Souvenirs... Inavouables

Invité

Il était assis , appuyé contre un tronc d'arbre , un arbre parmis tant d'autre qui bordaient le Lac de Poudlard, l'automne avait fait son effet les alentours étaient vetus d'un tapis rouge orangé .
La nature recommençait son cycle infinissable.
Le jeune homme au visage fin , ses yeux fixant l'horizon , des yeux particulierement impressionants , ils étaient blanc , d'un blanc pur .
Il portait une tenue basique , composée d 'une chemise blanche , un blazer noir , un jean d ela meme couleur , et de jolies baskets blanches venaient proteger ses pieds du froid .
Des mitaines couvrant ses mains , et un bonnet applatissant sa chevelure .

Tout était calme , tout était normal , d'un banal , triste .

Mais cet homme qui possedait un caractere fort , cédait peu à peu a ses souvenirs .

Il pensa à sa vie .

Son enfance au sein de sa famille adoptive , baigné dans la richesse. Une famille à ses moindres désirs , et ce drame . Sa mère de coeur était folle , depressive , son père un homme noir et cruel , mais qui ne l' avait jamais dévoilé devant son enfant .
Sa mère voulait quitté le cocon familial , mais le paternel n'en voulait rien , et cette nuit d'hiver , en février un 24 , la neige tombait et emerveillait le regard de milliers d 'enfants d 'Angleterre.
Mais un , un regard qui était a l'époque bleu ,un regard enfantin et insouciant , ce regard fixait son pere qui s'enervait cotnre la jeune mere de coeur .
Puis le mot de trop , la baguette levé , le corps qui tombe , le temps s'arrete .
Les larmes perlaient sur les joues rouges de l'enfant .
Sa mere , par terre , son pere deja au sol regrettant son geste .

Pourquoi ? Pourquoi ca ? Les humains font tellement de choses qu'ils regrettent dans la minute , pourquoi ?

Puis l'enfant à genoux , esperant que quand il releve son regard , il soit dans son lit et que rien de cela ne fut .
Mais il avait tort , ca s'était passé devant lui .
Quelques jours plus tard , son pere vetu de noir , tenant la main fuyante du bambin .
Une plaque de marbre grise : Nous nous retrouverons .

Le gamin lui pensait que c'était un evenement qui changerait sa vie , et la vie du monde mais en fait, Il n'avait fait que remplir la rubrique nercologique du jour . Rien alors voilà à quoi les hommes étaient destinés .Lui qui avait des reves d 'enfants . Pourquoi lui expliquait la dur realite si jeune , Pourquoi lui ?

Des mois plus tard , ce meme bambin rentrait à Poudlard , fier comme un coq , croyant pouvoir changé le monde . Devenant un eleve studieux , un joueur sans equivalent , mais au fond de lui , son ame pleurait pourquoi lui avait on empeche de croire . L'espoir fait vivre était une dure réalité .

Il avait appris ce que tous les hommes refusaient de comprendre , il avait vu que Dieu n'existait pas , que l'amour n'avait aucune force .
Pourtant il n'était pas different un simple homme comme tout le monde.

Il vu alors sa septieme année , sa derniere , sa majorite à l'horizon , durant ses années il avait cru ne pas réagir comme tout le monde . Mais comme tout le monde le noir , la tristesse , les larmes avaient laissé place à la vengeance , la rage , le sacrifice .
Dans son coeur plus rien n'avait de valeur , la vie était fade meme si au dehors il ne le devoilait pas .
Personne ne pouvait l'aider se disait il .
Maintenant il croyait pouvoir reprendre sa vie en main, quelle naivete !

Le 24 fevrier , deja tant d'annes sans ELLE , le seul amour de sa vie .
Son pere là devant lui , sa baguette sur le bureau , lisant comme d'habitude le journal , ce qu'il ne savait c 'est que le pere lisait les derniers faits qu'il avait engendré sous sa cape de mangemort.
Il re-pleurait , une vraie chochotte , pourquoi devait il pleurait pour ça , encore une fois un coup de baguette , un corps qui s'effondre , des larmes qui coulent , un coeur qui s'arrete un qui bat beaucoup trop vite .
Et voila que deja il regrettait , il n'avait que copié son pere .
L'histoire se repetait .
Encore une rubrique necrologique remplit .
Puis ce fut le temps de l'annonce , apres queques mois le jeune homme devenait quasiment depressif .
Une personne arriva chez lui declara , qu'il était le descendantr des Peverell . petit à petit le jeune homme reprenait confiance , on lui disait qu'il était l'élu , l'homme attendu , puis la marque sur son poignet .

Et voilà , il était devenu une bête cruelle , assoiffé de sang . Tout l'historie devait elle se repetait .

Puis tant de morts innocents , ce jeune garçon dans les rues de Londres pleurant ses defunts parents .
Cette femme enceinte , craignant pour la vie de son bébé .
Ce pere exemplaire protegeant sa famille au peril de sa vie .
Tous morts , a cause de qui a cause de quoi .
A cause de KamiraZ mais ce dernier rejetait la faute sur un autre , encore une habitude humaine, son pere .

Puis l'abandon de sa "vraie famille" , comme on lui avait dit. D'ailleurs ou était il ses parents dans tout ça, Les Peverell devaient vivre tranquillement laissant leur fils dans une vie .

Aujourd'hui au lac , cet homme aurait pu etre heureux , il était riche , il avait du talent mais apres tout ca , pouvait il redemarre une vie ?
Il ne voulait pas il l'avait deja fait deux fois et a chaque tentative , cela c'était soléde par des morts . Tant de sang , il regarda ses mains et il vit ses mains d'enfants , qui avait récolté tant de larmes .
Il lui fallait una vis exterieur , des amis pensa t il .
Mais des amis il n'en avait jamais eu de vrais , de peur de devoir leur dévoiler tout l 'histoire, l'histoire d'une vie pas commes les autres .

Son regard s'eteignit laissant une larme chaude descendra sa joue , encore ,une larme .

Pourquoi lui ? Pourquoi ca ?
Qu'avait il fait .. rien il n'était rien ..

Maintenant il devait devoiler ses souvenirs a quelqu'un , il le fallait ...
Ses Souvenirs Inavouables..

[votre avis?]

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Il y a des jours, on ne devrait même pas se lever ou alors tenter de faire affront à la vie. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’on a l’impression que même votre vie semble être contre vous. Allongée sur le lit de l’infirmerie, Joy attendait en prenant son mal en patience que l’infirmière ne sorte de cette pièce ou alors qu’elle soit suffisamment occupée pour pouvoir partir sur la pointe des pieds. Passé la nuit à l’infirmerie ? Vous n’y pensez même pas. Trop de monde se trouve dans l’infirmerie. Et surtout les murs sont remplacés par des draps. Bien entendu, personne n’est assez stupide pour se rendre de l’autre côté du drap et voir ainsi qui se trouve de l’autre côté. Quoique… Il existe bien quelques téméraires dans le coin. Quelques téméraires que Joy n’avait aucune envie de remettre en place. Immobile sur le drap, la Serpentarde guettait les moindres bruits émanant de derrière les rideaux blancs. Apparemment, un élève avait glissé sur les marches de la volière et s’était cassé la jambe. Le pauvre allait avoir le droit aux fameuses potions de guérison de l’infirmière. Un autre aux côtés éternuait toutes les trente secondes. Non, il était hors de question que Joy passe la nuit ici. Elle y était entrée pour une simple visite mensuelle pour son dos et malheureusement elle n’avait pu dissimuler certaines choses à l’infirmière. Un peu trop douée celle-ci d’ailleurs. Cela n’allait pas plaire à la Serpentarde.

Dix minutes plus tard, elle entendit les talons de l’infirmière se suspendre après un claquement de porte. Soit elle était partie dans son propre dortoir, soit elle s’en allait en direction des couloirs. Dans tous les cas, elle n’était plus là. Glissant hors de son lit, Joy attrapa ses souliers qu’elle préféra porter en main plutôt qu’aux pieds. Plus de discrétion. Reprenant sa baguette ainsi que son écharpe et sa cape, elle passa un doigt sur le rideau afin d’observer l’infirmerie au total. Personne en vue. Les élèves semblaient tous avoir tirés leurs propres draps ce qui empêchaient de voir qui se trouvait ici. Le même manège se produisit avant de sortir de l’infirmerie. Tout ceci avait été trop facile. Beaucoup trop facile. Etrange. Néanmoins, désormais Joy était en-dehors de l’infirmerie. Néanmoins, la vue de celle-ci au détour d’un couloir lui fit changer ses plans. En effet, la jeune femme se trouvait dans l’escalier qui descendait aux cachots. Ainsi, on pouvait oublier la salle commune. Tant pis. Joy attendrait… Mais ici, c’était trop dangereux.
C’est ainsi que Joy arriva dans le parc où ses pieds – désormais chaussés – la menèrent petit à petit jusqu’au lac. Le couvre-feu n’allait pas tarder à être passé mais ce n’était pas ce qui effrayait Joy. Après tout, que craignait-elle mise à part une colle ? Sauf bien entendu si elle tombait sur l’infirmière. Là, elle risquait plus gros vu qu’elle ne devait pas sortir avant le lendemain. N’empêche, stupide dos. Bien que cela influença sa vie à un point inimaginable. Ternir ses relations avec sa famille mais aussi son entourage au complet. Le pire étant peut-être son frère. Après tout, ce n’était tout de même pas sa faute à elle si Môssieur avait raté quelque chose. Non, mais elle en subissait les conséquences. Bah, mieux valait penser à autre chose. Une ombre se dessinait au loin. Apparemment, quelqu’un d’autre était de sortie par ce temps glacial d’hiver. Etrange, les élèves devaient quasiment tous se rassembler afin de rentrer dans leurs dortoirs en papotant à propos du bal. TT’. Il s’agissait peut-être de l’une des raisons pour laquelle elle n’était pas non plus pressé de retourner au dortoir des sixièmes années de Serpentard.

Approchant le plus silencieusement possibles de l’ombre, elle reconnut le dos de Peverell. Quand on vous dit que parfois il fallait mieux ne pas se lever le matin. Néanmoins, Joy était trop lasse pour chercher la bataille et il était trop tôt pour faire demi-tour et retourner au château. Cependant, le professeur de vol ne semblait pas au meilleur de sa forme. S’asseyant à ses côtés dans l’herbe en évitant de ne glisser en direction du lac – il était pire que glacial à cette époque – elle resta cependant silencieusement. Reine des Glaces certes… mais même une Reine des Glaces peut parfois être un tant soit peu humaine. Bien que les habitudes prennent souvent le dessus.

Invité

Depuis l'incident avec l'Ombre Sans Visage, Peter avait beaucoup de mal à dormir. Il passait son temps à essayer de savoir ce qui avait fait qu'il avait été si lent à la détente en situation réelle. Normalement, en duel, le Serpentard n'avait pas son pair. Évidement, il se refuserait, même sous la torture, d'admettre qu'il s'agissait d'une lacune de compétences. Tout ceci pour dire qu'il avait décidé, cette nuit-là, de ne pas rester coucher dans son lit à ruminer. La température avait été particulièrement clémente, ce jour-là, lui donnant envie d'aller faire un tour à l'extérieur. Il n'était pas question de quitter l'enceinte de l'école, bien sûr. Même le dernier des abrutit savait qu'il n'aurait pas été prudent de le faire suite à de telles menaces. En effet, l'homme qui l'avait abordé lui avait promis de le tuer la prochaine fois qu'il le voyais et le jeune homme prendrait bien soin d'être prêt la prochaine fois qu'il se trouveraient face-à-face. La douleur que lui causait son ventre s'était grandement atténuée en trois jours.

Alors que le brun s'éclipsait du dortoire, il prit soin de ne pas faire de bruit et d'éviter d'être pris à une heure aussi tardive. Évidement, n'étant pas préfet, ni capitaine - satannée McFendders - il n'avait pas le droit d'être hors de son dortoir après le couvre-feu. Malgré tout, il avait la ferme intention de se rendre au lac. Arrivé dans le hall, il s'assura que sa cape et son foulard étaient bien en place. Il n'était pas temps d'attrapper quelque chose, la veille du bal de Noël. Alors qu'il finissait de resserrer son écharpe, des bruits de pas retentirent dans l'escalier. Le premier reflexe de Peter fut de sortir sa baguette. Après un seconnde de réflexion, il se dit qu'il vallait mieux sortir tout de suite que de se faire attrapper aussi tard dans les couloirs, baguette à la main. Un fois la grande porte refermée derrière lui, il courra vers le lac pour être sûr de distancer la personne qui se trouvait dans le hall. Advenant le cas que celle-ci décide d'aller à l'extérieur, il valait mieux être hors de portée de vue.

Une fois sur les berges, il s'arrêta pour reprendre son souffle. Haletant, il scrutta la rive pour s'assurer qu'il était bel et bien seul. Au loin, les lumières du hall se projetaient à nouveau dans le parc: une autre personne vennait de sortir. Cette fois-ci, cependant, le garçon ne paniqua pas et rangea sa baguette dans sa manche, s'éloignant lentement du château. C'est là qu'une silhouette, addossée à l'un des grands arbres qui bordaient la grande étendue d'eau, attira son attention. Manifestement, la personne en question ne l'avait pas remarqué, perdue dans ses pensées. Il s'approcha, à pas de loup, ne voulant pas la faire sursauter. Il fut très supris de se rendre compte qu'il s'agissait de son ancien capitaine de Quidditch, Kamiraz. Il avait l'air accablé, détruit. Peter s'approcha de l'homme qu'il avait toujours considéré avec ce qui pourrait s'approcher de l'amitier.

-Pev? Qu,est-ce que tu fais là, si tard?

Mauvaise question. Il était certain qu'en tant que nouveau professeur, le professionnel allait lui renvoyer la question. De plus, le brun était loin de se douter que la personne qui était sortie du château après lui était Joy et c'est pourquoi il sursauta en la voyant arriver près d'eux.

Invité

Ses yeux petillaient , il releva la tête , il ne pouvait plus pleurer , il ne pouvait plus retouner dans ce cercle vicieux ,

Encore une fois il se dit , je peux le faire .
Il pensa qu'il avait toutes les cartes en main pour pouvoir avoir une "bonne" vie .
Mais on ne peut jamais oublié le passé , jamais
Une voix maculine bien connu de ses oreilles lui demande ce qu il faisait là.
Il ne pouvait pas remettre sa carapace habituelle qui lui donnait son côté ancien Serpentard.

Hmm , je pense et toi ?

Soudain une silhouette masculine , elle s'assit à côté de lui .
Il savait , il avait reconnu ce parfum , Joy !
Il ne voulait pas la voir mais là elle n'était pas offensive apperemment.
Il ne savait pas comment faire. Il ne dit rien à Joy attendant .

Il pensa à elle , il aurait voulu savoir son histoire qui devai etre à la hauteur de la sienne , ca aurait été le bon moment mais devant Peter ,"une occasion ratée " pensa t il .
Mais cette pensée ne venait que troubler toutes les autres , morbides pour la plupart.

Invité

Jade voulait allé au lac ce jour-ci, cela fesait très longtemps qu'elle n'y avait plus remis les pieds, elle alla vers le lac, il neigait pas mal encore, il fesait pas tellement froid, mais la neige tombait, quand elle arriva au parc elle vit 3 personnes ils devaient être plus grands qu'elle elle ne voulait pas s'approcher d'eux, elle voulait rester au calme pour une fois sans embêter les autres, puis elle remarqua Joy, Peter & KamiraZ que des Serpentard et ex-Serpentard pour KamiraZ qui était professeur de vol à présent, elle s'approcha de ceux-ci puis elle les salua

~ Bonjour tous le monde

Puis elle se permis de s'asseoir aux côtés de Joy, leur disscution devait être intéréssent, il n'y avait que les Serpentard pour avoir un bon sujet de disscution, Jade était peut-être jeune pour rester avec ces Serpenards trop grand pour elle, mais elle les conaissait, et de plus eux aussi comme tout le reste du château car elle est dans les Salazard

Invité

Il sourit , une larme tombait de sa joue . Il regarda le ciel , il voyait des Serpentards tous plus reveurs et si jeune mentalement .
Il les enviait .
Il regarda le ciel et murmurra tout bas

-I 'd a take fall , take a shot for you . It's too late to apologize . Mum and Dad .

Il ne pouvait laissé tomber , non il ne changerait pas le monde , non il ne serait pas le heros qu'il aurait toujours voulu etre , mais c'était son devoir de majeurs , il devait preserver les jeunes , faire continuer leur rêve . Il ne pouvait etre egoiste et ne pensait qu'a son cas .
Ils devaient rever et il les aidera .
Il passa sa main sur ses yeux . la neige perlait sur son bonnet .
Petit à Petit sa carapace se remettait en place . Il était deja pret a reconquerir leur monde .
Mais demain serait l 'anniversaire de naissance de sa mere adoptive. Il ne pouvait l'oublier , pourquoi il n'avait pas empeche son pere . Il aurait pu .

Les hommes veulent tous refaire l'histoire , il ne derobait pas à la regle .

Il Ne savait que faire , il attendait que les autres mettent la discussion en place .
Il avait là un "ami" peut un des rares , une jeune serpy et une fille qui devait en avoir autant sur le coeur .
Il entendit les Serpentards qui commencaient a se parler .

Invité

[Juste comme ça Jade... On est en pleine nuit...]

Peter avait bien vu le changement de comportement de Kamiraz et ce dit que c'était parce que foule se formait. Il ne fit rien de spécial pour changer tout ça. Il se contenta de s'asseoir devant devant son ami le lançant des regards interrogateurs, lourds de sens. Il avait bien vu que quelque chose le tracassait mais, il voyait aussi qu'il n'avait pas envie d'en parler devant autant de gens. Il regarda Joy, se demandant qu'est-ce qu'elle faisait hors de l'infirmerie à cette heure. Lorsque Jade arriva, Peter ne put s'enpêcher de rouler les yeux, d'agacement. Il n'avait rien contre la Serpentard mais, l'invasion d'autant de personne lui tapait sur le système.

-Salut, Molla... McFendders...

Il leur adressa successivement un respectueux signe de tête en guise de salutation. Une question lui trotait cependant dans la tête:

-Comment ce fait-il qu'on ait tous eût besoin de sortir de château aussi tard?

Il avait simplement poser la question à voix haute, n'attendant pas vraiment de réponse. Son regard se posa à nouveau sur le professeur, pour lequel il avait une sympathie hors du commun. Il semblait tenter de percer cette carapace qui venait de se refermer devant lui. La lune perça les nuages, faisant briller le lac et éclairant le pied de l'arbre où ils se trouvaient tous pendant un instant et le jeune homme fut grandement surpris par ce qu'il vit: une larme. Les reflets de l'astre de la nuit sur la surface humide des joues de son ancien capitaine semblait être un tabou, quelque chose d'impossible. Visiblement quelque chose n'allait pas mais, comment lui demander de quoi il s'agissait avec autant de témoins?

Invité

Jade vit le professeur Pervelle on dirait qu'il pleurait ?? C'était assez bizazrd non ?? Pourquoi était t'il, peut-être, en train pleurer bref, elle repporta maintenent son intention vers Peter qui était toujours aussi de mauvais poil quand elle l'eut connut cela fais 2 ans maintnent, il a toujour été de mauvaise humeure, ce soir là il ne voulait pas tellement que Jade et Joy soient là d'après son regard, puis il demande se que nous fesion ici en plaine nuit, bonne question . . . Joy ne parlait toujours pas puis Jade dit

~ La nuit c'est moin << envahie >> donc plus calme . . .

Invité

[Désolée du retard ><"]

Au final, beaucoup de personnes se trouvaient sur les berges du lac en cette heure. Qui aurait pu croire cela. Notamment que toutes ses personnes réunis se trouvent être des Serpentards. Rien n’aurait fait plus plaisir à Joy que de savoir qu’elle était indésirable en ses lieux. En surface. Mais voilà, elle ne s’attarda pas sur les regards tout comme elle ne lisait guère dans les pensées. En aucune sorte. Elle avait reconnu Peverell et Mirtoldan et la voix de Molla la trahissait. Qu’avait-elle besoin de savoir en plus ? Que la nuit était clémente et n’admettrait pas les pleurs des nuages ? C’était tout ce dont elle avait besoin de savoir. Qu’elle ne dormirait certes pas à l’infirmerie cette nuit mais bel et bien dans son dortoir ? Qu’importe le reste. Néanmoins, elle avait eu un micro-sourire lorsqu’elle remarqua que Mirtoldan avait sursauté. La réplique était tentante et pourtant, Joy se tût. A marquer dans les annales dites-donc. Au final, une présence finit de l’entourer. Molla s’était assise sur les berges. Un sourcil relevé face aux mots de Molla. Hum, elle devait avoir passée une journée éprouvante pour voir des rayons de soleil dans le coin au lieu de ceux de la lune.

Joy devait surement être la seule personne du groupe à ne rien avoir remarqué sur Peverell. Et pour cause, n’étant guère habituée à être entourée ainsi mais aussi dans un élan inconnu, elle s’était allongée sur le sol, les yeux rivées sur les étoiles. Beaucoup voient en elles une lueur d’espoir ou alors tout simplement quelque chose auquel se retenir. Joy n’avait jamais compris. Pourquoi se raccrocher à quelque chose de si lointain et éphémère ? Et surtout pourquoi se raccrocher à quelque chose qui n’est pas sien ? Mais si Joy n’avait rien remarqué, c’était bien également à cause du fait qu’elle ne connaissait strictement rien aux relations humaines. L’être humain oui… mais en communauté, non. Finalement, se fut la voix de Mirtoldan qui rompit le silence. Une question que tous devaient se poser dans un recoin de leurs esprits. Se fut Molla qui lui répondit. Moins envahie. Cette petite partie fit sourire la Serpentarde qui finit par fermer les yeux. Un rictus de sourire dessina ses lèvres.

|Joy| « Il suffit de trouver les bons coins de jours… Les élèves ne sont pas courageux quand on descend dans la négation. »

Remarque typique joyienne. Cependant, elle semblait… moins piquante qu’à l’ordinaire. Peut-être était-ce dû au fait qu’aucun danger ne semblait émaner de l’endroit et des personnes. Après tout, Joy ne se serait surement pas allongée et n’aurait pas fermé les yeux si elle ressentait un quelconque danger pour elle. Et Merlin sait combien elle peut être sur la défensive mise à part quand elle dort. Normal en y pensant. Mais qui l’attaquerait ici ? En y réfléchissant, la seule personne qui aurait pu l’attaquer aurait été Mirtoldan. Or, il était de l’autre côté et elle aurait sans doute le temps de l’entendre avant qu’il ne pense à l’étrangler (xD).
Reprenant son mutisme habituel, on aurait pu croire que Joy s’était endormie. On aurait pu. Sa cape avait beau ne pas encore prendre l’eau, l’humidité et la fraicheur se faisaient tout de même ressentir. Mais cela calmait son dos, c’était plutôt un bon point. Au-dessus de sa tête, le vent semblait souffler dans les branches dénudés de feuilles et non pas de neige. Il ne manquerait plus que celui-ci ne fasse tomber tout ceci sur les quatre protagonistes. Finalement, toujours les yeux fermés, Joy reprit la parole. Malgré tout, il fallait bien répondre à Mirtoldan. Ne serait-ce que par politesse… depuis le temps qu’elle le bassinait avec.

|Joy| « L’immensité d’un ciel observé en solitaire… enfin… »

En effet, plutôt façon de parler. Car la solitude n’était pas tellement au rendez-vous. Certes, elle accompagnait toujours une personne même si elle était accompagnée par toute une horde d’amis ou une bande, mais là… trois personnes l’encadraient. Ce n’était pas non plus une observation en solitaire pure. Quelle galanterie d'avoir laissé les femmes répondre d'abord. Mais une question se pose à un groupe et à tous ses habitants... bien que la réponse était plutôt évidente. Très évidente. Trop évidente.

Invité

IL pensait , il pensait beaucoup trop :

" Choisir la vie, choisir un boulot, choisir une carrière, choisir une famille, choisir une putain de télé à la con, choisir des machines à laver, des bagnoles, des platines laser, des ouvre-boîtes électroniques, choisir la santé, un faible taux de cholestérol et une bonne mutuelle, choisir les prêts à taux fixe, choisir son petit pavillon, choisir ses amis, choisir son survet' et le sac qui va avec, choisir son canapé avec les deux fauteuils, le tout à crédit avec un chouette tissu de merde, choisir de bricoler le dimanche matin en s'interrogeant sur le sens de sa vie, choisir de s'affaler sur ce putain de canapé, et se lobotomiser aux jeux télé en se bourrant de MacDo, choisir de pourrir à l'hospice et de finir en se pissant dessus dans la misère en réalisant qu'on fait honte aux enfants niqués de la tête qu'on a pondu pour qu'ils prennent le relais, choisir son avenir, choisir la vie. "

Alors c'était ca l 'humanité , une majorité qui cherche à avoir une vie extrodinaire , et une minorité qui a une vie extrodinaire et qui cherche à en avoir une basique.
Alors tout ce resumait à ca .

Il commencait même à se questionner sur l 'existence d' un Dieu , même si il restait sur son avis :

Dieu quelle belle connerie !

Pourquoi l 'homme avait il toujours besoin de rejeter la faute sur quelqu'un de plus puissant que lui .

Quand cet enfant perdu dans une vie d 'adulte , avait tué son père , il avait dit que c'était de sa faute .

Quand l'humanité , c'était detruite dans les guerres , certains avaient dit que Dieu l 'avait voulu .

Cela fit decrocher un sourire au jeune homme . Il se demandait , comment reprendre sa vie en main .

Etait il possible de faire pousser un bel arbre , tout en sachant qu 'il a les racines pourries .?

Beacoup trop de questions , Beaucoup trop...

La réalité , c'est que jamais personne ne pardonnerai personne . Jamais il n'effacera la mort , jamais il sera le héros que cet enfant aux joues innocentes revait.

La réalité était alors beaucoup plus dur a accepter que les questions philosophiques.

En réalité , le jeune homme avait peur , peur de l'avenir . Peur de sa propre vie .

Il avait l 'impression de chuter de plusieurs metres , à la recherche d 'une branche à laquelle s 'accrocher .

Sa mere si elle le voyait , elle aurait honte , elle qui lui avait toujours dit , qu'il fallait avancer.

Le jeune homme laissa tomber sa tete en arriere , ne pensant même plus à son entourage .

Invité

Peter avait posé une question mais ne s'attendait pas vraiment à des réponses. C'est pourquoi il ne porta pas vraiment attention aux répliques. Son regard gris, profond et perçant était fixé sur son ami qui semblait préoccuppé par quelque chose dont il ignorait la nature. En y repensant, les quatre ans qu'ils avaient passés ensemble ne les avaient pas tant rapprocher. Ils ignoraient encore et toujours les origines, les fautes, les erreurs, les circonstance, même le caractères profond de l'autre. le Serpentard avait beau creuser sa mémoire, les seuls souvenir qui lui revenaitent étaient que les parents de son ancien capitaine avait été tous deux tués. Comment? Il l'ignorait. Voulait-il vraiment le savoir? Pour aider une des seules personnes qu'il considérait comme un ami, oui. Il s'accroupit devant le professeur affichant un air curieux. Aucune des personne présente ne l'avait vu arborer un tel air. En fait, en y repensant, Joy l'avait déjà apperçu, lors de l'attaque de l'OSM. La véritable nature de Peter ne s'affichait ouvertement que très rarement.

Ce jour-là faisait partie de ces instants éphémères. L'ironie: le jeune brun était en présence de trois des six seules personnes auprès desquelles il avait toujours voulu parraître fort, fier et impitoyable. La tête du joueur de Quidditch se laissa choir, arrachant un soupir au Poursuiveur. Il regarda autour de lui remarquant à nouveau que les deux hommes étaient en présence des deux filles. La menton du jeune homme retomba sur sa poitrine alors qu'il cherchait un moyen d'être seul à seul avec son plus vieil ami. D'un coup, il se releva et fit un pas vers l'avant. D'une poigne forte et réconfortante, il empoigna Kamiraz et l'incita à se relever. Il fit signe à Joy ne pas le suivre et de faire en sorte que l'autre en fasse de même. Sans même dire un mot, il arrivait à faire passer le message. Pourquoi parler? La Serpentard n'était pas stupide, elle avait surement remarqué que quelque chose de grave se tramait dans la tête de Peverell. Dès le message passé, tenant toujours son ami, il tenta de l'extraire de cette minuscule foule pour enfin pouvoir savoir le fin mot de l'histoire. De la curiosité? Non. Il s'agissait plutôt de noblesse d'âme et de soucis du bien être d'autrui que de curiosité.