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un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) |
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Lawena Miller
Nombre de messages : 106
Age : 33
Maison : ex verte et argent
Emploi : prof d astronomie
Humeur : déstructrice
Feuille de personnage Côté coeur: elle a aimé, elle a été trahit...elle cherche la vengence et ne la trouvera que dans le sang Camp: Aucuns des deux Niveau magique: (89/100)
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Sujet: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Jeu 12 Mar - 2:21 |
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La nuit de Noel touche à sa fin. La musique s’estompe, les bruits des conversations commencent à diminuer et les derniers danseurs quittent la piste en échangeant des regards lourds de regret. Le regret que la soirée se finisse, le regret de se dire que bientôt une nouvelle année sera là, le regret de ne pas avoir sut dire a l’autre tout se que l’on voulait ou encore le regret pour tout ses baisers volés que l’on n’a pas sut garder comme éternels. De ma table, je les regarde tous. Chacun assis à une table contemple ses cadeaux et parfois, on entend un rire plus aigu qu’un autre. Les premiers bâillements en attirent des autres, le plafond magique nous baigne d’une lumière étoilé, et le sapin là bas qui trône comme un roi sur sa coure a été dépouillé de tout ces présents.
Les tables sont encore garnis de quelques restes de nourriture, mais a cette heure ci, il ne reste plus de place que pour quelques verres, et encore. Personnellement, je n’ai plus faim ni soif. La soirée tire à sa fin, et je vois les premiers élèves se lever et nous saluer d’un sourire timide. Mes quelques cadeaux sont devant moi, je n’ai encore rien ouvert. Contrairement aux autres, je n’ai pas cette euphorie qui nous fait nous jeter sur les papiers en les faisant voler dans tout les sens. Moi, j’aime prendre mon temps, et puis j’aime mieux être seule pour les ouvrir. Mon regard va de table en table. Je m’arrête un moment sur celle des verts et argent. Il règne là bas un calme plutôt pas banal. En faite, depuis que j’y ai fait assoir Allen, je crois que j’ai jeté sur cette table comme un froid glacial. Je m’étais attendu à devoir intervenir, a devoir me mettre entre lui et certain vert. Mais personne n’avait bronché. Quelque part, au lieu de me rassurer ce silence m’inquiétait. J’étais plus que certaine qu’ils n’attendaient tous que le moment ou ils seraient face a Allen, sans plus personne pour les avoir a l’œil pour le faire morfler. J’avais conscience de ça, et pourtant, je n’arrivais pas à me résoudre à en revenir à des punitions plus conventionnelles. Je voulais qu’il ouvre les yeux, qu’il comprenne. Mon plan avait des failles, je le savais. Soit Allen ressortirait de là avec une autre vision des verts, pas forcement meilleure mais au moins plus juste, soit il en ressortirait encore plus enfoncé dans sa haine, ou bien…il n’en ressortirait pas. C’était un risque, mais qui en ce bas monde ne fait jamais de plan sur la comète ? Je ne faisais pas exception à la règle.
Je fixai ensuite mon regard sur Winster. Elle était assise, la tête appuyée contre Andrews. Elle avait l’aire fatiguée. De son coté, les choses n’étaient pas forcement meilleur que pour Allen. A son nom serait a jamais collé la lourde responsabilité d’avoir commis le crime ultime : faire entré un né moldu dans l’entre des serpents. Je n’arrivais pas à savoir se qu’elle pensait, je crois qu’au fond elle ne voulait plus penser.
Et puis, il y avait les Salazards, alors eux, ils affichaient un air froid derrière des regards noirs qui voulait en dire très long. Pour le moment, personne ne savait se qu’il se passait. Ils avaient simplement devant eux un Allen vêtu comme un vert et argent, mais personne ne pouvait imaginer que cette tenue voulait en dire bien plus long.
J’aurais put m’en vouloir, me dire qu’après tout on était Noel et que personne ne mérite de recevoir de châtiments un tel jour. Mais pas de chance pour Allen, ni pour les serpentards, j’avais depuis longtemps arrêté de croire en la magie de Noel. Fêtes ou pas, la sentence serait tenue.
La grande horloge sonna, et la musique s’arrêta. C’était l’heure de vérité. Tous les élèves commençaient à bouger mollement. Je me levai à mon tour et me dirigeai vers la table des verts.
-Les sixièmes années de serpentard s’il vous plait, oui vous aussi Monsieur Allen crus je bon d’ajouter histoire d’enfoncer le clou, j’aimerais que vous restiez assis, quant au autre j’aimerais que vous attendiez vos camarades dans la salle commune, j’ai une annonce à faire.
Mon regard coula sur Allen et Winster. Les élèves levèrent vers moi des regards curieux, mais aucun ne laissa entendre le moindre mot. J’entendais de vague chuchotement accompagné de regard appuyé sur Allen, mais aucun ne brisa le silence. Je connaissais les serpentards, face à une telle situation, ils feraient tous front. La solidarité des verts pourraient en étonné plus d’un, et je savais aussi que même si tous étaient curieux aucun ne se permettrait de poser une question alors que Jedusor lui-même restait froid.
Ils partirent tous, et ne resta plus autour de moi que les sixièmes années ainsi que Monsieur Malefoy et mademoiselle Lone. Je ne dis mot sur leur présence, ne m’en offusqua même pas. Ces deux là étaient si étroitement liés a Jedusor qu’il était improbable de réussir à les tenir écarter de lui. Ils avaient tous leurs regard rivés sur moi, sauf Winster qui ne savait que trop bien se que j’allais annoncer. J’éclaircie ma voix et laissa tomber dans ce silence pesant
-Bien, puisque vous êtes tous là, j’ai une annonce à faire. Pour des raisons sur lesquelles je ne vais pas m’étendre monsieur Allen et miss Winster se sont vu attribuer une punition.
Quelques murmures circulèrent dans les rangs. Je vis Winster me fixer avec un air de défit, tandis que tous se tournaient vers eux. Les Salazard eux, fidèle a eux même restèrent impassible, indéchiffrable. Je continuai donc
-Et pour effectuer cette punition j’ai décidé de procéder à quelques modifications. Aussi, durant une semaine, vous aurez le plaisir d’accueillir dans vos rangs monsieur Allen. A compté de ce soir, au même titre que chacun de vous, il sera considéré comme un serpentard. Miss Winster quant a elle, devra veiller a se que tout se passe bien.
Cette fois, les murmures s’amplifièrent, et j’entendis quelque « sang de bourbe » « impossible » « Salazard ne s’en remettra jamais » « c’est pire qu’une trahison » « elle est folle » « Winster est morte » « Allen, tu vas souffrir », mais il était difficile de dire qui disait quoi et dans quel ordre. Je les laissai se remettre de cette nouvelle, puis je repris en demandant avant le silence
-Et maintenant, nous allons tous rejoindre vos camarades en salle commune. Et je ne veux RIEN entendre ! Pas un mot, pas un chuchotement, pas un grincement de dents ni même voir la moindre grimace ! Me suis-je bien fait comprendre ? Retenez bien que si jamais j’entends le moindre bruit, je retirerai 50 points par mots entendu !
Je les gratifiai tous d’un regard noir. Tous fixaient Jedusor, je n’en étais pas surprise. Si lui jouait le jeu, ils le feraient tous. Dans le cas contraire serpentard aurait bien des problèmes avec leur sablier. Je fis signe aux élèves de me suivre et ajoutai
-Vous aussi monsieur Allen.
Mon petit groupe fit route vers la salle commune. Aucun ne bruit, si ce n’est celui de leur pas dans le silence des cachots. Les regards en disaient lourd sur les pensées.
Arrivé devant la salle commune, un élève prononça le mot de passe et le tableau pivota. Personne n’accorda le moindre regard à Winster et Allen. Ils entrèrent tous, et se ne fut qu’une fois dedans que les voix laissèrent échapper tout ce que les regards contenaient. Les plus vieux mettaient les plus jeunes au courant, bientôt sans même que j’aie à dire quoi que se soit tout serpentard serait au courant.
Je restai devant le tableau ouvert, Winster et Allen n’étaient pas encore entré. Ils semblaient comme figés devant l’entrée. Winster sans doute pour ne pas avoir à entendre les reproches et Allen pour afficher son dégout de devoir entrer. Je les regardai un instant
-Et bien, il manque deux serpentards dans cette salle commune, je crois qu’on attend plus que vous.
A compté de maintenant, Allen allait devoir ce faire à être vue comme une serpy. Il allait connaitre ce que cela faisait de n’être vue que par un blason, il allait en voir de belle. Je posai une main sur son épaule
-ça ne sera pas si terrible que cela en a l’aire. Vos affaires ont déjà été transférai dans votre nouveau dortoir, quant a vos cours vous suivrez l’emploie du temps des serpentards, mais bien sur pour vos options, attendu que vous n’avez pas les mêmes que Miss Winster, tout a été aménagé pour que vous puissiez suivre les vôtres sans contraintes. Vos points gagnés, tout comme ceux perdu iront aux gryffondor.
Cela m’avait paru évident qu’il ne fallait pas donner a Allen l’occasion de se venger des verts en faisant baisser leur points volontairement. Je continuai
-Pour votre dortoir, je vous laisse gérer la chose. Il reste une place dans celui des sixièmes années avec monsieur Jedusor, mais vous pouvez aussi en choisir un ailleurs. C’est la seule concession que je vous ferez.
Aucun des deux ne bougeait. Je soupirai, j’avais presque l’impression de jeter un mouton au milieu d’une meute de loup. Pourtant, je savais que cela était nécessaire. Pour juger, il faut connaitre et pour connaitre il faut le vivre.
-Miss Winster, et si vous nous ouvriez la marche ?
Mon regard glissa sur elle, elle était autant décidé a entré qu’a sauter d’une tour sans balai. Mon regard se posa sur Jedusor qui semblait trouvez à la fois tout ceci répugnant et marrant. Son visage était animé de cette expression de profond dégout tandis que ses yeux brillaient de méfiance. Je me penchai vers Allen
-Je ne saurais vous suggérez que de fermer votre esprit, il ne fait pas bon en ces lieux de laisser sa porte grande ouverte.
Tout en disant cela, je fixai le regard de Jedusor que je soutins suffisamment longtemps pour qu’il finisse par détourner les yeux. Ni Allen, ni Winster n’avaient encore bougé. A bout de patience je fini par leur dire
-Il est encore temps de faire marche arrière et de choisir la sortie…Mais monsieur Allen, ne trouvez vous pas déplaisant que là dedans ils soient tous en train de se dire que jamais vous n’oserez entrer ?
Je titillais la seule chose que j’étais certaine de toucher, le courage et la fierté d’un gryffondor.
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Sam 14 Mar - 17:45 |
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William ne croyait déjà pas beaucoup en la magie de Noël, et désormais il allait haïr ce jour, haïr Miller, haïr Serpentard comme il haïssait Elisabeth. Il n'avait jamais eut rien contre Poudlard, mais cette fois, il l'avait en horreur, l'école, ses profs, ses élèves, ses portraits qui gueulaient à chaque fois qu’il se baladait la nuit et ses escaliers.
La soirée dans le Hall prenait de lourds aspects de fin de fête. Tout le monde commençait à se lasser, les assiettes étaient vides et les ventres pleins. William n'avait pas mangé à la table des Serpentards, il se contentait des maigres portions qu'il avait prit à Sa table. Sa punition, lui laissait un goût trop amer.
Il était resté silencieux, le plus longtemps qu'il n'eut jamais réussit. Personne, ne semblait de tout façon vouloir lui adresser la parole, lui non plus ne la souhaitait pas et quand bien même il l'ouvrait, pour dire quoi ? Se faire fusiller du regard ?
Il avait évité la table des Gryffondors à l'extrémité de la Grande Salle. Il ne voulait plus rien savoir, juste s'endormir pour ne plus rien vivre ni sentir, voir, entendre. Si il avait jamais possédé un retourneur de temps, il s'en serait servit quitte à essayer et à perdre... il aurait essayé...
ça y est. L'Horloge sonna. Voilà que Miller arrive vers leur table. Contrairement aux autres, William sait déjà ce qu'il va se passer. Avoir une minute d'avance sur eux, il devrait toujours en avoir une avec tout le monde, ça lui éviterait de nombreux dégâts...
Lui aussi ? Non, il n'était absolument pas concerné, il dut pourtant se rassoire, jetant un regard noir à l'ex-verte. Injustice. Ce fut la seule chose à laquelle il pensa. Des raisons sur lesquelles elle ne va pas s'étendre ? C'était la meilleure ! Dit plutôt que des raisons, il n'y en a aucunes !! Attribuer une punition ? Non, c'était pire qu'une punition ça, c'était un cauchemar !
- Mais... hem... je peux pas copier des lignes, plutôt ? Des milliards de fois, la même phrase débile, n’importe quoi ou une retenue avec devoir d’astronomie, non ?
Non. Bine sûr que la réponse sera négative. Juste en dernier essai. Le plaisir ? Pourquoi cherchait-elle à l’enfoncer comme ça ? William, en vengeance, se balançait sur sa chaise, complètement arrogant. Il savait très bien que son professeur avait horreur de ça, et c’était tant mieux. Maintenant voilà qu’elle demande le silence. Maligne elle ! Après avoir dit une chose pareille ? Aussi injuste ! Elle croit utile de lui rappeler que lui également doit se taire. Comme s’il avait quelqu’un avec qui échanger... non, pas du tout.
Ils sortirent enfin de la pièce, rejoindre les cachots. San s’en donner l’air, William essaye de retenir les chemins à prendre. Traînant des pieds, les mains dans les poches, au bout de la file. Une fois devant le tableau, William s’arrêta. Il ne pouvait pas entrer par lui-même, impossible, il ne se laisserait pas faire. Il manquait deux Serpentards ? Elle croyait ? William hocha non de la tête. Il n’en manquait qu’une. Une seule c’est tout.
- Non, non, pas du tout !! Qu’est-ce qu’y vas se passer si j’entre ? Vous avez encore planqué un Basilic entre les murs, c’est ça ? Pour moi ? Mais alors vous êtes très gentils !! Vous en faites, même trop
Ah, quel dommage. Il n’était pas compté dans le sablier des verts, donc il n’était pas vert, tant mieux ! D’un côté oui, tant mieux, il ne ferait pas gagner de points, aucuns points. La pire des sentences aurait été de donner des points aux verts et en perdre aux rouges. Il ne dit cependant rien, ne voulant pas donner à Miller l’occasion d’être inspiré. D’ailleur il ne l’écoutais absolument pas, il se fichait bien de tout ce qu’elle pouvait dire, elle n’existait déjà plus pour lui. Il sentait sa conscience brûler d’envie d’entrer, mais en même temps se méfier des autres, rejoignant sa défense à celle de William. Il fallait le dire, l’avouer, William n’avait jamais été aussi inquiet pour lui. Il manqua de sursauter lorsque Miller se pencha vers lui, de surprise.
- Pardon ?! C’est à moi que vous parlez ?! Alors que vous m’avez laissé mourir ?!! Enfin... je m’en suis sortit entier, et tout seul... mais là je préférais mourir que entrer !!!
Elisabeth n’avait pas intérêt à dire qu’elle l’avait aidé. Non, pas ici, pas maintenant, devant tout le monde. Faire marche arrière ? Jamais ! Il n’entrerait pas, simplement, ou il n’y irait que lorsque la pièce serait vide. Il tendit un bras, comme s’il passait sous un laser douloureux. A présent, une main était dans la salle commune, et c’était déjà trop.
- Vous êtes contente ? Aïe... Merlin... ce que ça mal ! Je ferais mieux de ne pas entrer...
Son ton était ironique. Il ne se laisserait pas faire, simplement. Même en étant un aussi mauvaise acteur.
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Emploi : Elisa de jour...Bella de nuit
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Feuille de personnage Côté coeur: Il est mon âme, ma vie, mon tout...Scorp' Camp: Les deux Niveau magique: (73/100)
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Dim 15 Mar - 5:12 |
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Les grandes tables se désertent une a une, les élèves en ont fini avec Noel. La fête appartient déjà au passé, et tous à présent songe à regagner les dortoirs. Il ne reste plus rien, ou presque du festin mis a part des assiettes sales et des verres a moitié vide. A la table des serpentards, il règne un étrange silence. Aucun des verts n’a été oublié, tous ont a présent devant eux un petit tas de cadeaux du plus étrange au plus originale. Et pourtant, malgré ça, des quatre tables alignées ils étaient ceux que l’on entendait le moins.
Il ne restait plus un seul danseur, chacun était assis à sa place, chuchotant avec son voisin et coulant des regards inquisiteurs vers deux élèves assis en bout de table. Winster et Allen. De tout Poudlard ces deux là devaient être les deux personnes à se haïr le plus. Pas même Jedusor ne devait avoir dans son carnet un nom pour lequel il éprouverait une haine quasi meurtrière, ils étaient uniques. Les voir ensemble ne pouvait pas ne pas surprendre et voir Allen porter un uniforme de serpentard donnait aux un des n’osés, au autres des envies meurtrières et au derniers, sans doute plus raisonnable, une envie de poser des questions. Mais pourtant, personne n’en posa.
Léonard assis non loin d’Elisa ne les quittait pas des yeux, se penchant parfois pour murmurer un mot à Elynn. Il y avait dans l’air de l’électricité presque palpable, et la jeune fille en vain à se demander pourquoi elle avait accepté cela. Son visage était neutre, elle n’exprimait aucun regrets ni aucune émotion. Elle se tenait droite sur sa chaise, défiant chacun d’eux d’osé venir l’interroger. La présence du rouge, devenu vert, ne l’importunait pas pour la simple bonne raison qu’elle avait prise partie de faire comme s’il n’existait pas. Oh, bien sur ignorer la personne pour qui on a le plus de haine, n’est pas chose aisé, même pour une serpentarde, mais elle s’en accommodait en discutant parfois un peu avec Lindsay qui avait eut la décence de ne poser aucune question. En faite, Lin avait plutôt eut pour son amie un regard de pitié.
Et puis d’un cou, la fête se termina. La grande horloge sonna et Elisa releva la tête. Miller s’avançait vers leur table. La verte ravala sa salive et se perdit dans la contemplation d’une tache sur la table.
Elle savait très bien se que Miller venait faire, elle n’avait aucune envie de réentendre les paroles fatidiques. Les serpentards se levèrent et quittèrent la salle, ne restant plus que les sixièmes années.
La prof expliqua en quelque mot la situation. Punition…raison sur lesquelles elle ne s’attarderait pas…la verte entendit le murmure des autres a ses oreilles et elle eut soudain l’envie de disparaitre sous la table. Là ou elle disait punition, Elisa lisait calvaire, là ou il n’y aurait pas de justification, elle ne voyait qu’injustice.
Chacun y allait de son murmure, chacun les regardait et Elisa impassible, comme imperméable à tout ce monde contemplait une assiette vide. Elle ne voulait surtout pas croiser le regard d’Allen. Elle ne voulu pas entendre sa répartie sur des lignes a copiés, pas plus qu’elle ne voulait répondre quoi que se soit. Elle entendait une chaise grincer a ses cotés et c’était déjà assez dur de résister a l’envie de le foutre par terre. Entre ses dents, elle siffla
-Allen, arrête de faire ça bordel ! Tu crois on a besoin d’attirer encore plus l’attention sur nous en te voyant te Peter la gueule ?
Oui, qu’il arrête bon sang, sinon là devant toute la tablée elle leur montrerait a tous combien elle le détestait. ! Enfin, ils furent invités à ce lever, en silence. Elisa senti le regard de Leonard sur elle et la verte le fixa à son tour. Il n’y eut pas un mot, pas un soupire pas un seul frémissement. La menace de Miller avait été efficace. Peut être par azard, peut être parce que ni l’un ni l’autre ne voulait que ce trajet a travers les cachots ne prennent fin, William et Elisabeth se retrouvèrent a la queue de la file. Sans se regarder ni se parler. Elisa observa que Will semblait prendre ses repères. Durant une semaine, il devrait chaque jour faire au minimum 2 allées retour dans ces couloirs sombres et obscures. Pour qui ne les connaissait pas, tout prenait allure de labyrinthe.
Et puis, le tableau fut là devant eux, libérant le passage. Chacun entra et on put entendre les murmures à l’intérieur. Elisa, qui était habituée arrivait presque a comprendre se qui se disait.
Léonard était installé, nonchalant contre la paroi du portrait les observant sans dire le moindre mot. Elle capta son regard et y resta figé quelques minutes avant de tourner la tête tandis que le vert avait sur les lèvres un sourire mauvais.
Miller faisait le constat de deux serpentard manquant. Elisa haussa les épaules tandis que Will bien sur ouvrait sa grande bouche.
-Un basilic rien que pour toi ? Tu ne crois pas que le blason est déjà en train de te monter à la tête Allen ? Nan, pas besoin de basilic y’aura déjà nous a l’intérieur, ça sera amplement suffisant pour faire de toi un cobaye pour nos potions.
Elle lui jeta un regard noir tandis que Léonard lui affichait un sourire qui ne présageait rien de bon. D’un cou, celui-ci lâcha
-ET bien et bien Winster, ce n’est pas là des manières de traiter un invité. Tu voies bien que tu lui fais peur, regarde il tremble tellement qu’on en redouterait qu’il s’avachisse au sol.
Il ricana, elle ne releva pas. Ils n’étaient même pas encore entrée que la guerre était déclarée.
Ce qui l’empêcha de répondre ? Ce ne fut pas Léonard en faites, mais ce fut William. Miller venait d’expliquer quelque chose qu’elle n’avait pas suivie. Elle s’en fichait attendu que pour dormir elle, elle aurait son propre dortoir. Salazard soit loué, Miller ne les avait pas mit dans la même chambre. Elle serra les points et Leonard ajouta à l’adresse de William
-oh tu t’en es sortie ? Vraiment, c’est dommage. Si t’étais mort tu aurais évité à serpentard d’avoir à te supporter, et tu aurais aussi évité de disparaitre tragiquement. Les cachots ne sont pas sur de nos jours.
Elisa commençait à avoir mal à la main et tourna son regard vers Léonard
-Ferme là Jedusor !
Le vert ricana, peut être avait il comprit avec un temps d’avance sur elle que le dortoir des 6 eme années était précisément celui de Léonard. Miller devait avoir des idées de meurtre pour faire ça.
Au même moment, elle fut invité a pénétré dans sa salle commune. Elle regarda la porte, elle vit sa maison, sa seconde famille…Elle trouva ridicule de ne pas osé entrer. Si elle voulait protéger Allen, faudrait déjà elle commence par s’affirmer. Justement Allen venait de faire une réflexion qui la sortie de ses gonds
-Pardon ? Tu t’en es sorti tout seul ? C’est bien se que tu as dit ? Tout seul ? Et bien Allen, puisque tu te sorts toujours des situations même des pires TOUT seul, pourquoi n’en ferais tu pas autant avec celle là ? Je te dois rien Allen, souviens toi en bien ! Celui qui a une dette, ici c’est toi ! Alors écoute moi bien, parce que je ne vais pas me répéter, tu vas bouger ton fessier de né moldu et entrer là dedans que tu en es envie ou pas ! Je n’en ai rien à foutre moi ! Moi, je veux juste rester à Poudlard, alors tu vas entrée dans cette salle Co, de gré ou de force !
Elle lui jeta un regard noir. Au même moment il crut drôle de tendre sa main vers l’entrée et de l’en ressortir comme si il fut brulé. Pathétique, gamin. Elle perdit patience et attrapa le nouveau vert par le col de son pull et lui planta sa baguette dans le dos
-bienvenue dans le monde des serpentards Allen, et maintenant avance ou je te pétrifie et te fait léviter là dedans ! Madame Miller m’a demander de veiller sur toi, elle n’a pas précisé si je devais le faire sur un toi vivant et actif ou sur un toi reconverti en porte manteau.
Elle pressa sa baguette pour qu’il la sante bien
-Et oui, je suis une serpy j’attaque dans le dos, tu te souviens ? Bien, alors à présent avance ! Je n’ai pas dans l’intention de coucher dans le couloir moi !
Léonard s’amusait de la situation et choisi ce moment pour lancer
-oh non, Elisabeth le laisse pas dormir dans le couloir d’autant que je lui ai réservé une place d’honneur.
Il souriait, très mauvais. Elisa dégluti avec force et dans le dos murmura à Allen
- Avances, tu ne vois pas qu’il pense que tu crèves de trouille ? Allen si on en est là je te rappel que c’est pour te sauvegarder ta place a Poudlard, mais si finalement marchant de glace sa te tente plus, pas de soucies. Je comprends tu sais, que tu puisses être terriblement faible au fond.
Pour faire avancer Allen, quoi de mieux qu’une baguette dans le dos, un col de pull dans une main et bien sur, le sarcasme blessant.
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Lawena Miller
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Dim 15 Mar - 19:15 |
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J’étais là, mais au final je n’étais déjà plus que spectatrice de tout se qui se jouait devant moi en cet instant. Ni Allen, ni Winster ne semblaient heureux de leur conditions, et aucun des deux ne semblaient avoir dans l’intention d’ouvrir la bouche.
Pendant ma courte intervention a la table des serpentards, j’avais put observer que d’une, Winster ne me prête aucune attention et semble trouver que l’assiette qu’elle admire est particulièrement magnifique et de deux, qu’Allen se balance encore sur sa chaise, tout a sachant que je déteste cela.
C’est à croire que ce rouge…ha non Vert…fait tout pour me provoquer, et ensuite il se plaint que je lui inflige mille torture plus sadique les une que les autres. Mais pour cette fois, je passerai outre, ayant d’autre serpent à fouetter.
La majorité des serpentard ont bien compris que Noel ou pas, je ne suis pas d’humeur festive. Allen, lui visiblement ne doit pas avoir encore compris cela vue qu’il revient encore sur les termes de ma punition. Des lignes à écrire, un devoir d’astronomie et pourquoi pas tant qu’il y est un bouquet de fleur et une boite de chocogrenouille ? Non, Allen visiblement ne comprend pas, ou plutôt fait semblant de ne pas comprendre. Mais, je vais l’y aider. Mon regard se pose sur lui, masque de froideur et sourire amusé. J’ai gardé de mon ancienne maison tout les tics agaçant et j’en use sans aucun remord. Un court instant je reste là, mon regard juste rivé dans le sien. Je ne cherche pas à lire en lui, me contentant simplement de laisser ma magie effleurer cette partie de lui que je sais là, tapie dans l’ombre. Une sorte de rictus amusé se fige sur mes lèvres au moment ou je me décide à répondre
-Oh non monsieur Allen, ces formes de punitions sont inefficaces sur vous. Avec les personnes tels que vous, il faut utiliser les méthodes radicales. Voyez vous, c’est comme dans un jardin de fleur, il y pousse toujours des mauvaises herbes. Si vous, ne faite qu’arracher l’herbe sans éradiquer la racine, elle repoussera. C’est la même chose pour vous, si l’on se contente d’endormir se coté arrogant et fouteur de trouble qui vous habite, il reviendra. Par contre si l’on traite le mal par le mal, il y a une chance pour qu’enfin vous cessiez de vous prendre pour un roi.
Ma réplique est implacable, et je tourne la tête au moment ou Jedusor effectue un sourire. Apparemment le Salazard est on ne peut plus d’accord avec moi, bien qu’il aurait surement préféré que j’évite de faire entrer Allen sur son territoire.
Allen est encore cet adolescent qui n’a pas encore tout bien saisie. Il n’a pas encore réalisé qu’au final il est moins bien que ce qu’on a put lui laisser croire et que de ce fait, la vie n’est peut être pas aussi formidable que ce qu’il avait imaginé. Je suis justement là pour lui ouvrir les yeux. Je me fou des injustices, je me moque des règlements, et surtout je me rie des normes. Avec moi, il n’y a qu’une seule et unique règle et c’est celle que moi, je fixe. Il a encore le loisir de décider de se lever et de partir. Je ne retiens personne contre sa volonté, je distribue à chacun des cartes, ensuite il appartient à chacun d’apprendre comment il veut les jouer.
Les serpentards se lèvent à ma demande et nous voilà marchant dans les couloirs. Je respire cette odeur de renfermé, me rappel le nombre de soirée que j’ai put passer à me perdre dans tout ces couloirs. Ici, nous sommes sous terre, il y a toujours de l’humidité a vous glacé les os et les pales lumières produites par les torches ne rendent pas l’endroit plus accueillant. Et pourtant, oui pourtant, tout les serpy peuvent vous le dire, ils adorent ce lieux. Du coin de l’œil j’observe Allen et Winster. Ils marchent chacun en trainant les pieds comme s’il suffisait de cela pour retarder l’inéluctable.
Nous sommes enfin parvenus devant le tableau et tous sont entrés. Léonard est resté dans le mince couloir qui relit le portrait à la salle commune. Winster et Allen eux sont toujours dans le couloir.
J’observe, je ne dis mot. Allen, je m’y attendais fait de la résistance. Quelle pitié que ce garçon ! Il sait qu’il n’a pas d’autre alternative et pourtant il œuvre comme si les quelques minutes qu’il pourrait grappiller pourrait servir a quelque chose d’autre qu’a m’énerver. Je hausse les yeux lorsqu’il fait allusion à un basilic. Winster me devançant, lui balance une remarque bien aiguisé. Pour la première fois, Leonard entre dans la danse. Je n’aime ni son sourire ni son petit air de supériorité mais je dois bien l’avouer ce serpentard a quelque chose en lui qui me plait. Tout se qu’il dégage représente se qui me dégoute, mais sa façon de jouer avec l’ironie mérite le respect.
Je me tourne vers mes deux récalcitrants. Allen, refuse d’être nommé serpentard, mais il faudra bien qu’il s’y fasse.
-Il ne se passera rien si vous entrez ! Oh, si vous paraitrez surement moins stupide que là pour le moment mais a part cela, je doute fort que nous ustion trouver un basilic juste pour vous monsieur Allen. Ne vous donnez donc pas plus d’importance que ce que vous en avez, l’humilité est une qualité qui semble vous faire défaut !
Miss Winster, je suis aisée de voir que vous mettez un point d’honneur à rappeler à monsieur Allen qu’il peut mourir demain. Ainsi, vous lui évitez d’être tuez par le simple temps qu’il pensait avoir devant lui.
Monsieur Jedusor, je ne pense pas que nous ayons demandé votre avis, il me semble que vous avez surement mieux à faire que de rester là non ?
Nous sommes toujours devant le portrait et j’entends le tableau commencer lui aussi à perdre patience. Nous voilà a présent lancé dans un débat sur le comment et garce a qui Allen a réussi à se sortir vivant de la punition que je leur avais infligée quelques semaines plus tôt a Winster et lui-même.
Je sourie, ignorant l’intervention de Jedusor. Un bon point pour lui, les cachots en effet ne sont pas forcement des plus surs pour qui viendrait à s’y égarer. Winster bondit sur Allen, elle n’a pas oublié elle, que l’ex rouge lui doit bien plus dans cette histoire que se qu’il ne le prétend. Moi non plus je n’ai pas oublié.
Mon regard fond sur Allen, et je lui envoie une décharge mentale. Ma conscience contre la sienne, il n’a aucune chance. Je suis bien plus forte à ce jeu là.
-Je ne vous ai pas laissé mourir, a moins que vous ne soyez un fantôme se qui a l’évidence ne me semble pas le cas. Dois je vous rappelez monsieur Allen, que là aussi c’est votre entêtement qui vous a conduit dans les extrêmes ? Oh, vous vous en êtes sortit tout seul ? En êtes-vous certain ?Visiblement, en plus de l’humilité, l’honnêteté et la reconnaissance semblent également absente de votre caractère.
Winster n’a pas mon sang froid. Avec discrétion, elle vient de passer derrière Allen et le tien maintenant par le col de son pull, baguette pointé contre son dos. Je devrais intervenir, je pourrais le faire oui, mais voilà, je trouve que la verte a raison. Le couloir commence à devenir lassant, aussi si pour faire entrer Allen, nous dussions employer les grands moyens, je n’y vois aucun inconvénient. Avec amusement, je lui fais remarquer
-Vous préférez mourir que d’entrée ? Oh et bien au vue de votre position, je pense que cela peut s’arranger. J’imagine que monsieur Jedusor se verra ravie de prêter main forte a miss Winster pour vous envoyer faire un allé simple au royaume des morts. Croyiez bien monsieur Allen, que je serais navré d’en arriver là, mais un accident de nos jour est tellement vite arrivé.
Je me tourne alors vers Winster, je l’observe. Cette fille n’en a pas fini de me surprendre. Depuis la retenue, j’ai noté en elle comme un changeant sans pour autant réussir à savoir lequel. Il y a des son regard une lueur qui me perturbe. J’ai l’impression que Winster se cherche et que dans ces prochains mois nous allons savoir si oui ou non, elle sera différente des autres.
-Miss Winster je vous ai dit de veiller sur lui, je pense que par conséquent cela impliquait le fait qu’il se devait d’être vivant et actif. De plus, je vous ferais remarquer que vous êtes dans un couloir et que l’usage de la magie y est proscrit.
Je sourie. Oui, l’usage de la magie est interdit pour elle mais non pour moi. Je sors donc ma baguette, et croise le regard de Leonard au moment même ou il vient de penser à l’impero
-En effet monsieur Jedusor, mais je pense qu’avant d’en arriver a des techniques aussi radical tout les éléments sont à prendre en compte.
Je ne suis pas née de la dernière pluie, je sais que si je jette un impero a Allen, il y a de forte chance pour que je me heurte a cette partie de lui, sa zone d’ombre. Je réussirais peut être à le dominer lui, mais elle c’est une autre histoire.
Winster tient toujours Allen sous sa baguette tandis que Jedusor rappel qu’il est lui aussi en 6eme année. Je viens aussi de réagir qu’en effet j’ai envoyé Allen dans son dortoir. Je me demande si quelques sortilèges de protection ne seraient pas de rigueur si je ne veux pas qu’il y ait de morts. Enfin, nous n’en sommes pas là, nous sommes encore dans le couloir. Winster essaie de motiver Allen en retournant contre lui ses points faibles. Ma baguette siffle dans l’aire
-J’avoue que je suis en accord avec miss Winster. Soit vous restez et entré, soit vous décidez que finalement vous êtes un sorcier indigne de ce nom et repartez vers le monde moldu. Rien n’est plus simple monsieur Allen, mais je vous suggère de faire vite votre choix, je ne suis pas certaine que miss Winster ait beaucoup de patiente.
De gré ou de force…A défaut de le pétrifié, moi je songe à lui envoyer un propulso qui l’enverra directe dans la salle commune. Mais alors gare a l’atterrissage.
-voulez vous que je vous pousse ? On dit qu’il n’y a que le premier pas qui coute, je serais ravie de vous aider.
En attendant il fait l’enfant et je m’exaspère. E grince des dents devant sa petite comédie et mon regard se fait sombre
-non, je crois plutôt que vous auriez mieux fait de grandir un peu et d’acquérir cette maturité qui vous fait désespérément défaut ! Vous n’êtes qu’un gamin arrogant Allen, un simple gamin et il est temps que vous réalisiez que face a moi, vous ne faites pas le poids.
Je lui désigne à nouveau la porte d’entrée
-Et maintenant, entrée là dedans de vous-même et la tête haute, ou bien vous allez y entrer ventre a terre et perdre a jamais toute notion de crédulité.
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Mar 17 Mar - 10:12 |
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La situation dans laquelle il était maintenant, le ferait bien rire, quelques mois voir quelques années plus tard, afin d'avaler la puntion bête et méchante de son professeur. Aujourd'hui, il n'en riait absolument pas. Les verts devaient être tous sur les nerfs, Elisabeth comprise, même lui, était plus que bouillant de faire ravaler à Miller son blason vert pourri.
Allen ? On l'avait appellé ? Alors on le l'avait pas oublié finalement ? Ce n'était que Winster. Qu'est-ce qu'elle avait contre son balançement de chaise ? C'était pas contre elle, mais bien contre Miller ! Lui ? Se peter la gueule ? Non, jamais.
- Attends, me confonds pas avec toi... s'te plaîs... TOI tu te serais péter la gueule, moi jamais
Miller le fixe longuement, William lui adresse un regard noir, sa conscience étant toute aussi méfiante. Elle ne veut pas lire en lui, en faite... il ne comprends pas vraiment ce qu'elle fait... il ferme cependant les écoutilles. Et n'écoute que d'une oreille son discours. Il a comprit, pas de lignes à copier, on en reste là, pas besoin de débattre là-dessus, qu'elle se taise.
Sur le chemin, il vit qu'Elisabeth avait pourtant bien comprit qu'il memorisait les couloris à empreinter. Il la fusilla du regard avant de lui lançer méchamment, et en brisant le trop long et lourd silence installé par son professeur.
- Pourquoi tu me regardes comme ça ?!
Il ne reteins donc pas la suite du parcours. Les sarcasmes avaient reprit. Et ils ne s'arrêtèrent pas ici. Une fois devant la salle commune, ils continuèrent. Ils furent interromput par Jedusort, à l'intérieur. Un invité ? Lui ? Avoir peur ? Non, il n'avait pas peur au sens d'avoir la frousse, il était plus inquiet, une peur plus légère.
- Mon blason est Rouge et Or, espèce de vipère ! Tes potions ? Oui, c'est ça, surtout les TIENNES que j'ai pas intérêt à tester !! Oh, non, je ne mourais pas ici, pas avec eux ! C'est ça Jedusort, casse-toi ou plutôt, viens et sors de ton QG pourri et viens, je suis juste devant toi
Il avait enchaîné avec une certidude sans failles. Miller ne les laisseraient sans doute pas se battre, dommage. Voilà que le Serpentard répliqua et cette fois en coeur, William et Elisabeth lui hurèrent de se taire. Vexé, le rouge s'adressa en suite à la préfète.
- Mais t'arrêtes de dire les mêmes choses que moi, oui ou non ?!
Oh non. Il ne fallait pas compter sur elle pour se taire. Ils étaient pathétiques. Encore en train de s'engueuler devant un fich portrait. Il ricanna. Elle aussi allait être renvoyée, il avait oublié les pseudo-règles. Il répondit simplement.
- Non
La verte n'étant pas du même avis, c'était sûr. Sentant Miller l'attaquer, il se sent partir avant de hurler, revennant conscient.
- ARRÊTEZ TOUT DE SUITE ! NE REFAITE PAS SA !! Bien sûr que je m'en suis sortis tout seul ! Vous voulez que je le jures sur la tombe de cet imbécile qui a eut l'idée de créer une maison aussi débile ? Remarque, fallait bien mettre les idiots quelque part ! Je ne rentrerais pas, je vous dis !
Elisabeth l'empoigna violemment en le mençanat ce qui ne lui fit pas perdre son sourire car Miller intervint rapellant que l'usage de la baguette magique était interdit en dehors des cours. Il remarqua l'aller-retour entre Jedusort et Miller, elle lisait donc en tous le monde ? Ah, quelle prof injuste ! Surtout pour ceux qui n'était pas Occulmens. Voilà que Jedusort trouvait encore à dire.
- Indigne ? Non, à Poudlard on a qu'une seule maison. C'est l'une des rares règles que je respecte alors tenez-y compte ! Tu peux te la garder ta place d'honneur, Jedusort, ça fera toujours plus d'espace pour toi et ton orgueil
William était fier de sa réplique, et espérait clouer le bec au vert. Miller continua de le menaçer, il ne bouga cependant pas jusqu'à ce qu'Elisabeth chuchote LA phrase qu'il ne fallait pas.
- Bien sûr que je le sais, qu'est-ce tu crois ?! Tu vas voir, je vais t'en faire bouffer des glaces oui !! Je ne suis pas faible, ok !! Je ne...
Il s'arrêta ici car il fit que le regard des deux verte devenait amusé. Il se rendit compte que dans son discours, il avait fait un pas en trop et avait désormais les deux pieds dans la salle commune des verts. Il jura à mi-voix. Avant de leur lançer.
- Voilà !!! Vous êtes contentes ?!!
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Leonard Jedusor
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Jeu 19 Mar - 2:24 |
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Je suis là dans cette histoire, mais je ne sais pas vraiment se que j’y fais. Au début j’étais venue pour le plaisir de me moquer de Winster une fois de plus, j’adore la faire enragé, et au final j’y suis resté parce que je suis curieux. La fin de la fête avait été sonné, et alors que d’habitude nous les verts nous serions levé noblement pour rejoindre nos quartiers, nous restons tous assis, immobile les yeux rivé sur un étrange spectacle. Et Salazard, quel spectacle ! J’en avais le pudding qui valsait dans mon estomac. Imaginez donc, William Allen en tenue de serpentard. Vous n’imaginez pas ? Je vous comprends parce que moi-même en l’ayant sous les yeux je voudrais pouvoir les fermer pour ne plus voir ça.
Notre maison déshonorée, un sang de bourbe dans nos rangs. Je savais déjà qu’avec Winster on perdait de notre crédulité, mais alors là c’était le vif d’or dans la partie de quidditch. Je ne savais pas comment elle avait fait, si c’était une blague ou quoi, mais de sure j’étais vraiment furieux. Remarquez, a voir la tête d’Allen, si c’était une blague, il ne devait pas vraiment être coopèrent. Je ne les avais pas quittés du regard jusqu'à ce que Miss Miller vienne à notre table et nous explique certaine chose.
On ne peut pas dire que je sois très attentif, mais j’avais compris l’essentiel. Allen et Winster avaient encore fait des leurs, et le résultat était que durant une semaine nous devrions faire comme ci ce vulgaire né moldu était des nôtres. Là, comme ça, je n’avais qu’une impression. Miller avait bu ! Je ne voyais pas quoi d’autre. Jamais une femme, noble, seine d’esprit et ancienne serpy aurait prit une telle décision. Autour de moi, tout le monde chuchota. Cela ne dura que le temps que Miller y mette fin et nous ordonne de nous rendre dans notre salle commune.
Allen chez nous, dans notre salle Co ! Mon regard allait de lui a Winster, et je savais plus lequel des deux j’avais envie de tuer en premier. Je donnai le mot d’ordre au serpentard. Personne ne devait ouvrir la bouche pour le moment. Et personne ne l’ouvra. Déjà Miller nous en dissuada de part sa menace, et ensuite mis à part un ou deux rebelles, je dois dire que les serpy me mangent dans la main. Le privilège d’être roi, sans doute.
Sur le chemin j’avais été en compagnie de Scorpius et d’Elynn. L’avantage avec eux, c’est que je n’avais pas besoin de parler, on se comprenait. Quant on arriva devant notre salle Co, quelqu’un donna le mot de passe et tout le monde entra. Enfin, tout le monde sauf Winster et Allen. Dommage pour eux, ils auraient dut entrer. Peut être que cela aurait évité que cette histoire ne fasse le tour de la salle commune en moins de temps qu’il n’en faut pour dire quidditch.
Moi, j’étais resté juste devant la porte, et je m’amusais. C’était assez drôle de voir Winster et Allen se disputer. Encore plus drôle de voir ma collègue de maisonnée, essayé de raisonner un bouffon. Comme ci il allait rentrer. J’ai toujours pensé que le courage des griffy n’était qu’un mythe, une vielle légende raconté aux enfants. Miller m’observait. Je savais bien des choses sur elle, y compris son petit penchant pour la légilimencie. D’ordinaire en sa présence, je ferme toujours mon esprits, mais là c’était marrant d’échanger avec elle simplement par le regard.
Elle suggéra que je m’associe avec Winster pour tuer Allen, et bien..Oui, pourquoi pas ? Même si c’était Winster je voulais bien faire un effort par solidarité serpillienne.
Allen s’adressa à moi, et mon sourire devint plus grand encore. En règle générale, j’évite que le sang de bourbe me parle. C’est tellement insignifiant ces choses là. Allen me fait rire. Je m’écarte de mon chambranle et le fixe dans les yeux. Mon ton est froid, mon visage fermé.
-Oh non Allen, pourquoi je me donnerais la peine de bouger pour une personne aussi insignifiante que toi ? Non, je ne vois pas pourquoi je viendrais à toi, alors que c’est toi qui vas venir à moi. Je crois que t’as pas bien compris un truc Allen, pour une raison que j’ignore tu vas entrer dans MON QG comme tu dis, alors pourquoi je me déplacerais ? Tu es une proie Allen, juste une proie. Et là, je te tien dans mes filets.
La présence de Miller contrariait certaine chose. Mais en bon serpy je saurai attendre mon heure. Au même moment, voilà que Winster et Allen me disent la même chose. Sourire sadique
-Oh, comme c’est mignon…Vous arrivez même à parler en même temps ? Mais c’est l’amour fou dites-moi.
Je ne suis pas dupe, je sais que ces deux là se détestent. D’ailleurs je suis sur que c’est a cause de ça qu’ils sont punies. Je fixe Winster
-Fait attention Winster…fais très attention..Les cachots non plus ne sont pas sur pour toi…tu ne l’as pas oublié j’imagine.
Bon là je suis sadique, mais j’aime ça ! Miller me demande de prendre congé. Dommage, je commençais juste à m’amuser moi. D’autant que Winster venait d’agir en serpentarde. Si ça n’avait pas été elle, j’en aurais presque été fier. Quoi que, peut être que son âme de vert et argent n’est pas si perdu que ça ? Enfin bref, Allen a une baguette dans le dos et moi je jubile.
Ha tien Miller vient apparemment de se servir de son pouvoir suprême sur Allen. Cette femme quelle serpy tout de même ! Des fois je ne la comprends pas toujours, genre là maintenant quant elle nous apporte la honte sur notre maison, mais des fois je l’admire. Elle a une sacré force mentale.
Bon je vais aller voir ailleurs, parce que là sa devient tellement drôle que je ne voudrais pas me mettre à rire. Ha bah non, finalement je reste parce qu’Allen vient de m’attaquer. Je suis toujours aussi froid et impassible.
-Mon orgueil Allen ? Tu confonds là, vraiment ça me fait de la peine se que tu dis là. Les gryffondors ont de l’orgueil, mais nous à serpentard nous ne connaissons que la fierté et la grandeur. Et quant bien même j’aurais un orgueil, je crains fort qu’il ne soit pas si démesuré que le tien. D’après Winster c’est un miracle si ton orgueil arrive à tenir dans ce château ! D’ailleurs maintenant que j’y pense, faudrait peut être que nous agrandissions notre salle commune pour que ta tête y entre ?
Sourire mauvais, j’adore voir Allen et Winster s’entretuer
-D’autant que y’a pas que ton orgueil qui pose problème en matière de taille, il parait que notre préfète t’a paré d’une jolie paire de corne aussi. C’est peut être pour ça que tu ne veux pas entrée, peut être qu’en faite la porte est pas assez large . Je penche la tête et fais mine de regarder la porte d’un œil expert. Puis, dans un rire sarcastique, je plante cette joyeuse compagnie. Je sais pas pourquoi, mais je sens que cette semaine va être très longue mais aussi très amusante.
Je rejoins Scorpius et Elynn sur notre canapé. De là, on a une belle vue. Les Salazards sont en colères, mais les Salazards se rient de la situation. Et puis d’un cou, voilà qu’Allen est dans la place, et moi dans un sarcasme qui déclenche le rire de toute la maison je lance
-le Lion est dans la place ! Le sang de bourbe c’est égaré parmi les sangs purs !
Et voilà comment j’aime les choses, la semaine va être longue, mais Allen lui c’est sur va souffrir !
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Jeu 19 Mar - 21:05 |
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Elle aurait put lui rappeler que dans exactement les mêmes circonstances dans la salle de retenue, il c’était retrouvé par terre, mais l’heure n’était pas au débat. Qu’il dise se qu’il voulait, elle ne l’écoutait même plus, absorbé dans la contemplation de son assiette vide. La chaise a coté d’elle faisait « couine, couine » c’était très agaçant, et elle eut envie de faire remarquer a son non sympathique voisin, que sa serait génial s’il pouvait se balancer en silence.
Un cou de pied bien placé aurait suffit à faire valser le siège, mais Elisa eut le bon gout de penser que son cas était déjà bien assez grave comme cela sans en remettre une louche. SI elle fait tomber Allen, il pousserait encore des hauts cries, Miller se mettrait entre eux, et au final…Au final elle ne voulait même pas imaginer. Elle grinça des dents, lança un regard meurtrier au rouge et brusquement passa la main derrière sa chaise et la ramena brutalement en avant. Voilà, la chaise avait quatre pattes, fini le bruit grinçant ! Personne a cette tablé ne se balançait jamais, tout simplement parce que c’était impoli, incorrecte sans doute très gryffondor ! Pour lui apprendre les bonnes manières, y’avait du boulot en perspective.
Ils partent vers la salle commune, personne ne dit mots. Personne sauf Allen bien sur ! Allez savoir pourquoi ce lion éprouve toujours le besoin de l’ouvrir alors qu’on lui a donné l’ordre de se taire ? Elle ne lui avait absolument rien dit, et il venait l’agresser ! Bon, elle l’avait regardé, mais ce n’était pas un crime tout de même. Elle se tourna vers lui et lui fit un regard aussi noir que possible. Elle avait horreur d’être fusillé du regard et il devait bien le savoir ! La perspective des 50 points de moins, ne lui donnait pas envie de répondre, mais pourtant elle lâcha dans un murmure pour que seul lui entende
-Je ne te regarde absolument pas ! Je t’ai déjà dis Allen, arrête de te prendre pour le centre du monde ! Tu ferais mieux de te la fermé et de regarder le chemin, ça t’évitera peut être de devoir acheter une boussole !
Bon, ils n’avaient même pas commencé la punition que déjà ils se battaient. Enfin la salle commune fut en vue et tout le monde entra. Les hostilités étaient ouverte et Miller ne semblait pas de très bonne humeur. Elle adressa un grand sourire sarcastique à William
-Comme c’est aimable à toi Allen de reconnaitre que je suis très douée dans les potions. Je ne pensais pas un jour t’entendre me dire une telle chose. Ton blason pour le moment il est aussi vert que le mien, alors à moins que tu ne sois daltonien, je te suggère d’ouvrir un peu mieux les yeux. Et pour finir, la vipère elle va te donner un conseil Allen. Fais toi tout petit durant cette semaine si tu ne veux pas que la vipère elle ne te plante ses crochets dans le dos !
Jedusor profita d’un moment de silence pour se lancer à son tour dans un échange verbale avec Allen. Une proie ? Il avait dit une proie ? La verte soupira, garder Allen intacte pendant une semaine ça allait relever du miracle. Elle cria au vert de se la fermer au même moment que William disait la même chose. Ça aussi c’était une habitude chez eux, elle ne saurait pas dire comment ils faisaient mais plusieurs fois déjà ils c’étaient retrouvé a penser et dire des choses exactement en même temps. ET bien sur, il fit comme si c’était sa faute a elle. Elle leva les yeux au ciel
-Non ! Non et non ! C’est toi qui dis les choses en même temps que moi, pas l’inverse ! Si tu te taisais sa n’arriverait pas ! Oh tien j’ai une idée, et si pendant une semaine tu ne disais pas un mot ? Tu ne peux pas savoir les vacances que sa me ferait !
Et au passage, sa lui éviterait a lui de dire trop de conneries. Léonard avait l’air de bien s’amusé et le regard d’Elisa s’embrasa. Elle avait compris l’allusion et évita de croiser le regard de William.
-Jedusor boucle là !
La verte est énervée, et dans le but de faire avancer les choses se retrouve a planter sa baguette dans le dos de William. Si y’a que de force qu’il doit entrer, alors elle se fera une joie de l’y aider. Elle ne comprenait pas le manège de Miller. Apparemment quelque chose que Léo et Will comprenait lui échappait. Il faudrait qu’elle pense à se pencher sur le sujet plus tard, quant ils seraient tous loin très loin d’elle !
La mauvaise fois de Will, était en train de la faire bouillir, elle l’attrapa par un bras et le colla contre un mur. Son regard plongea dans le sien. Pour la première fois, ce regard bleu ne lui faisait pas perdre ses moyens.
-Encore un mot Allen, un seul et là devant tout serpentard réuni, je raconte se qui c’est passé dans la salle de retenue. TOUT se qui c’est passé, suis-je clair ? Alors, tu vas me faire le plaisir a défaut de respecter notre fondateur de ne plus le traiter d’imbécile ! Car entre nous qui d’entre Godric et Salazard étaient le plus intelligent, le plus doué et au final peut être le plus sensé ? Ce n’était surement pas Godric ! Et si d’avenir tu me traites encore une seule fois, moi ou l’une de mes amies serpy d’idiote, ce n’est pas mes crochets que tu vas sentir Allen, c’est ma baguette !
Elle était à deux doigts de le gifler, et elle savait que cela se voyait mais elle n’en avait cure. Elle s’approcha encore légèrement de manière a se que seul William entende
-Suis-je bien clair ? Ou bien tu veux que je te rafraichisse la mémoire sur comment tu t’en es sortie ?
Elle le relâcha, non sans garder sa baguette dans son dos. Elle n’avait pas oublié que le but était de le faire entrer la dedans. Il parla de la seule règle qu’il respectait et elle ricana
-Ici c’est serpentard, on ne respecte AUCUNE règles Allen. Tu ferais bien de commencer à t’en souvenir si tu ne veux pas que ton séjour parmi nous soit encore plus douloureux.
La haine entre eux deux était des plus palpable, c’était en quasi sur tension. Qui aurait put dire qu’en faite un jour ces deux là avaient été ensemble ? Si quelqu’un l’aurait dit a cou sur, personne ne l’aurait cru. Et puis d’un cou, se fut l’hécatombe. William avait eut la bêtise de parler d’orgueil. Les serpentard n’ont pas d’orgueil, ils n’ont que de la fierté et pas toujours bien placé. Elle le lui aurait bien dit mais malheureusement Jedusor lui coupa l’herbe sous le pied et pas de la façon la plus glorieuse. Si elle était une vipère, alors lui était un vrai serpent à sonnette. Avait-elle dit ça ? Oui..Peut être qu’elle l’avait dit mais surement pas a lui !
Décidément ce château avait vraiment trop d’oreille. Le clou, fut l’histoire des cornes. La verte se prit la chose en pleine figure. Il voulait jouer à ça ? Très bien. Elle le fixa dans les yeux et lâcha
-Tu veux peut être que l’on parle de Lisa, Léonard ? Je suis certaine qu’Elynn serait ravis de se joindre à nous pour ce débat ! Avant d’avancer des choses, tu ferais bien de penser a se que toi tu as réellement fait !
Contrairement a lui, elle n’avait pas trompé William…Enfin pas vraiment..Et de toute façon là n’était pas la question ! Miller vain a son secoure, enfin façon de parlé, et grâce a leurs efforts combiné, William mit enfin les pieds dans la salle. Elisa ferma le portrait derrière eux et lâcha un soupire.
-Enfin ! Et, juste au passage Allen, ton offre pour les glaces était très séduisante, mais en faite, je n’aime pas tellement ces choses là.
Comment tourner quelque chose de banal en dérision ? Appeler Elisa. Ils étaient maintenant dans la salle commune, tout le monde les regardait, vive la discrétion. Jedusor, accompagné de ses acolytes, fit encore entendre sa douce voix. Elle se redressa, fixa le groupe et lâcha froidement
-Y’a bien des sangs mêlés qui se sont égarés chez nous, alors on est plus a ça prés, pas vrai, Léonard ?
Elle lui fit un beau sourire sarcastique. La guerre était ouverte, bien que, entre Léo et Elisa elle n’est jamais été refermée depuis ce fameux jour dans les pelouses. En une phrase, Elisa venait de faire bouillir le vert. L’appeler Léonard, il en avait horreur, et surtout rappeler que son grand père était moldu. Elle tourna la tête, décidé à les ignorer tous. Dans la salle sa phrase avait fait une bombe, et tout le monde retenait son souffle. Elle les ignora pour en revenir à William.
-A droite, dortoir des filles, à gauche celui des mecs. Le canapé ou sont assis les Salazards, tu ne penses même pas une seule seconde à te poser dessus, c’est le leur. Là derrière le pilier, le panneau d’affichage. Ici les préfets sont..En faite, aucune importance vue que faut pas compter sur Malefoy pour aider. Des questions ?
Elle avait dit tout ça, froidement, sans même le regarder. Enfin, elle posa son regard sur lui. Ses yeux remontèrent jusqu’au sien et elle lui murmura
-Je te rasure sa me plait pas plus qu’a toi, mais maintenant que t’es là tu vas peut être pas resté planter au milieu comme un idiot si ? Alors, bouge.
Elle se décala, lui permettant de voir complètement leur salle commune. Le feu brulait dans les cheminées, la plupart des élèves les regardait et Elisa ajouta
-Allen, puisque tu n’es soit disant pas faible, peut être que tu pourrais avancer que je te montre ton dortoir ? Je ne pense pas que tu veuilles dormir sur le tapis, m’enfin si c’est ton choix, t’es libre.
Elle dit un pas en avant, puis se retourna complètement vers lui en plantant son regard dans le sien
-Au faite, bienvenue a serpentard.
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Lawena Miller
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Ven 20 Mar - 2:13 |
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Par Salazard, jamais de toute ma carrière de professeur je n’avais vue des élèves aussi indisciplinés ! Les serpentards me faisaient honte, se conduire comme des gamins des rues, à se taper dessus et à s’insulter comme de vulgaire roturier ! Il y avait bien besoin que quelqu’un reprenne les choses en main, il était temps que cette maison redevienne la noble représentative de Salazard serpentard !
Je ne sais pas encore se que j’allais faire, mais déjà régler l’histoire Allen/Winster. Ensuite nous verrions. Visiblement cette petite verte avait du répondant et ce rouge du mordant ! Je soupirai en levant les yeux
-monsieur Allen, bien évidemment que vous ne mourrez pas ici ! Je suis professeur, je sais encore se que je fais ! Quant a mourir avec eux, et bien…vous voyez monsieur Allen, dans la vie on arrive parfois a choisir comment on veut mourir, mais choisir avec qui c’est une autre histoire. Mais je vous promets que si vous venez à mourir cette semaine, je vous dispenserez de me rendre le devoir que vous avez à faire pour la rentrée.
Allen provoqua, Jedusor se que je n’interprétai pas comme un signe de bon sens de sa part. Réalisait il que se mettre a dos le chef suprême de cette maison n’était pas une très bonne idée ? J’en doute fort, mais après tout qu’il se dérouille. Peut être que le fait de se retrouvez face a un vrai ennemi lui ferait le plus grand bien. Allez savoir. Il n’apprécia pas ma petite visite dans sa tête, et je lui fis un sourire en coin. Dur de savoir qu’on est à l’ abri nulle part avec moi, n’est ce pas.
-Monsieur Allen, dois je vous rappelez que les ordres ici c’est moi qui les donnes ?! Disciplinez vous, vous et votre tête par la même occasion !
Fichu gryffondor qui pensent toujours savoir tout mieux que les autres…incroyable ! Plus je lui disais de dompter sa conscience et plus il faisait le contraire. Ses paroles offusquèrent Winster qui le coinça contre un mur. Je ne pouvais entendre se qu’elle lui disait, mais son regard en disait long. Très long…trop long.
-Miss Winster, voulez vous bien lâcher votre camarade ?! Quelle belle démonstration de puérilité ! Bravo ! Félicitation ! Pour une préfète, vous êtes un bel exemple ! Un peu de self control que diable ! Vous êtes à serpentard, alors agissez en conséquence ! Utiliser votre langue plutôt que vos poings !
Quant a vous monsieur Allen, un peu de respect pour la maison qui sauvegardera votre place dans ce château ! Je sais, et vous savez que je sais que vous ne vous en êtes pas sortie seul ! Alors ne profaner donc pas Salazard en jurant sur sa tombe ! Si les serpentards sont des imbéciles je dois donc me sentir insulter ? A votre aise…J’enlève 50 points à gryffondor pour insulte a l’encontre d’un professeur et 20 points de plus pour avoir injurier un fondateur ! Voulez vous que nous continuions ? Oh si, vous rentrez monsieur Allen, je peux vous assurez que vous allez le faire, même si pour cela je dois en venir a la magie !
Ha mais ! Je n’allais pas me laisser faire par un gryffondor tout de même. Et voilà que Jedusor se mit de la partie…Quant donc en sortirions-nous ? Je pus constater que Winster vouais autant de hargne au vert qu’elle en vouait au rouge. Je me tournai donc vers Jedusor, qui semait la zizanie là ou il y en avait déjà bien assez
-Je suis tout à fait en accord avec vous monsieur Jedusor. Les serpentards n’ont pas d’orgueil. Ceci mis a part, j’enlève 20 points à votre maison pour insulte et diffamation envers une condisciple. Apprenez à tenir votre langue monsieur Jedusor, sinon je crains fort que vous ne connaissiez jamais que l’ombre du pouvoir de votre père !
Voilà de quoi le remettre a sa place. Bien que Winster ne le loupa pas non plus. Il s’éloigna pour rejoindre sa bande d’inséparable, et je me tournai vers Allen
-Vraiment ? Vous pensez vraiment qu’à Poudlard on a qu’une seule maison ? Et bien alors, vous serez l’exception qui confirmera cette règle.
Enfin, poussé par son orgueil ou sa fierté de gryffi, il entra et Winster referma la porte derrière nous. Jedusor y alla de son commentaire et Winster lui ferma le bec d’une manière plus que surprenante. Je la regardai quelque peu surprise. La guerre entre serpentard/gryffondor et maintenant la guerre entre serpentard ? Mais ça allait de pire en pire dans ce château ma parole ! Je me dressai sur mes talons aiguille et sèchement m’adressai à toute la salle
-Jamais je n’ai vue autant de désordre que depuis que vous êtes élèves dans ce château ! Je suis profondément déçu de part votre attitude a tous ! Vous faites honte à votre maison ! Vous monsieur Jedusor, vous pouvez vous redressez, vous pensez être digne de Salazard ? Il fut peut être votre ancêtre, mais vous n’avez pas l’étoffe d’un grand ! Vous Malefoy, a part votre nom qu’avez-vous donc pour briller ? Et vous Lone, que seriez-vous si Jedusor n’était pas là ? Andrews et Winster, combien de temps encore allez vous ruinez la noble tradition de fraternité avec les serpentards ? Allen, combien de temps encore faudra t’il attendre pour que vous deveniez adulte ? Et vous tous là qui nous regardez, oui vous là, vous n’avez donc que cela à faire ? N’êtes vous pas capable de vous gérez sans qu’une réplique en miniature du lord vous dictes vos actes ? Tous vous êtes, pitoyables ! J’espère que la punition infligé à Allen vous fera réfléchir ! Car si lui est là aujourd’hui, lequel d’entre vous pourrait finir a gryffondor demain ?
Il ne faut pas jouer avec mes nerfs, je m’emporte vite. Le silence s’installe, bientôt brisé par Winster qui semble faire le tour du propriétaire à Allen. Le rouge n’a pas bougé, je laisse Elisabeth finir la visite guidé. C’est fou comme cette salle me rappel des souvenirs a moi. Je n’y étais pas revenu depuis bien longtemps. Je pers le flot de parole, et ne reviens en surface que lorsque Winster souhaite la bienvenue a Allen. Quel sarcasme vraiment. Je soupire
-Bien, monsieur Allen, à moins que vous n’ayez des questions je vais vous laissai aux bons soins de mademoiselle Winster. Il ne vous arrivera rien, elle y veillera. Vous savez pourquoi ? Déjà parce qu’elle ne veut pas être viré d’ici et ensuite parce que s’il vous arrivait quelque chose elle s’en voudrait.
Je marche vers Winster, et la fixe un moment dans les yeux
-Et vous des questions ? Je sais que vous veillerez sur lui, mais je n’ai aucune confiance en Jedusor et sa bande. Miss Winster, il ne doit rien arriver à monsieur Allen ! Mais prenez garde, je pense qu’il ne vous facilitera pas la tâche dans votre rôle de protectrice. Son instinct de gryffondor le pousse à vouloir tout gérer seul. A vous, de vous imposez…Et évitez donc de le tuer vous-même.
Les derniers mots sont dits dans un rire. Mon regard passe de l’un à l’autre. Allen n’a pas de cravate, sa jure avec son uniforme vert et argent. Je pose un instant mon regard sur son blason, et je me revois plus jeune. Moi aussi, j’étais tête brulé. J’avance vers Allen, et juste au moment où l’on se croise je lui souffle en dernier conseil
-Vous n’êtes en sécurité nulle part ici Allen, votre seule issue sera de faire confiance en Winster. Sa haine de Jedusor la poussera à tout faire pour qu’il ne vous atteigne pas. Mais méfiez vous, votre esprit n’est pas à l’ abri ici. Ne laissez pas Léonard découvrir votre secret, cela pourrait avoir des conséquences bien plus terrible que se que vous l’imaginez.
Terrible comment ? Terrible comme se retrouvez dans le camp du vert sans rien avoir demandé par exemple.
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Sam 21 Mar - 21:35 |
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Finalement, son balancement de chaise énervait bien plus Elisabeth que Miller... c'était vraiment dommage. Sans même l'avoir vu, elle le rabattu vers la table violemment. Sur le coup, il crut vraiment qu'il allait se faire empaler par la table, il était complètement coincé, il repoussa la table, faisant le plus grand bruit, après avoir jeté un regard noir à la verte.
Cela ne faisait que commencer. Durant la route qui menait aux cachots, Elisabeth trouva bon de lui murmurer qu'il avait, sous-entendu, un sens de l'orientation lamentable...
- Mais, toi, même avec une carte et une boussole aussi grande que la lourdeur de tes sarcasmes, tu ne retrouverais pas ton chemin ! Va t'acheter un Rappelle-tout...
Évidemment qu'elle était nulle en potions. De toute façon, pour William, tout le monde était nul quand il était énervé, et il était souvent énervé. Il fit mine d'être étonné. Miller lui lança une de ces phrases philosophique dont il répondit avec des yeux noirs.
- Attends... c'est une menace, c'est ça ? Merlin, que tu me fais peur... à côté de toi, Voldemort n'était qu'un novice... tu crois vraiment que j'en ai à faire de ta baguette ? Tu m'as tellement... pourri avec ton venin que j'en ai plus à faire...
Miller ne cessait de le narguer avec sa discipline.
- Je fais ce que je veux !! Et si je devais obéir à quelqu'un, ce serait certainement pas vous !!!
Jedusort se mêlait à leur discussion, ce qui agaçait William, il ne voulait cependant pas perdre la face avec Elisabeth. Pas devant tout le monde. Tout ses verts.
- Mais tes filets ne me font pas peur, Jedusort, tes filets sont mités, je peux très bien passer à travers...
Oh, Merlin, pourquoi elle ne l'avouait pas. "Oui, pardon, je vais me taire", plutôt rêver que entendre Elisabeth dire ça, un jour. Il souria, à l'idée de sa réplique.
- Arrêtes tes conneries, tout le monde le sait que tu ne sais pas parler alors tu me pique mes phrases ! Oui, voilà, y'a pas de honte, avoue le simplement... ta langue de vipère n'est pas... adapté pour parler, cette une simple erreur de la nature...
Elisabeth cria à Jedusort de se la boucler. Il fallait donc s'y prendre à deux fois pour qu'il comprenne ? La prochaine fois, il répèterait tout en double. William avait horreur de ne pas être comprit. Cracher sur Salazard n'était pas une très bonne idée en faite. Il vit qu'Elisabeth commençait à ne plus le supporter, mais elle fut plus rapide que lui. Il se retrouva plaqué au mur violemment. Douloureux pour son dos qui se remettait de sa retenue avec Miller. Rester trop longtemps avec Elisabeth ne lui faisait visiblement pas le plus grand bien. Mieux valait préserver ses os.
En effet, elle lui demanda de se taire, le menaça de jouer la commère. Elle avait été bien clair, ce n'était pas le problème. Mais on achetait pas son silence comme ça. Il n'avait d'ailleurs pas de prix. C'était trop demandé à William que de rester passif. Cela faisait deux fois qu'elle le maintenait, il ne pouvait pas se laisser faire, devant toute salle commune des Serpentards. Il parvint à dégager un bras qu'il vint faire claquer contre la joue de verte.
- Oh, tiens, c'est bien ça ! ça résonne plus que dans ma salle commune, pratique... oui, très bien, écoute un peu Miller ! Lâche-moi espèce de "puérile"
Sourire narquois aux lèvres il se dégagea du mur. Prêt à jeter le moindre sortilège si elle osait dire quoi que soit. Miller en rajouta une couche. La maison de Serpentard sauvegarder sa place ? C'était bien la comble, il ne répondit pas.
- Si, forcément, si vous n'en respectiez aucune, tu ne serait surement pas préfète, je me suis toujours demandé... enfin... comment ?
Coup bas. William avait conscience qu'il était de plus en plus cruel, et il n'en avait rien à faire. Quoi ?! Elle avait parlé de lui à Jedusort ?!
- Attends, j'ai pas suivis... qu'est-ce que t'as été lui raconté ?! Ah, bah bravo, excellent, je vois que tout le monde parle derrière mon dos maintenant !!! Parfait... tu vois t'as bien de la chance, parce que contrairement à toi, j'ai pas la commère !!! Hein ? C'est qui "Lisa"..., reprit-il, à moitié calmé par sa curiosité
Miller reprend les verts, apparemment déçu de leur comportement. William eut bien envie de lancer un "pan dans les dents", qu'il trouva ensuite déplacé. Et quand elle demanda qui se retrouvera chez les rouges, William fit un léger signe de tête vers Jedusort, qu'il justifia par un soit-disant, torticolis.
Il entendit la portrait se refermé, ce qui lui fit relever les yeux vers les deux vertes.
- Quoi enfin ?! Ah, enfin, mais dis-le moi si je t'énerve, non, en faite, casse-toi simplement...
Elisabeth lui présenta rapidement les lieux, il écoutait sans être attentif, faisant le tour de la pièce des yeux. Le cachot était bien sombre face aux couleurs vive de sa salle commune. Voilà que Miller lui demande à sa tour s'il a des questions. Narquois, il fait mine d'être curieux.
- Oui, enfaite j'aimerais savoir ou est la sortie, parce que c'est ce qui va me servir le plus... et aussi... hem... qu'est-ce qu'il se passe si je retourne dans MA salle commune ? Hein ?
Miller lui répète que les cachots ne sont pas sûrs. Il l'avait bien comprit depuis longtemps. Il ressort de ses pensées vagues pour entendre Winster parler de bouger.
- Hein ? Quoi ? Bouger ? Non, c'était écrit dans le contrat ça... je devais juste passer une semaine chez les Serpentards, c'est tout... non, pas vraiment, non... c'est par où ?
Qu'il sache au moins le chemin. Après qu'il y entre ou pas, c'était son droit. Miller ne pouvait le réprimer pour ça. Et alors là, elle sortit la phrase qu'il fallait pas. Winster devenait pro dans l'art de l'énerver. Bientôt ce serait elle qui lui briserait les nerfs et pas lui qui essayerait seulement. Il ne répondit cependant pas méchamment, mais plus d'un ton lassant.
- La ferme... bienvenue aux enfers plutôt. Depuis le temps que tu rêvais de m'y envoyé... ton souhait se voit exaucé...
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Dim 22 Mar - 3:13 |
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Elle se demandait, est ce que quelqu’un lui en coudrait si elle lui balançait un sort de mutisme ? Juste pour avoir la paix quelques heures ? Déjà qu’il fallait qu’elle se le coltine en cours, maintenant grâce a Miller elle se le tapait en salle commune, mais si en plus elle devait supporter ses sarcasmes, y’avait de forte chance pour que ses petits nerfs lâchent, et qu’elle l’égorge a main nus ! Un bouffon de moins, qui viendrait s’en plaindre ? Le directeur ? Nan, Sand était à fond serpy, au pire il dirait que c’est un accident. Pis en plus, vu que le rouge n’avait pas de parents, personne ne ferait réclamation ! La verte en était là dans ses envies meurtrières, rien de bien sympathique en soit, essayant au possible de conserver un brin de calme, chose difficile quant on a un creton constamment collé au chaussure a talon ! Elle lui jeta un regard noir, et toujours en chuchotant, Miller oblige
-Mais toi ce n’est pas un rappel tout qui te faudrait ! C’est carrément un stock ! Non seulement tu serais foutu de te perdre, mais en plus t’es tellement con, que tu serais incapable de te sortir de ce mauvais pas avec ta baguette ! Mes sarcasmes sont peut être lourd Allen, mais les tiens sont a l’image de ta personne : complètement débile !
Et c’était reparti pour Voldemort ! Mais il avait que ce mot a la bouche ou quoi ? Sa devenait lassant à la longue, Pitié Salazard, délivre moi de ce crétin ! Ha, il voulait jouer à ça ? Oh et bien on allait jouer ! Même si elle en avait marre de lui, marre des serpy qui les regardaient en se marrant, marre de cette conne de Miller qui faisait rien que de dire des choses stupides ! Marre de tout, jusqu'à ce château pourri qui puait le renfermé !
-C’est pas une menace Allen, juste un conseil ! T’en a pas marre de prendre Voldemort comme référence ? A t’entendre on va finir par croire que tu lui voue un culte ! T’avais pas besoin de mon venin pour te pourrir Allen, c’est dans tes gènes ! Pourri jusque au fin fond de tes os ! Tellement pourri qu’on sent même l’odeur de putréfaction qui te colle a la peau rien qu’en te croisant !
Elisa était tellement énervé qu’elle ne fit pas même attention a se que Miller disait a William. Léonard entra dans le feu de l’action, elle s’en foutait ! Qu’il se débrouille avec, si Léo le tuait sa serait au moins une chose de bien ! Comme ci elle avait besoin de lui pour dire à Jedusor de se la fermer ! Mais merde à la fin, il se prenait vraiment pour le prince des gryffondor lui ou quoi ?
-Comme si j’avais besoin des phrases d’un saleté de né moldu ! Allen, tu ne savais même pas que la magie existait avant qu’on vienne te dire que t’étais pas taré, simplement sorcier ! Alors, sincèrement, c’est toi qui va la boucler parce que je commence à en avoir marre d’entendre ta voix de petit merdeux m’exploser les tympans ! Ma langue de vipère est toujours assez adapté pour t’en foutre plein la gueule Allen, c’est déjà ça de certain !
Elisa, complètement énervé se retrouva baguette avec sa baguette dans le dos de William. Puis, perdant toute notion de sang froid, elle termina par le plaquer contre un mur. Miller la rappela a l’ordre, mais quant une Winster est énervée y’a rien qui peut la stopper..Ou presque. Elle jeta un regard noir à Miller
-Oh, vous ça va hein ! Pour se qui est de jouer de votre langue sa c’est sur que vous savez le faire ! Mais peut être que si vous arrêtiez de vous prendre pour un ange gardien, alors que, pour le mot ange je ne suis pas certaine que sa vous convienne, on se porterait tous beaucoup mieux ! Et oui, je sais, 20 points de moins à serpentard pour insulte ! Mais je m’en tape, je m’en fou ! Depuis un an que vous nous pourrissez la vie, il était peut être temps que quelqu’un vous le dise que vous nous emmerder !
Voilà, sa c’était dit. Tous les serpy, Jedusor comprit ouvrirent des yeux ronds devant leur préfète qui perdait contenance et qui s’en foutait. Jedusor, fit semblant d’applaudir et se pris un regard encore plus noir que celui qu’elle réservait a Allen.
Puis soudain ce bruit qui résonne, ce bruit qu’elle entend avant même de sentir sa joue chauffer ! Il a osé ! Nan, elle rêvait, il n’avait pas fait ça ? Machinalement, elle porta sa main à sa joue. La baffe l’avait calmé sur un point pour mieux le foutre en pétard sur un autre. Elle sortie de ses gons, serra les points, chercha Lindsay du regard. Elle croisa le regard rechercher, se qui lui donna encore plus de force. S’avançant vers Will, elle se planta devant lui le regard brulant de rage, et lui flanqua un bon cou de point sur la tempe.
Personne n’humiliait Elisa, et surtout pas devant ceux de sa maison. Si William avait bien regardé, il aurait vue qu’au moment précis ou il l’avait giflé les trois quart des serpy c’était levé baguette en main. Ce cou de poing finalement évitait d’autre débordement
-En effet sa raisonne encore mieux ici ! Porte encore une seule fois la main sur moi Allen, et je peux t’assurer que y’aura plus un seul lieu ou tu pourras t’assoir sans craindre qu’il ne te tombe quelque chose sur la tête ! Je suis peut être puérile, mais moi au moins je ne suis pas un batard immature a la recherche désespéré de parents pour le consoler ! Tien…quant on y pense, t’imagine que là tu vas passer une semaine avec Léonard, alors que c’est son père qui a commander le meurtre de tes parents ? Comme c’est tragique hein…pauvre tout petit Allen..Tout seul…pauvre petit lion mité, au milieu des vilains serpents ! Je comprends maintenant pourquoi t’es pote avec Potter…fallait bien ça pour qu’on te remarque un tout petit peu !
Elle tenait toujours sa baguette et la leva légèrement. Elle venait de donner un cou bas de la pire espèce, mais à l’ avenir il éviterait peut être de la gifler
-N’essaye même pas Allen de faire quoi que se soit avec la tienne, n’oublie pas qu’ici tu n’as aucun pouvoir ! Peut être que les gryffondor te considère comme quelqu’un mais ici t’es rien !
Miller essayait de se faire entendre, peine perdu. La guerre était ouverte, et il allait y avoir du sang. Elle mourrait d’envie de lui faire ravaler son sourire. Lorsqu’il l’attaqua sur son blason, elle se mit à rire
-Qu’est ce que la jalousie te fait pas dire Allen ! Mon blason, je ne le dois pas vraiment au respect des lois ! Personne ne les respecte ici, mais faut bien choisir des préfets. Tu te demandes comment ? C’est simple, j’ai ce blason parce que je ne suis pas comme toi. Et Ouai Allen contrairement a toi, je suis brillante, bonne élève, intelligente et je sais me faire respecter. Maintenant si tu te demandes pourquoi toi tu l’as pas eut, facile, de tout les gryffondors tu es celui qui représente le moins bien ta maison ! Rien est azard tu te souviens ? Le choixpeau est tellement merveilleux quant on y pense, pas vrai Allen ?
Un super sous entendu, agrémenté d’un sourire en coin. Elle dirait rien de se qui c’était passé en salle de retenue, simplement il fallait qu’il arrête de la chercher de trop
Hein ? Non, elle n’avait jamais parlé de rien avec Jedusor ! Comme si elle, elle allait parler a ce vert prétentieux !
-Mais boucles là ! Je lui ai rien dit ! Réfléchie deux minutes, tu crois que moi je fais des confidences a Jedusor ? Punaise Allen, apprend à voir quant quelqu’un bluff sinon t’a pas fini de te faire avoir ! T’es franchement pas doué dans ton genre hein ! Quant a parlé dans ton dos, sa ce n’est pas une nouveauté, je te l’avais bien dit que certain le faisait. Et je ne suis pas une commère ! Comme ci j’avais envie que quelqu’un sache se qui c’est passé entre nous ! Franchement y’a aucune gloire a ça !
Léo avait pali au nom de Lisa et elle put l’entendre siffler
-Winster, boucle là !
Elle eut un léger rire, elle adorait le coincer. Elle reporta son attention sur Allen
-Chacun a ses petits secrets, Tu as les tiens, j’ai les miens et Jedusor a les siens. Le seul point commun, c’est que je suis celle qui connait vos petits secrets. Lisa, c’est une serpy. T’as rien à savoir de plus sur la chose
Ils venaient d’entrer dans la salle commune, le tableau se referma et Miller de toute sa hauteur leur fit un discourt qui énerva tout les verts. Elisa, elle n’en avait cure, elle était très heureuse d’être une serpy a part ! Allen lui fit part de sa volonté et elle haussa les épaules
-Toi casses toi, je suis chez moi ici je te ferais remarquer ! Et je t’y ai pas invité, je suis obligé de te supporté ce n’est pas la même chose !
Elle lui présenta la salle d’un ton morne. Miller vain les voir s’apprêtant à partir. Will posa une question qu’elle jugea stupide et répondit à la place de Miller
-A mon avis si tu fais ça, c’est comme ci tu disais que tu préfères être viré. M’enfin, tu fais comme tu le sens. Ha et la porte de sortie, elle est derrière toi. Te gène pas pour te casser surtout, tu manqueras a personne.
Il demande ou est son dortoir, elle lui montre l’escalier d’un signe de tête
-Tu montes, et c’est le troisième à ta gauche. C’est le dortoir des 6 eme années. Seulement si tu ne veux pas dormir avec Jedusor, y’a de la place dans celui des 5eme, et aussi dans celui des premières... Sinon, t'as le canapé.Mais je te préviens y'a beaucoup de mouvements la nuit
Elle avait souhaité qu’il aille en enfer oui, mais pas d’y aller avec lui
-Ouai je rêvais que t’ailles en enfer, mais je ne pensais pas devoir t’y accompagner !
Elle aussi se lassait. Elle attrapa un emploi du temps et lui fourra dans les mains
-Tes heures de cours, et fais gaffes a serpentard on a deux heures de potion en plus par rapport a vous, en faite on fait des cours avancés…m’enfin peut être que t’es pas tenu d’être là, j’en sais rien et je m’en tape.
De quoi ne se foutait elle pas en ce moment ? Elle le fixa, se demandant se qu’elle était tenue de faire et répondit a Miller
-nan, aucune question. J’ai plus de question ! Alors foutez-moi la paix !
Elle en avait juste marre. Pourvue que la semaine passe vite. Elle savait bien se que Miller attendait d’elle, elle savait qu’elle devait faire en sorte que rien n’arrive a William mais elle n’avait aucune envie de s’imposer surtout face a lui. Elle secoua la tête.
-Bon tu fais quoi ? Tu viens, tu restes là, tu te casses, tu rentres chez toi ? Décides toi ! Ha et dernière chose Allen, essaies pas de me faire faux bond durant cette semaine si tu restes là ! Je suis sensé faire en sorte que personne ne te tue, je vais pas te courir après sans arrêt !
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Dim 22 Mar - 18:56 |
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[list]La tension montait d'un cran. Ils sautaient toujours l’étape "sarcasmes gentils" pour arriver à "coups bas et regards noirs". Voilà que la verte devenait grossière. Ce n’était pas bon signe. Le pire était qu’ils restaient tous deux à craindre les 50 points en moins de Miller. Et lorsque la sanction tomberait, l’un accuserait l’autre. On ne change pas du jour au lendemain des gamins agressifs.
- Peut-être lourd ? Non, ce n’est pas "peut-être", c’est sûr ! Débile toi même, de toute façon, comme tu l’as dis, on a pas à se plaire...
Oh ho ! William venait de trouver terrain d’entente. La préfète ne semblait pourtant pas encore calme et pour ceci elle lui lança coup sur coup bas. A ce jeu, William n’était malheureusement pas le meilleur. Même si c’était contre Elisabeth, il restait la médaille du plus venimeux à la préfète.
- Et depuis quand tu me donnes des conseils ? T’en as rien à faire en faite ? Pourquoi lui ? Mais parce qu’il faut un exemple concret, qui te parle. Voldemort était un pote à tes parents, pas vrai ? Il venait même souvent dîner, c’est ça ? Mais rassure-toi, Winster, ton venin sens aussi fort. Regarde, y’a même plus d’air autour de toi...
Bizarrement dans la situation la plus énervée restait la Serpentard. William n’était pas non plus tout à fait calme, mais sans aucun doute, celui le moins bouillant. Hélas, les paroles d’Elisabeth devenaient de plus en plus cruelles.
- Le né moldu il t’emmerde !! Et il est très fier de le faire ! Et alors ? Normal ! Je suis né moldu, comme tu viens de le dire... mais boucle là d’abord, je n’attends plus que ça pour me taire !
Et alors là... il avait enfin réussit à l’énerver. Elisabeth bouillonnait tellement qu’elle oublia qu’elle était préfète et que c’était à un professeur qu’elle s’adressait. Ou peut-être le savait-elle, mais elle en avait tellement assez. Il souria. Miller conter Winster, ça promettait.
- Ouais c’est vrai ça !!
Il se prit les foudres de la verte déchaînée. Mieux valait la laisser gérer la révolution seule. D’ailleur Jedusort ce prit également des éclairs en pleine figure pour avoir mimer un applaudissement.
Et retour. Coup de poing. Ils étaient pathétiques. William marmonna des jurons avant de repousser la préfète. Pas simplement l’écarter, de manière à la faire tomber, l’écraser même à terre.
- T’arrêtes ? Si, tu te calmes ! Et qu’est-ce que t’en sais ? T’as été les rouges ? Tu veux peut-être que Miller t’y envoie, une semaine, le temps d’en avoir le cœur net ? T’as finis de cracher ton venin ? C’est dégelasse ! C’est dégelasse ce que tu dis !!
Voyant qu’elle avait toujours sa baguette en main, William sortit à son tour la sienne en faisant siffler l’air, pensant à un vague "on ne sait jamais".
- T’as pas intérêt à faire quoi que ce soit non plus... j’ai pas vraiment le choix... si je veux finir mes études... Merlin, Elisabeth concentrait toute sa haine vers trois personnes. Dont Miller, Jedusort et lui. Ce qui faisait évidemment trop. Elle souria à son on tour. Il devait en faire de ses sous-entendus ?
- Evite tes sous-entendus douteux. Le Choixpeau est une ordure, tout le monde le sait...
Quoi ? Alors elle lui avait rien dit ? Il avait bel air maintenant, de s’être emporté comme ça. Il dut s’avouer vaincu.
- C’est ça, c’est ça, t’as raison...
Apparemment, il était le seul à ne pas connaître l’histoire "Lisa" ? Il fixa tour à tour Jedusort puis la préfète des verts.
- Je vois, mais comme dans tous secrets... il y a des fuites
Il termina sa phrase le regard un peu trop profond dans celui d’Elisabeth. Il était déjà entré qu’il sentait Jedusort parasiter sa tête. Il détourna aussitôt le regard, ne pouvant assurer deux choses à la fois. Si Jedusort en venait à là, c’était sans doute que cette affaire n’était pas glorieuse. Miller eut le temps de discourir que déjà, ils reprenaient leurs sarcasmes.
- T’as rien compris ou quoi ? Je n’ai pas choisis d’être ici, parce que sinon, je me serais cassé depuis longtemps ! Et tant mieux ! Les adieux seront brefs, je rentrerais plus vite !
Ok, ok. Il allait donc devoir squatter les premières années de Serpentards ? Merlin... il afficha un sourire ironique.
- Le comble
En effet ça l’était de vouloir l’envoyer en enfer, mais de si retrouver avec lui, en plus. Elle lui donna son nouvelle emploi du temps.
- Oui, oui, moi j’ai pas besoin de tout ça... calmes-toi, je blaguais...
Miller était sur le point de partir. Et ce pas Elisabeth qui l’en empêcherait, une nouvelle fois elle l’envoya sur les roses. William observait le spectacle, presque en admiration.
- Je reste. Mais tu crois quoi ? Je n’ai pas à te suivre partout où tu vas ! Non, non. Si, je disparais, tant mieux pour toi, ne te plains pas. Enfin quoi ?! Je sais m’occuper de moi tout seul
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Lawena Miller
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Lun 23 Mar - 19:33 |
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De toute ma carrière je n’ai jamais vue une telle chose ! Je ne sais pas se qui me retient de leur jeté a tous et plus particulièrement a Winster et Allen, un sortilège bulle de savon. Au vue des grossièretés qui écorchent mes oreilles, cela ne serait vraiment pas du luxe ! Je pourrais aussi tester une potion de babillage, ou bien un vulgaire sort de mutisme. Je n’arrive pas à déterminer se qui serait le mieux. J’avais voulu les prendre de cours, les mettre face a une punition qui leur ferait fermer la bouche une bonne fois pour toute, mais je crois que c’est vraiment trop demandé de leur part a tout deux.
Tandis que nous longeons le chemin en direction de la salle commune des verts, tout le monde se tait. Tout le monde ? Non, bien sur ! Il existe, encore et toujours les deux mêmes rebelles qui malgré ma menace de points en moins, profite de se que je surveille les autres pour échanger a voix basse. Si encore ils échangeaient dans une bonne optique, mais je suis certaine qu’ils sont encore en train de s’insulter. Je n’arrive pas à entendre leur propos, mais je n’en ai pas besoin. Vue leur vocabulaire, je crois que j’en serais encore plus choqué. Ma propre voix perce le presque silence et se répercute sur les murs humides des cachots
-Si certain voulait bien arrêter de chuchoter, je suis certaine que même de là ou nous sommes vous pourrirez tous entendre le joyeux tintement des rubis qui remontent dans deux des sabliers de Poudlard.
Pour une fois, je n’ai visé personne, je ne me suis même pas retourné vers les deux fautifs. Je sais qu’ils auront bien compris le message. 50 rubis qui remontent dans deux sabliers, cela en fait un joli petit bruit. Demain matin, j’en connais qui vont ouvrir des yeux rond devant les nouveaux chiffres. Peut être bien qu’Allen et Winster tentent un nouveau record ? Réussir a entrée dans l’histoire en étant considérer comme celui ou celle ayant perdu le plus de point en une nuit…
Nous continuons à avancer, sans forcement plus de silence. Je croyais tout avoir vue, tout entendu depuis le temps que je suis professeur en ce château. Mais je crois que rien jamais ne m’avais préparé à faire face a autant de violence tant verbal que physique. Outre les interventions de monsieur Jedusor dont nous nous sérions probablement volontiers passé, l’échange entre Winster et Allen n’a plus rien d’humain ! Je ne sais plus quoi faire pour calmer ces deux là et la situation part complètement de travers. Ils sont là pour effectuer une punition leur empêchant de se faire renvoyer et de minutes en minutes ils me donnent une raison de plus pour les renvoyer dans leur foyers ! Je n’ai jamais vue autant de concentré de haine dans deux personnes, je me demande même comment ils font pour ne pas déjà être en train de se lancer des avada.
Les mots sont souvent plus blessants que n’importe quel sortilège, et tour à tour j’assiste entre le rouge et la verte à un échange de cous bas à faire dresser les cheveux sur la tête. Il n’est plus de place pour le sang froid, plus de place pour la bienséance. Oublié l’époque ou les élèves s’insultait avec classe, aujourd’hui, j’assiste bien malgré moi a une remonté en flèche des grossièretés moldu…je ne sais si je dois être déçu, surprise, en colère ou bien indifférente. Je peux faire de leur vie un enfers, je peux les obliger a beaucoup de chose, mais il semble bien qu’il ne soit pas dans mes capacités de faire en sorte que mes deux fouteurs de troubles apprennent si ce n’est a se respecter au moins a se porter une indifférence suffisante pour que les plus jeune ne profitent pas de leur cours gratuit de vocabulaire.
Allen m’agace en premier, quant on le regarde comme ça, on se rend pas bien compte. On pense qu’on a juste affaire a un stupide petit lion, mais non c’est bien plus que ça. On a affaire à un lion en pleine crise d’adolescence.
-Vraiment ? Vous pensez vraiment que vous n’êtes pas tenu de m’obéir ? Monsieur Allen, j’ai dans les mains le pouvoir de faire de vos deux années qui vous restent a passé ici, un véritable calvaire s’amplifiant chaque jour d’avantage jusqu'à se que vaincue vous finissiez de vous-même par me demandez grâce ! Alors je vous suggère d’aller faire votre petite crise identitaire ailleurs que sous mon nez !
Je pensais qu’Allen était le pire..J’avais tord. J’ai été à l’école avec le père d’Elisabeth, je connais le caractère bien trempé des Winster. Et, en cet instant, je crois que si son père la voyait, il serait sans nul doute outré de ses mots mais très fier de voir que sa fille ne se laisse pas faire. Mais en attendant, ce n’est point son patriarche qui assiste a cela, mais bien moi ! Et moi, professeur, je ne vais tout de même pas laisser une élève me traiter de la sorte ! Elisabeth a perdu toute contenance, je ne saurais dire si elle réalise que c’est a une adulte, et qui plus est a une a qui elle se devrait d’avoir du respect, a qui elle s’adresse, mais en tout cas ses mots viennent me percuter de plein fouet. Il est rare de voir la préfète se mettre dans un tel état, rare de la voir perdre ainsi son visage neutre, rare de voir en elle tout le potentiel d’une véritable serpentard. Jedusor lui-même en vient à applaudir. Il faut le dire, il faut le reconnaitre, elle a du potentiel…mais je ne suis pas là pour l’admirer, loin de là.
-Pardon ? Je vous emmerde ? C’est bien se que vous venez de me dire miss Winster ? Alors là vous dépassez toutes les bornes ! Même monsieur Allen ici présent n’aurait jamais eut l’audace de me tenir de tel propos ! Oh non pas 20 points de moins, oh que non ! Je suis certaine qu’une semaine passé a récuré a la manière moldu les toilettes de mimi Geignarde vous fera bien plus réfléchir que des points en moins ! De toutes mes années d’éducation, je n’ai jamais vue une telle chose ! Votre père sera prévenu dés ce soir de votre petite rébellion miss, peut être que si moi je n’arrive pas a vous faire taire, lui saura trouver de bien meilleur argument ! Et estimez vous heureuse que je ne puisse pas vous ôtez votre insigne de préfète ! Sachez que je ne me prends aucunement pour un ange gardien miss, loin de là. En fait je me verrais bien d’avantage comme votre pire cauchemar, à vous et à monsieur Allen. Et puisque vous semblez tenir tant que cela a se que je vous fiche la paix, peut être pourriez vous commencer par arrêter de vous comporter comme une sale gamine mal éduqué ? Je n’en ai pas fini de vous pourrir la vie, croyez le bien ! Mais après tout, si vous préférez vous retrouver avec des tatouages disgracieux, je peux aussi me contenter de laisser votre éducation aux mains de vos parents ! Il était peut être temps en effet de me dire que je vous emmerde, mais il est fort regrettable que cela soit vous qui me l’ayez dit !
Au même moment, voilà qu’Allen qui jusque là c’était crue bon de ne pas intervenir fait part de son accord avec la jeune fille. Je pourrais dire que je suis contente, pour une fois que ces deux là tombe d’accord sur quelque chose, sauf que c’est fâcheux que cela soit précisément sur cela.
-Monsieur Allen, puisque vous est d’accord, alors vous ne verrez pas d’inconvénient à être de la partie pour le nettoyage des toilettes de mimi geignarde avec votre condisciple ! Je suis certaine que là encore vous trouverez maintes occasions à partager vos opinions à mon sujet !
Voila, le concierge va être heureux, je viens de lui enlever une lourde tache. Mais cela n’en était pas fini. Voilà que mes deux énergumènes en viennent aux mains. Après le vocabulaire, ce sont les cous qui pleuvent. Je me sens réellement dépassé par les événements. Je devrais intervenir avant que l’un deux ne finisse amoché. Winster est vraiment survolté, et outre ses pics méchamment aiguisé, elle ne laisse au rouge vraiment aucune chance. Gifle, cou de point, insulte, sous entendu…rien n’est laissé au Azare. Je me demande si je ne devrais pas les immobilisé avant que tout cela ne finisse par un meurtre. Et pourtant, au même titre que les élèves, je ne suis que témoin dans cet échange. Enfin, Allen parvient à immobiliser la verte, du moins en apparence. J’espère qu’il a en lui autant de capacité à la calmer qu’a l’énervé, sinon j’ai intérêt à confisquer les baguettes.
Mais les choses bougent, même s’ils se disputent toujours, nous voilà à présent dans la salle commune. Ce n’est pas trop tôt. Les échanges entre Winster et Jedusor sont tout aussi houleux que ceux qu’elle a avec Allen. Je connais bien l’histoire de Lisa, je la connais peut être même trop. Je dois dire que je suis en accord avec Winster, Jedusor ferait bien de se taire. En la matière de fidélité, il est loin d’être celui qui peut donner des leçons. Allen semble ne rien comprendre. Je le surprends à fixer le regard de Winster. Ce que l’on ne peut avoir par les mots, on l’obtient par l’esprit. Jedusor aussi le sais bien, même si je doute fort qu’il sache qu’Allen est au moins aussi doué que lui en légilimencie. Il me faut intervenir.
Allen sonde les souvenirs de Winster, Jedusor sonde ceux d’Allen et je sonde ceux de Jedusor. Un vrai courcircuitage de pensées. Tous les souvenirs se mêlent. Un tel procédé fiche un sacré mal de crane et je plains Winster. Etant au début du maillon, elle est celle qui va prendre une sacré décharge mental. Les liens se brisent tandis que je lance un regard désapprobateur à Allen et Jedusor
-Messieurs, je vous prierais de vous passez de ce genre de pratique sur une élève ! Mais peut être que je devrais envisager de vous punir en vous obligeant a vous entrainez l’un avec l’autre ! Je suis certaine que vous avez maintes choses à apprendre l’un de l’autre !
Je n’en ferai rien, déjà parce que je ne veux pas que Jedusor en apprenne trop sur Allen, mais aussi parce que je ne tiens pas a se qu’Allen sans le vouloir aide Jedusor a mieux protéger son esprit. Winster présente les lieux a Allen et je me prépare à les quitter. Derniers conseils, dernière chance pour eux de me poser toutes les questions qu’ils se posent encore. Allen semble en avoir encore au moins une, mais Winster me coupe l’herbe sous le pied. Je dois dire que sa réponse est juste.
-Et bien monsieur Allen, pour la sortie ne vous inquiétez pas, je suis certain que d’ici une semaine vous réussirez à la trouver par vous-même. Quant a savoir se qu’il se passerait si vous retourniez dans votre salle commune d’origine, je crois que miss Winster y a répondu. A l’heure actuelle, vous êtes un serpentard, si l’on vous surprend chez les rouge et or, je serai au regret d’informer le directeur du fait que vous transgressez le règlement. Dormez ou bon vous semble dans cette salle commune ci, mais si j’apprends que vous êtes allez fureter cher les gryffondors, vous n’aurez même plus besoin de vous interroger pour savoir ou est la sortie, attendu que je vous reconduirez moi-même jusqu’au grille de ce château !
Une dernière fois Winster me répond sèchement. Il est visible que cette jeune fille est sur les nerfs.
-restez correcte ! Je peux comprendre que vous soyez un peu surmené miss Winster, mais cela ne vous dispense pas pour autant de vous montrez agréable !
Je les gratifie chacun d’un regard
-Bien puisqu’aucun de vous n’a plus de question et qu’il commence à se faire tard, je vais donc vous abandonné. Je vous souhaite une bonne nuit.
Et sur ces mots, je fais claquer mes talons, j’embrase la pièce de mon regard, laisse mes yeux s’attarder un moment sur Jedusor, puis je tourne le dos a la salle commune. Le tableau m’ouvre le passage, et je disparais dans le couloir les laissant seul, mais pas pour autant sans aucune surveillance.
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
Nombre de messages : 1955
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Maison : Serpy un jour serpy toujours
Emploi : Elisa de jour...Bella de nuit
Humeur : En manque...='(
Feuille de personnage Côté coeur: Il est mon âme, ma vie, mon tout...Scorp' Camp: Les deux Niveau magique: (73/100)
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Mar 24 Mar - 22:10 |
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Elisa était toute disposer à lui dire que de toute façon, rien chez lui ne lui plaisait, lorsque Miller coupa court cet échange. Bien qu’ils aient chuchoté, il fallait croire que leur professeur avait des oreilles de sioux. elle avait bien compris l’allusion subtil et savait que depuis quelque seconde, les serpentards, tout autant que les gryffondor, comptaient 50 points de moins a leur actif. Cela ne mit pas la verte de meilleure humeur bien au contraire. Tout était de sa faute à lui ! S’il apprenait à se taire et s’il arrêtait de l’agresser à tout bout de champ, jamais les points n’auraient été perdus. Ha ça, oui il pouvait le dire, ils n’avaient pas a se plaire ! Et précisément là, maintenant, elle détestait tout se qui émanait de lui !
Elle attendit que Miller reprenne son chemin, sans plus faire attention a eux, pour murmurer
-Voilà t’es content maintenant ? Faut il donc qu’on te cloue le bec pour que tu te la ferme quant on te dit de le faire ?! Ça c’est sur qu’on n’a pas à se plaire et heureusement, parce que si c’était le cas, y’aurait tout a refaire chez toi !
Paroles vicieuse et hargneuse de quelqu’un qui déteste perdre des points . Elle était déjà énervée depuis que la punition était tombée, mais cela n’allait pas en s’arrangeant. Allen n’aidait en rien, bien au contraire
-je te donne des conseils depuis que je suis censé faire en sorte que tu restes en vie ! Mais bien sur qu’au fond je m’en fou Allen, je m’en fou complètement ! Je me contente de remplir ma part du marché rappel toi, mais sinon je ne vois pas se qui me forcerait à perdre mon temps à veiller sur ta personne. Allen tu dis n’importe quoi tu sais ? Alors boucle là avec Voldemort ! Tu es vraiment odieux quant tu t’y mets ! Ceci dit si tu veux jouer sur ce terrain là, alors jouons ! D’un point de vue certain, je trouve que mes parents avaient plutôt bien fait d’être ami avec Voldemort, oui parce que grâce a ça ils sont en vie, tandis que les tiens qui n’avaient pas ce privilège, ils sont tout simplement mort…pfouit..Partie en fumée. Oh si Allen, si y’a encore de l’aire autour de moi, même trop a mon gout, la preuve t’es pas encore mort, et ça c’est bien regrettable.
Le sang froid de Will sembla prendre un léger cou dans l’aile. Bien après elle, il devin a son tour grossier. Mais ou diable était passé leur bonne éducation ? Elisa comme toute serpy était de mauvaise fois, même si elle se servait de mot fort peu châtié, elle ne supportait pas d’entendre ce langage dans la bouche d’un autre…D’autant que les répliques au fameux « je t’emmerde » restaient fort discourtoise, et tout bonnement hors de propos dans la bouche de la jeune fille.
-Et bah y’a pas de quoi en être fière ! Tu jure comme un vulgaire marchant de poisson ! Et parle moi sur un autre ton je te prierais ! Normal ? Ha Ouai ?c'est donc normal aussi qu'ils aient voulu t'interner. Oh mais Allen, moi je ne demande pas mieux que de me taire, suffit juste que toi tu fermes ta grande gueule une bonne fois pour toute et on en parlera plus !
Elisa était dans un tel état d’énervement qu’elle se laissa emporter bien au delà de ses limites. Tous ceux qui se trouvaient à sa proximité en prirent pour leur grade, y compris, hélas Miller. William lui apporta un semblant de soutient inattendu. Miller ne tarda pas à rebondir.
La situation d’Elisa n’était déjà pas brillante jusque là, mais cette fois elle touchait le fond. Son regard noir se posa sur son professeur. Elle tacha de se reconstituer un visage neutre et de retrouver son ton froid et hautain. -Soyons réaliste, après la punition que vous venez de nous donnez, les toilettes de Mimi a coté, c’est vraiment rien .Mais allez y donc prévenez père, je suis certaine qu’il sera ravie d’apprendre a quel point les professeurs de Poudlard sont tombés bien bas ! Vous pensez vraiment que le fait d’alertez mon père va me faire peur ? Je ne pense pas qu’il attache vraiment d’importance a une femme qui n’a pour autre idée que de déshonoré la maison de serpentard ! Alors miss Miller, a votre avis, qui de vous ou de moi risque le plus d’ennuie si père est au courant de vos manigances ?
Elle avait pris son petit aire supérieur, celui là même qu’elle détestait mais qui correspondait bien à sa maison.
-Oh, et en matière de tatouage, il est vrai que vous en connaissez un rayon, n’est il pas ?
Allen, qui n’avait eut pour tord que d’approuver ses paroles se vit infliger la même punition. Elle grimaça
-Ha non ! Pas encore une semaine de punition avec lui !! Non, non et non ! Vous ne pourriez pas innover un peu de temps en temps ? C’est vrai quoi, c’est injuste, il a juste dit qu’il était d’accord!
Elle ne prenait nullement la défense d’Allen même si cela pouvait passer pour telle. Non, elle tout se qu’elle voyait c’était une semaine de nettoyage se profiler a l’horizon avec pour seule compagnie celle du rouge. Quitte à choisir elle préférait encore la solitude !
Allen et elle en était venus aux mains. Après une gifle était venu le cou de poing. Ce n’était pas la première fois qu’il en venait aux violences physique, mais là il était plus que clair que lui comme elle ne cherchait qu’une chose, faire mal. Les mots, les cous, tout était violent. Ils jouaient depuis longtemps à un jeu qui avait depuis perdu toutes règles. Chacun de deux voulait briser l’autre, l’empêcher de se relever. Chacun des deux espérait obtenir cet avantage qui garantirait alors que l’autre s’effacerait…Mais chacun des deux étaient emplis de ressources, et jamais non jamais cela ne s’arrêtait.
Allen la repoussa de manière brutale. Elle le foudroya du regard, serrant sa baguette dans sa main. Il lui fallait user de toutes ses ressources pour ne pas là, devant les autres, le briser à l’aide d’un sortilège. Quitte a être renvoyé de Poudlard, elle aspirait a une sortie glorieuse, une sortie digne d’une verte ! Son regard se souda à celui de Will. Non, elle ne baisserait pas les yeux, il en serait bien trop heureux ! Il voulait qu’elle se calme, mais elle sentait monter en elle cette même rage qui trop souvent faisait exploser tout se qui se trouvait a ses cotés. Elle serra fort sa main libre, essayant de canaliser sa rage.
Oui, c’était dégelasse se qu’elle avait dit… Rien n’était jamais dit avec douceur entre eux, ils ne devaient pas même se souvenir se que c’était que se parler de manière civiliser.
-Je te rappel que ma sœur est dans ta maison et que j’y ai moi-même pas mal d’amis ! Alors, oui je pense tout de même mieux connaitre ton milieu que toi le mien ! Oh, mais contrairement a toi je prendrais avec grand plaisir un petit séjour chez les gryffondors ! Je te rappels qu’ici celui qui a un problème avec les autres maisons c’est toi, pas moi ! Tu veux que je me calme ? Alors commence donc par te la fermer! Tu ne vois pas que c’est ta présence qui m’énerve Allen ? Il n’y a jamais qu’avec toi que les choses se finissent quasiment dans un bain de sang ! C’est peut être dégelasse, se que je dis, mais je serais sans nul doute beaucoup plus clémente à éviter ce genre de propos si de ton coté tu arrêtais de me traiter comme une aspirante mangemorts !
Ils avaient à présent tout deux leur baguette en main. Celle du rouge siffla dans l’air un peu comme une menace. elle n’avait pas envie d’entreprendre un duel avec lui. Pas là, pas devant les autres, pas dans un endroit aussi exigüe.
-Le choix, on l’a toujours Allen. Le monde est vaste, se que tu apprends ici n’est jamais que la surface de se que tu peux apprendre par toi-même. Tu restes a Poudlard pour bien d’autre raison que pour y finir tes études, inutiles de te cacher derrière cette excuse…toi comme moi savons trop bien que si tu restes ici c’est parce qu’a l’extérieur il n’y a personne qui t’attende, du moins personne capable de comprendre se qu’être un sorcier implique.
La verte aimait mettre des mots sur les maux. Que cela plaise ou non. Il était inutile de se leurrer, plus de la moitie des élèves de ce château y venait et y restait pour bien d’autre motif que pour apprendre. Elle secoua la tête, un sourire ironique sur ses lèvres
-Oh, non tout le monde sait plutôt combien le choixpeau est juste et omniscient. En des millénaires de répartition, il n’est pas une seule personne en qui il n’ait sut réellement lire. Je crois plutôt que cela t’arrange de croire que c’est une ordure comme cela tu évites de devoir affronter une vérité qui te dérange.
On pourrait croire au premier abord qu’Elisa c’était calmé, mais ceux qui la connaissait savait bien que ce n’était qu’une illusion. En cet instant plus que jamais, elle avait envie de planter tout ce joli petit monde, et de courir à travers les cachots, monter les étages et trouver refuge là haut, tout en haut de la tour d’astronomie. Là ou elle pouvait hurler au vent, là ou quelque part dans l’air flottait a jamais le souvenir de Jagged.
Au moment même où il parlait de fuite elle sentit ses minces barrières mentales fondre. Elle aurait donné cher pour savoir comment il faisait ça, comment il arrivait à entrer en elle alors que jusque là Jedusor n’y était jamais parvenu. Se pouvait-il qu’elle soit plus faible face a lui que face a Leonard ? Il fallait rompre le contact de leur regard, elle le savait. Mais d’un cou, sans qu’elle comprenne tout s’enchaina. Dans sa tête les images se mélangèrent, des bribes de choses inconnus lui parvenait et se mêlait.
Elle le vie lui, une chambre immense, un ado au visage ravagé par les larmes et la colère, balançant de toutes ces forces se qui se trouvait a sa porté en hurlant des « pourquoi » qui se résonnaient dans la pièce. Elle enregistra ce souvenir comme étant celui de William le jour de l’annonce de la mort de ses parents. Puis elle vit un autre ado au regard noir dessinant sur un mur la marque des ténèbres. Elle connaissait assez ce regard pour savoir qu’il appartenait à Leonard. Puis ce fut une femme, une femme qui en torturait une autre sous le regard même du seigneur des ténèbres. Miller. Les images se brouillèrent et Elisa cria
-Arrêtez !! Stop, sa suffit ! Arrêtez !!
Elle avait mal, l’impression que sa tête allait exploser. Et puis comme c’était venu, tout s’arrêta. La verte resta un moment immobile la respiration saccadé. Son regard allait de Leonard a William avec en eux comme une légère trace d’effroi. Jamais jusque là elle ne c’était posé de question sur le comment Will avait vécu la disparition de ses parents, et elle ne voulait rien connaitre. Elle calma les battements de son cœur.Elle préféra poser son regard sur William
-Des fuites hein?! Je vais t’en fiche moi des fuites ! Ne recommence pas ce petit jeu avec moi William ! Tu sais que ça fait mal ! Alors quand en plus vous vous y mettez a trois, est ce que par azard tu cherches à me rendre dingue ?
Miller à son tour reprit les garçons, mais d’un cou le son même de la voix de son professeur lui donnait la nausée. Elle se demanda si elle était sérieuse, si elle allait vraiment lasser Will et Léo s’entrainer ensemble. Elle secoua la tête et murmura à William
-Si tu devais me faire qu’une seule promesse William, une seule, une unique, c’est le moment…N’accroches pas le regard de Jedusor, jamais. N’essaies pas de lire en lui.
Elle ne savait pas pourquoi elle ressentait cette sorte de panique, un peu comme un mauvais pressentiment. Elle ne prit pas forcement garde que du Allen elle en était revenue au William. A présents qu’ils étaient dans la salle commune, les sarcasmes avaient repris de plus belle.
-Si, merci j’ai bien compris. Je te rappel que j’étais là quant les circonstances de cette fâcheuse histoire ont commencé. Des adieux ? Parce que tu sais se que c’est que des adieux toi ? Alors là ravie de l’apprendre, non parce que quant on sait la manière dont tu as mit fin a notre relation, on est en droit de se le demander. T’en fait pas Allen, y’a absolument personne ici qui aura envie de te retenir plus que nécessaire, avec un peu de chance t’auras même droit d’être raccompagné vers la sortie dans les règles de l’art.
Elle haussa les épaules. C’est vrai que le choix niveau dortoir était pas vraiment encourageant. Entre celui des sixièmes avec Jedusor ou celui des cinquièmes avec Malefoy…Pas vraiment de quoi donner envie a un lion.
-Navrée, au pire on peut peut être faire un effort en mettant Malefoy avec Jedusor pour une semaine afin que l’on soit a peut prés sur que personne ne vienne te tuer dans ton sommeil…nan, je plaisante, sa va me regarde pas comme ça, personne va te tuer pendant que tu dors …
Enfin, elle espérait en tout cas. Ha ça pour être un comble sa en était un, pourquoi fallait toujours qu’ils se retrouvent ensemble dans les pires situations ?
-ça tu l’as dit…M’enfin j’aurais bien dut me douter que si quelqu’un t’envoyait en enfer y’aurait des ricochets sur moi, c’est toujours comme ça.
A croire qu’ils avaient un lien invisible qui les unissait. Soudain, elle se rappela d’un de ses cours de troisième année ou le prof avait dit « quant un sorcier sauve la vie d’un autre de manière volontaire, alors l’autre se retrouve lié a lui magiquement jusqu'à se que sa dette soit rembourser ». Elle se mordit la lèvre… Elle lui remit son emploie du temps
-Ravies de voir que tu arrives à faire encore un peu d’humour.
Miller allait partir et la repris une dernière fois. Elle serra les dents et attendit que sa prof ait refermé la porte avant de lâcher
-Agréable ? Parce qu’elle l’est agréable elle ? Nan, mais je rêve ! Et comme ci la situation avait quoi que se soit d’agréable franchement !
William se prononça enfin, il restait. Elle le fixa un moment impassible. Sa colère était toujours là. Elle ricana
-Tu vas vivre dans cette salle commune, manger a la table des verts, aller en cours avec les verts...Alors qu’en bien même je ne voudrais pas te suivre j’y serais tout de même contrainte. si tu disparais et que tu t’attires encore des problèmes comme tu en as la fâcheuse habitude, c’est sur moi que Miller va abattre ses foudres ! Je te rappel que je suis censée faire en sorte que ta semaine ici se passe dans de bonnes conditions, et c’est bien se que je compte faire en te laissant seul le moins possible !
Son regard embrasa celui du rouge tandis qu’elle réprimait une envie de rire. Elle le regarda de la tête au pied avant de finir par dire
-Allen, si tu étais réellement capable de prendre soin de toi tout seul, tu crois que tu serais ici ?
Elle remarqua que lui comme elle avait toujours sa baguette en main. Elle ne voyait plus l’utilité de les garder sortie pour le moment
-range ta baguette ou ils vont finir par croire que tu as dans l’intention de te battre.
Elle-même fit glisser la sienne dans sa manche. Jamais bien loin de sa main. Soudain, prise d’une envie de savoir, savoir si ces images avaient été réelle, savoir pour mieux les éliminer, elle finit par lui demander
-William, est ce que…enfin quant tu as sut que tes parents étaient…Enfin qu’ils avaient été tué, est ce que tu es entré dans une colère noire en ravageant une chambre ?
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Mar 7 Avr - 18:34 |
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Etre content de quoi ? Evidemment que non qu'il n'était pas content de s'être encore une fais fait remarqué par Miller. Cette prof était un vrai cauchemard. Mais un cauchemard réel, et ça, c'était vraiment dur à admettre...
Elisabeth ne comprendrait jamais sa façon de penser. Remarque, le jour ou William comprendrait celle de la préfète, ce jour deviendrais la journée de la paix ! ça existe déjà ? Dommage... sinon, faudrait inogurer.
- Mais t'es idiote ou quoi ?! J'obéïs à personne !! Surtout pas à une préfète vaniteuse, débile et corromput !! Alors essayes même pas de me donner des ordres, gâche pas ton énergie pour ça, parce que tu sais que j'obéïrais pas !! Eh bien tant mieux !!! Tant mieux que je te plais pas !! Sinon ça m'aurait vraiment dérangé vu que t'as mauvais goût !!!
Qu'elle passe ses nerfs de préfète en échec sur quelqu'un d'autre ! William accordait une moins grande importance à ses points, mais ce n'était pas une raison. Il se disait, qu'un jour où l'autre une de ses camarades rattrapperait les points perdus.
- Non, tu te fiches de moi et moi de toi !!! Mais t'as qu'à faire comme si ! Miller verra rien sans son télescope... Ouais, comme si, mais dis pas t'en en l'intention, parce que je me débrouille très bien tout seul ! Parfaitement ! Pas besoin que tu jette ton dévolut sur moi !!! Quoi ? Vol-de-mort t'as peur de son Winster ? Haha ha ! ça m'étonne pas ! Odieux moi ? Mais je ne fais que te renvoyer l'assenseur ! Le... ouais... assenseur. Mais tu sais ce que ça veut dire ? Que tes parents étaient des corrompus ! Et que toi aussi ! Vas-y montre-moi un peu ton signe là ! Que je m'amuse un peu !
Qu'est-ce qu'elle avait avec ses parents ? C'était terminé maintenant, il était passé à autre chose, fini, pfouit... partie en fumée, comme elle disait. Elle essayait quoi au juste ? De lui apprendre les bonnes manières ? Impossible, William en avait rien à faire des régles il avait beau s'être fait réprimandé plusieurs fois par ses parents, il mettait toujours ses coudes sur la table. Quand bien même, ça ne lui servait à rien... et vu que ses parents étaient désormais partis, plus personnes n'avait vraiment d'autorité sur lui.
- On s'en fous, j'en suis fier quand même ! Hem... non, je préfèrais marchant de glaces, parce que des glaces, ça tous le monde en veux... du poisson, ça fais moins... enfin tu vois ? Mais postule pour crétine atteinte à St-Mangouste, je veux bien témoingner et t'aider pour les formulaires, ils te prendrons surment plus vite si tu leur montre ton... truc au bras, là. Mais ferme-la toi d'abord !!! Pourquoi moi en premier ? Toi d'abord je te dis !!!
Miller n'arangeait pas les choses. S'il avait été simplement entre eux, William n'aurait pas hésiter à lui en coller une de nouveau. Mais cette fois, Miller semblait s'interposer à chaque coups qu'ils se portaient. Les manoeuvres devenaient serrées.
- Exactement Ma-da-me !! Vous demandez grâce ? Manquerait plus que ça !! Je crois que vous vous prennez trop au sérieux, oui c'est ça, oui ! Vous pensez vraiment être indispensable mais vous servez à rien du tout !!! Juste... vous nous emmerdez, ouais, j'ai pas l'audace de tenir de tels propos, je sais... Ma crise de quoi ? Mais je sais très bien qui je suis !! Je suis un Gryffondor !!!
Ah... ça fait plaisir à entendre. Il doute que Miller trouve à répondre à cette réplique. Lui clouer le bec serait aussi très comique... devant tous ses verts ou dans sa propre salle de classe. Et alors là, qu'il se met enfin en accord avec Elisabeth, voilà qu'elle lui colle une punition sous le nez ! C'est pas possible ça ! Elle leur fait la morale mais quand ils font des efforts elle est même pas capable de le voir !
- QUOI ?!!! Mais pour une fois qu'on est d'accord sur quelque chose !! Non, non !! J'irais pas !!! Rien à faire, j'irais pas !! Je retire ce que j'ai dis, si vous voulez ! Je suis d'accord, Winster est une sale gamine mal éduqué... c'est pas ma condiciple !! C'est une mauvaise graine... une mauvaise herbe qu'il faut arracher !! Hein Winster ?!!
La partie perdait toutes les règles. Essayez de mettre deux personnes qui se déteste face à un plateaux de jeu, normal, les deux vont vouloir gagner face à l'autre. Mais au bout de quelques minutes, si ces personnes là s'appellent Winster et Allen, les règles eh bah... elles existeront plus...
- Et bah ta soeur elle doit pas être mieux !! Mais ça prouve quoi ? Que les Gryffondors sont plus sociables qu'ici !! C'est tout ce que ça veut dire !! Toi par contre t'as un problème avec TA propre maison !! Et ça, tu veux pas l'avouer... Oh hey, tout le monde, vous savez quoi ?
Ce n'était pas très malin, non, sans doute pas, mais quand on veux gagner sans les règles, alors ça veut dire que tout est permis.
- Bah pour finir mes études j'ai pas vraiment le choix, non... ça veut dire quoi ton sous-entendus bidon là ? Mouais, non, ferme-la Winster, au lieu de dire des conneries !
Elle se décidait vraiment à continuer sur les sujets tabous. Le pire ? William ne voyait pas sur quoi, lui, pouvait-il la titiller. Et ça l'énervais d'avantage que le suejt en lui même.
- Le Choixpeau est une ordure !! Et toi tu vas te la fermer !!
Et zut... il faut toujours quelqu'un pour venir l'arrêter. C'est vraiment rare de pousser l'esprit de Winster à bout. C'est dommage. Après, au moins, elle pourrait obéïr et se la fermer. William affiche un sourire mauvais avant de répondre à son professeur.
- Mais ce serais avec plaisir ! Crie pas comme ça, Winster... je t'ai rien fais... tu vois, t'es faible ! Mais je recommencerais autant que je veux !! Et tant mieux si ça te fais mal !! Exactement, ouais, hem en faite non, t'es déjà dingue !
Hum, hum... ça fait longtemps que je suis intervenue... *Et c'était très bien comme ça...* Tu peux bien parler, Will, t'as encore beaucoup à faire pour devenir un vrai Occulmence...
Elisa s'adressa à William à mi-voix, ce qui le força à interrompre la disscusion avec sa conscience.
- Et tu crois que je vais encore t'écouter ? Essaye un peu d'acheter mon silence... ou plutôt... ma bonne conscience...
C'était pas donné à tout le monde d'avoir ce monopole. Non parce que William était pas du genre à réfléchir avant d'agir. Il doutait vraiment qu'un jour elle puisse l'empêcher de faire quoi que se soit, ni n'importe qui, ni Miller, ni Jedusort même.
Miller et Elisa répondir de suite à sa question. Dommage, il n'y a rien gagner de plus.
- Parce que c'est moi ? Arrête de dire que c'est de ma faute !! C'est même pas vrai !! Changes de sujet !! Tout de suite !! Ou ton esprit va savoir ses limites !!
Question dortoir, c'était lamentable. Elisabeth s'essaya à l'humour tout en proposant une solution, mais c'était raté. William afficha un air grave avant d'annonçer ferme.
- Tant pis, je dormirais pas
La verte se lamenta ensuite. Bien sûr, ça ne l'arrangeait pas non plus de se retrouver ensemble, en enfers. William ne trouva rien à répondre, trop occupé par les dortoirs.
De toute façon, va bien falloir que tu dormes un jour ou l'autre... tu peux pas tenir une semaine entière, impossible... *Mais tu veux que je fasses quoi ? T'as une autre idée ?*
Il remarqua que la préfète se mordit les lèvres, sans bien comprendre pourquoi. Il était à son tour trop angoissé pour y réfléchir. La Serpentard apostroffa son professeur. William n'hésita à renchérir.
- D'un autre côté, comment voulez-vous qu'une sale gamine mal éduqué soit agréable ? C'est impossible... nous sommes tous d'accord...
La verte ricanna. William lui accorda un regard interrogatif. Qu'est-ce qu'y lui prenait ? Après se mettre des baffes toutes seules ?
- La ferme, je sais très bien dans quoi je me lances, contrairement à toi, moi je lis les petites lignes dans un contrat ! Bien sûr, dit plutôt que je suis damné !! Tu vas me fiche la paix, oui !! Ne comptes pas sur moi pour rester bien sagement avec les préfets, ok ? Hors de question !! Si tu te transformes en Miss Pot-de-colle, c'est moi qui va de coller ! Tout en haut de la tour d'astronomie, et un beau cadeau pour Miller !
William observa longuement les lieux, sans plus oser adresser un regard à Elisabeth. Mais il sentait bien qu'elle, le fixait, l'interrogant.
- Normalement à 16 ans tu es capable de faire tes devoirs tous seuls, de trouver ton chemin, de parler et s'exprimer, alors je sais faire tout ce que tu veux, mais ne me colle pas, non, ne me traîne pas avec toi...
A sa demande, et bien une rare fois, il obéït, rangeant sa baguette dans une des poches de sa nouvelle robe vert et argent. William ne s'y ferait jamais.
- Hein ? Quoi ? C'est toi qui l'as eus ça ? Merlin, je pensais que c'était Miller... peut-être que on tous vus... en tout cas... elle avait l'air très... agressive Miller en tant que Mangemort... j'espère jamais avoir affaire avec son Doloris...
C'était inutile de lui mentir là-dessus, elle le savait bien. Il aurait dû mieux fermer son esprit, surtout lors d'écanges nombreux, on perdait plus facilement contrôle. Même Miller avait cédée.
- Ouais, c'était bien moi, oui. Non, j'ai démolit ma chambre seulement... et je finir par démolir ta salle commune... il n'y aura pas de jaloux...
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Lawena Miller
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Lun 13 Avr - 20:15 |
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Un point pour la verte. C’est vrai que je doute que son père apprécie la manière dont je punie sa fille. Connaissant Charles Winster, il en serait malade d’apprendre que j’ai obligé sa fille à côtoyer un né moldu jusque dans sa propre salle commune. Mais bon, je suis loin d’être effrayé pour autant, il m’en faut bien plus que des menaces pour me faire réaliser une marche arrière. Je n’ai jamais agie que par l’instinct de justice, une justice qui m’est propre certes, mais qui n’en reste pas moins quelque chose a laquelle je suis attachée. Elisabeth Winster est un élément perturbateur dans ce château, c’est uniquement pour cela que je suis obligée de prendre des mesures. A cela s’ajoute le fait qu’elle n’est pas seule à perturber le bon ordre, non William Allen lui prête facilement compagnie, rien d’anormal donc a se que ce soit a deux qu’ils assument les circonstances de leurs actes.
Et puis que pourrait donc me faire monsieur Winster ? J’en ai tué bien d’autre avant lui, j’en ai maté d’autre aussi…Si sa fille pense qu’il suffirait que son père lève le petit doigt pour que je perde mon emploie c’est qu’elle ne connait pas mes propres fréquentations. C’est marrant quelque part, Elisabeth sait parfaitement que j’ai servie le seigneur des ténèbres, elle devrait donc se douter que je ne suis pas une quelconque petite prof de pacotille. Peut importe le pourquoi je portais cette marque, peut importe se qui m’a motivé..Le fait était que lorsque je me suis présentée devant le seigneur, il n’avait pas rejeté ma venue bien au contraire…Et ça, visiblement Winster n’y pense pas. C’est sans doute pour ça que face à sa provocation j’amorce un sourire.
-La colère miss Winster, c’est se qui motive vos paroles…je suis certaine que lorsque vous aurez retrouvé un peu de sang froid, vous verrez a quel point mes intérêts, les vôtres et ceux de monsieur Allen résident dans le simple fait que personne n’alerte votre père sur se qui se passe ici. Vous savez, miss, jamais Charles ne m’a fait peur et ce n’est probablement pas maintenant que cela va commencer. Je vous suggère jeune fille lorsque vous menacez quelqu’un de vous assurez que vous avez bien toutes les cartes en main, et là je crains que justement cela ne soit pas le cas !
Oui, Winster sait, elle sait très bien que sur mon bras se dessine la terrible marque qui faisait de nous les esclaves d’un homme qui n’en était même plus vraiment un. Je n’ai jamais cherché à cacher se que j’étais, je n’en ai pas honte. Mais je n’exhibe pas non plus mon tatouage, par respect pour ceux qui ont perdu un être cher dans la guerre. Jadis je fus une traitre que nul n’a sur identifié..J’en reste toujours une, prête s’il le faut à reprendre ma place.
-Tout comme il est vrai que vous n’aurez jamais le courage requis pour la porter miss ! Vous qui êtes avide de toujours vous défendre lorsqu’on vous juge sur votre blason, peut être mettez vous trop de hâte a jugez les gens de par leur tatouage ! Vous pensez tout savoir Winster pas vrai ? Et pourtant vous n’avez jamais fait qu’égratigner la surface des choses…
Je reste dans le flou volontairement. Allen trouve que je me prends trop au sérieux, j’avoue que cela me ferait presque rire…je dis bien presque…Parfois je regrette presque de ne plus pouvoir comme dans le passé simplement lever ma baguette et d’un geste effacer se qui m’ennuie. Car oui, je dois le dire ces deux là m’ennuie, m’agace, m’épuise. Si nous étions encore en guerre, il ne fait pas l’ombre d’un doute que nous serions déjà en train de découvrir leurs corps quelque part, mystérieusement assassiné. Oui je suis quelque ‘un d’expéditive, mais il ne faut pas me pousser a bout. Je peux vivre dans mes retranchements jusqu'à une certaine limite, et là précisément depuis longtemps ils l’ont franchit. Comme je suis heureuse qu’Aaron ne soit pas là en cet instant…je sais qu’il n’est jamais loin, mais il serait le premier à s’offusquer devant cette violence qui se diffuse dans mes veines. Il est un peu celui qui me clame, me tempère…Sans lui, je ne sais pas si je serais capable chaque jour d’affronter mes élèves sans en tuer au moins un.
-Et moi je pense Allen que non seulement vous vous donnez trop d’importance mais qu’en plus vous me sous estimez ! Vous n’êtes qu’un gamin imbu de vous-même, incapable de vous taire quant la bienséance le réclame ! Vous n’avez aucun savoir vivre, aucune limite…Je ne sers a rien du tout ? Oh si..Je pourrais servir…vous savez, il suffirait d’un rien pour que finalement de vieux reflexe me reviennent..Un mort ou deux cela n’a jamais perturbé Poudlard ! Mais si je vous emmerde Allen, prenez donc la porte, allez y ne vous pensez surtout pas indispensable a Poudlard, je vous rassure le château survivra sans mal a votre absence. Oh oui ça pour être un gryffondor vous en êtes un sans aucun doute ! Vous oui..Mais que dire de cette autre partie de vous-même ?
Sourire en coin, je ne m’avancerai pas plus d’autant que déjà Winster proteste sur ma façon de distribuer des punitions. Allen enchaine d’ailleurs avec une ardeur que je ne leur connais guère. C’est un fait que les voir d’accord est si rare que je ne peux qu’être surprise
-Pourquoi innover ? Le principe même d’une punition n’est elle pas justement de se révéler désagréable ? Vous voyez a quel point je suis subtile ? Il vous suffirait de ne plus vous faire la guerre pour ne plus a avoir a vous supportez c’est ironique non ? Monsieur Allen, je vous en prie un peu de tenu…inutile de revenir sur vos paroles, on croirait presque voir Potter là, c’est affligeant. Et je vous serais gré de respecter votre camarade ! Ici, il n’y a qu’une seule personne qui puisse vous jugez et c’est moi ! Je crains fort que miss Winster n’ait aucune leçon à recevoir de vous en la matière d’éducation.
Je les laisse un moment se disputer, discuter, réfléchir, converser, en profitant pour revivre un peu mon passé a travers les souvenirs. Je surprends Jedusor et Allen en train de se livrer à une pratique de légilimencie des plus basses. Sans doute aurais je dus penser qu’intervenir mentalement n’était pas une bonne idée, mais il est déjà trop tard. Les premières barrières à céder son celle de Winster, suivit d’Allen, puis de Jedusor. Les miennes aussi devant cette double attaque brutale ne font pas long feu, mais j’ai l’impression que chacun de nous essaie de retenir ses pensées. Quelques bribes filtrent, et c’est le crie de Winster qui coupe au final court a cette échange qui aurait put se révéler dangereux. J’ai à présent dans la tête des souvenirs qui ne sont pas les miens…Deux gamins, l’un dessinant des marques des ténèbres l’autre fracassant une pièce et une gamine essuyant ses larmes au milieu d’un dortoir ravagé. Je n’ai aucun mal à savoir que ce sont là des souvenirs de Jedusor, Allen et Winster. J’ai la fichu impression que mon intimité a dut filtrer, c’est le regard fuyant de Winster qui m’en conviant.
-Oh non monsieur Allen, je ne crois pas que vous recommencerai, non surement pas ! Voyez vous Allen, lorsqu’on se pose comme un défenseur du bien, on évite en général d’infliger, même a une ennemi une douleur comparable a celle d’un doloris de haut niveau ! Sinon c’est qu’on n’est pas si blanc qu’on veut le faire entendre !
Les paroles d’Allen me confortent dans l’idée que chacun de nous a reçu ces visions. Je ne suis pas en mesure de savoir exactement se qui a put filtrer de moi, mais au vue du regard fuyant de Winster et du petit sourire de satisfaction de Jedusor je me doute que ce n’est pas du jolie. Froidement, je réponds à Allen
-En effet, je crains que chacun de nous ait vue un souvenir des autres ! C’est exactement pour cela que vous Allen devez a tout pris discipliner cette foutue curiosité maladive ! Essayez de comprendre pour une fois que vous n’êtes plus avec des petits joueurs de bac a sable incapables de se défendre ! Votre esprit ouvre la porte vers vos faiblesses, mettez vous ça dans le crâne !
Je m’éclipse de la salle commune au moment même ou Allen est en train de palabrer sur les manières de Winster. Le portrait se referme sur ces mots
-En matière d’éducation vous sentez vous supérieur a Winster peut être Allen ?
Le portrait coulisse et je disparais. Le silence du couloir m’apaise. J’entends en moi la voix d’Aaron exaspéré…finalement il n’a rien manqué de ce petit échange..Je ne veux pas l’écouter, je ne veux pas savoir ou sont les failles de mon plan..Je ne veux plus savoir si finalement je suis du bon ou du mauvais coté de la barrière….
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Sam 18 Avr - 15:06 |
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Elisa ne se voyait pas particulièrement comme quelqu’un d’idiote, mais la remarque de Will tellement habituel ne lui fit au final ni chaud ni froid. Il ne comprenait vraiment rien… Il persistait à croire que son but était de le faire marcher a la baguette, alors qu’en faite tout se qu’elle demandait c’est qu’il se fasse oublier ! Qu’il se taise, et alors tout irait pour le mieux ! Mais c’était surement trop demander à cet imbécile..Elle leva les yeux au plafond, commençant franchement par être saoulé de tout cela. Mais le pire c’est qu’elle ne pouvait même pas le planter là et se casser, non, elle ne pouvait pas ! Pourquoi ? Mais parce qu’alors il crierait victoire et ça il en était hors de question. Elle ricana
-Ha Ouai t’obéis a personne ? Bah Quesque tu fou là alors ? Vas y casse toi…restes pas la…tire toi…bah Ouai parce que si tu viens c’est bien parce que t’obéis a Miller nan ? Donc ton personne, il a des exceptions. Je peux être tout se que tu veux Allen, j’en ai plus rien à foutre de tes insultes, la différence elle sera toujours là… je serai toujours préfète alors que toi t’es queue dalle…Et ça c’est se qui t’es resté en travers la gorge depuis notre cinquième année !Je suis débile ? Toi t’es con. Je suis vaniteuse ? Toi t’es bouffé par ton orgueil qui ne cesse de faire gonfler ta tête, je suis corrompu ? Mais toi Allen t’es un traine misère. J’ai mauvais gout ? Là je suis entièrement d’accord..C’est vrai que je dois sérieusement avoir de sale gout pour être sortie avec toi !
Mais bien sure Miller saurait rien… Il était idiot de nature ou bien il le faisait exprès là ? Parce que Miller savait toujours tout c’était bien connu. Le plus drôle c’était encore de le voir se ridiculiser en utilisant des mots moldus qu’il pensait qu’elle ne comprenait pas..Bah pas de chance, elle avait étudié les moldus. Elle n’avait même pas frissonné au nom de Voldemort, aussi elle secoua la tête exaspérer se demandant si quelque part au lieu de le mettre chez eux Miller n’aurait pas dut le faire interner. Il était parano, mais en plus il voyait des choses…ça devenait grave là . -Mais évidement qu’on se fiche mutuellement l’un de l’autre ! Tu crois peut être que ton petit cas m’intéresse ? Mais va te faire foutre Allen ! Je ferai ce que je dois faire et point barre , tu crois peut être que parce que tu me le demande je ne vais pas te coller au basque ?! Je fais se que je veux Allen, et si je veux te pourrir l’existence un peu plus je le ferai ! Et si grâce à ça tu finis par aller t’exploser en bas d’une tour et bah j’en serai très fier ! C’est cela oui…et je suis sensé te croire quant tu prétends que Miller saura rien ? Oh oui tu te débrouille très bien tout seul ça c’est sur…sa se voit même..On voit combien t’es capable de te demerder tout seul pour te foutre dans les emmerdes…et pour m’y entrainer avec toi par-dessus le marché !Mon dévolu ? Non la seule chose que j’ai envie de balancer sur toi, outre mon poing dans ta tronche, ça doit être ma haine ! J’ai l’air d’avoir peur ? Mais tu prends tes rêves pour des réalités mon pauvre…t’es vraiment grave là, va te faire soigner ! VOLDEMORT ! Là ! J’ai peur de le dire peut être ? VOLDEMORT !
Elle jeta un regard vers Jedusor qui était en train de les regarder…il devait bien se demander se qui prenait a la verte d’hurler ainsi le nom de son père. Il allait ouvrir la bouche, mais Elisa ne lui en laissa pas le temps.
-oui toi odieux ! Non y’a pas d’ascenseur qui tienne dans cette histoire Allen, c’est toi et uniquement toi qui est désagréable depuis toujours ! Mes parents n’étaient pas plus corrompus que ceux des autres ici ! Quant à moi…t’insinues quoi là Allen ? Hein ? Vas y dit le…t’insinues peut être que je porte la marque ?
S’il était une chose qu’Elisa avait en horreur c’était bien d’être comparé a ces sous fifres de mangemorts. Elle n’avait jamais porté la marque, et jamais elle ne la porterait. Depuis ses 15 ans qu’elle avait fini par comprendre les choses et ouvrir les yeux…Elle n’était pas de celle qui ploie devant un homme…Aussi puissant soit il. Elle avança vers Will, l’orage brulait dans son regard. Elle remonta ses manches , laissant apparaitre ses bras nus. Des bras sur lesquelles on pouvait voir quelques cicatrices, mais en tout cas aucune marque. Elle retourna ses poignets, laissant apparaitre un petit cœur tatoué…Symbole d’amitié entre Anna et elle-une longue histoire- mais en tout cas certainement rien à voir avec la marque des ténèbres.
-Et alors tu t’amuses bien ? Tu veux peut être une loupe ou un télescope pour mieux regarder ?!
Marchant de glace, marchant de poisson, marchant de tissu ou bien pendu, qu’est se qu’elle en avait à fiche de toute façon de se qu’il allait devenir ? Rien, absolument rien..Tant que se qu’il devenait était loin d’elle, la verte ne s’en porterait que mieux. Et il continuait avec cette histoire de bras…Serait il myope ? Fallait croire…
-Le jour où j’aurai besoin de tes services pour m’aider à remplir quoi que ce soit, Jedusor offrira des roses au gryffondors ! Toi si tu continues ce n’est pas comme crétin que tu vas finir là bas, mais comme patient…oui une fois que j’aurai démoli ta tronche a cou de talon aiguille et fait de la bouillie pour Veracrasse de se qui te sert de cerveau ! Putain mais t’as besoin de lunette ou quoi ? Je viens de te les montrer mes bras..Alors lâches moi avec cette histoire ! Toi en premier parce que t’es con et aussi parce que t’es pas chez toi ici !
Miller en profita pour revenir a la charge-pouvait pas se taire celle là ?- Elisa lui retourna un regard noire, mais s’abstient de tout commentaire. « Charles » comme elle le disait, ne serait surement pas heureux d’apprendre en effet que c’était en grande partie à cause de sa fille qu’un rouge se retrouvait là. Le silence est parfois mère de sureté, et plutôt que de risquer d’en prendre d’avantage dans le museau, Elisa opta pour se taire. Elle se fichait bien de tout savoir, la surface des choses la dégouttait déjà bien assez. Puis se fut le tour de Will de se prendre une douche glacé, un moment sommes toute beaucoup plus agréable. Entendre Miller parler de morts comme d’autre parleraient de balaies, ne lui donna pourtant pas très envie de rebondir. Allen lui bien sur ne put s’empêcher de faire commentaire et Elisa releva la tête vers lui. Personnellement la verte n’avait pas tellement envie non plus de partager une autre punition avec lui, mais en même temps il fallait être réaliste : a quoi bon protester devant Miller ? A rien…
-hey tu sais se qu’elle te dit la sale gamine mal éduqué ? Oui voilà Madame Miller a raison, je n’ai aucune leçon à recevoir de toi sur ce point là ! Si moi je suis une mauvaise herbe qu’il faut arracher toi t’es quoi ? Un nain de jardin qu’il faudrait éradiquer ?! Quant a « gamine » permet moi de te dire que niveau maturité t’es mal placé pour jugé ! Nan mais quel sale gosse franchement !
Une attaque directe sur sa sœur, la chose à ne pas faire. Lina était un peu plus jeune qu’Elisa, mais elle savait exactement là ou elle voulait allez dans la vie. Un moment elle pensa à Sébastien. Elle se rappela qu’ils avaient discuté de cette façon de mettre une étiquette sur les sorciers en fonction de leur blason…Alors qu’en faite, il y avait autant d’associable chez les rouges que dans les autres maisons. Elle attrapa, Will par le devant de son col et le secoua fortement.
-Dis encore un seul truc sur ma frangine Allen, et t’aura même plus de question a te poser sur ton avenir…juste a nous dire ou tu veux être enterré ! Ma sœur est une gryffondor, alors évites de la salir avec tes propos répugnant ! Tu crois que les rouges sont TOUS sociables ? C’est n’importe quoi…Vraiment n’importe quoi ! Alors op, on te met un blason sur la poitrine et sa voudrait dire que tu es TOUT ce que la maison que tu représentes veux que tu sois ?! Y’a aussi des associables a gryffondors, la seule différence c’est que par rapport a ici peut être qu’ils le montrent moins. Je n’ai aucun problème avec ma maison Allen ! Pour le moment le seul problème que j’aie il est avec TOI !
Non, Elisa n’avait pas de problème avec sa maison…ou plutôt si elle en avait mais bon, elle n’avait pas tellement envie que tout le monde sache de quoi il en retournait. Elisa était fière d’être verte, le problème c’était que par contre, elle n’était pas fière de se qu’être vert pouvait impliquer. Elle aimait sa maison , mais pas leur préjugé….
-Tu te TAIS !
Plus de règles, sa signifiait forcement plus de cou bas aussi.
-Oui, tu te tais, ou bien moi aussi je pourrais leur raconter certaine chose a ton sujet…je ne sais pas..Par exemple comment qu’il a fallu que je te sauve la vie…ou bien comment tu t’es ramassé des cous de pieds sans même pouvoir réagir…Joues pas avec moi Allen..Tu sais des choses mais moi aussi…tu la boucles, je la boucle..Tu l’ouvres..Je déballe..Aussi simple que ça.
Elle haussa les épaules
-le château ne se porterait pas plus mal sans toi tu sais. Je suis même pas étonné que t’es pas compris se que je voulais dire…faut dire que t’es pas très intelligent aussi…Enfin désolée mais je ne vais pas perdre mon temps a tout t’expliquer. Non, toi fermes là ! Non content de polluer mon aire, voilà que tu pollues aussi mes oreilles.
La force d’Elisa résidait sans doute sur le fait qu’elle connaissait les gens bien plus qu’eux ne la connaissait vraiment. La verte n’était pas du genre à s’étendre sur sa vie, et mis a part ses amis, bien peu était en mesure de l’attaquer a cou d’arguments valables. Elle lui jeta un regard-du genre qu’on jette à un cafard- et se mit à ricaner
-En ce moment j’hésite entre savoir si c’est le choixpeau ou bien toi l’ordure ! Tu sais quoi ? Je me la fermerais quant tu seras devenu intelligent…c'est-à-dire JAMAIS !
Elle ne vit rien venir, sommes toute normal vue qu’une attaque mental ne se voit pas. Mais par contre elle ressenti bien la chose. Une multitude de souvenirs se brouillèrent dans sa tête tandis qu’elle sentait ses barrières se réduire. Elle détestait son sourire ! Tout comme elle commençait à en avoir marre de l’entendre dire qu’elle était faible
-JE NE SUIS PAS FAIBLE !!! Tu veux ptêtre faire un essaie avec Leonard pour voir si tes barrières tiendront le choc longtemps ! Et on verra si t’es si fort que ça, monsieur je me crois meilleur que le monde parce que j’ai un don magique particulier ! Essaies seulement de recommencer, vas y essaies..jte jure Allen si tu ressorts d’ici entier et vivant sa sera surement pas grâce a mes bon soins ! Je suis peut être dingue mais ce n’est pas moi qui a été interner dans un asile !
Elle n’avait pas dans l’idée de lui acheter quoi que se soit. S’il ne voyait pas l’intérêt de ses conseils alors tant pis pour lui. A croire que Lin avait raison, que les gryffondor étaient tous des suicidaires. Elle haussa les épaules, comme si au final elle se fichait de tout.
-Parce que tu crois qu’elle vaut quelque chose ta bonne conscience ? Même un chocogrenouille couterait plus cher. Je ne te demande pas de m’écouter..Je te préviens c’est tout…Après t’es grand, quant tu te seras ramasser, moi je serai toujours là pour en rire.
Oui, finalement cela lui ferait bien plaisir que pour une fois quelqu’un puisse le remettre à sa place sur son propre terrain de jeu. Même si ce quelqu’un devait être Jedusor. Comme a son habitude il chercha à éviter le sujet. Elle en aurait bien ricané .
-Je change de sujet si je veux ! Mais il faut bien que sa soit quelqu’un non ? Donc OUI c’est toi ! Tes menaces Allen, tu sais ou tu peux te les coller ?
Il pouvait bien faire comme bon lui semblait, elle s’en fichait. La verte avait son dortoir a elle, avec son amie…Elle dormirait ELLE…D’ailleurs, elle afficha un sourire ironique qui a lui seul en disait long sur se qu’elle en pensait. Elle se fit à nouveau traiter de « gamine mal éduqué » se qui eut le don de la faire soupirer de lassitude. Elle commençait à avoir mal à la tête de l’entendre dire des conneries.
-D’un autre coté, avec un sale gosse givré a mes cotés c’est dur d’être agréable.
Quoi encore ? Parce qu’elle ne savait pas lire les petites lignes peut être ? Mais il allait encore s’en prendre une lui…là il la saoulait vraiment !
-Moi je sais se que je fais ! Ce n’est pas moi qui suis coincée dans la maison ennemi avec pour nounou une personne qui te hais peut être encore plus que tous les autres réunis ! Dans tes rêves que je vais te ficher la paix ! Je vais tellement te coller qu’on va me confondre avec ton ombre Allen ! Fais bien gaffe que sa soit pas moi qui t’y colle là haut…Sauf que moi je pourrais bien te pousser en bas !
Elle le laissa faire le tour du propriétaire, et se contenta de répondre
-Normalement a 16 ans t’as assez de jugeote pour pas te faire piquer et te prendre une punition pareil ! Le problème c’est que moi, je n’ai pas envie de te trainer avec moi..Sauf que là tu vois je n’ai pas le choix ! On va être dans la même maison pendant une semaine ! Alors oui tu sais peut être faire ce qu’un gosse de 5 ans aussi sait faire, mais te laisser seul avec les serpy ? Nan..Hors de question..Moi aussi tu vois je lie les petite lignes !
Ils rangèrent leurs baguettes et Elisa lui parla de sa vision. Sa réaction lui fit froid dans le dos. Elle se demanda se que les autres avaient put voir a son sujet a elle.
-Si tu as vue pour Miller alors Ouai je pense que tout le monde a vue…Même Jedusor…formidable…Hein ? Ha…non moi non plus je ne voudrais pas rencontrer son coté mangemoresque. Elle avait vraiment l’aire redoutable comme adversaire.
Elle hocha la tête, même avec quelques années de moins, elle l’avait bien reconnu.
-non, tu essaieras de la détruire c’est différent…mais je serais toi, je m’inquiéterais d’avantage sur les choses qui pourraient m’arriver ici…Ainsi que sur les changements que sa pourrait avoir sur ta petite personne. Il y a en toi quelque chose de très sombre…Moi je le sais…mais est il utile que les autres le sachent aussi ?
Sage question qu’elle posait tout en regardant Jedusor qui montait se coucher. En faite, sans qu’ils y prennent garde, tout le monde avait fini par quitter la salle, ils n’étaient plus que les deux. Elle posa son regard sur le dortoir des garçons et soupira…
-Bon…je vois qu’une seule solution…mais pourquoi t’es pas préfet toi aussi hein ! Sa simplifierait bien des choses ! Mais voilà qu’on nous a laissé en tête a tête…Tu fais quoi ? Tu dors là ou bien je demande a Malefoy de changer de chambre ?...Quoi que…A bien y réfléchir, on ferait tout aussi bien de dormir les deux en bas…Au moins moi j’accomplirai ma pare du marché, et toi tu te barreras pas pendant que j’aurai le dos tourné !
Dernière édition par Elisabeth Winster le Sam 18 Avr - 15:20, édité 2 fois
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Dim 19 Avr - 22:20 |
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Elisabeth leva les yeux aux ciel. Qu'est-ce qu'il devait comprendre ? Elle n'ennuyais, ouais ? Peut-être, lui-même se laser de donner réplique à la préfète. Il était épuisé mais en même temps tellement énervé. Mais qu'elle s'en aille et le laisse, qu'elle parte et le laisse en plan. Il perdit le ton glacial qu'il avait eut précédemment pour un plus neutre, voir indifférent.
- Je t'énerves ? Tant mieux... barres-toi alors, si mes propos ne sont pas digne de ton attention... je ne demandes que ça... non, je m'en irais pas. Tu vois, j'aimerais bien finir mes études, même si je vais devoir te supporter pendant une semaine... je sais, ça va être dur, pas vrai ? J'ai obéis à Miller parce que je voulais finir mes études, ça serait pas en jeux, je serais pas là... y'a rien d'autre à comprendre. Ce n'est pas parce que tu as un badge "préfète vaniteux de Serpillère" que tu vas réussir ta vie Winster, on te l'a donné simplement parce que t'aurais crisé si tu l'avais pas eut... moi, il ne me l'ont pas donné, parce que je saurais vivre sans. Moi con ? Non, t'as dû te tromper de personne, moi je me donne pas des claques à moi-même... mais si ça te manques, dis-le que je t'en recolle une ! Vipère ! Tu n'es qu'une vipère Elisa... hem... Winster !
D'accord, il avait dérapé sur la fin... mais ce n'était pas finit, et William ne se laisserais pas abattre, surement pas maintenant, pas avec elle. Encore, il pouvait, tenir une semaine à Serpentards, s'il ne restait pas longtemps dans les cachots, mais il ne tiendrait pas si la verte était toujours derrière lui. Pour une fois, il se rendit compte à quel point l'indépendance était plaisante.
- Je te préviens, dernière fois, je ne veux pas que Miss Winster se transforme en Miss Pot de colle, parce que même si c'est le cas, tu verras, je m'en irais quand même ! Là où tu me retrouveras pas ! C'est pas moi qui me fous dans les emmerdes... c'est elle qui me rattrapent toujours... ouais, t'as gagné, tu n'as pas peur...
Il fallait le reconnaître maintenant où le sujet continuerait et terminerais... mal comme la plupart des discutions qu'ils partageaient, d'ailleurs. Jedusort semblait bien s'amuser à les regarder se tuer par les mots. Bien sûr, pour un vert, ces choses là sont d'une exquise drôlerie... et comme William n'était pas verte, il n'en voyait pas la partie comique.
- Si y'en a un ! Arrêtes de tout me rejeter dessus ! C'est aussi ta faute, avoues-le, parce que moi je te le dis, d'accord, j'ai été odieux, et j'en suis fier, parce que ça vaut pas la peine d'être autrement qu'odieux avec toi...
Le meilleur pour la fin comme on dit. En effet, la Serpentard ne portait pas de marque, William s'était emballé sur le coup. Il afficha une mine de mauvais perdant mais ne resta pas longtemps passif.
- T'as raison, t'es moins drôle que Miller... non, non, je te merci... je voudrais pas m'approcher trop... le... hem... venin... tu vois se que je dire ?
Elle verrait surement. Elisa représentait tout son blason, la vipère venimeuse, il n'y avait que ça de vrai. Il la laissa déverser son venin, et l'écouta, il se tut. Mais il ne cessait pas de penser ce qu'il aurait aimé dire. Et ses yeux se firent noirs.
Miller revint à la charge avec son flot de paroles inutiles. William se contente de ne rien dire et garder ses sarcasmes pour la préfète. Mais son professeur joue un peu trop sur ses plates bandes et ne peut s'empêcher de répondre, sans vraiment savoir se que signifiait sa réponse.
- Non, vous pourrez pas... vous pourrez pas me tuer. Vous y arriverez pas. Evidemment que je suis un Gryffondor ! De quoi... hem... une partie ? Je ne comprends pas bien là...
En un réflex, William fait le tour de la salle des yeux, personne ne semble avoir comprit. Pourquoi Miller est-elle obligé d'aborder le sujet ? En quoi ça la regarde ? D'un autre côté, elle n'a pas vraiment tord, William avait toujours dit à sa conscience qu'elle irait à Serpentard... mais elle n'existait pas encore lorsqu'il passa sous le Choixpeaux... par conséquent... et malheureusement, William se devait d'admettre avoir deux partie Serpentard et une Gryffondor. Triste résumé.
- Mais qu'est-ce que vous avez contre les Potter, si ce n'est qu'ils ont tués votre Idole ?
Sous-entendus qui remet William sur pied. Faire taire Miller et le deuxième de se plus grands rêves. Ouais, et c'est pas gagné parce que quand Miller et Winster s'accorde pour repoussé son "gamine mal éduquée", eh bien c'est beaucoup plus difficile !
- Tais-toi "gamine mal éduquée" on se fiche bien de se que t'as à dire ! Je suis beaucoup plus mature que toi, "gamine mal éduquée" !
Trop dans ses pensées avec le refrain qu'il mettait en place de "gamine mal éduquée", William ne vit pas venir la préfète qui l'empoigna. De suite il sortit sa baguette et la pointa vers elle.
- Mais c'est que c'est venimeux quand on s'en prend à sa famille ! Je te comprends pas... comment tu peux encore y croire alors que tes parents te dolorisent ? T'as vraiment rien d'autre alors tu t'accroches à ses crétins triplé de mangemorts ? Eh oui, ça fait beaucoup... et t'es leur fille, Elisa, alors tu dois pas être mieux et ta sœur non plus... Et arrêtes de dire que t'as de problèmes avec ta maison, parce que tu mens, je le sais, et que sinon tu ne serais pas partie du château !
Bah évidemment, lui il mentir autant qu'il veut, mais les autres n'ont pas le droit de lui mentir, ça parait normal, simple et surtout très juste. William l'imita alors, dans une même intonation.
- Nan, pas ENVIE !
Imitation qu'il regretta aussitôt suite aux menaces de la Serpentards. Comment ça se faisait qu'elle en trouvait toujours des plausibles alors que les siennes tombaient à l'eau ? C'était pas permis ça, non. Il ne put s'empêcher d'ajouter, avant de se taire, un sourire moqueur.
- Me sauver la vie ? Mais je vois pas de quoi tu parles...
Elisabeth haussa les épaules, ça devait être une évidence pour elle. William répondit brusque.
- Bien sûr que j'ai compris ! Mais c'est pas vrai ce que tu dis ! Je suis sans aucun doute plus intelligent que toi !
Elisabeth se mit à hurler. Elle n'était pas fable ? Si. William n'était pas non plus fort, simplement moins faible qu'elle. Et Jedusort... il aurait bien aimé faire un tour de son esprit, voir ses capacité, sentir la force de sa magie, mais pas pendant que Miller était là où elle allait encore tout rater.
- Evidemment que t'es faible puisse que t'as pas put te défendre, dis-le simplement et on passe à autre chose ! Mais avec plaisir ! Avec plaisir que j'échangerais avec Jedusort ! Tu veux recommencer ? Tout de suite là ? T'es sûr ? J'aimerais pas que tu t'écrases devant tout ce monde... ça serait embêtant non ? Bah oui, parce que tu es faible, alors tu tiendras pas le coup. Heureusement ! Parce que si tu devais me sauv... hem... enfin ça me dérangerais que tu m'aies aidé, ouais, beaucoup dérangé. 'Me suis pas fais interné ! Mes parents ne sont allés jusqu'à là... mais les tiens, c'est les tiens qu'on devrait interner !
La préfète haussa une nouvelle fois des épaules. Répondant à sa question.
- Mais si tu l'as jamais eut ma bonne conscience, c'est qu'elle vaut tout de même quelque chose, puisque je la donne rarement... raisonnement logique... oh bah ça j'en doutes pas que tu en riras...
Passons, la verte ne voulait pas changer de sujet, eh bien il ne répondrait pas ainsi la discussion ne se poursuivrait pas. Parfois, oui, William savait comment s'y prendre pour être stratégique, parfois seulement.
- Oh ho... là tu me fais vraiment peur... seulement quand tu dis que tu vas me suivre... ouais, le baron sanglant à côté de toi c'est pas comparable...
Winster ne semblait pas comprendre que William était très indépendant, d'ailleurs dans sa maison il n'y avait que James qui savait réellement où il était... aussi parce qu'il avait sa carte, mais la plupart du temps, il retsait dans son coin, à faire les rondes de nuit, ou de jour, dans les couloirs du château, et des fois, un tour au parc. Il prit une voix ferme et lui répondit.
- Dernière fois, Elisa, je-ne-veux-pas que tu me suives. Je resterais dans les étages supérieurs, je ne trainerais pas avec des verts, tu crois que j'ai que ça à faire ? Fait-moi un peu confiance aussi... ou on n'y arrivera pas...
William se put sur sa dernière phrase. Elle sonnait trop faux pour être dîtes à une personne que l'on était sensée détester. Il fronça les sourcils, ne voyant pas se qu'il aurait put dire d'autre.
- Hem... ouais
Il ne savait pas pourquoi il avait répondu ça, sans doute dans le vide, rien à voir avec la question de Winster, il se reprit aussitôt, lui parlant enfin de face. Il craignait qu'elle n'est comprit l'existence de sa conscience et il se précipita dans sa réplique.
- De quoi ? Mais de quoi tu parles ?! C'est... c'est Miller qui t'as dis ça ?! Oh, par Merlin ! Non, je te préviens je te tus, oui je te tus, si tu leur dis ça !
Elisabeth poursuivit le sujet, proposant une place aux dortoirs.
- Et tu crois qu'il va céder sa place pour moi ? Qu'il va t'écouter ? Non, surement pas... ou alors c'est que t'as de l'influence sur lui... et je me demandes pourquoi. Non ! Non, on dors pas ici. En faite, je préfère les dortoirs... je vais... je veux...
Il se perdit dans ses explications et se hâta vers la porte. Il ne dormirait pas ici cette nuit, impossible, inconcevable. La semaine qu'il allait passer ici devint soudainement plus rude dans son esprit.
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
Nombre de messages : 1955
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Feuille de personnage Côté coeur: Il est mon âme, ma vie, mon tout...Scorp' Camp: Les deux Niveau magique: (73/100)
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Lun 20 Avr - 4:16 |
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Pour l’une des rares fois, elle était d’accord avec lui cette semaine allait être longue, très longue. Elle détourna le regard et suivit des yeux Lindsay qui venait de lui faire un signe de la main avant de s’évader vers leur dortoir. C’était peut être ce petit temps d’inattention qui fit que la verte ne suivie pas le discourt en effet indigne d’elle, du gryffondor. Elle reporta alors sui lui un regard vide dénué de toute expression. La fatigue aidait beaucoup, là elle n’aspirait plus qu’a une chose son lit. En plus elle avait un de ces maux de tête…
-Non tu ne m’énerves plus en faite, j’ai arrêté de t’écouter tout simplement. Je suis chez moi ici, si l’un de nous deux doits prendre la porte c’est toi ! Oui forcement que ça va être dur, tout se qui t’implique devient compliqué de toute façon c’est un état de fait contre lequel il semble difficile de lutter ! Si tu n’avais pas été un né moldu tu aurais eut bien moins de soucie à te faire concernant ton avenir ça c’est certain. Elle le regarda et soupira…c’était fou le nombre d’envie de meurtre qui pouvait passer dans la tête de quelqu’un en à peine quelques minutes. -Non ce badge ne me fera peut être pas réussir ma vie, mais au moins il me donne des privilèges que des bouffondor de ta trempe ne peuvent même pas se permettre de voir en rêve. Erreur Allen, on me l’a donné parce que j’étais la seule à en être digne. Je ne dois mon badge qu’a mon travail, à mes qualités et à mes capacités d’adaptation avec les autres maisons. J’ai ce badge parce que je ne suis pas un stupide bouffon emplie de préjugé débile. Toi, ils ne te l’ont pas donné parce que tu es l’exemple même du cretin à ne pas suivre. Oui, toi con ! Tu te donnes peut être pas des claques tout seul, mais moi au moins je ne me pete pas la gueule toute seul, et je ne hurle pas de douleur comme un putois sous l’emprise d’une force imaginaire ! Ravie de voir que tu as une bonne vue Allen, en effet je suis un serpent ! Mais tu devrais un peu renouveler ton registre d’insulte, celle là commence à devenir une habitude.
Elle lui fit son sourire serpilien tandis qu’il manquait de l’appeler Elisabeth.
-Oh, tu sais chez les serpentard s’appeler par nos noms est un peu une habitude. Bien sur, il y a quelques exceptions comme Lindsay qui ne t’appellera jamais que William.
Imaginer Elisabeth en pot de colle c’était un peu comme imaginer un troll faisant de la danse classique. Elisa était connue pour aimer sa solitude, aussi si elle se retrouvait a coller William cela ne manquerait pas d’attirer l’attention, hors loin dans l’idée de la verte de remettre de l’huile sur le feu déjà plus que brulant des rumeurs. A force de se balader la nuit dans les couloirs elle connaissait chacun des moindres recoins, il serait donc difficile pour Allen de se cacher. Sans compté qu’en cas de besoin la verte pourrait compter sur Lin’ et Elynn pour le débusquer.
-Et moi, je te préviens dernière fois que je ferai se que bon me semblera ! Et bien tu t’en iras Allen, et moi j’irai trouver Miller pour lui dire combien tu fais preuve de mauvaise volonté. Et comme je suis gentille, a ce moment là je t’aiderai même a faire tes bagages pour ton joyeux retour chez les moldus ! Entre nous, sauf si tu arrives à sortir de l’enceinte du château je te retrouverai toujours Allen. La preuve, même quant je ne veux pas voir ta tête je tombe dessus. Ça c’est un sacré malédiction. Ouai, normal t’es un bouffon, les problèmes adorent les bouffons.
Il avait reconnu qu’elle n’avait pas peur, le sujet était donc clo. Il ne servirait à rien de revenir dessus. Léo s’étira et donna à son groupe le signe du départ. Comme un seul homme les trois Salazards présent se levèrent et quittèrent la salle commune. Elynn monta dans le dortoir des filles non sans avoir auparavant échanger avec Leo un long baiser et être venue ensuite dire bonne nuit a Elisa. Jedusor et Malefoy eux disparurent vers les dortoirs masculins. Merlin se qu’il pouvait être prévisible. Là elle s’ennuyait vraiment.
-Non il n’y en a pas ! Mais ceci étant bien que mon coté odieux soit exclusivement dut au tien, je dois reconnaitre que je suis fière également de ne pas me comporter autrement avec un être aussi abjecte que toi ! Tu as parfaitement raison Allen, ne soit surtout pas autre chose qu’odieux avec moi, je m’en voudrais terriblement sinon de devoir te porter une profonde indifférence.
Ha enfin, il venait de se faire piéger à son propre jeu. A vouloir mettre tout les serpents dans le même panier le Lion se retrouvait bluffer, et c’était tant mieux. Malheureusement il n’eut pas la décence d’avoir la défaite silencieuse, hélas
-Moins drôle que Miller ? Mais fallait le dire que tu voulais jouer avec des apprentis mangemorts ou même des mangemorts, sa tombent plutôt bien vue qu’ici y’en a plein ! Tu te rends compte de ta chance Allen, une salle de jeu rien que pour toi ! Essaie simplement de ne pas te blesser avec tes nouveaux amis. A propos de venin Allen, ne cherche pas trop la vipère, elle est mortelle tu sais.
Elle avait parfaitement compris l’allusion. Il sembla ne pas comprendre de quoi Miller voulait parler, mais dommage pour lui elle était déjà repartie avant de lui donner une réponse. La verte perspicace, même si encore des choses lui échappaient répondit donc a sa place
-Tu crois vraiment qu’elle ne pourrait pas te tuer Allen ? Ça c’est uniquement dut a tes préjugés une fois encore…Alors laisser moi te dire une petite chose qui risque de t’étonner. J’ai demandé à père de me parler un peu de Miller, oui parce que j’aime bien savoir à quel genre de femme j’ai affaire, et comme tu le sais elle a été mangemorts. Seulement Miller avait une particularité, elle ne tuait pas simplement avec sa baguette. Elle utilisait aussi les armes blanches, ainsi que se que nous appelons les attaques pschychiques. D’après mon père, Miller a un mental deux fois plus développé que la moyenne, elle était capable de résister à tout, même à la légilimencie de Voldemort, et cela sans même se concentrer. Quant a cette partie de toi dont elle parle, je ne suis pas encore certaine, pour le moment mes recherches a la bibliothèque a ton sujet sont encore flou, mais je pense qu’elle fait allusion a se qui a bien faillit te tuer.
Elisa avait dit cela avec ce ton détacher qu’on en général les gens pour parler de la pluie et du beau temps. Pour sa part la verte n’avait rien, ou pas grand-chose contre les Potter. Enfin du moins, les sentiments qu’elle avait pour eux étaient sans aucun rapport avec Voldemort.
-Et bien, James Potter est un cretin orgueilleux cela explique tout. Quant à Lily Potter, il semblerait en faite que nous ayons été conçus pour ne réussir qu’à ne pas nous aimer. Comme tu le constates aucun rapport avec Voldemort. Nous n’aimons pas les Potter simplement parce qu’ils se croient tout permis de part leur noms.
Il perd pied en même tant qu’il perd de sa crédulité, et cela ne peut que la faire rire. Se qu’elle fait d’ailleurs. Un ricanement percute les murs et se raisonne dans la pièce
-Et bien, on dirait que le sale gosse ne sait plus comment répondre. Non au contraire je ne vais pas me taire. Toi plus mature que moi ? Allons Allen, soit raisonnable nous savons tout les deux que tu n’es encore qu’à ce stade pré pubère ou les ados cherchent qui ils sont. Je t’en prie évite donc de te rendre plus ridicule que tu n’es. La gamine mal éduquée a certainement reçu une éducation plus noble et respectueuse qu’un gamin des rues. Oh et évite de répéter deux fois les mêmes mots, chez les bouffons je sais que vous êtes lent a la compréhension mais ici je t’assure que tout vas bien.
Ha, une baguette qui ressort. Visiblement Elisa n’était pas la seul à savoir garder sa baguette a porté de main. Qu’a cela ne tienne, le col du gryffon dans la main gauche, elle fait passer sa baguette de sa manche à sa main. Il avait sa baguette pointer sur elle, mais la verte avait la sienne qui appuyait à présent juste sur sa carotide. Elle plissa les yeux, une ombre les transperça
-Et là, un sectumsempra et la seule chose qu’on retrouvera de toi c’est ton corps vidé de ton sang ! Je me fiche que tu ne me comprennes pas Allen, tout comme je me fiche de tes opinions de petit bouffon au sang impure. En effet je suis une fille de mangemorts, élevé dans la tradition. Peu importe la douleur Allen, parce que se qui te tues pas te rend plus fort ! J’en connais un qui a couiné sous l’effet d’une minuscule endoloris jeté par une débutante, tu imagines s’il avait été jeté par quelqu’un de plus fort ? Sans doute qu’il en aurait rampé au pied de son tortionnaire pour implorer une fin de vie plus brutale. N’est ce pas Allen ? Si je ressemble a mes parents alors tu ressembles au tien, et les tiens c’est exactement se qu’ils ont fait…Couiner comme des pauvres âmes sous l’effet de la torture , les yeux larmoyant… Si ma sœur ne valait pas mieux que moi, elle ne serait pas dans ta maison…Sauf si bien sur tu es prêt a reconnaitre que dans ta maison il y a aussi des êtres vil, lâche et arrogant…Si tu reconnais ça, alors tu reconnaitra aussi que c’est exactement ta description. Je n’aucun problème avec ma maison Allen ! Tous ici savent pourquoi je suis partie, je ne nie pas que j’ai quelque problème relationnelle avec certain membre de ma maison, mais si je suis partie c’était uniquement pour ne pas succomber a l’envie de t’égorger. Envie qui d’ailleurs me revient en ce moment même.
Elle pouvait mentir, personne ne pouvait déceler le mensonge dans la voix d’une verte. Elle savait qu’il connaissait l’histoire exacte des raisons de son départ, mais il était lié au silence par ce pacte de non échange. S’il parlait, elle aussi déballerait son sac. Elle allait le lui faire ravaler son sourire, fois de Winster
-ha vraiment tu ne vois pas ? Oh et bien, si tu as besoin qu’on te rafraichisse la mémoire ce n’est pas un problème. Je suis certaine que Léonard se fera une joie de venir lire dans mes pensées si je le lui demande. Ainsi, il verra de part lui-même de quoi je parle LUI.
Elle fit mine de s’approcher des dortoirs
-Alors, je l’appel ou d’un cou la mémoire te revient ?
Ce fut son tour d’afficher un sourire moqueur. Elle haussa encore les épaules, elle ne voyait pas l’intérêt de prolongé ce sujet. Elle se savait intelligente, lui prouver aurait été pur perte de temps. Par contre jamais elle ne reconnaitrait qu’elle était faible, car non elle ne l’était pas. Personne n’aurait put lutter contre une telle attaque, et encore moins quelqu’un qui ne pratiquait pas l’occlumencie.
-Pour la denier fois je ne suis pas faible ! Ha parce que tu as put te défendre toi peut être ? Ce n’est pas l’impression que j’ai eut en recevant ton souvenir pourtant ! Et bhin vas y donc, va échanger avec Jedusor qu’il t’écrase et te remette une bonne fois pour toute a la place qui est la tienne ! Va donc faire joujou avec le fils du meurtrier de tes parents, avec un peu de chance lui aussi il a vu le meurtre, mais pas sur qu’il aura la même délicatesse que moi pour t’en épargner les images ! Non, je ne me ramasserais pas Allen, parce que je sais te résister figure toi ! Ha Ouai ? Pourtant sa t’as pas si déranger que ça la dernière fois que j’ai dut t’aider ! Ha non ? Et bah ils auraient bien du le faire alors, parce que c’est flagrant que tu en as besoin !
Elle ne put s’empêcher de ricaner
-Non si je l’ai jamais eut ta bonne conscience c’est parce qu’elle ne doit pas exister en faite !
Etrange qu’il parle du baron, mais en tout cas cela ne fit qu’accentuer son sourire mauvais
-Le baron est un fantôme charmant qui a mon avis se fera une joie de veiller sur toi pour m’aider. Je suis sure que lui saura te suivre partout sans le moindre regret.
Alors là elle devait avoir mal entendu, pas possible autrement. Il venait quant même pas de lui demander de lui faire confiance ? Oui, il avait raison on y arriverait pas sans ça, mais lui faire confiance a lui alors que lui refusait la moindre entente ? Et puis quoi encore.
-Dernière fois Allen, je te suivrai simplement lorsque cela sera nécessaire. Confiance ? C’est toi qui parle de confiance ? Alors ça c’est la meilleure ! Pourquoi je te ferais confiance Allen alors que toi tu ne me le fait pas ? Et d’ailleurs tu sais quoi ? Je n’ai de confiance en personne, donc en toi encore moins !
Non mais oh ! Pourtant dans le fond, elle ne pouvait s’empêcher de se dire que tout cela sonnait faux. En tout cas elle avait plus de confiance en lui que lui en elle cela était certain. Elle ne savait pas bien se qui avait provoqué cette excès de colère, mais si elle doutait encore qu’il avait un secret maintenant, elle en avait la preuve.
-quant bien même tu me tuerais, cela ne changerait pas le fait qu’ils sauront !
Savoir quoi ? Bonne question, mais des fois la vie c’est comme au poker faut savoir bluffer. Il s’embrouillait, elle ne savait pas trop au final se qu’il voulait. En tout cas, elle, elle se dirigea vers la porte de son dortoir. Puis finalement se retourna
-On est chez les serpy ici, tout le monde peut influencer tout le monde s’il en sait suffisamment sur sa vie. Dans le cas de Malefoy, oui il te laisserait sa place parce que sa l’arrangerait dans le fond d’être avec Jedusor. Si je lui demande, il te laissera sa place. Oh bien sur ensuite il changera de lit cet idiot, mais ça c’est sans importance. M’enfin, comme je vois que tu ne voudrais surtout pas déranger je suppose alors que tu vas aller dans le dortoir de ton année. Tu veux que je t’y accompagne ou bien tu y vas tout seul ? Tu vois Allen…parfois il m’arrive aussi de faire se qu’on me demande, si tu veux y aller seul, je te collerai pas. J’attendrai simplement que tu sois monté là haut avant de rejoindre mon dortoir. Un sage compromis non ?
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Lun 20 Avr - 23:43 |
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Elisabeth adressa un regard à une de ses amies, qui montait se coucher. Andrews. Elles traînaient toujours ensemble ces deux là. Toujours était-il qu’elle n’importait plus d’attention à leur dispute, et ça William, n’aimait pas du tout.
- Tu m’écoutes ou quoi ?! Nan, en faite m’écoutes pas, fais comme si j’existais pas, je me portrais mieux comme ça ! Comme si c’était ma faute ! Et tu crois… tu crois que j’ai choisis moi d’être né moldu ? Absolument pas !
C’est vrai que s’il avait du choisir, il serait sang pur, mais tout le monde le serait sauf les suicidaires. Parce que même si il n’y a pas encore des rafles, il reste les préjugés en vers les né moldus, aussi fort que restent ceux des Serpentards.
- J’y crois pas une seconde ! Tu racontes n’importe quoi parce que t’as rien d’autre à rien que tes conneries ! Je suis pas plus con que toi !! Je préfère ça à me donner des claques toi seul… enfin quoi… se gifler soi-même ! T’as vu ça où toi ? Mais y’a pas d’autre mot pour te décrire Winster, je changerais de refrain quand tu auras versé tout ton venin et qu’il tant resteras plus ! Autant dire jamais, exactement !
La préfète lui fit un drôle de sourire, une de ses mimiques tordues ou tu hésites entre le sarcasmes ou la franchise. William ne réfléchit pas plus, et répliqua.
- Qu’est-ce qui te fais sourire ?! Y’a rien de drôle à être idiote, Winster, c’est même pathétique !
Il était toujours pas calmé. Et cette fois, voyant un vase horriblement vert, le genre de décoration Serpillienne détestable, il le jeta à terre, dans une explosion de verre. Oh, les Serpentards pouvaient toujours revernirent à la charge, il se fichait bien d’eux à présent. Il ne fallait pas l’énerver. Simplement.
- T’as pas intérêt ! Je fais ce que je veux, quand je veux, où je veux, avec qui je veux !!! Je me fiche bien de ta gentillesse, depuis quand t’es gentille, et d’où tu connais ce mot ? Je croyais que t’étais venimeuse !
William surprit Jedusort et Elynn s’échanger un baiser. Depuis quand ils étaient ensemble eux ? Il détourna vivement la tête, l’air dégoûté. Il échangea ensuite avec la verte un regard noir. Elle pouvait lui faire confiance pour être odieux, il serait toujours. Et quand à la vipère mortelle, il avait très bien comprit.
Etant resté longtemps dans le silence, William ne put se taire plus et reprit la dispute.
- Qu’est-ce qui me fait croire ça ? Mais que je peux être doublement efficace moi aussi… simplement quand je me concentre alors qui te dis que ce serait impossible ? T’espères plutôt que je vais perdre, pour plus avoir à me suivre là… mais le fait pas, t’es pas du tout obligé, quand bien même, tu pourras regagner une autre école, hein ?
Grosse erreur. James était tout sauf crétin. C’était parfois un boulet, d’accord, mais pas un crétin. Et de toute façon William avait le droit de traiter ses amis mais personnes d’autres ne pouvait le faire. Ça marchait comme ça, fallait pas poser de questions.
- Je t’interdis de dire ça ! Tu te venges, simplement parce qu’un jour, il a manqué de respect à ton immense personne ! Et tes potes alors ? C’est qui ? Entre Andrews qui est associable et Lone qui se fait Jedusort, je me demande qui des deux et la plus tarée !!! Et Albus ? Et pourquoi tu parles pas de lui on peut savoir ? Non, je sais déjà, mais donne moi ta version de l’histoire…
Oh, encore une fois, peu importe qui avait entendu quoi, il se fichait de tout, il voulait partir, simplement partir d’ici. William répétait toujours la même chose, mais c’est vrai qu’une semaine, c’était trop long. Ne se sentant plus quoi répondre, et énervé contre lui-même car il perdait la bataille, il se contenta de jeter un regard noir à la préfète, une fois de plus.
- Tu me piques mes formules, c’est exactement ce que je pensais t’infliger… Ce n’était pas ton doloris qui faisait le plus mal !!! Arrêtes de croire que tu es la plus… intelligente, la plus puissante ou la plus je-ne-sais-quoi parce que t’es pas mieux !! C’était des Moldus, ils n’avaient jamais eut un seul sortilège dans la figure de leur vie !! Alors c’est normal !!!
William prit une bouffé d’air. La dispute devenait ennuyeuse. Il était trop fatigué pour chercher autre réplique et baissant sa défense, il répéta alors, sans trop y croire.
- Ok, si tu veux y croire, il y a des crétins… dont ta sœur… non, non, je retires, je retires, mais dans la tienne aussi y’en a des crétins, tu l’as dis toi-même !
C’était pas permis de pouvoir le faire taire comme ça. C’était même la première fois que quelqu’un le fait taire aussi efficacement. Pourvut que Winster ne donne à personne sa recette ou il était fichu. Il répondit à voix basse, de manière à ce que les oreilles indiscrètes ne puissent rien entendre.
- Qu’est ce que tu veux ? Que je dise ô combien je te remercie de m’avoir… sauvé la vie… ? Bah ce serait mentir… parce que je regrettes de pas être mort…
Elisa se rapprocha des dortoirs se qui força William à se redresser. Attendant le moment où elle courait pour qu’il lui jette sort du croche-patte.
- Mais c’est bon, pas la peine d’en venir aux extrêmes… ok, tu m’as sauvé la vie, ça va ? T’es contente de toi ?
William comprit vite que dès qu’il lançait un sujet elle finissait par le battre à plate couture. Il pouvait peut-être se passer de ses répliques pendant une semaine, s’il voulait la paix. Qu’elle pense qu’il était aussi faible, qu’elle pense que Jedusort pouvait le détruire, de toute façon, il avait fait le deuil de ses parents, ce n’était pas maintenant qu’elle réussirait à le toucher par ce sujet.
- Ouais, bah je préfète qu’un fantôme me serve d’escorte plutôt qu’une id… plutôt que Wisnter Parfaite Préfète de Serpentard…
C’est joli à voir. William se reprenant, c’était vraiment rare. Mais il avait décidé de laisser tomber Winster avec ses sujets tabous, elle ne l’aiderait en rien pendant son séjour si elle était aussi mauvaise. Autant qu’elle lui fiche la paix. Il leva les yeux au ciel, expirant profondément avant de lui répondre.
- Ce ne sera alors jamais nécessaire ! Mais tu veux que se soit qui d’autre ? Dans la pièce y’a que toi et moi ! Mais t’as pas besoin de ma confiance… enfin c’est quoi ça ? C’est pas obligatoirement réciproque ! Tu te fiches bien de ma confiance, t’as juste à me couvrir si Miller te demande où je suis et pourquoi je suis pas avec toi… tu pourras dire ce que tu veux, que j’ai chopé la Dragoncelle ou je ne sais quelle horreur, mais j’ai besoin de souffler de temps en temps… alors te transformes pas en calmar géant…
Il faillit s’étouffer avec sa réponse. Quoi quand bien même ? Il passerait pour un malade oui !
- Mais tu te rends comptes de… mais… Elisa ! Tu te peux aller leur raconter, hein ?
Il hésita un instant avant de rajouter.
- S’il te plais…
La préfète se dirigea également vers son dortoir. William la vit se retourner et se figea.
- Non, non, non, ni l’un ni l’autre… je me casse d’ici… j’en ai déjà marre…
Il parcourut à grands pas la salle commune. Miller n’en saurait rien, elle le laisserait faire, elle avait intérêt. Il irait dormir dans la salle sur demande pour redescendre tôt le matin, ainsi personne ne le verrait. Et ce serait mieux comme ça.
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Age : 43
Maison : Serpy un jour serpy toujours
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Mar 21 Avr - 20:38 |
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Le rouge semblait ne pas aimé ne plus être au centre de l’intérêt, et voyant cela Elisa accentua la chose en regardant partout sauf dans sa direction. Oh, bien sur qu’elle l’écoutait mais c’était tellement plus drôle de faire comme si elle ne se préoccupait pas de lui. Elle reposa enfin son regard sur lui, faignant la surprise comme si elle se rendait compte seulement maintenant qu’il était là à lui parler
-Oh, Will tu disais quelque chose ? Navrée j’étais occupé à regarder des choses bien plus intéressent que ta personne.
Quelque part effectivement on ne choisi pas sa famille, donc il n’y était pour rien s’il avait eut la malchance de naitre chez des moldus. M’enfin en même temps fallait se dire qu’il devait en être soulagé, s’il était nez chez des sangs pure, a l’heure actuelle il porterait surement le blason des verts et argents en permanence. Mais cela, elle ne lui dit pas gardant cette profonde réflexion pour elle-même. Il y avait deux sorte de gens, ceux qui vivent avec leur temps comme Elisa et ceux qui restent attaché aux fondateurs et a leurs idées, comme William ou Jedusor. Elle leva donc les épaules en signe qu’elle se fichait bien de se qu’il croyait ou non, le fait était qu’elle savait mieux que lui pourquoi elle avait mérité son blason de préfet.
-Il te plait de croire que je dis des conneries juste parce que ça te dérange de devoir reconnaitre qu’a l’image des serpentards que tu détestes, tu as toi aussi les mêmes vieux reflexes ! Les verts parlent de sang pur et vous les rouges, vous ne faite que vous referez a un temps qui n’existe plus pour justifier votre haine des serpentard. Tu sais quoi ? Tu te répètes tellement que je n’ai même plus envie d’argumenter avec toi sur ce sujet ! Tu es d’un pathétisme affligeant et ça me fatigue !
Non, elle ne lui laissait pas le dernier mot, non, mais arriver a un moment il devenait inutile d’essayer de montrer a quelqu’un qu’il est idiot s’il préfère garder les yeux fermé. Elle le fixa un moment et ce mit à rire
-et bien on est d’accord, y’a en effet rien de drôle à être idiot, et c’est bien se que je viens de dire, tu es pathétique.
Voilà comment on pouvait retourner une phrase à son avantage. Il explosa un vase, elle ne broncha même pas. Elle l’avait toujours trouvé iodeux ce truc là, et puis de toute façon avec la magie casser des choses ne servaient a rien, d’un cou de baguette on pouvait tout réparer alors. Il était énervé, elle étrangement la fatigue avait réussie à la blaser, tout simplement.
-Et bien moi aussi je fais ce que je veux Allen ! Oui, voilà exactement, tu as dit le bon mot. « Tu croyais », seulement il faut croire que ce que tu crois et la réalité sont deux choses totalement différentes ! Mais en faite tu as mal compris Allen, si je t’aide à faire tes valises c’est plus pour être sur que tu ne rates pas le train. Sincèrement voir ta silhouette se casser définitivement serait tout simplement jouissif, comme quoi, on peut être heureux avec pas grand-chose.
Il était odieux, elle l’était aussi. A ce jeu là ils pouvaient tenir toute la nuit. Si tout le monde était parti c’était simplement parce que tous savait qu’entre eux deux, il n’y avait jamais de fin. Elle le laissa se bercer de ces douces illusions, elle avait bien assez trainé avec Léonard plus jeune pour savoir combien le vert était fort mentalement. -Simplement parce que Jedusor n’a pas besoin de se concentrer lui ! Donc tu perdras forcement, car si tu te concentre pour l’égaler, on se doute bien que si à son tour il le fait tu ne peux que perdre. Une défaite cuisante ceci dit ne te ferait aucun mal. Depuis le temps que tu me bassines avec ta grande force mentale et ta pseudo supériorité sur moi. Oh non Allen, je ne crois pas. Effectivement je pourrais intégrer une autre école, mais je me plais bien ici, et puis c’est tellement plus amusant de te rendre la vie impossible.
Fatiguée, oui, mais toujours sarcastique visiblement. Ha tien, une nouvelle corde sensible visiblement. On ne touche pas aux amis de monsieur Allen, regrettable pour lui car on te touchait pas au siens non plus.
-Et je peux savoir depuis quant tu te donnes le droit de m’interdire quoi que ce soit ? Tu sauras Allen, qu’il suffit qu’on m’interdise un truc pour que d’un cou je trouve ça vachement passionnant de le faire. Tu crois que je me venge de James Potter simplement parce qu’il a essayé de me ridiculisé ? Erreur, Potter est un idiot né c’est un état de fait. Et j’estime que ma magnifique démonstration de magie que j’ai faite sur lui en le transformant en chèvre vaut bien toutes les vengeances au monde. D’ailleurs tu sais que nous possédons des photos de cet exploit ? Peut être bien qu’elles vont accidentellement finir sur le bureau du journal de l’école va savoir. Mes amies sont nettement supérieur en tout aux tiens Allen, quant a se qu’Elynn fait avec Leonard je ne vois pas en quoi cela te regarde. Pourquoi je ne parle pas d’Albus ? Mais mon cher simplement parce que LUI a eut la sympathie de ne pas me juger sur mon blason et de me laisser une chance. J’ignore se qu’une fois encore tu croyais savoir, mais de toute façon c’était forcement une mauvaise version. D’ailleurs je ne vois pas se qu’Albus vient faire dans cette histoire, ce n’est pas comme s’il était le seul ami que j’aie a gryffondor
Des rumeurs, encore des rumeurs, mais ce n’était pas croyable ça ! CE château ne savait il donc faire que ça ? Il perdait la bataille, même si la guerre ne s’arrêterait probablement que le jour ou enfin ils pourraient quitter ce château les deux. Elisa ne se croyait absolument rien, a dire vraie cela ne lui avait absolument pas fait plaisir de devoir lui jeter un doloris, quant a ses parents elle avait beau le lui ramener le sujet sur le tapis sans arrêt, ce n’était pas forcement lui qu’elle cherchait a blessé. Non, elle ne c’était jamais remise vraiment de cette vision tout simplement, mais jamais elle n’irait lui avouer que certaine nuit il lui arrivait encore de faire des cauchemars a ce sujet.
-Je ne savais pas que les gryffondors faisaient dans la magie noire maintenant. Eux qui pourtant se sentent si supérieur en tout et a tout le monde !! Oh, mais dis donc j’ai dit « j’en connais qui… » J’ai jamais dit que je parlais de toi, mais si tu t’es sentis visé c’est sans doute pas pour rien ! Non, je ne suis pas mieux ! Voilà t’es content ?! Je ne me défends jamais qu’avec les moyens que j’ai à ma disposition ! Le bien, le bon coté, le coté tout rose ou tout et net et parfait, vous avez que ça a la bouche les gryffondors ! Mais sortez donc un peu le nez de vos concepts a la con ! Précisément c’était de moldus, et c’est dégelasse se qu’on leur a fait !! Tu crois peut être que sa m’a fait plaisir de découvrir que c’était tes parents que j’avais vue mourir ?! Putain Allen, je suis fatiguée de tes conneries !
Bug du système, contradiction totale, erreur dans la programmation. Mais tant pis c’était dit. Elle soupira
-Voilà y’a des cretins partout, fin de l’histoire.
Elle ne savait pas comment elle avait réussi à mettre un terme a un sujet de dispute, mais visiblement elle y avait réussi. Intérieurement elle poussa un soupire de soulagement, un sujet en moins sur lequel débattre. Le plus drôle c’était de voir que finalement ils se gueulaient dessus depuis des heures pour finir par tomber d’accord.
Enfin, il admit les choses, de toute façon jamais elle n’aurait été demandée à Léonard. Ce qu’elle voulait…y’avait bien des choses qu’elle voulait, sauf que de toute façon il se fichait bien de se qu’elle pouvait vouloir. Déjà qu’il reconnaisse qu’elle lui avait sauvé la vie n’était pas si mal, malheureusement la fin de sa phrase lui laissa un gout amer. Elle resta un moment silencieuse, c’était vraiment dégelasse de lui dire ça..Oui vraiment…
-Rien, je ne veux rien ! Que tu reconnaisses que je t’ai sauvé la vie c’est déjà pas si mal. Quant a me remercié, non surtout pas. C’est vraiment dégelasse se que tu dis Will, y’a un tas de gens qui sont morts et qui mériteraient de vivre, et toi qui est en vie tu voudrais être mort. Tu me traites d’égoïste, mais finalement tu n’es pas mieux. Tu ne penses jamais à ceux que tu vas laisser derrière toi hein ? Tu crois que c’est facile pour les gens qui t’ont apprécié de continuer à vivre avec ta mort ?! Et justement William, tu n’arrêtes pas de dire que je suis comme eux, et bah tu vois, non, je ne suis pas comme eux parce que si sa avait été le cas, mort tu le serais probablement. Ceci étant vue tes tendances suicidaires, je ne pense pas que tu feras de vieux os si sa peut te consoler !
Il admit la chose, non elle n’était pas contente non ! Non parce qu’elle aurait préféré ne jamais avoir à la lui sauver, non aussi parce que jeter un doloris n’avait pas été une partie de plaisir…
-Contente ? Il n’y a pas lieu d’être content de soit quant on est confronté a se que nous avons vécut dans cette salle de retenue.
Elle comprit le sarcasme, visiblement elle n’était pas la seule à fatiguer.
-je n’ai pas besoin du « parfaite », préfète de serpentard suffira amplement Allen ; Nul n’est parfait dans la vie, ni moi ni toi ni personne !
Elle se fichait de sa confiance ? Non pas vraiment, mais comme il ne lui la donnerait jamais elle avait appris à vivre sans. La comparaison avec le calamar géant eut quelque mal à passer, mais elle se pensa que si elle voulait aller dormir un jour mieux ne valait pas relancer un nouveau débat.
_Si c’est obligatoirement réciproque Allen ! Tu ne me fais pas confiance, je ne te fais pas confiance point barre a la ligne. Y’a pas a discuter la confiance c’est mutuelle ou rien du tout. Te couvrir ? Rien que ça ? Non mais dit je m’appelé pas James Potter moi, contente toi de respecter ta part de contrat que je respecte la mienne. Si tu ne joues pas le jeu comme il se doit ne compte pas sur moi pour dire quoi que se soit à Miller en ta faveur. Si tu fais le con, je lui dirai simplement que « j’ai essayé madame de remplir ma part du contrat mais Allen y a mit toute sa mauvaise volonté possible ». On va faire un pacte, tu veux que je te laisse souffler ? Ok, pas de problème pour moi, seulement arranges toi pour ne rien faire de contraire au règlement dans la semaine à venir, parce que si tu le fait tu seras tout seul dans le bureau de Miller cette fois. Je ne suis pas un calamar géant Will, je fais juste ce que tu m’as dit pour une fois tu sais « lire les petites lignes ».
Oh, que c’était mesquin. Mais en même temps c’était juste. Elle ne le collerait pas, mais s’il dérapait elle ne le louperait pas non plus. Tien c’était bisard, il l’appelait rarement Elisa quant on y réfléchissait. Bon, elle avait là visiblement de quoi le faire tenir tranquille. Elle ne lui dirait surement pas qu’elle ne le livrerait jamais au serpy, qu’il le pense s’il voulait elle ne le contredirait pas. Elisa n’avait pas sauvé la vie de Will pour ensuite le vendre au vert. Le « s’il te plait » manqua de l’achever. Depuis quant il était civilisé avec elle ? Il se rappelait plus qu’elle était « sans cœur » ?
-Oui, je me rends tout à fait compte Will. Avec toi tantôt je suis une aspirante mangemorts qui te veux que du mal, tantôt je suis une sans cœur qui te veux encore que du mal…Et tantôt d’un cou tu hésites et tu te demande si je suis vraiment aussi méchante que ça…un jour il faudra que tu te décide Will. Si tu ne connais pas toi-même la réponse à cette question de savoir si oui ou non je pourrais te livrer au vert, ne compte pas sur moi pour te la donner.
C’était la première fois de la soirée qu’elle parlait posément en le fixant dans les yeux. Il était temps d’aller au lit, Will fit mine de partir. Ha non, ça cela n’allait pas être possible. Couvre feu oblige, elle ne voulait pas lui courir après dés le premier soir.
-Non ça je crois que ça va pas être possible Will.
Il s’éloignait déjà lorsqu’elle s’adressa à quelqu’un
-Rodolfus, pourriez vous s’il vous plait bloquer notre entrée pour la nuit ? Monsieur Allen ici présent ne doit en aucun cas sortir.
Une voix venu de nulle part lui répondit, en faite il s’agissait tout bonnement du tableau gardant leur entrée.
-Mais bien sur miss Winster, bien que je ne comprenne pas votre acharnement à garder un sang impure dans notre maison, vous savez bien que je ne peux rien refuser aux préfets.
Il y eut comme un bruit de clé, un clic retentissant, bloquant définitivement la sortie vers les cachots.
-Merci Rodolfus, ne le laisser pas sortir à moins qu’il ne soit accompagné de ma personne. Pour cette nuit en tout cas.
Elle venait de coincer Will dans leur salle commune, mais n’attendis pas qu’il se retourne pour déjà s’engager dans les escaliers de son propre dortoir
-Désolé Will, j’ai dit que je ne te collerais pas, mais je n’ai pas dit que je te laisserais libre d’enfreindre les règles. Maintenant tu peux dormir là ou bon te semblera, en tout cas tu sais ou est le dortoir des 6eme années. Sur ce je te souhaite une agréable nuit, tâches de ne pas faire trop de cauchemars.
Et elle disparu dans son dortoir.
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) Mar 21 Avr - 22:09 |
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William perdait la bataille, et bien que ça le mettait en rogne de se le dire, il fallait le voir, c’était clair, irréfutable. Il perdait toute envie de répliquer et laissa la verte avec son dernier mot, elle serait contente, et lui aurait la paix. Qui sait, la nuit porte conseille comme sa mère lui disait souvent. La verte ne lui prêtait plus attention, ou le faisait exprès, il n’en savait trop rien. Il se décida de ne pas l’énerver plus que ça ou elle passerait une mauvaise nuit, énervée et impossible de dormir, et le lendemain, elle l’accuserait. Il la voyait venir.
- Ouais bah… regarde ailleurs et fiche-moi la paix…
Ton neutre, peu grincheux cependant. William enfonça ses mains dans ses poches ne sachant quoi faire d’autre avec ses mains. En réalité, non. William n’était jaloux de ne pas avoir eut l’insigne. Il ne trouvait rien d’autre sur quoi railler avec la préfète. Il faisait avec se qu’il avait.
- C’est ça, c’est ça. Eh bien crois ce que tu veux, j’en ai marre de discuter avec toi.
C’est bien nouveau ça. D’ordinaire, il ne ratait pas une seconde pour poursuivre le débat, jusqu’à ce que quelqu’un les arrêtent lorsqu’ils dépasseraient les limites. Y’avais rien de drôle à être idiot. Ouais, c’est ça, c’est ça. Il laissa courir.
Puis après s’être calmer en fracassant un vase, Elisabeth ne réagit même plus. Ça aussi c’était pas normal. Et puis si elle s’y mettait plus, bah c’était plus drôle. William perd de plus en plus l’envie de poursuivre la dispute.
Elle avait raison. William croyait beaucoup de chose, en effet. Mais croire qu’Elisabeth était odieuse, ça, ça ne différait pas de la réalité. Il aurait bien aimé lui répondre, que lui aussi avait ressentit la même chose lorsqu’elle était partit du château, croyant également que c’était définitif. Mais premièrement, il ne voulait plus répliquer et deuxièmement, ce serait mentir que de dire ça.
- Si ça te fais plaisir de le croire… eh bien nous partageons au moins notre amour du jeu…
C’était plus fort que lui. Il aurait put faire mieux, plus agressif, mais ce n’était plus son but. Ça lui suffisait désormais une simple phrase. Visiblement, ni l’un ni l’autre ne pouvait toucher à ses amis.
- Ne traite pas James et je ne traitais pas tes amis. T’as pas intérêt de faire ça. Oh, non, il ne regardait pas ton blason, absolument pas. Il était trop occupé à regarder autre chose ! Ma version ? James est le frère d’Albus, il sait sûrement la bonne version, tu ne crois pas ?
Il abaissa sa baguette et la replaça dans sa poche, s’écartant de la verte. Il ne cherchait plus les hostilités. Elisabeth commençait à fatiguer et à se contredire. Il ne lui fit pas remarquer. Elle allait finir par remonter se coucher et le laisser tranquille. Il ne put s’empêcher de sourire à sa remarque. En effet, il avait un côté égoïste, mais chacun avait ses défauts, William sans coute plus que les autres.
- Et qui vais-je laisser derrière-moi ? Mes parents ? On non, je vais les rejoindre, ça c’est sûr. Miller, bah ouais, il lui faudra un autre martyre. James ? Mais t’en rien à fiche de lui, je croyais que c’était un crétin ? Toi ? Laisse-moi rire… je croyais que tu aimais bien mes départs définitif, cette fois, oui, tu me reverras plus.
Il partait dans ses délires suicidaires. A y penser, maintenant, il n’y avait plus grand-chose qui le retenait, parce qu’ici, il ne connaissait personne -à part Elisabeth- et ses amis, ils ne voyaient plus, n’ayant plus les mêmes heures.
- Alors là, tu vois… ça, ça c’est du Winster tout craché. Tu veux absolument me faire tirer les mots de la bouche et quand tu les as, t’en veux plus ! De toute façon, mais je laisse tomber. Je comprends plus rien.
Et de la façon, elle était pas parfaite ? Depuis quand elle se refusait un compliment ? Tant mieux, William regrettera de cette manière moins son geste, d’avoir voulut s’excuser. Il daigna alors reprendre confiance en la verte, ça ne servirait à rien.
- Ouais bah c’est bien. Tant mieux si c’est réciproque la confiance. Ouais, je te fais confiance alors… non, t’abuses. C’est dégelasse !!! Mais… bon ok. Ça marche.
Fallait mieux ça que rien. Il essayerait au maximum de se faire discret et au pire, d’accuser les autres. Ça c’était la meilleure des méthodes. Lorsqu’il arriva à la porte, pour sortir, elle s’adressa à un mystérieux Rodolphus. William se retourna, voir de qui elle parlait et cette seconde suffit à la verte pour le coincer définitivement, jusqu’à demain.
- Mais à qui tu… ?
Il entendit un bruit de verrou dans la porte. Ça y est ? C’était finit comme ça ? Juste pour quelques minutes d’inattention ? Bien que cela ne servait à rien, il enfonça plusieurs fois la porte avant de renoncer. Sa haine envers la verte reviens aussitôt.
- Mais pourquoi t’as fais ça ?!!! Redescends tout de suite, tu vas rouvrir ce truc !!! Eli-sa-beth !!! JE TE DÉTESTE !!!
Mais pourquoi il avait pas attendus qu’elle ais le dos tourné ? Elle l’aurait pas vu sortir ! Quel idiot, il venait de gâcher sa dernière chance de sortir d’ici. Il s’assit sur un des fauteuils froids de la pièce et attendit. Il ne savait pas trop quoi. Puis il finit par s’endormir, de fatigue.
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Sujet: Re: un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) |
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un lion dans la cage aux serpents (premier poste Will) |
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