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quant le mal déploie ses ailes (Callie Rose) |
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Leonard Jedusor
6ème année Serpentard
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Sujet: quant le mal déploie ses ailes (Callie Rose) Lun 23 Mar - 21:06 |
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La salle commune était déserte, en ces derniers jours de vacances, nombres élèves c’étaient rués a la bibliothèque ou bien ils profitaient de leur derniers jours de liberté pour faire de longues balades dans le parc. Je ferais plutôt partie de ces derniers, sauf que j’avais fait en sorte de m’y rendre avant que tout les autres n’arrivent. Je ne suis pas du genre grand loup solitaire, mais lorsque je veux réfléchir à quelque chose de précis j’apprécie le calme.
Elynn me manquait, j’avais hâte qu’elle ne rentre de chez ses parents. Pourquoi avait il fallu qu’elle parte justement maintenant ? D’ordinaire, ma verte passait toutes ces vacances au château, mais là si j’avais bien compris, ses parents voulaient lui parler d’une chose importante. Enfin bref, sans elle, j’étais donc plutôt seul.
Assis sur le canapé réservé à l’usage propre des Salazards je fixais les flemmes d’un air pensif. Le temps avançait à grand pas, bientôt il serait l’heure de faire des choix. Bientôt, je ne pourrais plus seulement me contenté de tenir de simples élèves en respect, je voudrais étendre mon pouvoir, reprendre ce flambeau qui depuis longtemps n’attendait que moi. Je ne savais pas par quoi je commencerais. Devrais-je essayé de contacter les rares fideles de mon père ou bien au contraire former ma propre bande personnelle ? Me faudrait il rendre caduc toute les anciennes marques des ténèbres pour m’instaurer ma propre marque ? Je ne savais pas trop. J’avais d’un coté cette volonté d’exister par moi-même, de me former par moi et non en suivant les traces de mon père. Je voulais que l’on me respecte pour se que je suis et non parce que je suis le fils du grand lord noir. Tant de question, et tellement peu de réponse.
Les flemmes se balançaient sous mes yeux et je me laissai imprégner de leur chaleur, de leur petit coté réconfortant. Mis à part Elynn, je ne faisais confiance à personne. Parfois, j’enviais tout ces gamins qui avaient un tat d’amis. Moi, je n’en avais aucun, je me suffisais à moi-même. Oh, j’avais bien quelques connaissances, des personnes avec qui j’aimais parler, mais personne a qui je puisse confier mes tourments. Autrefois, j’avais eut Scorpius…Mais aujourd’hui, ou était il donc ? Le temps se charge de vous montrer les revers des personnes…Scorpius Malefoy n’avait pas échappé a la règle. L’amour l’avait perverti, il était devenu faible et méprisable. Hier, il était pour moi l’un des piliers même des Salazard, aujourd’hui je ne le gardais plus que pour se qu’il pouvait m’apporter. Malefoy n’était plus rien mais il conservait une famille influente dans le milieu sorcier.
Je soupirai en cherchant sur le meuble a coté de moi une bouteille. Je me servi un verre. Les verts et argent partaient a la dérivent, je n’arrivais même plus a inspirer le respect ou la crainte chez tous mes condisciples. La rébellion des serpentards nous avaient tous affaiblis et il était grand temps que je reprenne les choses en mains. J’allais devoir faire plier les têtes fortes, j’allais devoir reconstruire un vrai groupe de Fidel…Tout reprendre de zéro pour en ressortir plus fort encore. Le travail qu’une telle chose demandait ne me faisait aucunement peur, j’ai toujours été conscient qu’on ne peut créer son royaume simplement en claquant des doigts. Il était temps de mettre chacun des serpentards à l’épreuve et de voir lesquels m’étaient encore Fidel.
Je bus une gorgé d’alcool. Le liquide me brula la gorge et je fis une légère grimace. Quant le ministère m’avait appris la mort de mon père, je n’avais pas eut la moindre larme. Mon visage était resté de pierre et je me souviens que la seule chose que j’avais dite avait été un « bien… »…oui, bien…Je devenais l’héritier directe alors que je n’avais pas même encore tout à fait 17 ans. Mais qu’importe, personne ne c’était soucié de moi. J’avais repris le manoir, la bibliothèque privé, j’avais assisté aux nombreuses descentes des aurors qui fouillait la vaste demeure pour ne rien me laissé de compromettant. J’avais subit cela sans aucune réaction, me contentant de les regarder et de me dire qu’un jour, ils paieraient pour ce que je considérais comme un affront. Ils souillaient de leurs mains impures les fondements même de ma puissance. Ils n’avaient vue en moi qu’un simple gamin a peine trop arrogant…pauvre ignares ! Ils n’ont même pas vue que derrière mes yeux noirs couvait le même désir de sang qui avait jadis animé ceux de mon père.
Je repensais à tout cela, les yeux noyé dans les flemmes, buvant mon verre par petite gorgé et me perdant dans le silence de la pièce. Je ne savais pas quelle heure il pouvait être, ni combien de temps je restai là immobile a ressacé toutes ces choses.
Le passé se mêlait au présent pour mieux me projette vers un avenir déjà bien prédéfinis. Je voulais une vengeance de taille…Mon pouvoir de séduction n’était plus à faire, je savais que je pouvais tenter nombreux ignorant, leur faire convoiter monts et merveille pour finalement leur faire signer un véritable pacte avec le diable. J’avais déjà la certitude de pouvoir compter sur la majorité des serpentards. Quelques Serdaigle et pouffsoufle me prêteraient certainement allégeance en échange de ma protection…Mais ce n’était pas eux que je visais. Depuis peu, mon regard était tourné vers les gryffondors. Combien d’entre eux pourrais-je réussir à attirer dans mes filets ? Combien y en avait il qui, a l’image de Pettigrow, se révélerait plus lâche face a une mort certaine ? J’avais repéré dans leur rang des élèves au caractère bien trempé, quelques gryffondor a la langue si acéré qu’on aurait put les confondre avec des serpentards égarés…Mais égaré jusqu'à quel point ?
Tout a mes questions, j’entendis le portrait pivoter. Il en était fini de ma solitude. Si c’était un premier ou second année, il filerait sans demandé son reste, un autre s’installerait probablement loin de moi…A moins que cela ne soit quelqu’un qui me connaisse assez pour avoir envie de faire un brin de discutions.
Je me retournai lentement, et découvris Callie Rose. Elle était de mon année, et bien que l’on ait eut que rarement l’occasion de parler je savais sa famille fidele a mon père. Mon visage resta impassible, tandis que je la saluai
-Bonjour Callie Rose, toi aussi tu en avais assez de tous ces mouvements incessants qui règnent dans les couloirs ?
Je me poussai un peu et lui fit une place a mes cotés. Vaste privilège que de pouvoir s’assoir dans ce canapé là. Privilège que je ne donne qu’à bien peu de monde
-Que dirais tu de partager avec moi un petit verre et de discuter un peu de tous les événements qui ont secoué serpentard ces derniers temps ?
Je sonde son regard. Si je veux connaitre les gens qui me sont fideles et ceux qui le sont a la rébellion serpy, il me faut bien commencer par quelqu’un.
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Eloïse Owned
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Sujet: Re: quant le mal déploie ses ailes (Callie Rose) Lun 23 Mar - 22:44 |
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Je tente le Je! xD Je m'étais levé au aurores ce matin. Ce qui changeait de bein dès fois ou je m'étais réveillé en retard bien après le levé du soleil et le début des cours. Le réveil de ce matin n'était pour une fois pas du à une mauvaise blague de l'une des filles du dortoir, ou encore ne sais-je une idiotie commise par les rouges qui nous enverraient un cadeau de bonne journée...
Non pour une fois j'étais d'humeur matinal, lorsque je me suis réveillé la pendule du dortoir n'indiquait alors que quatre heures du matin. Je décidai de rester dans mon lit jusqu'à cinq heure trente le temps que professeurs, élèves ou encore préfets est tous rejoins leur lit et profitent d'une dernière grasse matinée avant la reprise des cours.
Je me levai et m'habillait en silence lorsque cinq heure trente eut sonné. Dans le dortoir l'on entendait que les ronflements ou encore les marmonnement des unes et des autres. Je fis cependant attention à ne réveillé personne par mégarde voulant préservé ma sortie de façon à ce que je sois seule.
J'aimais cette solitude matinal qui laissait alors une tout autre vision de Poudlard. Poudlard qui d'habitude était autant rempli jours comme nuit était soudain silencieux à cette heure qui n'appartenait ni au matin d'un nouveau ni à une nuit ou il est si marrant de braver les interdits. C'était sans doute le moment que je préférais. J'aimais cette vision de beauté solitaire qui m'appartenait, j'aimais vagabondé dans le parc ou dans les couloirs, sans avoir de compte à rendre à qui que se soit...
Cependant ces moments ne duraient jamais éternellement et bientôt les couloirs furent de nouveaux bruyant et envahit par un flot constant d'élèves affamé et plus ou moins matinal. Je laissai à regret mes derniers instant solitaire s'évaporer pour enfin rentrer chez moi....
Non ce chez moi n'existe pas, du moins pas encore... Si la salle commune des serpentards était ce chez moi que je désires je n'y retournerait pas alors à reculons....
Je finis pas passer le trou, un coup d'œil dans la vaste salle me fit vite comprendre que les estomac affamé avait eut raison des verts, enfin sauf un....
Léonard Jedusor. Je ne sais pas trop quoi pensé de lui, d'un côté il c'est toujours montré si courtois avec moi, de l'autre.... de l'autre il est l'obstacle principal qui se pose entre James et moi...
James Sirius Potter, l'être que je devrais méprisé et haïr se trouve être celui que j'aime. Et cet amour est sincère, mon premier véritable amour qui me terrorise autant qu'il me plait. Entre tout le temps obligé de mentir, obligé de renié ses sentiments que j'éprouve pour préserver des apparences que je ne souhaite plus vraie, de savoir que notre amour peut nous détruire.... Tout cela me terrifie en effet. Mais pourtant l'interdit à toujours eu ce gout si plaisant à la fois, et les sentiments partagés que j'ai pour lui sont si vrais que je n'échangerai rien contre ceci...
-Bonjour Callie Rose, toi aussi tu en avais assez de tous ces mouvements incessants qui règnent dans les couloirs ?
Voilà donc que le chef des Salazard s'adresse à moi . Je lève un sourcil dubitatif, je n'ignore pas qu'Elynn est partie en vacances mais ou est donc la petite cour habituel qui entoure le Serpentard? Les Salzards sont bien distants ces temps-ci....
Il se pousse me laissant une place sur le canapé des Salazard, autre acte parmi tant d'autre qui me pousse à être méfiante, non peureuse mais méfiante.... Je m'assois donc au côté du vert.
- Bonjour, Incessant est en effet le mot qui convient... Il est rare de trouvé un endroit tranquille à Poudlard ces temps-ci, mais je vois que je ne suis pas la seule à avoir souhaité un peu de tranquillité...
Banalité d'usage dont je me passerais bien...
-Que dirais tu de partager avec moi un petit verre et de discuter un peu de tous les événements qui ont secoué serpentard ces derniers temps ?
Pouvais-je simplement dire non? Je sent le regard de Jedusor chercher une faille dans ses yeux, faille qu'il ne trouvera pas ayant décidé de faire l'impasse sur James et tout ça, de redevenir une vraie Serpentarde le temps d'une discution, rôle qu'il m'était très facile d'endosser...
- Ce serait un plaisir.
Dieu que je haïssait ses banalités, Serpentarde ou pas j'avais des bonnes manières, mais cela était si ennuyant ...
- Quand à ce qui ce passe parmi les nôtres.... J'ai ouïe dire que Elisabeth te posais quelques problèmes, je sais que William Allen était des notre pour une semaine. Ce dont d'ailleurs je ne comprend toujours pas la raison... Quant au reste... Je suppose que tu parles du fait que les Serpentards font un peu n'importe quoi....
Bon d'accord j'étais de ce-là mais... chut!
Dernière édition par Eloïse Owned le Dim 5 Juil - 23:19, édité 1 fois
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Leonard Jedusor
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Sujet: Re: quant le mal déploie ses ailes (Callie Rose) Mar 24 Mar - 1:28 |
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La voici donc qui prend place a mes cotés. En même temps avait-elle vraiment la possibilité de refuser mon offre ? Si elle l’avait fait, j’aurais assurément pris son acte comme une preuve de sa position dans la rébellion. Le fait qu’elle soit là ne veut pourtant pas dire qu’elle me considère comme celui que je suis, non cela veut simplement dire qu’elle est intelligente. Une qualité que ma fois, j’honore particulièrement. A ses mots, je comprends qu’elle aussi était à la recherche d’un peu de solitude. Je me doute qu’en entrant ici elle espérait que nous serions tous partie vers la grande salle. Les mêmes illusions que moi, en quelque sorte. Elle comme moi, devrions savoir que chez les serpentards il y a toujours une âme qui reste dans la salle commune. J’ignore pourquoi…Oh, évidemment on peut se laisser à penser que c’est parce que la salle commune est un peu comme notre seconde maison, ou alors est ce par ce que ici on se sent tout simplement bien ? Je ne saurais dire. Chez les verts, nous avons cette capacité que tant d’autre nous envie, de savoir être seul même en plein milieu des autres.
Poudlard n’est pas le lieu idéal pour celui qui cherche la tranquillité. Ce vieux château est sans arrêt en mouvement. La nuit, il est hanté non pas les fantômes mais par la multitude d’élèves qui bravent les interdits pour partir a la découverte de trésor inconnu. Le jour, c’est le défilement de toutes les maisons, chacun se pressant vers le cours suivant. Ajoutons à cela que ce château ne connait pas le silence. Il n’est pas un secret qui n’est réussi à être faiblement gardé par ces murs. C’est presque à croire que le château lui-même alimente les ragots.
Je regarde la jeune fille qui prend place a mes cotés. Je ne lui sourie pas, je ne le fais jamais. Je sens chez elle la puissance d’une grande famille. Elle est de sang noble, je le sais, mais bien plus encore on voit à chacun de ses gestes qu’elle a été élevée selon les vieilles traditions. J’avoue que c’est une chose qui me plait. J’aime être face à une personne de bonne famille. Je trouve que ces dernières ont une conversation de grandes qualités.
-Je crois en vérité qu’il serait plus juste de dire que Poudlard n’est jamais un lieu tranquille. Ce vieux château est constamment empli de murmure, on ne peut faire un geste sans se sentir épier par mille regards. S’en est presque oppressant. Sans parlé que je n’ai jamais vue un lieu dans lequel les rumeurs circule encore plus vite qu’un vif d’or lâché en plein match. La tranquillité c’est une chose qui nous manque souvent beaucoup, c’est pourquoi il faut saisir le moindre moment qui nous l’offre.
Je lui tends un verre. Son visage est impassible, je ne détecte rien dans son regard. Il n’y a pas à dire Callie est une serpentarde qui se respecte. J’ai déjà eut loisir d’étudier la jeune personne assise a coté de moi, et pour se que j’en sais, elle a comme tous les vrais vert cette faculté de resté imperméable a tout se qu’elle peut voir ou ressentir. Les politesses d’usages étant passées, je ne vois pas l’utilité de les approfondir. Je ne l’ai pas fait venir là pour avoir une discutions courtoise et polie, bien que de toute façon qu’elle que soit le sujet, je sais que tout restera bien carré. Elle dit avoir « ouïe dire » et je ne peux m’empêcher de ricaner légèrement. Je ne pense pas qu’elle ait simplement entendu parler de ce litige, non je pense qu’elle l’a plutôt parfaitement bien vue par elle-même. Mais peu importe.
-Je ne dirais pas que Winster me pose des problèmes, je dirais plutôt que notre préfète EST un problème. Vois-tu, elle s’obstine à me tenir tête et je dois dire que ce n’est pas pour me plaire. Mais qu’importe, comme tout ceux qui ne savent pas faire les bons choix, elle en paiera les conséquences le moment voulu, il n’y a pas trop a s’inquiéter pour cela. Sa petite rébellion n’a aucune chance et si je la laisse continuer c’est uniquement parce que tout cela m’amuse.
Oui, je dois bien le dire cela m’amuse de la voir me tenir tête, de la voir essayer de convaincre les autres qu’il ne faut pas me craindre. Elle n’est rien, je suis tout. Même Elynn son amie d’enfance à bien comprit ou était son intérêt. Dans quelques mis, cette rébellion ne sera plus qu’un souvenir et son auteur sera sans doute porté parmi les nombreuses personnes qui disparaissent mystérieusement. Je ne donne pas de précision sur mes pensées a Callie, je suis quelqu’un de prudent, je reste toujours en surface des choses.
Elle me parle de William Allen, en voilà un que je ne porte précisément pas dans mon cœur. Oh, je ne dis pas que je n’admire pas son panache, mais qu’est-il à part un vulgaire sang de bourbe ? Il sera parmi les premiers à tomber le jour même ou je prendrai la place qui m’est réservé sur le trône du pouvoir. Il se pourrait même que je lui fasse l’immense honneur de le tuer de ma propre main, tellement il m’insupporte. Je dois dire que son petit passage parmi nous n’a pas été sans conséquences pour nos relations.
-Allen…Ne me parle pas de lui ! Oui, il a été des « nôtres », enfin façon de parlé..Qui irait imaginer que nous, Noble parmi les Nobles nous puissions accorder le titre de « notre » à un vulgaire sang de bourbe ? Il c’est vu remettre l’honneur d’intégrer notre domaine en conséquence d’une punition infligé par miss Miller. Vraisemblablement, elle comptait sur nous pour inculquer à ce cafard un peu de notre savoir vivre. Il semblerait qu’il diffuse une image fort peu gracieuse de notre noble maison, c’est pourquoi afin qu’il réalise que par rapport a nous, il n’était rien, Miller à penser qu’il fallait le mettre en condition. Je dois dire que j’ai encore du mal à me remettre de cet affront ! Un simple moldu chez nous, j’ose espérer qu’après cela les elfes de maison ont prit soin de tout désinfecter.
Non, quoi qu’on en dise, je n’arriverai jamais à me faire à l’idée qu’un lion soit entré dans notre tanière. C’est un peu comme s’il avait violé notre espace vital. Callie a l’air de bien savoir de quoi je veux parler. Visiblement, le comportement des serpentards n’échappent à aucun œil bien aguerri
-Effectivement…Les serpentards ne savent plus ou est leur place. Et, hélas même parmi les plus grands il y a des failles ! Ainsi, alors même que notre préfète s’exposait a la vue de tous au bras d’Allen, se qui fort heureusement a prit fin, j’ai découvert d’autre éléments négatifs. Malefoy entretien une relation avec Potter et bien plus encore il a choisi de la suivre elle plutôt que moi,l’amour lui a fait perdre tout sens des priorités, il sera puni en conséquence cela va de soit, Andrews est tellement proche de Winster que bien que ses relations soient meilleurs sa façon de pensée et tout aussi dérangeante, Jade a préféré partir plutôt que d’accepter le départ de Sébastien…Enfin bref, rien ne va ! Les Salazards eux-mêmes subissent cou sur cou, a ce jour il n’y a guère plus que sur Elynn que je puisse compter.
Je tourne la tête vers elle, jouant avec le bord de mon verre. J’accroche son regard neutre. Je n’ai jamais vue Callie avec une mauvaise compagnie, tout me porte à croire qu’elle sait choisir ses relations avec beaucoup de gout.
-Mais nous ne sommes pas affaiblie pour autant bien au contraire, ceux qui pense cela sont des fous ou des inconscients.
J’aime mettre en avant le fait que nous avons bien d’autres ressources. Je sais que nombreux sont ceux qui voudrait me tuer dans l’œuf, m’empêcher d’accomplir ma destiné.
-Enfin, je connais assez bien ta famille Callie. Par contre, je remarque que je ne te connais pas assez. Aussi, je te le demande, qu’elle est donc ton ressentie face a tout ces événements ?
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