toucherais deux mots au Directeur. Et je crois savoir que vous aviez l'intention de terminer vos études, n'est-ce pas ? Alors tâchez d'être réconcilliant.
Je me demande s'il l'a déjà été une fois dans sa vie et son tempérament hyperactif me laisser penser la réponse. Celui-ci s'énerve alors contre moi. Il fallait que ça arrive. Il est noté mot pour mot qu'il a les nerfs fragiles. Je me demande que vient cette observation. Sans aucun doute quelqu'un qui à dû faire face à une de ses altercations.
- Mais je ne fais que mon travail, Monsieur Allen, certes, je ne suis pas professeur, mais cela ne veut pas dire que je suis hors la loi !
Je ne cesse d'être impressionné par la maturité du jeune Potter. Rien à voir avec son frère. Et ses paroles après celles de Monsieur Allen ressemble au soleil après l'orage... la tempête... un cyclone même.
- Je suis entièrement d'accord avec vous Monsieur Potter, je n'ais pas dis le contraire. Oh ho ! J'avais compris que votre frère était de ce genre de personnes ! Mais je me suis légal, non professionel. Quand bien même, Qui pourait prévoir les réactions des êtres humains ? Personne, même la Divination est vague là-dessus. L'être humain à un esprit bien complex, je dirais que celui des Moldus est d'autant plus complex, mais je me tromperais peut-être. Difficile de juger vu que je n'en suis pas un...
C'est au tour de Winster de me questionner, quoique méfiante. Je penses qu'il serait grand temps de révèler mon identité. En effet, je ne suis pas surprit que Monsieur Allen ne m'ais pas reconnut. Je ne l'avais pas reconnut non plus, il m'avait fallut son nom et mes notes.
- Instable dites-vous ? Hm... vous avez sans doute raison... il ne changeras jamais je crois... non, non, continuez. Hm... je vois, vous tenez à vos fonctions de préfète, Miss Winster ? Je vous comprends, naturellement. Disons que Monsieur Allen devrais se rappeller d'une minute à l'autre de mon indentité... du moins je l'espère. Non, pas ici non, je dois vous l'avouez. Et bien, je suis sorcier. Bien sûr, Monsieur Allen pourra vous dire ce que je suis aussi, encore une fois, si la mémoire lui reviens. Evidemment, de façon défensive. Oh, mais j'ai dis connaître le château pour avoir fait mes études, depuis, les professeurs ont changés, et le corps enseignant aussi. Si ceci peut vous rassurer.
Pourquoi laisser Monsieur Allen me présenter ? Et bien parce que se serait trop facile pour lui. Il aurait bien évidemment répondut "non" à ma question, ne voulant pas perdre face devant ses camarades. Beaucoup trop simple, il avait toujours sut se faufiler à travers mes questions. L'aîné des Potter intervint le dernier.
- Mais ce n'est pas à moi de régler vos disputes, Monsieur Potter, mais si vous le souhaiter, je peux intervenir... vous qui doutiez de ma présence. Oh, mais je ne vous enlèverais pas de points, du moment que vous n'en venez pas à une Duel et preniez un second. Je vous suggère de revoir vos termes, Monsieur, ou vous retrerais à votre tour les joues bien rouges, assorties avec votre blason... Mais je fais partie du corps enseignant du château, toute les chahut m'importent, Monsieur. Oh, oui, ou est-ce purement voulut, dans des buts purement professionel ? Et comme vous n'en savez pas ma profession, vous ne pouvez qu'émettre des hypothèses, audacieux, n'est-ce pas ? Je comprends, le blason compte donc beaucoup pour vous. Hm... je ne suis pas d'accord avec vous la dessus. Il n'y a pas de caractère pour chaque maison, il n'y a pas seulement ça qui compte dans le choix du choixpeau... je crois qu'il juge aussi par magie. Hm... si vous les dites, mais c'est moi qui pose les questions. Simplement mon métier, Monsieur Potter, tout simplement. Oh, mais pour cela, interrogez Monsieur Allen, il saura y répondre, n'ayez craintes ! Dommage pour vous Monsieur Potter, je n'étais pas à Poufsouffle...
Mais je sais très bien qu'il l'entend dans ce sens. Je n'ai simplement pas envie de répondre à de telles insultes. Monsieur Potter est énervé, uniquement cela. Il ne penses pas se qu'il dit, il ait simplement curieux.
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Jeu 9 Avr - 22:18 |
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[On termine sans Albus ^^John c’est pas grave pour le retard chacun fait comme il peut =) ]
Potter ou Allen, les deux commençaient vraiment par lui sortir par les yeux. S’il n’avait pas tenue de son honneur la verte aurait peut être bien choisis de tourner les talons et de les planter là tout simplement. Mais cela aurait été leur faire bien trop d’honneur, et sans nul doute trop de plaisir. Elle refusait qu’il soit dit ensuite qu’une verte avait été démonté par deux petits gryffondors…Bien que le terme de petit soit fort peu approprié. Elle commençait à avoir mal a la tête et même la présence d’Albus a ses cotés ne l’aidait pas a trouver cette paix intérieur qu’elle recherchait en ces cas là. D’ailleurs le plus jeune des Potter était à présent muré dans son silence, comme ci plus rien de se qui se passait autour ne le concernait ou l’atteignait. Elle se sentait fatiguée de toutes ces insultes qui fusaient de toute part, et en ce moment celui qui lui tapait le plus sur le système était sans nul doute Potter. Et nan, pour une fois ce n’était pas Will, voilà qui changeait un peu, mais pas forcement en mieux !
-Un astéroïde ? Mais c’est formidable ça ! Avec un peu de chance je vais pouvoir calculer la précision exacte de ma retomber et venir m’écraser juste sur la tour des bouffondor ! Evidemment j’assisterai mon cou pour que sa soit a un moment ou vous êtes dedans ! Mais merci Potter, vraiment je suis très flatté d’avoir un astéroïde à mon nom. Nan, je ne pense pas en effet, j’en suis certaine ! Tu as besoin de toujours te faire remarquer de tous le monde Potter, tu es un m’as-tu vue minable, y’a pas un seul cours, un seul endroit de ce château ou l’on peut circuler sans avoir dans les oreilles une de tes pitreries idiotes et juvéniles ! Me battre ? Parce que tu penses vraiment que tu m’as battu ? Alors ça c’est la meilleur…écoute moi bien Potter, ni toi, ni Allen ni aucun bouffons de votre espèce n’est capable de me battre et tu sais pourquoi ? Mais simplement parce que vous êtes ridicule, sous évolué et surtout parce que vous pensez tellement être les meilleurs que jamais vous ne songez à surveiller vos arrières !
Elle leva les yeux au ciel. S’il y avait bien un défaut qu’on ne pouvait ne pas lui reprocher c’était bien d’être lâche ! Peut être que comme les rouges elle n’était pas courageuse, mais on ne pouvait pas prétendre qu’elle n’avait jamais affronté des situations périlleuses ni qu’elle n’avait jamais tenue tête a qui que se soit de plus fort qu’elle.
-Potter, toi tu te gènes pas pour afficher ta connerie en public visiblement ! Et les gryffondors sont connus pour leur manque de raisonnement et leur pseudo courage qui en faite masque une tendance suicidaire collective ajoutée a un large degré de témérité abusive qui les conduit la plupart du temps vers une mort certaine. Moi je miserais plutôt pour une potion anti imbécile, parce que dans ce château c’est fou le nombre d’idiot qu’on peut croiser..A commencer par Allen et toi ! C’est pas pour dire Potter, mais a mon humble avis niveau contamination je crois que tu peux te l’affermer parce qu’ici celui qui contamine tout le monde c’est vous deux !
Elle n’avait pas trop aimé être traitée de « sale bête », non elle n’en était pas une. Elisa n’attaquait que très rarement, même si elle savait que pourtant l’attaque restait la meilleure des défenses.
Elle ne supporta pas ses allusions au sujet de Jedusor, elle ne supporta pas de le voir là devant elle, la tête haute profanant a son égard des choses qu’elle voyait comme immonde. La verte serra les points pour ne pas bondir sur le rouge, son regard vira au noir et toute sa haine se diffusa dans son sang. Non, elle n’avait jamais été un ange et jamais non plus elle ne l’aurait prétendu ! Oui, elle avait eut une vague liaison sans avenir avec Malefoy, mais elle en avait payé le prix fort depuis ! Elle qui par tout les moyens voulaient surtout oublier se retrouvait confronter a ce passé simplement a cause d’un bouffon qui ne voulait qu’une chose la blesser. Elle serra les dents, refusant de montrer qu’il venait de la toucher, évitant soigneusement le regard d’Allen qui lui, la connaissant que trop saurait voir dans ces yeux cette lueur caractéristique chez elle lorsqu’on la blessait.
-Potter je te conseil de te la fermer ! Jamais tu m’entends jamais il n’y a eu et n’aura quoi que ce soit entre Jedusor et moi ! Quant a la soit disant légèreté, tu ferais bien de regarder un peu plus se qui se passe chez toi ! Depuis le temps que je cherchais qui était à l’ origine des rumeurs sur moi, il me semble bien que je tiens le coupable ! Crois moi, tu vas le payer au prix fort, monsieur le coureur de jupon qui a brisé le cœur de plus de la moitié des filles de ce château !
Mauvaise graine ? C’était le bouquet !
-Heureuse que tu le reconnaisses Potter, exactement les mauvaises graines se reproduisent toujours hélas, tu en es la preuve vivante !
Sa mauvaise fois ne fit que faire monter d’un grade supérieur sa colère. Alors sa c’était la meilleur, c’était Will qui avait attaqué injustement Albus et voilà que sa lui retombait dessus !
-Comme d’habitude Allen, c’est toi qui fais les conneries et c’est moi qui prend ! Tu ne pourrais pas tenir en laisse ton petit toutou de garde ? Il commence légèrement a m’énervé là !
Elle se tourne à nouveau vers Potter, sentant bien que ses limites ne vont pas tarder à être atteinte et qu’elle va partir en live total.
-Et alors ? Tu crois peut être que le fait d’avoir été élevé par le grand Potter sauveur du monde te rend meilleur que moi Potter ? On verra se que TOI tu feras quant l’heure du danger sonnera, parce qu’a ce moment là ton nom te servira plus a grand-chose ! Je suis idiote et fourbe moi ? Et bien si être ça veut dire ne pas te ressembler alors j’en suis très fière ! Niveau pourriture, faudrait peut être regardé de plus prés le genre de personne que t’as comme ami mon cher, là tu sauras exactement quelle odeur elle a ! Erreur c’est Salazard qui ne pouvait pas blairer Godric, et tu sais quoi ? Je l’emmerde moi Godric !
Le retour en force du grand sujet sur la lâcheté achève Elisa qui cette fois n’a plus envie de se contenir !
-nan affronter sa veux dire faire preuve d’intelligence et de ruse, chose que tu sembles ne pas être capable de faire visiblement ! Erreur c’est parce que vous êtes con que vous avez des ennuies, parce que si vous étiez intelligent les problèmes vous seriez capable de les détourner justement ! Mouton de panurge ? Sa te va bien de dire ça tien..Toi qui es précisément le mouton d’Allen !
Alors résumons, folle, garce et pour finir lavette ? Ok là cette fois c’est bon il va beaucoup trop loin et il est temps de lui donner une bonne leçon ! Elle vient de lui donner une claque, mais visiblement cela ne le calme pas. Le regard d’Elisa vire au noir complet, elle n’a pas besoin de second, elle n’en a jamais eu besoin et elle n’en aura jamais besoin ! Il veut jouer à ce petit jeu ? Alors, elle allait jouer…oh oui, et tant pi pour l’adulte là qui essaye de ramener un semblant de calme au milieu de cette dispute idiote.
-un duel Potter ? Inutile..Trop facile..Beaucoup trop facile…d’ailleurs tu sais quoi ? J’en ai marre de t’entendre et je crois il est temps que tu la boucle une fois pour toute…tu veux que je sois serpy ? Très bien, je vais l’être..Dit au revoir Potter
Elle lui fit un grand sourire tandis qu’il finissait de se défouler sur l’inconnu et sortant sa baguette avec une rapidité fulgurante, elle lança sur le rouge un sortilège qu’ils avaient appris quelques semaine plus tôt, mais qu’il n’était pas vraiment sensé utiliser a ce genre de fin…mais peut importe..La fin justifie les moyens…
Elisa essaya de ne pas rire, même si c’était très dur…l’adulte avait parlé de faire un rapport au directeur en cas de duel, mais elle s’en moquait bien, elle était convaincue qu’Unless plutôt que de la punir rirait bien de l’histoire.
En lieu et place de James Potter, se tenait à présent une petite chèvre qui regardait tout le monde en roulant des yeux. Tout cela avait un caractère plus que comique, Potter avait voulu rendre Elisa chèvre au sens figuré, mais à présent c’était lui qui se retrouvait en chèvre.
-Je t’avais prévenu Potter que tu le paierais !
La verte se tourna vers l’inconnu qui semblait prétendre que William le connaissait.
-je suis navrée monsieur, mais au moins maintenant, on va enfin avoir un peu de calme ! En effet, je tiens particulièrement a mon grade de préfète car c’est la seule chose qui me permet encore de tenir légèrement ces deux idiots au respect, bien que dans le cas d’Allen se soit chose désespéré. Non, il ne changera jamais ça c’est certain, je sais même pas pourquoi on lui a laissé apprendre la magie d’ailleurs.. Sans vouloir vous offenser monsieur, si vous compter sur Allen pour nous faire partager son savoir, on risque fort de ne rien apprendre du tout ! Ce rouge est butté et il ne partage rien avec personne..Et encore moins avec moi ! Aussi, si on veut avancer un peu je crois qu’il vaudrait mieux que vous nous disiez vous-même se que vous faites ici. Oui, bien entendu j’imagine que le corps enseignant a dut changer depuis votre passage ici…Je n’attaque jamais moi, simplement je pense que dans certaine situation il faut savoir avoir du répondant !
Malgré elle, la verte se tourna vers Will à coté duquel se tenait toujours la chèvre James.
-arrête de bêler Potter ! Ce n’est pas ça qui va arranger ta position ! Bon, Allen visiblement tu es le seul ici à connaitre ce monsieur, alors si tu voulais bien avoir l’obligeance de nous faire profiter de se que tu sais ça serait vraiment formidable...Pour une fois que tu peux te rendre utile, ne laisse surtout pas passer une telle chance !
Ha, un indice, elle sait maintenant que l’inconnu n’était pas a pouffsoufle…Elle excluait serpentard sans trop savoir pourquoi. Elle se demanda quel genre de personne du monde sorcier Will, qui appartenait au monde moldu pouvait bien avoir à faire…Toute supposition était bonne a prendre…mais le problème était que justement elle n’en avait pas, elle soupira
-Bon vous n’étiez pas a pouffsoufle donc..Et pas a serpentard non plus sa j’en suis certaine…Et pour une raison inconnu vous êtes obligé de connaitre le monde moldu, sinon vous ne connaitriez pas Allen…vous savez que c’est lassant ce jeu d’énigme ?
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James Sirius Potter
7ème année Gryffondor
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Emploi : dire des conneries, faire mon boulet, être arrogant...
Humeur : C'est comme si d'un cou tout le bonheur du monde c'était éteind
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Sam 11 Avr - 12:57 |
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Y’a vraiment qu’une serpy pour apprécier de se faire traiter d’astéroïde…quant je vous le dis que ces gens là sont pas normaux, qu’est se que je peux répondre a ça moi ? Je me considère pas comme un m’as-tu vue, même si je dois bien dire que me faire remarquer c’est se que je sais faire de mieux. C’est pas que j’aime faire ça, mais c’est plus fort que moi. Dés que y’a un moyen de sortir une connerie ou bien de s’amuser un peu j’arrive en tête de liste. Je trouve que la vie est suffisamment triste comme ça, et puisqu’on ne sait pas ou on va, moi je veux être certain d’avoir profité à fond de chacun de mes instants de douce insouciance. Est-ce un tord ? Aux yeux de la serpy visiblement oui…mais je m’en fiche de se qu’elle pense, les verts ne savent pas s’amuser ! J’aime pas me faire traiter de minable et de sous évolué encore moins, surtout quant c’est par une serpy. En la matière de sous évolué, je trouve que c’est bien eux qui remporte la palme d’or !
-je suis même pas étonné que tu veuilles être un astéroïde, pour une fois que tu aurais l’occasion de briller autrement que par ton arrogance, ta cupidité, ta vanité et ta langue de vipère sa doit te changer. Jalouse Winster ? C’est vrai que toi pour te faire remarquer t’as besoin de bosser dur, ça doit être dur de te retrouver dans l’ombre. Enfin, façon de parler parce que vue ou vous vivez les serpy, l’ombre sa doit vous connaitre. Mais que veux tu d’un coté y’a ceux qui brille et de l’autre y’a ceux qui reste désespérément les yeux levé vers ces derniers…Et toi tu fais partie de ceux là. Moi je crois au contraire Winster que tu ‘es déjà fait battre…tu veux une preuve ? facile, si t’avais pas été battue tu peux me dire pourquoi alors tu t’es barrée de Poudlard ? c’est parce que Will t’avais battu a plate couture que tu t’es cassée Winster…parce que pendant que toi t’étais a terre, lui se tenait toujours debout.
Je la fixe un instant avec un léger air supérieur. Je sais que les verts ont horreur qu’on fasse ça. Elle ne s’attendait surement pas à ce que je l’attaque de ce coté ci, peut être qu’a l’avenir elle évitera de me faire la leçon sur la manière de surveiller ses arrières.
Elle se plante sur ses convictions, je n’en suis guère surpris en faites. Tandis qu’elle continue de croire que Will et moi sommes des éléments néfastes pour le château, moi je pense d’avantage que le pire fléau c’est bien les serpentards ! Ils sont si imbus d’eux même, tellement encré dans les vielles traditions, et surtout tellement convaincue de valoir plus que nous. C’est dingue qu’on puisse reprocher a quelqu’un de s’afficher tel qu’il est vraiment…mais je suis pas surpris pour autant, je sais que nombre de serpentards sont obligés de porter un masque en permanence. Eloïse par exemple…Winster aussi, j’en suis certain.
-Oh mais moi j’ai pas peur de me montrer tel que je suis Winster…j’ai pas de problème d’identité contrairement a certaine…moi au moins j’ai pas besoin de porter un masque de peur de me faire rejeter. Tu vois Winster on a pas la même vision des choses…Moi je dirais plutôt que nous, on meure pour défendre notre idéal et pour notre liberté…Contrairement vous qui la plupart du temps mourrez en esclavage. Nous sommes peut être des idiots, bien que cela reste à prouver, mais nous au moins on assume pleinement se qu’on est ! Oh mais si on contamine tout le monde fait gaffe Winster, tu pourrais attraper un peu de notre courage…Sa serait un comble pour une verte qui a déjà pas mal de problème avec sa condition.
La verte semble sensible sur le sujet de Jedusor. Ce n’est pas moi qui ai lancé de tels rumeurs, personnellement je n’ai fais que les écouter, mais je crois que là j’ai eut tord de le lui dire. Maintenant, elle semble convaincu que j’en suis l’auteur, franchement comme si j’avais que ça à faire. Je n’ai pas peur de ses menaces, j’ai comme qui dirait l’habitude d’en recevoir des tas, alors une de plus ou de moins pour moi ça ne change pas.
-Déjà, depuis quant tu me donnes des conseils Winster. Pis ensuite, je crois que tu te prends trop pour le centre des choses ma jolie, comme si j’avais que ça à foutre que de rependrais des rumeurs sur toi ! Bah Ouai j’ai brisé le cœur de plus d’une fille, je le nie pas, mais en tout cas je n’ai jamais prétendu a aucune que je l’aimais..Là est la grosse différence entre nous ! Si tu savais se que j’en ai à faire de tes menaces…tu crois quoi, que je vais me mettre à trembler peut être ?
Jolie répartie, elle a trouvé le moyen de tourner la mauvaise graine en sa faveur. Je ne peux m’empêcher de lui décrocher un sourire, le genre qui énerve tout le monde
-Bah Ouai, heureusement qu’on se reproduit, sinon qui c’est qui pourrait rabaisser le caquet des verts hein ?
Je dois dire que pendant qu’elle s’enerve, moi je reste parfaitement calme. J’adore énervé les autres, les voir monter en pression et au final éclater. Moi ça me fait rire, parce que quant les gens éclatent, ils partent souvent dans de tels extrême que la situation leur échappe complètement.
Je relève même pas la superbe insulte qu’elle vient de faire a mon sujet a Will, c’est tellement bas que je refuse de m’abaisser à y répondre. Quant Winster s’énerve, elle perd tout de sa grandeur de serpy, je sais pas si elle en a conscience…
Je ne me suis jamais senti supérieur de part mon nom, même si je dois bien le reconnaitre être un Potter m’a fait souvent jouir d’un certain confort. J’étais le fils du héro, l’héritier du survivant..M’enfin ceci étant sa m’a toujours agacé qu’on me regarde comme ça juste a cause de mon père.
-Oui, en effet je crois que mon éducation a été meilleure Winster, simplement parce que moi j’ai été élevé dans un monde de tolérance et d’amour..Contrairement à ta petite personne. Quant le danger sonnera Winster, je serai là en première ligne et toi tu seras ou ? En train de fuir en espérant que d’autre feront le sale boulot a ta place n’est se pas ? C’est se que les serpy ont toujours fait ! Nous voilà d’accord sur un point, je suis fier aussi que tu me ressembles pas ! Est-ce que tu dis ça parce que Will est un né moldu ou bien parce qu’il t’a blessé quant il t’a largué ? Je crains Winster que tu ne sois pas très impartial dans ton jugement de valeur…Et je te prierais de rester polie ! Il me semblait que les préfètes devaient donner l’exemple nan ?
Moi je suis le mouton de Will ? Alors ça c’est la meilleure…jamais entendu de truc aussi débile..Enfin bref, j’ai pas envie de m’égosiller a essayer d’argumenter sur le sujet. Je sais se que je vaux, et en l’occurrence je sais que je vaux bien plus qu’elle.
Voilà que c’est le moment que choisi notre mystérieux personnage pour me faire une leçon de moral sur les duel de sorciers…j’ai pas envie d’être conciliant !
-Et bah vous en référerez au directeur…m’enfin si vous croyiez que j’avais l’intention de faire ça devant vous..Je suis pas complètement débile vous savez ! Non merci, je crois qu’on va s’en sortir très bien tous seuls ! Dés que Winster se sera cassé de là, vous verrez que tout sera plus calme…Depuis le temps que je le répète que cette fille passe son temps à semer la discorde dans le château. Elle me frappe et je suis censé resté courtois ? Mais c’est le monde à l’ envers là ! Les chahuts vous importent ? En ce cas, vous devriez trainer plus souvent du coté des verts c’est toujours de là que viennent les problèmes. En effet je ne sais toujours rien de votre profession, et je ne vois pas quel métier inclurait l’étude des disputes entre élève. Evidemment que le blason a son importance..Peut être bien qu’il ne juge pas que sur le caractère mais on remarquera quant même que presque tout les gens mauvais sont à serpentard, ce n’est tout de même pas dut au azard ! Et partant de là comment imaginer qu’un vert puisse être quelqu’un de bien ? C’est improbable. Vous posez les questions ? Et bien, comme bon vous semble, mais je suppose que nous ne sommes nullement tenus d’y apporter réponse si nous n’en avons pas envie. Je vois que vous faites dans l’humour en plus…Et bien, vous avez plus d’une corde à votre arc visiblement…Et pourquoi Will devrait il décliner votre identité ? N’êtes-vous pas assez grand pour le faire vous-même ?
Malgré se que je dis, je tourne la tête vers Will et l’interroge du regard. Pendant ce temps Albus est étrangement calme, je crois qu’il est épuisé et qu’il n’est plus vraiment avec nous.
Durant mon échange muet avec Will, je quitte Winster des yeux…chose que je n’aurais pas dut faire. J’entends ‘dit au revoir Potter »…mais pourquoi je dirais au revoir ? Je compte aller nulle part ! J’allais justement le lui faire remarquer lorsque je ressens comme un changement en moi, je sais pas trop se qui m’arrive, d’un cou je me sens plus petit…oulà c’est quoi ce bazar ? J’ouvre la bouche et voilà que la seule chose que j’arrive à dire c’est
-Bhééééé bhéééééééé
Ha bravo ! Là c’est sur que j’ai l’aire d’un superbe imbhéééééécile ! je m’observe, contemple mes pattes, et il me faut quelques seconde pour comprendre que j’ai été métamorphosé en chèvre…Jolie sortilège, je dois bien le reconnaitre, mais même si je suis du genre a aimé les plaisanteries celle là n’est pas tellement a mon gout…Je lève ma petite tête de chèvre vers Will, j’ai le cors d’une chèvre mais mon esprit lui est toujours celui d’un humain. Je comprends tout se qui se dit, mais je ne peux répondre. Je vais pas rester comme ça si ? Je dois être une chèvre avec un regard bien noir, j’en suis certain ! Je proteste avec énergie a cou de bellement qui visiblement n’arrange pas l’humeur de Winster…ok, et bien on va s’amuser…puisque je suis chèvre…Comportons nous comme tel..
Me voilà qui fonce tète baisser vers la verte et qui lui flanque un bon cou de corne dans le postérieur. Maintenant, je dois être la première chèvre de l’histoire à bêler de rire…histoire de l’agacer encore plus, je m’approche de sa robe et en saisie le bas avec mes dents afin de la mâchouiller…je suis une chèvre indiscipliné que voulez vous ! Je m’amuse à lui mettre des cous de corne et a mâchouiller tout se qui dépasse, tapant le sol de mon sabot impatient…
Malgré tout je garde mes petits yeux sur Will, le suppliant mentalement de me sortir de cette position complètement ridicule et humiliante…Elle voulait me faire payer…Et bien, il n’est pas dit que la prochaine à régler l’addition ne sera pas elle justement !
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Lun 13 Avr - 22:16 |
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Lindsay était restée allongée dans son lit, dans ce dortoir immonde, vide de population. Comme d'habitude, elle était la première debout. Les autres dormaient encore. Enfin, les autres... Il n'y avait plus que sa meilleure amie dans le dortoir. Lindsay avait chassé toutes les autres filles qui se trouvaient avec elles auparavant. Elle préférait avoir un lieu où elle pouvait être seule, Elisabeth comprenait qu'il lui fallait parfois de la solitude. La solitude était un élément important aux yeux de Lindsay. C'était sa meilleure amie. La solitude et Lindsay étaient amies depuis si longtemps que leur amitié était devenue dure comme du béton. Elles étaient comme deux amants inséparables. On aurait pu les comparer à des âmes soeurs, Lindsay aimait la solitude, et la solitude attirait Lindsay vers elle telle un aimant. La compagnie elle, avait un effet contraire. Elle aimait tellement être seule qu'elle était froide avec les gens qui l'approchaient, ce qui leur enlevait toute envie de l'approcher. Elle était associable et anti-sociale. Elle ne voulait pas avoir de la compagnie, elle était bien mieux seule. Les gens ne la comprenaient pas non plus. Personne ne sait ce qu'elle a vécu mis à part Anna et Elisabeth. Selon elle même le directeur n'était pas au courant. Elle préférait ne pas en parler, seules ses amies étaient au courant que lorsqu'elle quittait Poudlard, s'était pour se rendre toute seule dans son manoir. Jamais elle n'avait quelqu'un avec elle, quand il lui fallait de la solitude, il lui suffisait de filer de Poudlard en douce pour se rendre à Pré-Au-Lard et transplaner jusque chez elle. Il lui arrivait souvent d'y aller, mais elle n'avait pas envie que quelqu'un remarque qu'elle quittait l'enceinte du château afin de se rendre chez elle sans qu'elle n'en ait l'autorisation. Si quelqu'un la surprenait à faire ça, elle pouvait se prendre une retenue, ou même être renvoyée. Ce qu'elle ne voulait pas, mais alors absolument pas. Elle n'aimait peut-être pas la compagnie, mais Poudlard lui plaisait, elle aimait cette école et ne voulait plus rentrer chez elle. Bien qu'elle en soit déjà à sa septième et dernière année. Elle le regrettait déjà, depuis son arrivée à Poudlard elle avait passé des bons moments, ainsi que des mauvais. Chez elle tout aurait été différent... Seule elle n'aurait pas tenu, seule elle serait devenue complètement folle. Un peu de solitude lui faisait du bien, mais trop de solitude n'était pas bon. Trop de solitude tue la solitude comme on le dit si bien
Enfin bref, après le temps passé dans son lit à songer à propos de la vie, de l'existence et de tout ce qui va avec, Lindsay se décide à se lever. Elel a perdu au moins une heure dans ses songeries. Elle qui comptait se lever tôt... Il est cinq heures à présent, la jeune fille se lève, dresse ses cheveux d'un coup de baguette, se met en jogging et sort du dortoir. Elle est la première Serpentarde debout, elle sort de la salle commune et se retrouve dans les cachots. Après un passage rapide dans les cuisines où elle déroba une pomme, une poire et une banane, elle se hâta dans les couloirs. La grande salle était déserte. Lindsay mangea ses trois fruits et sortit dans le Parc. Elle se résolut à un petit footing du matin. Elle courrut une bonne partie de la matinée dans le parc, fit le tour du lac et rentra après une heure et trente minutes de course. Cela lui faisait du bien, une petite course matinale. Il était sept heures moins le quart lorsque Lindsay retourna au château. Elle se maintenait en forme en courant le matin quand elle en avait l'occasion. Elle aimait courir en attendant le lever du soleil, c'était comme si elle courait après l'arrivée du soleil, comme si elle se hâtait à sa rencontre. Lorsqu'elle courait, elle pensait à des choses, se posait des questions en sentant le vent ébourriffer ses cheveux. Elle se demandait de quoi elle avait le plus peur. Elle se demandait quelle forme prendrait un épouvantard devant elle. Elle n'en avait jamais encore eut l'occasion, selon-elle, elle n'avait peur de rien. Il lui fallait faire l'expérience. Cette question lui trottait dans la tête depuis un bon moment déjà. Mais elle ne saurait peut-être jamais de quoi elle avait le plus peur. Elle ne savait pas si elle voulait le savoir. Et si c'était quelque chose de vraiment effrayant ? Si c'était quelque chose de pas effrayant du tout? Et si c'était... Si c'était quelque chose qui n'était pas matériel ? Elle ne le savait pas, et ne pouvait pas le savoir tant qu'elle n'y serait pas confrontée. C'était étrange, qu'elle s'attarde aussi longtemps sur une question sans passer à l'action. Plutôt étrange oui. D'habitude, elle réfléchissait à un plan et passait à l'action. Mais là elle ne savait pas comment agir, et ne savait pas non plus où trouver un épouvantard. Elle ne voulait pas affronter sa peur toute seule, mais ne voulait pas non plus que quelqu'un sache de quoi elle avait peur. Selon elle ce pourrait être utilisé contre elle, pour l'éliminer. Elle n'était pas paranoïaque, juste préventive. Elle prenait des mesures de précaution assez importantes.
Après cette course, Lindsay retourna au château, elle rentra dans le hall, le traversa à grandes enjambées rapides pour se rendre au plus vite dans la salle commune. Elle ne croisa que quelques élèves qui chuchotaient des choses qu'elle n'entendait pas, elle ne les écoutait pas non plus. Qu'est-ce qu'elle en avait à faire de toute façon ? S'ils parlaient d'elle, ils n'oseraient jamais lui le dire, ni le lui faire parvenir. Ils savaient très bien que fourbe comme elle était elle trouverait une façon de leur faire payer, de leur faire regretter. C'était sa façon de les punir; les faire souffrir. La souffrance, elle aimait l'infliger aux autres. Pour qu'ils soient heureux de la vie qu'ils ont. Mais les gens ne sont pas reconnaissants. Lindsay ne s'attarda pas sur ces trois élèves. Ce n'est que lorsqu'elle vit leurs blasons qu'elle leur jetta a tous un lévicorpus et d'un coup de baguette, ils se retrouvèrent tous en caleçon. C'étaient des Gryffondors, rien que de se trouver dans le même couloir qu'elle au même moment était un crime pour les Bouffondor. Les trois élèves hurlaient, un professeur arriverait bientôt, mais ils ne la dénonceraient pas, sauf s'ils étaient suicidaires. Ah ! Mais justement ! Les Gryffondor sont suicidaires. Lindsay prendrait une nouvelle retenue, ce qui était plutôt habituel pour elle. Lindsay descendit aux cachots, entra dans la salle commune et monta à la salle de bain se raffraichir. Elle enleva son jogging et se jeta sous la douche. Après cette douche, elle se brossa les dents pendant quatre minutes chrono. Après cela , elle s'habilla, sécha ses cheveux et se les démêla d'un coup de baguette. Pour vêtements, elle mit un pantalon en jean noir et une chemise blanche. Elle se maquilla très rapidement et, sa veste noire sous la main, elle sortit du dortoir. Elle passa une grande partie de sa matinée à ne rien faire, de même pour l’après-midi.
Ce n’est qu’à un moment de son après-midi qu’elle vit Elisa en se baladant dans le Hall d’entrée. Elisa avec… Des Gryffondor. Encore des Gryffondor ? Que ferait-elle franchement sans sa Lindsay ? Bref, elle était main dans la main avec un Potter, il y avait William aussi.
Lindsay « Elisabeth ? C’est moi qui rêves ou… »
Lindsay se pinça le bras, non elle ne rêvait pas. Elisabeth le tenait par la main le petit Potter. Elle se tourna vers William.
Lindsay « Tu sais que tu sens bon pour quelqu’un qui pue ? »
Elle baissa les yeux et aperçut … Une chèvre ?! Que faisait-elle là ? On acceptait les chèvres à Poudlard à présent ? Il y avait une pile de vêtements par terre aussi, avec le blason des Gryffondor.
Lindsay « Dis William ? Tu veux bien me ramasser ça ? Visiblement, ce n’est pas à moi ni à Elisabeth. »
Elle ricana et sortit sa baguette. William n’obéirait pas de toute manière. À l’aide d’un Wingardium Leviosa, elle envoya valser les vêtements par la fenêtre. Elle lança également deux Accio, elle fit venir un tabouret et un seau. Elle regarda William en ricanant de plus belle et lança :
Lindsay « On accepte les chèvres en animal de compagnie maintenant? Je savais pour les rats, les crapauds, les chats et les serpents, mais les chèvres ?! Bon à savoir. Dis, j’ai bien envie d’un fromage aujourd’hui, monsieur voudrait bien m’en livrer un ce soir ? »
Puis elle repartit, préférant ne pas s’attarder dans cette situation horrible. Bien sûr William prendrait tout au premier degré, bien qu’elle ne disait cela que pour rire. Mais que faisait cette chèvre là ?
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 21 Avr - 1:59 |
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Tout était arrivé si vite, William suivait plus très bien le déroulement des choses. Ils étaient tous en train de se chamailler, un drôle de prof, les observant et puis voilà que Elisabeth sors sa baguette et... non, non, elle a pas put faire ça ? Non, elle a pas osé ?
Le problème avec la préfète, c'est qu'on en voyait pas les limites, on se disait toujours que non, elle oserait pas et en serait pas capable, mais elle finit toujours par prouver le contraire. Ce qui met William en rogne, parce que d'après elle, lui est trop prévisible.
Et si, oui, elle a osé jeter un sort à James qui devait de plus en plus dur dans ses réponses. J'irais pas jusqu'à dire qu'il l'a mérité, mais à sa place, j'aurais freiner au lieu de foncer tête baissé. Parce que maintenant, il a bel air, transformé en chèvre.
- Putain !!! ELI-SA-BETH !!!! Mais qu'est-ce que t'as fais ? Mais pourquoi tu fais ça ? Mais t'es idiote ! Espèce de crétine !! Pourquoi t'as fais ça !!! Retransforme-le tout de suite !! J'ai dis TOUT DE SUITE !!
William était sur les nerfs. Ne manquait plus que ça. Après le type bizarre qui débarque avec ses notes, voilà que la préfète utilisais un sort dans le château, en dehors des cours ! Et le pire ? Elle ne se ferait sans doute pas prendre ! Il se fichait bien de cet adulte, il était toujours resté passif, alors il n'allait sans doute pas changer maintenant.
Il se jeta sur la verte, lui arrachant sa baguette des mains, pour une fois, elle ne pourrait pas la reprendre. Il pensait alors avoir pleinement son attention.
- Je te la rends, ta baguette, mais alors tu annules ton sortilège ! Ou tu peux lui dire adieu, et je la casse en deux ! Alors Winster, tu nous les montre tes talents de sorcière ?
Son ton se voyait ferme et sarcastique. Il jeta un coup d'œil à James qui bêla. Merlin. Le pauvre. Pourquoi William ne le faisait pas lui-même ? Mais parce que c'était à Winster de réparer ses bêtises. Et s'il ratais son sort ? Les sorts de métamorphose étaient tout de même les plus difficiles à réaliser.
Il tendit la baguette à la verte. Il se disait simplement qu'il lui jetterais lui aussi un sort si elle ne lui obéissais pas. Et voilà que quelqu'un d'autre débarque. Andrews. Ne manquait plus qu'elle. Voilà William bien entouré... de vipères et d'une chèvre.... magnifique. Évidemment se fut vers lui que se retourna en premier Lindsay. Et railla en guise de réponse.
- Je prends ça comme un compliment...
Il ne voyait pas trop comment le voir autrement qu'une insulte, mais il avait d'autres problèmes en ce moment pour se soucier de la répartie entre lui et la verte.
- ça alors, tu as vu ça ? Je pensais pas que tu savais comment ça s'appelle un animal comme celui-ci parce que à part serpent et lion mité, tu changes pas de vocabulaire, Andrews ! Et toi Winster, retransforme James ! Tout de suite !
Et là... elles dépassaient les bornes là... mais que quelqu'un les arrête ! Hem... William. Malheureusement, il ne trouvais rien à redire. Il se contenta pour le moment de fixer les deux vertes d'un air mauvais.
*Je t'en pris, dis-moi que t'as quelque chose pour me venger...*
'sais pas... 'faut que je réfléchisse...
*C'est ça oui, tu te fiches de moi ?!*
Entre temps les deux Serpentards avait fait apparaitre un sceau et un tabouret. Et sans l'avoir prévenu, sans aucun sort, la magie de sa conscience se concentra vers les deux objets. Le sceau sauta au cou de Andrews et le tabouret enfoncer le ventre de Winster. Beau travail.
- Allez, viens, James, mais viens !!!
Il ramassa la robe de James et lui renfila avant de le retransformer, aidé de sa conscience, le sort ne pouvait pas rater. James retrouva enfin forme humaine, sans doute à la déception des deux vertes.
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 8 Mai - 17:00 |
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Merlin qu’est ce que ça faisait du bien de c’être ainsi passé les nerfs. A présent a la place de James Potter on avait une chèvre quelque peu indiscipliné mais beaucoup plus silencieuse. Oh, évidement William lui ne trouva pas ça drôle du tout, il poussa même les hauts cries. Mais la verte s’était désintéressé de lui, trop prise dans la contemplation de la chèvre. Il fallait bien reconnaitre que c’était là une superbe métamorphose, si ils avaient été en cours elle aurait sans doute eut des points.
Après cette auto satisfaction elle daigna enfin reporter son attention sur William. Ha, il ne voyait pas pourquoi elle avait fait ça ? Et il osait la traiter elle d’idiote, bhin dit donc, il ferait sans doute bien de se regarder plus souvent avant de dire ça. Il lui donna l’ordre de le retransformer, comme si elle était du genre a accepter de faire quoi que ce soit qu’il lui ait commandé. Elle trouvait que James était très bien en chèvre, il fallait ne pas compter sur elle pour le libérer.
-ce que j’ai fait ? Et bien..Je crois bien que j’ai transformé ton pote en chèvre. T’avais pas remarqué que t’ais besoin que je te l’explique ? Pourquoi je fais ça ? Parce qu’il l’a amplement mérité et que Potter n’a absolument aucune qualité en tant qu’être humain. J’espère donc qu’il sera meilleur en animal. Idiote tu trouves ? Et bien, pour quelqu ‘un d’idiote je trouve que je sais faire de magnifique métamorphose. D’ailleurs Allen, je te suggère de pas trop m’insulter si tu ne veux pas finir comme lui ! On a beaucoup d’animal à Poudlard, je suis persuadée que quelqu’un aura assez de bon cœur pour adopter deux chèvres idiotes. Non, tu vois je n’ai pas envie, et surtout j’ai aucun ordre à recevoir de toi ! Il est très bien comme ça, au moins j’ai la paix !
Dans un moment qu’elle qualifiait proche du désespoir, Allen se jeta sur elle pour lui prendre sa baguette. Un geste qui l’énerva au plus haut point. Elle avait horreur qu’on touche a sa baguette, et bien plus encore de se faire menacer. Si jamais il venait à casser sa baguette, elle lui casserait sa tête. Il voulait son attention ? Il l’avait, de toute façon, elle pouvait aisément mentir, y’avait que Jedusor pour être capable de deviner quant elle le faisait.
-rends moi ma baguette, et je vais te les montrer mes talents de sorcière !
Elle ne précisa pas ni comment, ni a quel moment elle le ferait. En tout cas ce qui était certain c’est que sa serait pas sur Potter qu’elle le ferait mais plutôt sur sa personne. Il lui tendit sa baguette qu’elle essuya dans un coin de sa cape. Une vielle habitude, elle détestait voir des traces de doigts dessus. Elle aurait bien put lui montrer là, maintenant combien elle était doué en magie, mais Lindsay arriva. Au regard que lui porta son amie, Elisa lâcha la main d’Albus. Hahem…
-Heu..On va dire Lin’ que c’est pas du tout ce que tu crois.
Bien évidemment, elle ne s’arrêta pas là et Lin était Lin’ elle ne put s’empêcher d’aller échanger quelques doux sarcasme avec le seul rouge capable de lui répondre. Chose que d’ailleurs il ne manqua pas de faire. Voir Will au prise avec deux serpy ça avait presque un coté marrant. Surtout avec un James qui pour seul aide ne pouvait que bêler. Ce fut au tour de Will d’attaquer Lindsay, ceci dit y’avait erreur sur la personne, celle qui traitait les gens de lion mité ici, c’était plutôt elle, pas Lin. Mais passons. Encore une fois elle reçu l’ordre de rendre a James sa forme initial
-Je t’ai dit que non Allen, même avec un « s’il te plait et un merci » j’en ferais absolument rien !
Pendant ce temps, Lindsay a fait apparaitre un sceau et un tabouret. Elisa n’est pas certaine que son amie à bien comprit ce qu’était en vérité cette chèvre, mais sa réflexion sur les fromages et sa demande à Will la fit exploser de rire. Elle se demandait comment l’adulte pouvait rester là les bras ballant, mis en faite elle s’en fichait un peu. Il avait dit qu’il ne pouvait pas enlever de point et qu’il n’interviendrait pas. Alors pourquoi s’en faire ?
-On accepte de tout Lin dans ce château, même des idiots, la preuve en est faite avec Allen ! Du fromage ? Oh punaise Lin, mais en voilà en bonne idée ; haha après la chèvre de monsieur Seguin, voilà la chèvre de monsieur Allen…ha haha..
Elisa était prise avec un rire nerveux. Elle ne put s’empêcher de sortir son appareil photo et d’immortaliser ce moment de pur triomphe sur un Potter. Elle ne vit donc pas arrivé sur elle le tabouret, mais elle le sentit passé. Son rire s’en trouva stopper net, et dans une tentative de reprendre son souffle elle se tourna vers Lin qui à présent portait un sceau, en guise de collier. William en profita pour rendre a James sa forme humaine, se qui la fit bougonner
-Non de Salazard WILLIAM ! T’es complètement malade hein ! Je le trouvais mieux en chèvre.
Se massant douloureusement le bas du ventre, elle agita sa baguette et lança de manière informulé
*- Orchideus*
Pas de chance, le sors échoua. Elle secoua la tête. Et bien tant pis, il n’y aurait pas de joli bouquet de fleur. Elle se félicita d’avoir jeté son sors en informulé, ainsi personne n’avait vue son échec.
Aidant Lin à se débarrasser son sceau, elle le lui ôta du tour de son cou. Attrapant le tabouret, elle le fit glisser jusqu'à James.
-cadeau souvenir Potter, ha et au faite, sur la photo tu rends merveilleusement bien en chèvre.
Lindsay lui attrapa le bras, avant de fourrer le sceau dans les bras d’Allen
.
-J’aime beaucoup les colliers Allen, mais je trouve que celui là te conviendra bien mieux a toi qu’a moi. Allez viens Elisa, allons nous en. Non, tu ne restes pas là, je te laisse pas avec des gryffondors, tu ferais encore des bêtises.
Elisa prit le bras de son amie et se laissa entrainer. Les deux filles disparurent dans le couloir en riant. Elles laissèrent derrière elles, deux gryffondors, dont un devait encore se remettre de son aventure
Dernière édition par Elisabeth Winster le Ven 8 Mai - 17:59, édité 1 fois
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 8 Mai - 17:00 |
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Le membre 'Elisabeth Winster' a effectué l'action suivante : Lancer un sortilège
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James Sirius Potter
7ème année Gryffondor
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Lun 20 Juil - 19:34 |
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Je suis une chèvre. Il va bien falloir que je me fasse à cette idée, Winster vient d’user sur moi d’un sortilège visant à me donner la forme d’une bête à corne. Me voilà bien, rendu totalement inutile à Will. Je me retrouve poster entre les deux, hochant la tête de gauche à droite au rythme des paroles qui fusent entre eux d’eux. Je comprends tout ce qui se dit, mais ma condition de Chèvre me rend incapable de faire autre chose que des « bhéééé ». D’ailleurs, lorsque j’ai constaté ça, j’ai pris le partie de me la fermer. C’est déjà bien assez humiliant d’avoir quatre patte sans en plus me ridiculiser d’avantage en ouvrant ma bouche.
William et Elisabeth continu les joyeuses amabilités. Je me demande a quoi pense mon pote en demandant a la verte de me rendre forme humaine. Comme ci c’était son genre de défaire ses actes. A son sourire je voie bien que la situation l’amuse et que le fait d’avoir pour une fois le dessus sur ma personne la rend triomphante. Je ne peux pas non plus compté sur mon frangin pour me sortir de là, un acte magique de cette envergure est bien au dessus de ses connaissances de seconde année. La seule personne qui puisse réellement voler a mon secoure reste William, encore faudrait t'il pour ça qu’il se concentre sur moi au lieu de chercher à discuter avec une serpy mal embouché.
Tandis qu’ils conversent de mon sort, je m’amuse à faire le tour de ma nouvelle personnalité. Je lève une patte, puis l’autre et j’admire la précision du sortilège de Winster. Rien n’a été oublié, pas même les sabots. Ils sont propres, bien dessiné. J’ai réellement de jolies pattes. D’aussi loin que je puisse tourner la tête, sans me dévisser le cou, je peux voir que mon pelage est blanc. Je suis donc une chèvre blanche, au pelage soyeux. Les poils qui me chatouillent le nez m’amène à la conclusion que je dois aborder un e petite barbichette. Quant à mes cornes, je ne peux les voir, mais je les sens sur ma tête. En plus, le cou de tête que je viens de donner a Winster, semble bien lui avoir arraché une grimace. De toute évidence, j’ai des cornes solides.
Le tour du propriétaire étant fait, j’en reviens à Will et à Winster. Puisque je ne peux rien faire pour aider mon ami, je me décide à exaspérer la serpentarde. J’espère bien la pousser à bout, de manière a ce que, de guerre las, elle finisse par me redonner mon apparence humaine. Je lui mâchouille le bas de sa robe, levant vers elle des yeux luisant. Je suis devenu une pauvre bête maltraité.
William me rappel a lui. Ma tête se tourne pour le regarder et oubliant momentanément que je ne sais plus parler, j’ouvre ma bouche
-Bhééééééééé
Je stop net mon geste. Si vous n’avez jamais vu une chèvre abordez un air ahurie, gêné et emplit de colère, c’est que vous n’êtes pas de ceux qui ont put m’observer dans ce couloir. Franchement, je ne suis pas du genre a m’énervé. Les plaisanteries c’est même plutôt ma tasse de thé, mais là vraiment c’est un peu trop.
Je trottine vers Will, le regardant avec dans les yeux autant de supplication que je peux en mettre. J’ai surement l’air trop humain pour une chèvre banal. J’aurais supposé que j’avais atteint le sommet de mon humiliation, jusqu’au moment ou Andrews se dessina dans le paysage. Formidable, il ne manquait plus qu’elle pour parfaire le spectacle.
Aussitôt arrivé, là voilà qui rappel Winster a l’ordre. Bonne idée, et si au passage elle pouvait aussi lui suggérer de me rendre ma forme initiale. Mais pensez vous, Andrews n’est pas du genre à avoir de la pitié pour une pauvre chèvre. Sait elle seulement que je n’en suis pas réellement une ? Peut être bien que oui…peut être bien que non…Toujours est il que lorsque je la vois faire apparaître un tabouret et un sceau…je manque de me retrouver la première chèvre de l’histoire à tomber dans les pommes. Par Godric, ma tête se lève vers Will, mon regard n’est plus suppliant, il est implorant.
-Bhééééééé bhééééééé bhééééééé
La complainte de la chèvre. A l’intérieur de moi je pense très fort *sors moi de là Will, les laisse pas s’approcher de moi avec leurs idées pas catholique*. Je ne veux pas que qui que ce soit me traie, je sais même pas si je suis capable de donner du lait…Mais qu’est ce que je raconte moi ? Bien sur que non, je sais pas donner du lait puisque je suis pas une vraie chèvre ! Fromage, fromage..Je fuie de toutes mes petites pattes et me réfugie derrière les jambes de Will. Là, au moins, je me sens momentanément en sécurité. Winster est prise d’un fou rire, merlin, je suis entouré de cinglé.
Le fou rire de Winster, c’est peut être ça qui déclenche le savoir faire de mon ami. En tout cas, je vois sa baguette se diriger vers moi et….Pouf….Je suis toujours a quatre pattes, mais maintenant j’ai deux bras et deux jambes. Je revoilà devenu James. L’aventure m’a quelque peu déboussolé. Pas traumatisé, non, mais j’ai un peu perdu le sens de l’orientation. Juste avant ma transformation, j’ai eut le temps de percevoir un flash. C’est quant j’entends Elisa parler de photo que je comprends ce qu’elle a fait.
Je suis trop secoué pour réagir, le temps que je me remette debout, que je remette de l’ordre dans mes vêtements et déjà Andrews a embarqué Winster avec elle. Les deux filles disparaissent au coin d’un couloir en riant à gorge déployé. Elles sont en train de se foutre de moi, bordel, voilà qui ne me plait pas. Ayant retrouvé ma voix, je me tourne vers mon ami. Albus c’est aussi relevé et s’éloigne. Quant a l’adulte qui ne nous a toujours pas dit qui il était, il est en train de prendre des notes. Sympa, merci pour son aide. Je le foudroie d’un regard noir avant de reporter mon attention sur Will
-Merci…
Je regarde le tabouret, la situation est un peu gênante. Finalement, je prends le partie d’en rire. Comme dit toujours oncle George, il faut savoir rire de ses propres malheurs.
-Et bien…on peu dire que ça a été la pire aventure de toute ma vie…je te jure Will, quant je recroise Winster, elle va me payer ça !
Oh, oui, elle va me le payer. Je sais pas encore comment, mais je sais que ma vengeance sera longue et douloureuse. J’ai un gout pâteux dans la bouche.
-Pouah, je sais pas avec quoi elle lave ses robes, mais j’ai un gout affreux dans la bouche ! Tu voudrais pas on aille dans la grande salle histoire de manger un bout d’herbe..heu un morceau je veux dire…
Houlà…mélange de ma personnalité de chèvre avec l’humain que je suis. J’attrape Will par les épaules et l’entraine vers la grande salle. Tout en marchant je lui murmure
-Dis, tu crois qu’elle va s’en servir contre moi de la photo Winster ? Et tu penses qu’Andrews plaisantait quant elle a voulu que tu me traies ?
Le regard de Will est assez équivoque. Il secoue la tête, je suis mal barré. Je soupire
-Bon, j’imagine que j’ai plus qu’a en rire…Après tout le ridicule ne tue pas…Et puis j’étais plutôt une jolie chèvre non ?
Et comme pour saluer mes propos j’éclate de rire en lui disant
-Mais tout de même, quel bande d’imbhéééécile ses serpentards !
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| Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. |
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