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Tu joues dans la cour des grands maintenant. |
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Sujet: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Lun 23 Fév - 20:37 |
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Il grimpa les marches du hall quatres à quatres, impatient d'essayer sa nouvelle baguette magique. Oui oui vous avez bien entendu, " sa nouvelle", il l'avait cassé sans le vouloir en essayant un sort bien trop puissant pour son niveau, ce qui avait projeté avec force la baguette contre...le saule cogneur. A ce moment précis, Albus se demanda si il n'était pas le fils caché de Ron Weasley. Il aurait bien été la récupérer à ses risques et périls, mais ses amis l'en avait aussitôt dissuadés...complètement dingue, on ne se bats pas contre le saule cogneur....du suicide...qu'ils disaient. Albus avait alors étouffé un soupir, se contentant de regarder sa précieuse baguette magique se faire écrabouiller par l'arbre destructeur.
Il sortit de son écrin l'objet fétiche, et d'une main délicate l'a prit dans ses doigts, effleurant le bois de 20 centimètre, avec un crin de cheval et une plume de phoenix... - Cette fois ci je ne te laisserai pas suivre ton ancienne congénère ! Déclara t'il à voix haute en caressant des yeux la baguette magique qui brilla faiblement comme pour approuver ces paroles. Albus esquissa un sourir ravi, posa avec précaution l'écrin de marbre sur la rampe de l'escalier et vérifia d'abord que personne ne passait à ce moment là. Il pointa l'objet droit sur le mur d'en face, son regard se concentra uniquement sur le mur, puis il se passa la langue sur les lèvres discrètement comme pour se donner du courage et murmura : - Ex...experlliamus !! Mais rien. Aucun effet. Oh il savait que ce sort ne convenait pas à un si jeune élève, Experlliamus ne s'apprenait qu'en 4ème année et encore...mais a force de voir James le pratiquer contre des ennemies, et d'entendre Harry en parler si souvent à la maison, Albus se disait qu'il pourrait peut être lui aussi essayer ce sort, après tout si Papa et James l'ont lancé et qu'il ne leur ai rien arriver de mal, pourquoi pas moi ? Il ignorait totalement l'effet de ce sortilège, mais il était persuadé qu'en faisant comme sa famille il ne risquait absolument rien. Replongeant son regard sur le mur, tenant fermement la baguette dans sa main droite, il se concentra à nouveau, lèvres pincées, puis prononca plus fermement avec plus de vigeur : - Experlliamus ! Un faible halo bleu l'éclaira alors et vint s'écraser sur le mur comme une tâche de lumière... Mais pas grands résultats non plus. Encore plus lancé à réussir, Albus ne se découragea pas, se concentra de nouveau, et cette fois ci mit toute son énergie dans la baguette et cria : - Experlliamus !!! Cette fois ci, un bleu électrique fut projeter par la baguette et fonça sur le mur, il ricocha par sa solidité et avant qu'Albus n'ait eu le temps de réagir, le sort le percuta de plein fouet. Le jeune garçon se sentit jeter brutalement en arrière et tomba violemment sur le dos dans l'escalier désert. Sa baguette lui échappa des mains et tomba au sol à ses côté sans heureusement se rompre pour autant. Un peu sonné, Albus mis quelques temps à se relever, une douleur suraigu lui traversa l'arrière du crâne, le choc avait été si violent qu'il avait du se cogner la tête sur le bord des marches...Il se redressa un peu, et examina ses coudes meurtris, bien abîmés. Malgré ces petites blessures, Albus affichait un sourir ravi, il avait réussi !
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
Nombre de messages : 1955
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 24 Fév - 2:25 |
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Drôle de journée, encore une de celle a placé sous le signe de la mauvaise journée. Tout d’abord les cours avaient été infernaux, ensuite elle avait dut se coltiner Allen pendant toute l’âpres midi, les serpentards et les gryffondor ayant cours en commun, et pour finir elle c’était encore disputé avec le gryffondor en question. Bref, rien de réjouissant, mais fort heureusement tout cela avait pris fin lorsque la cloche avait sonnée l’heure de la fin des cours.
Elisa était décidé à faire un tour pour se décontracté. Elle avait quitté sa salle commune, sans but précis, espérant avant tout ne pas croiser de personnes indésirables. Plus le temps passait, et plus il fallait avouer qu’elle en avait ras le bol de Poudlard. Elle voyait de moins en moins ses deux meilleures amies, ses amis dans les autres maisons étaient tous très pris par des occupations diverses et pour finir entre les engeulades avec son cher ex petit ami, et les disputes avec Jedusor, et bien elle était fatiguée. Sans parlé que Malfoy était revenu depuis peu, et bien qu’il soit fort peu présent, elle préférait nettement lorsqu’elle pouvait s’imaginer qu’il était mort. Au moins, elle était bien plus tranquille.
Enfin, là maintenant elle arpentait les couloires en solitaire. On ne pouvait dire qu’elle était sa véritable humeur. D’aucun vous aurait dit au vue de son regard qu’il valait mieux éviter de la chatouiller, d’autre au contraire vous aurait dit qu’elle manquait simplement de compagnie.
Elle marchait, la tête dans ses pensées, ne prêtant aucune attention aux gens qu’elle croisait et n’attirant pas non plus l’attention sur sa personne. Soudain, alors qu’elle passait devant une porte, elle entendit un sortilège. « Experliamus », qui donc pouvait avoir l’idée brillante mais complètement stupide de faire un duel à cette heure de la soirée ou n’importe qui pouvait les surprendre ? Elle soupira et paria avec elle-même pour un serpentard et un gryffondor. Son oreille se fit attentive, cherchant à reconnaitre les voix. Très vite, elle eut la surprise d’entendre le même sort se répéter et toujours la même voix. Apparemment, ce n’était nullement un duel mais plutôt quelqu’un qui s’acharnait à apprendre à maitriser ce sort.
L’usage de la magie en dehors des cours était interdit, attendu que l’experliamus était au programme des 4 eme années, Elisa était persuadé que derrière cette porte se tenait un serpentard de cette dite année. Qui d’autre pour transgresser ainsi les règlements ? La jeune fille allait hausser les épaules et s’éloigna, et ce malgré son insigne de préfète qui lui commandait de tenir un sermon a l’élève en faute.
Elisa c’était déjà considérablement éloigné lorsqu’elle perçu un bruit sourd mais violent. Elle s’arrêta net et se retourna. Apparemment, soit l’élève qui s’entrainait avait fini par arriver a ses fins de manière brutale, soit quelqu’un d’autre était intervenu et pas de la façon le plus tendre. Elle hésita sur la conduite à tenir. Elle en avait assez des remontrances, des disputes et sa journée avait été déjà bien assez pourrie comme cela. A quoi bon jouer en plus les bons samaritains ? Elle secoua la tête, et tandis qu’une part d’elle avait déjà pris la décision de laisser les choses telles qu’elles étaient sans s’en mêler une autre part d’elle lui conseillait de vérifier au moins qu’il n’y avait pas de blesser. Après tout, si tel était le cas, elle pourrait être accusé de non assistance a personne ne danger…Sans parler de son devoir de préfète.
La verte soupira longuement, puis fit demis tour et revint sur ses pas. Juste devant l’escalier une silhouette se tenait assise, se frottant la tête. A première vue, si c’était une 4 eme année, il avait dût avoir un problème de croissance. Comparé à elle, le gamin relativement petit. Elle s’approcha de manière à lui faire face, et juste au moment ou elle allait lui demander si tout allait bien, elle réalisa que le jeune homme était Albus Potter. Qui ne le connaissait pas ?
Pas possible, elle était maudite ! Encore un gryffondor ! Et un Potter par-dessus le marché ! Non, mais c’était à croire que vraiment elles les dieux ne l’avaient pas a la bonne ces temps ci. La serpy leva les yeux au ciel, faisant contre mauvaise fortune bon cœur. Puisqu’elle était là, autant se rendre utile. Et puis bon…ce pauvre gamin, n’avait rien à voir avec la rancœur de la verte vis-à-vis des Potter…M’enfin même si elle avait rien contre les rouges, elle aurait largement préféré tomber sur un pouffy ou même un Serdy…Enfin bref, elle dévisagea le jeunot avant de lui demander en se baissant vers lui pour examiner sa tête
-Sa va ? Pas trop de bobo ?
Puis, se souvenant quant même que le dis Albus n’était qu’un seconde année, elle lui fit son regard moralisateur
-Tu peux m’expliquer se que tu trafiquais là dedans a jeter un sors qui est loin d’être a ta hauteur ? Ce n’est pas parce que tu t’appels Potter qu’il faut de suite te prendre pour un surhomme ! Je ne sais pas si t’en as conscience mais tu aurais put te faire très mal ! Sans compter qu’en plus tu ne respectes pas le règlement, se qui au passage coutera 10 point a ta maison.
Il était en vie, elle aurait put le laisser là, tourner les talons et s’enfuir loin de tous ces rouges qui prenaient de plus en plus la grosse tête. Pourtant, elle resta là, le regardant espérant être certaine qu’il n’avait pas besoin d’être conduite à l’infirmerie.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 24 Fév - 13:16 |
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Il était justement sur le point de se relever et de partir, qu'une jeune femme, fit irruption dans le hall... Devant sa mine sombre, Albus comprit qu'il n'aurait jamais dû faire ça. Mais trop tard pour reculer, il allait lui falloir assumer jusqu'au bout. Le pompom se serait que James arrive à ce moment là, ce dernier jubilerait alors de voir son petit frère se faire disputer par une élève, et d'ailleurs en jetant un oeil curieux sur son insigne, une Serpentard !
Il était cuit. La sortie de secours s'il vous plaît ? Non, Albus, devait se montrer digne, et fier. Mais fier de quoi exactement ? D'avoir jeté un sort d'un niveau supérieur et en plus en sachant pertinemment que cela était interdit dans l'enceinte du château ? Tout en regardant la jeune femme s'avancer vers lui et s'agenouiller à sa hauteur, il se demanda si il ne serait pas possible de changer soudainement d'identité, rien que pour échapper aux remontrances...
C'est alors qu'elle prit la parole, et lui demanda si il s'était blesser. Il ouvrit la bouche pour répondre mais la referma aussitôt devant le discours de moral qu'elle lui balança avec autorité. Si jamais Albus aurait pu avoir le tempérament de son père ou de sa mère, il se serait alors rebeller et ne se gênerait pas pour se défendre, implorant son innocence. Mais il se trouve malheureusement, qu'Albus ne possède pas ce tempérament défensif, et penaud, il détourna le regard. D'autant plus que cette dernière enleva 10 points pour Gryffondor, honteux, il ne sut que répondre et se contenta d'hocher la tête : - Je voulais juste voir si j'y arriverais... Le moral dans les chaussettes, il se releva chancelant, prit sa baguette dans sa main droite, et se tourna vers la jeune femme : - Je savais pas qu'il était dangereux.
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 24 Fév - 15:49 |
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Elle observait le jeune homme qui affichait à présent un air penaud. Elisa n’aimait pas, même si sa maison avait coutume de le faire, donner l’impression de vouloir mettre la honte a quelqu’un. Après tout Albus n’avait pas commis un crime, il avait juste jeté un experliamus, et au vue des résultats obtenus, il pouvait être fier. Elle connaissait bien peu de jeune de son âge capable d’obtenir autre chose que de la fumée en essayant de produire ce sort.
Albus semblait différent des autres Potter. Peut être étais ce son jeune âge ? La verte n’aurait sut le dire, mais une chose était certaine il affichait une attitude plus posé. Tandis qu’à sa place sa sœur aurait déjà sortie les griffes, et son frère serait déjà monté sur ses grand chevaux, lui au contraire affichait un air désolé.
Elle se demanda si c’était son insigne de préfète ou son appartenance à la maison des serpentards qui troublait à ce point le jeune homme. Il se remit debout, sa baguette en main. La jeune fille afficha un sourire amusé, si quelqu’un venait à passer par là, il y avait toute les chances pour que l’on pense qu’une vilaine serpentarde était encore en train de chercher querelle a plus jeune qu’elle. Elle secoua la tête, et décida de mettre ses sermons dans sa poche et de plutôt féliciter le gryffondor.
-Et bien, si on examine de prés le résultat je dirais que tu as réussi à jeter un exerpliamus assez puissant. Mais, si je peux te donner un conseil, travail ton équilibre. Quant tu veux désarmer un adversaire, il est préférable de rester debout ensuite, sinon sa ne servira pas a grand-chose.
Elle eut un léger rire, essayant de détendre l’atmosphère toujours tendu lorsqu’on confrontait un vert et un rouge.
-En tout cas, je dirais que tu peux être fière de toi. C’est rare de réussir ce sort quant on est en seconde année.
Elle hocha la tête. Comment, lui le fils du célèbre Harry Potter, pouvait penser qu’un experliamus était inoffensif lorsqu’on savait que c’était grâce à ce sort que son père avait combattu le plus grand mage noir de tout les temps ? Il y avait là derrière quelque chose de très ironique qu’elle préféra ne pas soulever.
- Dangereux, ce n’est pas forcement le mot. Mais dit que mal lancer il peut te valoir quelques bosses. Sans compter que si la rambarde ne t’avait pas arrêté, tu aurais fait un joli vol plané dans les escaliers. Imagine un peut si tu t’étais tué…on aurait écrit sur ta tombe « mort en voulant jeter un experliamus » ça aurait fait fureur vraiment.
De l’humour noir, c’était bien son style. La jeune fille adressa un autre sourire à Albus. Visiblement à part une belle bosse, il n’y avait pas grand-chose de grave. Elle le regarda et sembla le jauger du regard avant de venir se placer derrière lui, de soulever sa main tenant sa baguette et de lui dire.
-Quant tu jettes un experliamus, tu dois le faire avec tout ton corps. Visualise la baguette de l’adversaire dans ta tête, tend bien ta baguette, plante tes pieds dans le sol et pour finir lance la formule. Laisse couler la magie en toi, ne la retient pas. Si tu arrives à faire ça, tu arriveras à lancer ce sort tout en t’évitant une autre rencontre avec le sol.
Elle refit face au jeune homme et sortie sa baguette.
-Vas y, essaies de me désarmer.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 24 Fév - 16:26 |
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Il l'écoutait d'une oreille seulement, depuis qu'elle avait dis qu'il pouvait être fier de lui, son estime de soi venait de faire un bond prodigieux. Il ne put s'empêcher de laisser un large sourir se dessiner sur son visage. A sa grande surprise, elle l'incita même à s'entraîner. Impossible, une Serpentard aider un Gryffondor ? De plus plus jeune qu'elle ?
C'était à peine croyable, et pourtant vrai. Ravi, Albus reprit de l'attention et écouta attentivement son nouveau "professeur". Il fallait qu'il se concentre davantage, et laisser la magie prendre sa place. En le disant, on aurait cru cela facile, mais la pratique est bien plus compliquée !
Il s'étonna encore quand la Serpentarde s'installa face à lui, et déclara qu'il fallait qu'il l'a désarme. Comme tous les 2ème années normalements constitués de son âge, Albus aurait dû répliquer qu'il ne pourrait jamais y arriver, étant donné le niveau supérieur de son " adversaire". Mais Albus ne s'appellait pas Dupont, c'était un Potter, certe plus discret, plus " posé" aussi mais pas du genre à baisser les bras pour autant !
- D'accord, je vais essayer... Répondit t'il d'une voix déterminée et concentrée. Il inspira longuement pour se donner du courage, et fixa la baguette adverse, ses yeux bleus devinrent presque bleu foncé à force de concentration, il ferma la porte sur ses pensées, laissant la vraie magie le posséder. Un mal de tête se fit sentir, mais il n'en fit pas attention, à présent il ne voyait que la baguette de l'élève.
- Experlliamus ! Un jet bleu plus voyant que le précédent jaillit de la baguette magique et vint percuter la jeune femme....
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 24 Fév - 18:13 |
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William avait désormais prit l'habitude de trainer dans les couloirs. Il n'avait aucun endroit à atteindre dans le château, personne à voir, rien à faire, et ça lui plaisait. D'ailleurs lorsque quelqu'un lui demandait simplement réponse à l'une de ses questions, celui-ci répondait à chaque fois différemment.
Une première fois il allait dans sa salle commune, la suivante, rejoignait le parc, suivait un cours de botanique ou cherchait quelqu'un du côté du quatrième étage. De cette façon, personne ne savait où il était passé. Et ça lui était bien utile.
Il venait de retrouver les escaliers menant au Hall de Poudlard, il se demanda s'il allait faire un tour dehors pour revenir par une autre entrée. Peu importait, il allait là où ses jambes le portait.
Une voix vint interrompre ses pensées. Il se retourna, personne. Cela devait venir du Hall. Qui pouvait-ce bien être ? William, piqué par la curiosité, s'avança à grands pas.
Il entendit un expelliarmus se qui le figea. Un Duel ? Dans le Hall ? Ce n'était pas très malin, il y avait toujours quelqu'un dans le Hall, c'était comme livrer Duel dans la Grande Salle, aux yeux des professeurs...
Il aurait pu faire demi-tour, mais c'était mal le connaître que de parier là dessus, William était bien de ces rouges curieux sur tous les sujets et pas forcément les mieux vus en matière de magie.
Cette fois, les voix furent plus nettes. Il y avait deux personnes. Impossible cependant de reconnaître encore qui était-ce. William ne cessa d'accélérer jusqu'à l'entrée du Hall, la scène était à la hauteur de ses attentes.
Il s'immobilisa d'abord, de surprise, puis ricana en s'approchant des duellistes un sourire narquois aux lèvres avant de lancer :
- Par un 2ème année ? Ha ha ! Winster, préfète de Serpentard désarmée par un 2ème année ?
Il reporta son attention sur le désarmeur prodigue.
- Enfin... comment tu as fais ça ? On apprends le sortilège de Désarmement en 4ème année et toi tu... oh... hé attends ! Tu es le fils des Potter, Albus c'est ça ?
Il afficha un sourire victorieux face à la verte. Un Gryffondor, un Potter, qui venait de la désarmer.
- Bref, tout vas bien ? C'est bien ça que tu saches de défendre, on en a de plus en plus besoin de nos jours... dans les couloirs on ne jamais sur qui tomber... pourquoi tu lui a jeté un sort à la figure, elle t'a menacé ? Enlevé des points ? C'est vrai ça, Elisabeth, préfète renommée de Serpentard maitrise un élève de Gryffondor...
Il ne demanda pas comment allait la Serpentard. Il n'était pas d'humeur, il venait justement de sortir d'une dispute avec elle. Voilà qu'elle revenait l'embêter.
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 24 Fév - 21:11 |
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Albus lui faisait maintenant face et tout son visage traduisait sa concentration. Elisa, qui était habitué à s’entrainer avec son frère au duel magique, pouvait sentir jusqu'à elle toute la puissance du jeune garçon. La magie coulait en lui, et sa détermination devant le but qu’elle lui avait offert n’en était que des plus remarquables. Bien d’autre a sa place, aurait décliné l’invitation arcan qu’il était impossible pour un seconde année de désarmer une sixième, et cela même si la sixième en question n’opposait aucune résistance.
En effet, Elisa n’avait pas levé de bouclier et ne c’était pas non plus préparé a jeté un experliamus, elle tenait simplement sa baguette dans le simple but de donner a Albus l’occasion de tester son sort face a quelqu’un, l’occasion de mieux visualiser la scène d’un duel.
La serpy n’avait aucunement l’intention de se défendre ni même de faire un véritable duel. Elle aidait juste le rouge a se perfectionné point final. Pourquoi ? Elle l’ignorait…Peut être simplement parce qu’elle n’avait rien d’autre à faire et aussi parce que la volonté du gryffondor l’avait touché. Oublié le fait que se soit un rouge, oublié le fait qu’il soit un Potter…Restait uniquement un élève aux grandes capacités.
Albus se concentra et jeta son experliamus qui vain la frappé de plein fouet. Sa baguette tomba au sol a ses pieds et la verte se vit même projeté quelques pas en arrière. Elle resta néanmoins sur ses pieds, et adressa à Albus un grand sourire. Lui aussi était resté debout. La verte s’apprêtait à ramasser sa baguette et a le félicité, lorsque soudain une voix qu’elle ne connaissait que trop bien se fit entendre. Un ton aussi sarcastique, des paroles aussi piquantes…tout cela ne pouvait appartenir qu’à Allen…hélas… Elle soupira, décidément ou qu’elle aille il fallait qu’il surgisse et en plus qu’il se montre désagréable.
La verte ramassa sa baguette sans lui accordé le moindre regard.
-Bravo Albus, même si y’a de la place pour des progrès, tu es très doué. Bon, là je n’avais aucune résistance, mais je suis persuadé que bientôt même face à une barrière de protection tu arriveras à désarmer un adversaire.
Elle gratifia le jeune rouge d’un sourire. Pas de doute il avait l’étoffe d’un Potter.
-Il est vrai que de nos jours on rencontre tout et vraiment n’importe quoi dans ces couloirs, dit elle en fixant Will en continuant pourtant a faire comme si il n’existait pas, maitriser ce sort te donne un grand avantages sur tes adversaires qui ne s’attendront jamais a un truc pareil. Bien que l’usage de la magie soit interdit dans les couloirs, je ne peux que te conseiller de poursuivre tes efforts en t’entrainant dans ta salle commune…Même si celle-ci n’est pas forcement mieux fréquenté que les couloires.
Enfin, elle se décida à considérer la présence, fort désagréable, de Will.
-Pour ta gouverne Allen, il ne m’a pas désarmée du moins pas dans le sens ou tu l’entends. Quant à me faire maitriser par un seconde année..Et bien Allen…Attendu que tu t’es toujours rendu incapable d’un tel exploit toi-même, il y a peu de chance qu’Albus y soit parvenu n’est ce pas ? Et dans l’hypothèse ou réellement il y serait parvenu, se qui n’est pas le cas…cela ne prouverait qu’une seule chose : que tu es nul. M’enfin sa, on le savait déjà.
Elle n’aimait pas du tout son sourire, et senti sa colère remontée en flèche. Un gryffondor, sa va, deux gryffondor sa va..Un Potter on arrive à faire avec…mais un Allen…sa non…Elisa ne pouvait pas faire avec…En la présence de ce rouge là, tout se qu’il y avait de serpy en elle ressortait et de vraie envie de meurtre se diffusait dans son sang.
Par égard pour ce pauvre Albus, elle contint sa rage. Allen l’avait accusé injustement, même si la seule chose ou il avait raison c’est qu’elle avait enlevé des points a Albus...bien que pour une fois, son acte était tout a fait justifier et légal.
-Ne fais pas attention a Allen, Albus…Il est toujours pitoyablement comme cela…Mais ce n’est pas sa faute, il est tellement associable qu’il n’a aucun ami…Du cou, tu comprends il lui faut bien un bouc émissaire pour se passer les nerfs. Et comme iil a rien d'autre a faire de sa misérable vie, il se croit obligé de venir polluer mon aire ou que j'aille.
Elle garda sa baguette en main, surtout à cause de la présence d’Allen, et adressa un nouveau sourire à Albus
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mar 24 Fév - 21:54 |
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Le sort avait bien marché ! Albus n'en revenait pas ! Il avait réussi ! Affichant un large sourir de victoire, il abaissa la baguette écoutant avidemment les conseils de son professeur. Certe, le sort n'avait pas été très puissant, et il restait énormement de travail, d'entraînements, mais les compliments de la jeune femme vinrent droit au coeur d'Albus qui pour une fois se sentit fier de lui. Si seulement Harry avait été là...
Oh bien sûr, Ginny aurait fait une moue perpexle, tonton Ron aurait sauté de joie, quant à tata 'mione.... Le quart d'une seconde, Albus s'imagina sa réaction : " Oh mon dieu ! Albus ne me dis pas que tu viens de lancer un sort dans le château ? Tu aurais pu te tuer ! Ou pire ! Etre renvoyer ! ...Oui Ron je sais j'ai déjà dit ça lors de notre 1ère année...Albus ! Enfin qu'est ce qui t'es passé par la tête ?! Imagine que le directeur soit passé à ce moment là ! " Il se surprit à grimacer tout seul, heureusement qu'elle n'était pas là....
Il revint à la réalité par une voix masculine, qui se moqua ouvertement de la jeune femme et s'adressa à Albus, lui demandant par quel miracle avait t'il pu accomplir un sort pareil. - Eh bien je... Mais il ne put répondre qu'il le reconnut aussitôt, et s'adressa plus particulièrement à la jeune femme. Vu le dialogue qu'ils entretenaient, Albus devina qu'ils ne devaient certainement pas être bon amis... Partager entre la fratrie des Gryffondors, et l'admiration respectueuse de la Serpentard, Albus jugea plus sage de se tenir à l'écart des échanges houleux des deux élèves. Il apprit cependant que sa professeur se nommai Winster, il s'amusa alors intérieurement à chercher son prénom....
La dernière réplique fut prononcée par Winster qui souriait de nouveau à Albus qui le lui rendit aussitôt. Un peu hésitant, il s'adressa maladroitement au Gryffondor : - Mes proches évoquaient souvent Experlliamus dans leur conversations...mais aucun n'a jamais voulu m'en expliquer davantage...alors ben... Il grimaça légèrement : - J'ai décidé d'apprendre moi même...mais Melle Winster a bien voulu me l'enseigner, alors j'ai accepter. Par tic nerveux il se passa une main dans les cheveux, ne sachant plus trop où se mettre sans risquer de créer une autre dispute Gryffondor/Serpentard.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Mer 25 Fév - 17:33 |
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Elisabeth ne réagit pas tout de suite, se qui fit d'autant plus sourire William. Elle ramassa sa baguette à terre avant que William ne comprenne qu'il avait fait une grosse erreur et qu'il n'aurait pas dû intervenir. Il perdu son air narquois pour un sourire que la verte venait d'afficher au rouge.
- Attends... tu sais faire ça toi ? Ce que tu viens de faire, ce qu'on appelle couramment un "sourire" tu connais ça ? Sans blague, ça doit vraiment être la première fois, les muscles de ta marchoire sont aussi engourdis que ça ?
William surprit le jeune Potter dans une grimmace.
- Tiens, regardes comment tu le dégoûtes...
Peu importe si elle ne répondais pas. Il devait la sortir, cette raillerie. Elisabeth s'autorisa un regard, le visant à peine, se qui fit réapparaître un vrai sourire cette fois. La Serpentard considéra enfin sa présence.
- Que si ! Vois les choses en face un Gryffondor vient de te désarmer ! Pas maitrîser, mais désarmer... c'est plutôt précose pour son âge, imagine ce qu'il te fera dans quelques années ? Quoi je suis nul ? Je ne t'ais peut-être pas désarmé mais je sais au moins maitrîser un Incendio, un sort aussi basique que ça devrait t'être, pourtant, facile non ? POur quelqu'un qui a fréquenté la bonne école ? Hein ?
William voyait bien qu'Elisabeth essayait de se contenir face au jeune Gryffondor. Ce qui le faisait d'ailleurs bien rire parce qu'Elisabeth cachait très mal sa rage... Ils la cachaient très mal.
- Si tu veux un vrai conseil, évite ceux des verts... ton père à dû te l'apprendre... et tu en as sûrement dû en faire expérience... les Serpentards passent leurs temps à tromper les autres et les rabaisser pour mieux ruser... ils sont indignes de confiance, et si personne ne t'a prévenu, je vais m'en charger : crois-en ma longue et douloureuse expérience, articula-t-il en fxant la préfète
Il se retourna vers l'unique Serpentard afin de répondre à ses sarcasmes.
- Quant à toi, Winster, tu es sans doute beaucoup plus pitoyable que moi parce qu'associale tel point que tu as quitté le château... remarque si j'étais je ferais pareil, j'aurais tellement honte de moi même que j'aurais fuis... Ma vie est uniquement misérable par ta faute !! Et je penses que tu es assez mal placé pour la juger ! Et c'est toi qui pollues mon air ! Toi et tes idées stupides de comparaisons !!
Le Gryffondor qui s'était tenu jusqu'ici à l'écart profita d'un moment vide pour répondre à William qui retrouva une mine normale, il hocha de la tête, ayant comprit. Jusqu'à ce qu'il évoque la Serpentard.
- "Melle Winster" ? "Melle Winster" ? Tu veux parler de cette vipère, là ? Depuis quand tu t'improvises prof, toi ? Ce sera quoi votre prochaine leçon ? Comment lancer un sortilège Impardonable ? Haha ! Si c'est ça que tu veux apprendres... t'as choisis la bonne personne !
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Elisabeth Winster
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Jeu 26 Fév - 2:40 |
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Merlin qu’Allen pouvait être puéril et immature. Sincèrement la verte commençait par en avoir plus qu’assez de ses petits pics ironiques ou sarcastique selon le moment. Elle tacha de se rappeler se que lui avait suggérer sa meilleure amie, et se pensa qu’Elynn devait avoir raison. Si elle voulait tirer avantage a ces disputes, et par la même occasion prouver a tout le monde que c’était Allen qui cherchait sans arrêt, il lui fallait mettre son orgueil dans sa poche, et afficher son aire d’indifférence les plus profond.
Après tout, là c’était bien le gryffondor qui avait ouvert les hostilités, aussi puisqu’il semblait aimé le ridicule autant lui en donner pour ses galions et surtout ne pas entrer dans son jeu. La serpy se concentra plutôt sur Albus, qui semblait être quelque peu a l’étroit. Il paraissait être un gryffondor ouvert d’esprit puisque lui, au moins ne c’était pas arrêter a son blason. La jeune fille conserva son sourire, ignorant royalement le sarcasme d’Allen.
-Et, comme tu peux le constater Albus, se n’est pas toujours les serpentards qui cherchent querelles aux autres contrairement a se que l’on peut laisser entendre. Il existe dans toutes les maisons, des personnes étroites d’esprit qui se permette de juger les autres sans même se regarder dans une glace. C’est désolant n’est se pas ?
Allen ne semblait pas vouloir se taire, se qui ne l’étonnait qu’à moitié, vue que ce rouge là avait un besoin compulsif de faire son intéressant. Déprimant se que le manque d’affection pouvait donner chez certain. Toujours avec le sourire, et très posément, sans s’énervé, elle prit partie de tourner se que venait de dire Will a son avantage
-Oh, mais je ne proteste pas. Albus m’a bel et bien désarmé et d’ailleurs juste avant que tu ne débarques je venais de le félicité pour ses grandes compétences en la matière. Se qu’il va devenir dans le futur ? Et bien Salazard soit loué, je dirais qu’il deviendra un grand sorcier tout comme ceux de sa famille. Et j’ajouterais que contrairement a un certain gryffondor de ma connaissance, il grandira en sagesse et en intelligence avec l’âge…Se qui est loin d’être ton cas. Oh et pour l’incendio, peut être que je manque un peu de pratique…ou alors peut être que le jour là je voulais simplement éviter le courroux d’un certain professeur en te confiant la tâche de ruiner son plan…Et puis, quant bien même je ne serais pas particulièrement doué pour jeter un incendio, moi au moins je n’ai pas manqué de m’évanouir devant une simple illusion d’un détraqueur.
Allen ferait vraisemblablement bien de se cultiver un peu. Sa réplique suivante manqua de faire éclater Elisa de rire. A dire vrai, elle mourrait d’envie de balancer a Will le fond de sa pensé, et accessoirement de lui briser les orteils a cou de talon aiguille, mais elle avait du savoir vivre, elle.
Elle se refusait de mêler Albus à leur histoire, bien que le château entier s’y soit déjà mêler. Tous le monde savait qu’Allen et Winster ne pouvaient pas se voir en peinture et personne n’avaient envie de se retrouver entre eux lorsque, par le jeu cruel du destin les deux élèves se retrouvaient au même endroit. Sauf que voilà, Albus lui s’y retrouvait et Elisa éprouvait presque de la pitié pour le jeune homme. C’est pourquoi, elle conserva son calme.
-Allen, loin de moi l’idée de vouloir rappeler que tu es complètement inculte, mais je doute que monsieur Potter ait tenu ce genre de discourt a son fils. Vois tu, le second nom d’Albus se trouve être Severus. Or, il se trouve que ce personnage n’était autre qu’un célèbre directeur de la maison des serpentards. A mon humble, avis, et Albus corrige moi si je me trompe, notre jeune Potter que voici a dut apprendre de part son père qu’il ne fallait jamais juger quelqu’un de part son blason et en particulier lorsqu’il s’agissait d’un serpentard. Tu vois, non seulement Albus est un sorcier prometteur mais en plus, je suis persuadée qu’il est intelligent. Quant à rabaisser les autres..Hum…et bien, j’ai comme l’impression là Allen que tu confonds l’attitude des serpentards avec la tienne. En effet, pour se que notre jeune ami a put en constater jusque là, c’est toi qui est en train de me rabaisser et de m’humilier, ou tout du moins d’essayer de le faire parce que se que tu dis est loin de m’atteindre. Or, moi je n’ai absolument rien fait de tel.
Elle croisa le regard du seconde année et lui adressa un léger clin d’œil. La famille Potter était célèbre partout, et quant on avait lu l’histoire revue de Poudlard, on connaissait tout les détails, y compris les noms complets de leurs enfants. Elle avait envie de rire tellement l’attitude de Will faisait penser a celle que monsieur Drago Malefoy avait eut avec Harry Potter. Scorpius avait tellement parodié certaine de ces scènes qu’elle les connaissait par cœur. Elle fixa Albus avec beaucoup de sérieux.
-As-tu réellement besoin que Allen te prodigue ses précieux conseils quant au gens que tu devrais ou ne devrais pas, selon lui fréquenté ? Ou bien, comme je le pense tu t’estimes assez grand pour savoir se que tu as à faire ?
Elle avait dit cela sans animosité aucune, en faite elle le trouvait sympathique ce jeune Potter. Lina, sa petite sœur, élève elle aussi a gryffondor en seconde année lui en avait beaucoup parlé. Allen parlait pour ne rien dire. Réellement, il lui sortait par les yeux…A se demander comment elle avait put tomber amoureuse d’un mec aussi désopilant, qui ne faisait que revenir sur le passé. Le regard de la jeune fille se fit légèrement plus noire, signe chez elle d’un agacement profond.
-Allen, se que j’ai fait ou pas ne concerne que moi il me semble ! Je suis peut être partie de Poudlard, mais contrairement a toi ce départ m’a permit d’acquérir une certaine maturité que visiblement tu es bien loin d’atteindre. Je ne vois vraiment pas en quoi ta vie pourrait être misérable de part ma faute…ce n’est tout de même pas moi qui t’oblige à être désagréable avec tous les élèves du château, ce n’est pas moi non plus qui t’oblige à t’enfoncer dans des croyances arriérés et débiles, ce n’est aucunement moi non plus qui te prive du loisir d’avoir des discutions civilisé avec les gens qui t’entoure. Nan, encore une fois Allen, tu te défiles et devant ton incapacité a justifié le pourquoi de ton asociabilité tu te caches derrière moi. C’est tellement plus facile d’accuser les autres que de se remettre en cause. Je juge uniquement de part se que je vois…Contrairement a toi qui ne te base jamais que sur la couleur d’un blason pour déterminer si les gens sont ou pas sympathique. Rectification, mon cher, j’étais là bien avant toi par conséquent je ne peux pas polluer ton aire. C’est toi qui t’es immiscé. Et…bah je suis flattée…oui flattée que mes comparaisons comme tu dis te soit a ce point rester en mémoire pour que tu les ressortes là alors que j’en avais même pas fait allusion.
Ha mais le voilà le problème…Allen était jaloux ! Oui, jaloux de voir qu’un gryffondor puisse apprécier ses leçons et jaloux de ne pas être le centre du monde. Lorsqu’Albus prononça une nouvelle fois les mots « miss Winster » elle eut un léger rire et se tourna vers lui en lui tendant la main.
-Elisabeth, ou Elisa pour les amis. C’est beaucoup moins formel que miss Winster, mais c’est plus sympathique aussi. En tout cas Albus, je suis ravie d’avoir put faire connaissance avec toi, et ravie aussi d’avoir put t’apporter mon aide. Si jamais tu as encore besoin de quelqu’un pour t’entrainer, c’est avec grand plaisir que je t’apporterai mon soutien. Comme Allen a crut bon de le signifier, je suis la préfète des serpentards, si tu me cherches la plupart sauront te dire ou me trouver.
Les derniers mots d’Allen ne l’effleuraient même pas, complètement décider à l’ignorer dans le seul et unique but de prouver que l’inculte de l’histoire n’était pas celui que l’on pensait.
-Et bien Allen, en quoi cela te regarde t’il que je m’improvise professeur ? Et pour ta gouverne je ne m’improvisais rien du tout, j’aidais simplement un jeune talent a ne pas se sous estimer. Quant a « langue de vipère » je ne dirai qu’une chose….Toutes les langues de serpents ne se cachent pas forcement a serpentard.
Se désintéressant complètement de lui, et surtout de son allusion au sort impardonnable, elle reprit sa conversation avec Albus.
- Je ne suis pas étonnée que ta famille parle beaucoup de l’experliamus. On va dire pour faire simple que ce sort était un peu considéré comme la marque de fabrique de ton père. C’est avec ce sort qu’il est parvenu à mettre un terme au règne de Voldemort. M’enfin je vais éviter de te faire un cours d’histoire, a mon avis avec Madame Weasley Granger comme tante, tu dois être plus qu’au courant de toute ces choses. Si sa te dis, quant tu sauras bien maitriser un experliamus, on pourra t’apprendre l’accio. C’est aussi au programme des quatrièmes années, mais je ne doute pas que tu arrives à en jeter un bien avant l’âge requis. En plus ce sort rend bien des services…Genre quant tu te retrouves a aller a un cours et que tu te rends compte a la dernière minute que tu as oublié ton livre dans ta salle commune. Mais avant tout, je crois il faudrait que tu es d’avantage confiance en toi. Ma sœur est dans ta classe, et d’après elle, tu souffres un peu du syndrome du petit dernier.
Elle lui adressa un nouveau sourire chaleureux et confiant.
Oh…Et..Juste au passage…Je ne donne aucun cours sur les sorts interdits…Mais si l’envie de tester se que sa fait de se faire fouiller la tête par quelqu’un te prenait…Demande a Allen, il en connait un rayon en se qui consiste l’art de s’immiscer dans la tête des gens.
Douce revanche sans doute sur l’allusion aux sorts interdit.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Jeu 26 Fév - 17:54 |
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- As-tu réellement besoin que Allen te prodigue ses précieux conseils quant au gens que tu devrais ou ne devrais pas, selon lui fréquenté ? Ou bien, comme je le pense tu t’estimes assez grand pour savoir se que tu as à faire ?
Comme toujours il allait y répondre mais elle enchaîna sur le comportement du Gryffondor. Albus préféra s'abstenir de tout commentaire, dans le risque d'être le point central de la dispute. Il regardait tour à tour les deux adversaires s'affronter comme on regarde un match de tennis. Il aurait pu rire devant cette situation quelque peu cocasse, mais il adopta la bonne attitude : la neutralité.
Puis elle se tourna vers lui et se nomma, Elizabeth, depuis l'enfance Albus restait persuadé que ce prénom lui rappelait quelqu'un... Pourtant, personne dans la famille Potter ne se nommait Elizabeth. Une peur secrète d'avoir la capacité à connaître le passé des deux grands sorciers qui faisaient partis de son prénom, Albus et Severus le saisit alors.
Non, c'était improbable, ce n'est pas comme s'il était le fils de Dumbledore ou de Rogue. Cependant...beaucoups d'amis lui disaient qu'il avait le même regard doux et intelligent d'Albus et cette même réserve mystérieuse voir sombre de Severus. Enigme à éclaircir aux prochaines vacances.
Enfin bref, il reporta son attention à la Serpentard et au Gryffondor, cette dernière lui adressa la parole, l'informant que son petit défauts d'estime de soi était connu par sa petite soeur. Il n'avait jamais vraiment fait attention à elle, bien qu'elle soit dans sa classe...si Albus devrait faire attention à tous ceux qui connaissait l'histoire de sa famille, aujourd'hui il deviendrait fou.
D'un sourir, il montra sa reconnaissance envers Elizabeth de lui proposer de l'entraîner à d'autres sorts. Puis, en voyant qu'un silence s'installait, Albus déclara :
- C'est vraiment cool, merci Miss...euh je veux dire Elisabeth.
Hésitant il ajouta :
- Et je crois que je suis assez grand pour choisir mes fréquentations, on m'a toujours appris à donner en retour de ceux qui sont généreux pour moi.
Il s'arrêta quelques secondes se tournant vers William :
- Si tout le monde vivait dans son coin, en rejetant ceux des autres maisons...je crois que plus aucun élève ne serait là aujourd'hui, ni plus aucune école de sorcellerie. Je crois que ce n'est pas en crachant sur ceux qui sont différents de nous, que l'on arrivera a construire notre avenir ensemble.
Albus lança un petit sourir d'excuse à William :
- Je ne prends aucun partit de votre...histoire, mais c'est en se respectant qu'on apprend réellement à vivre.
Mal à l'aise, il se passa une nouvelle main dans les cheveux :
- Et je précise toujours que je ne prends aucun partit.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Jeu 26 Fév - 21:26 |
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William commençait à en avoir plus qu'assez de la froideur des sarcasmes que lui renvoyait la Serpentard. Il espéra qu'elle régissait ainsi uniquement avec la présence du jeune Gryffondor.
- Qui est-ce que tu vises comme ça ? Toi ? Tu te connais tellement bien, je suis d'accord... tu es une vraie ordure... ambulante... ton comportement distant et froid m'énerve... t'essayes quoi ? De faire bonne impression ? Oh, "Elisabête"... on paris combien qu'il est déjà au courant ?
La verte fut plus que blessante sur la réplique suivante, William encaissa, la mine redevenue neutre, l'espace d'un instant. Puis n'en pouvant plus il lâcha, plus que mauvais :
- Vipère... tu es une vraie vipère, tu le sais ça ? Tu ne te connais pas si bien alors... tu m'empoisonnes la vie et ça te fait bien rire en plus... ne me fais pas se sourire niais !!
Il ignorait pourquoi mais à chaque fois qu'il évoquait ce passage la préfète souriait. Ce qui l'embêtait le plus en faite, était de ne pas savoir pourquoi. Parce que ce n'était absolument pas drôle...
- Ne fais celle qui est innocente ! Je ne parle pas de maintenant, mais avant, je ne citerais pas mais c'est chacun sons tour ! Je plaisantais... évidemment qu'il ne leur à pas mit de préjugés dans la tête... mais... il n'aime pas les Serpentards de son cours de potions et ton nom lui dit quelque chose...
Il sentit les regards se retourner vers lui. Il quitta aussitôt les yeux d'Albus.
- D... désolé, c'était... plus fort que moi...
Heureusement la froideur de la verte s'envola de suite; lorsqu'il mentionna son départ. Il eut envie de pousser un cri de victoire, mais il se contenta de lever haut les bras... puis voyant l'idiotie de son geste, les baissa ensuite.
- Certaine maturité ? Tu n'as pas changé si tu veux la vérité, t'es toujours aussi... rha... j'ai même pas le mot pour l'expliquer... oh non, mais tu m'énerves simplement par le fait de respirer... alors je sais pas comment tu fais mais tu m'énerves ! Tu pollues mon air quand même
La Serpentard se présenta au Gryffondor. William ricana tout seul dans son coin.
- Et pour les ennemis c'est quoi ? J'dois t'appeler Miss Winster moi aussi ? Professeur Winster ? Ha ha ! Exactement... tout le monde le sais... das les couloirs, avec Jedusort... ou Scorpuis... au choix ça dépends de la semaine et de ses humeurs...
Il volait bas. Cependant, c'était difficile d'allez plus haut parce que Winster était beaucoup trop froide, désintéressée. Il essayait néanmoins de rebondir.
- Serais-tu en train d'insinuer que je suis passé maître en sarcasmes ? Ha ha ! Mais je croyais que c'était vous qui aviez des siècles d'avances ?
Elle retourna son attention vers le 2ème année. William ne put s'empêcher de les écouter. Peu de choses le retenait ici, il fallait l'avouer. Il faillit s'étrangler en entendant une fausse note dans le discours de la préfète.
- "on" ? Mais qui te dis que J'AI envie de lui apprendre avec TOI ? Corrige, "je pourrais t'apprendre l'accio"...
Par chance, la dernière réplique de la Serpentard était une pure raillerie, elle perdait enfin se côté froid.
- Oh ho ! C'est très fin ça... je ne donne pas de cours. Mais si tu insistes, pourquoi pas se servir de toi comme cobaye ? Il y a des limites que j'ai jamais franchies... mais ça dois être très... hilarant sur toi...
Le jeune Potter prit réplique, cela n'étonna pas William.
- Ce n'est pas une question de maturité, c'est une question de voir ou as qui se cache derrière son blason... et en l'occurrence, Elisabeth est un terrain miné...
Celui-ci se retourna vers lui et lui répliqua. Cette fois, William apprécia moins bien. Il était sur nerfs. Le rouge n'aurait pas dû dire ça maintenant. Tant pis pour lui s'il ne savait pas se tenir tranquille.
- Attends... je rêves ou le morveux de 2ème année nous fait la leçon ? Ecoutes-moi bien, toi, qui te dis que j'ai envie de... "construire mon avenir" avec cette... cette chose... y'a pas de "ensemble" c'est elle ou moi, oh et tu peux bien sourire, j'ai compris... si tu prends partie, au contraire...
Quelle arrogance. Les jeunes devenaient de moins en moins respectueux envers leurs aînés. William ne pouvait pas laisser passer ce grave manque de talc.
- Hey, mon gars, tu viens de te jeter dans la gueule du loup... ou plutôt... du serpent...
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
Nombre de messages : 1955
Age : 43
Maison : Serpy un jour serpy toujours
Emploi : Elisa de jour...Bella de nuit
Humeur : En manque...='(
Feuille de personnage Côté coeur: Il est mon âme, ma vie, mon tout...Scorp' Camp: Les deux Niveau magique: (73/100)
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 27 Fév - 2:40 |
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Et sa continuait, bonjour les insultes, sérieux Allen avait grand besoin de renouveler son vocabulaire, celles là il avait déjà dût lui servir au moins une bonne centaine de fois. Et le pire dans tout cela ? Cela devait sans doute être le calme avec lequel Elisa prenait la chose. Bon, elle n’était pas maso, mais voir Allen s’énervé tout seul et passer pour un gros boulet, et le tout sans même qu’il s’en rende compte bah, sa avait un réel coté jouissif.
Dire qu’il ne voyait même pas que sous son masque de froideur et d’indifférence, elle était en train de se foutre de sa tête. Vraiment hilarant, d’ailleurs sa expliquait en grande partie son sourire qui ne semblait plus vouloir la quitter.
-Mais c’est qu’il mordrait. Allen, c’est vraiment incroyable de remarquer qu’avec tout ce temps tu n’as toujours pas été capable de revoir tes insultes à mon égard. Allez, je suis sure que tu peux mieux faire que ça. Vas y, montre donc a Albus toute l’imbécilité qui se cache dans ton crâne. Contrairement à toi, je n’ai pas besoin de faire bonne impression. Regarde là sur ma cape, y’a quoi ? Oui !!!!Bravo, un insigne de préfète !!!Et sa veut dire quoi ? Et bien, qu’on me juge comme quelqu’un de responsable. Tu vois Allen…Entre toi, Albus et moi…il y a tout un monde…Albus est quelqu’un de connu de part sa famille, mais au vue de ses capacités je ne doute pas d’apprendre d’ici quelques années qu’il est devenu préfet. Lily Potter est le capitaine de l’équipe des gryffondor, James Potter est un grand joueur qui n’a rien a envié a son père et Albus lui fera également son trou le moment venu. Moi, je suis déjà préfète…Et toi ? Toi, tu es rien du tout. Insignifiant…Et tu sais pourquoi ? Mais simplement parce que personne ne t’accorderait la moindre parcelle de confiance, et que tout le monde dans ton dos te regarde comme une chose étrange et complètement débile. Aussi, excuse-moi si tes paroles me semblent désespérément inintéressantes au point de me donner envie de dormir.
Voilà, sa c’était dit. Et le tout avec une diplomatie qui aurait laissé sur les fesses bien du monde. Voir Elisa entreprendre Allen, sans l’insulter…Enfin du moins sans l’insulter directement…Sa devait être du jamais vue… Son sourire grandit encore si c’était possible.
-Vipère ? Oh bah…couleuvre, vipère, anaconda, serpent a sonnette…tu sais c’est comme tu veux tu choises mon grand…Au moins, t’as remarqué une chose fondamental : sur mon blason y’a un serpent et pas un blaireau. Bravo…Tu veux peut être qu’on t’applaudisse ? Nan, juste histoire que tu es l’illusion d’être intelligent quoi…Je comprends tu sais…Sa doit être dur a assumer d’être a la traine tout le temps. Je t’empoissonne la vie moi ? Ha Allen…Allen…Allen…soupira t’elle….Qu’elle doux poison est ce que je t’inflige ? nan dis le moi parce que vue que sa fait des mois que tu me dis ça, je me dis que le poison doit vachement être lent a la réaction…mais si t’insiste vraiment, je peux trouver matière à t’achever plus vite hein…je ne suis pas comme ça. Mais tu sais, si tu arrêtais ta parano sur moi, peut être que tu respirerais beaucoup mieux. Arrête de penser que tu es le centre de mes intérêts, de ma vie et tout ça…Nan, vraiment Allen…il est grand temps que tu comprennes que pour moi..Tu existes plus…pouf…envolé le Allen…
Si seulement sa pouvait être vrai...Sauf que le Allen, il était pas si envollé que ça...Et toujours bien trops présent dans sa tête
La pauvre Albus, qui devait se demander ou il était tombé, ne vit surement pas le cou venir lorsqu’Allen le balança, sans faire exprès…Enfin ça c’est se qu’il disait. Elisa se tourna vers le jeune homme, qui peut être aurait bien aimé être ailleurs en cet instant et lui demanda
-Ha ? Vraiment, tu as des problèmes relationnels avec les serpentards de ton année ? Et bien, si c’est juste en potion, je peux simplement te dire que c’est normal…Nous, les serpy mettons un point d’honneur à nous montrer les meilleurs dans cette matière…Se qui parfois nous rend quelque peu agressif face au gryffondor lorsque quelque chose nous échappe. Mais ça ne fait pas de nous des sales bêtes pour autant. Ceci dit, serpentard est comme toutes les maisons : il y a des bons éléments sympa et il y a les autres…M’enfin c’est beau la solidarité gryffondienne..Bravo Allen…j’admire ta faculté de mettre les gens à l’aise. Quant a mon nom…une minute…Albus a jamais dit que mon nom lui rappelait quoi que se soit ! William Allen ! lança t’elle outré et d’un ton accusateur, tu es allé te balader dans la tête de ce jeune homme sans y avoir été invité hein ? C’est plus fort que toi ça ! Faut toujours que tu ne respectes rien ! Je t’avertie que si je te surprends à refaire ça, je ferai en sorte de te mettre hors d’état de nuire !
Là, elle était furieuse, même si elle n’avait pas crié ni rien. Elle jeta un regard à Albus qui ne semblait pas avoir été traumatisé par cette intrusion. Peut être était ce devenu un reflexe, elle ne savait pas trop, mais elle fouilla dans ses poches et en sortie un chocogrenouille qu’elle tendit au plus jeune des gryffondor.
-Tu devrais manger ça, et t’inquiètes pas, je n’ai pas mit de poison dedans.
Là, c’était dit avec beaucoup plus de douceur et même avec une pointe d’humour.
Will s’enfonçait dans le pathétisme, et le pire c’est que, elle ça l’amusait. Il était là à se comporter comme un sale gosse, et voir sa tête devant le snobisme de la verte était tout bonnement hilarant. Il fit un geste qui pouvait se rapprocher d’un signe de victoire, et elle en eut presque pitié.
-Tu sais quoi ? Tu devrais faire demis tour, monter quelques étages et là…tu verras une grande porte…Dessus c’est marqué : bibliothèque. Je t’invite à aller y faire un tour et à chercher dans le rayon : ouvrage moldu. Tu y trouveras un gros livre qui s’appel : dictionnaire petit Larousse. Vue ton manque de vocabulaire, il te sera très utile. Ainsi, peut être que tu ne te retrouveras plus à court de mots.
Elle lui adressa un large sourire, un de ceux qu’elle s’avait qu’il détestait et prit Albus a témoin.
-Tu vois ? Il le reconnait lui-même…Même si je fais rien, je l’énerve…tu conviendras que dans ces circonstances, il parait difficile de résoudre ce dilemme. Encore une fois, on ne peut que constater que le problème ne vient pas toujours du coté des verts.
Will, sans doute pensait appuyer là ou sa faisait mal. N’importe qui dans Poudlard pouvait dire que jamais Elisa ne trainait avec Malefoy et Jedusor. Et pour cause, ces trois là s’entendaient encore moins bien qu’Allen et elle…Quoi que….Sa pouvait se discuter.
-Pour les ennemis, c’est Winster. Et pour toi, tu sais se que je préfère ? C’est quant tu m’appels pas du tout. Au moins, je me sens tranquille et beaucoup moins harcelé. Quant a mes prétendues fréquentations, je crains fort que tu ne réussisses à convaincre personne. Il n’y en a pas un pour ignorer que je représente la bête noire des Salazards.
Albus était vraiment choupinou, on était partagé entre l’impression qu’il était tout timide devant la serpy et l’impression qu’au contraire il était complètement a l’aise dans ses chaussettes. De son regard émanait une douceur et une sorte de sagesse qui surprit Elisa. Si jeune et déjà si posé. Elle lui adressa un nouveau sourire.
-Dans ton cas Albus, tu peux m’appeler Elisa. Maintenant que nous avons enfreins ensemble la règle concernant « l’interdiction d’usage de la magie dans les couloires » je pense que nous pouvons nous considéré si ce n’est amis, au moins comme agréable connaissance.
Allen, s’embourbait et elle rayonnait. La verte avait une de ses envies de lui rétorqué que bien au delà du sarcasme, il y avait une chose dans laquelle les vert excellait et c’était la ruse. Et bah, oui le grand et fier Allen était en train de se faire rouler dans la farine sans même s’en rendre compte. Le calme d’Elisa n’était qu’une façade. Evidemment qu’a l’intérieur elle bouillait…Mais pour une fois qu’elle pouvait le ridiculiser devant témoin, et en plus un témoin de taille..Et bah, elle ne s’en priverait pas.
-En effet, nous avons des siècles d’avance dans ce domaine. Mais si toute les langues de serpent ne sont pas a serpentard, c’est que soient ils se sont égarés, ou soient ils n’ont pas le don. Tu vois Allen, tu sais peut être te montrer sarcastique, mais tu n’as aucun tact. Le vrai sarcasme, c’est celui qui clou l’autre au sol…Et ça, tu es bien loin de l’avoir.
Elle avait dit « on » ? Ha, et bien c’était une faute, parce que jamais elle n’avait voulu l’inclure dans quoi que se soit.
-Navré de te dessevoir, mais par « on » je ne pensait pas à toi. Non, je faisais plutôt allusion à mes amies et moi…Comme cela doit être difficile pour toi de te rendre compte que le monde ne tourne pas autour de toi.
Elle secoua la tête
-Et voilà, ses idées de grandeur le reprennent. Allen, a force de jouer avec des choses qui te dépassent, un jour tu vas finir par réellement te retrouver vendeur de glace.
Clin d’œil au fait que plus d’une fois, le jeune homme était passé a deux doigts du renvoi.
Et là, se fut le feu d’artifice. 14 Juillet en avance….Il lui fallut un véritable auto self contrôle pour ne pas lui exploser de rire au nez, lorsque Albus décida de faire part de ses pensées. Alors là, chapeau bas Bubus ! Pour peu, elle l’aurait embrassé…M’enfin sa n’aurait pas été très convenable. Un sourire se figea sur ses lèvres tandis qu’elle regardait Allen se décomposer.
Il venait de se faire remettre à sa place par un seconde année. Oh le Pérou ! Dommage qu’elle n’ait put immortaliser ce moment…Mais en tout cas, il pouvait compter sur elle pour le lui rappeler. Bien sur, il vira au rouge et Elisa afficha un nouvel air outré, si bien simulé que personne ne pouvait réaliser qu’il l’était. Par précaution, elle bougea légèrement et se posta vers Albus, lui passant un bras protecteur autours des épaules.
-Et bien Albus, je trouve que tu es d’une grande sagesse. Je suis vraiment contente d’avoir enfin trouvé quelqu’un qui partage mon opinion à ce sujet. Vraiment, quand je le disais que tu étais intelligent. Comme quoi, la sagesse et l’ouverture d’esprit n’est pas qu’une question d’âge. Tu es très mature pour selon que tu n’as que 13 ans. Peut être bien que toi aussi tu pourrais devenir professeur. J’en connais qui aurait bien besoin que tu leur apprennes a ne plus se cantonner aux vielles valeurs. Par contre…je crois que là, tu viens de vexer Allen…M’enfin ce n’est pas très grave, il s’en remettra et puis si il te fait des misères, hésites pas a m’en parler…bien que je suis certaine que tu sois capable de te débrouiller seul.
Elle fronça les sourcils à l’évocation de la comparaison entre elle et un terrain miné.
-C’est marrant que tu dises ça…Tu as envie qu’on étudie la personnalité que tu planques derrière ton blason de lion peut être ? Vas y Allen, dis nous tout. Ne l’écoute pas Albus, je ne suis pas si miné que ça…En faite monsieur dit ça simplement parce que suite a certain de ses mauvais comportements je lui ai explosé a la figure. Il est vexé…c’est tout.
Holà, la discussion partait en cacahouète et là, la verte était peut être d’un calme étrange mais Allen lui perdait le sien. Nan, mais oh, fallait il se calme les nerfs lui ! Le bras toujours autours des épaules d’Albus, sa main serré sur sa baguette, elle lança un regard noir a Will.
-Alors, déjà de un d’où tu sors ce « nous » ? Il « TE » fait la leçon a TOI, pas a moi ! Vu que moi, je partage son avis. Ensuite de deux, d’où est ce que tu te permets de le traiter de morveux ? On ne juge pas quelqu’un a son âge ni a sa taille Allen mais par son intelligence, et sur ce point là, même en courant nuit et jour tu ne le rattraperais pas ! Et de trois, quand il parlait de « ensemble » il se limitait pas a « toi et moi » il voulait dire TOUTES les maisons ensemble ! Et c’est quoi cette mentalité de gamin ? « C’est elle ou moi »…nan mais oh…atterrie ! C’est à un gryffondor que tu parles là ! Elle est ou la solidarité chez toi ? Perdu dans les méandres de ta connerie c’est ça ? Je vais te dire, si Albus était pas a gryffondor, je te ferais sauter 50 points d’un cou pour le manque de respect que tu viens d’avoir envers lui ! Seulement si je faisais ça, je le punirais en même tant. T’es vraiment pitoyable Allen ! Ton monde se limite a ceux qui pense comme toi d’un coté et ceux qui ne sont pas d’accord de l’autre ! Ne juges pas si tu ne veux pas être jugé....Dans ton cas c’est raté.M'enfin je dois dire que ce fut très agréable de te voir te faire remettre en place par un jeune homme de seconde année.
Ou allait le monde si maintenant les rouges se mettaient à se taper dessus entre eux. Elle laissa la dernière réplique de Will dans le vide, considérant que sur ce point seul Albus pouvait y répondre. Elle murmura au jeune homme.
-Là ou il n’a pas tord c’est que…Et bien en faite même si tu veux rester neutre, ça va être très dur…En effet, bien que notre histoire te concerne aucunement, le seul fait que tu es répondu de cette manière a Allen va te propulser involontairement dans mon camp…Du moins, a ses yeux…je suis réellement désolée…oui…parce que avoir Allen dans ses ennemis ce n’est pas le meilleur cadeau qu’on puisse faire a quelqu’un.
Elle évita d’ajouter que l’avoir elle pour ennemie n’aurait pas été non plus une partie de plaisir.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 27 Fév - 14:04 |
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Le jeune homme fut très contrarié de se rendre compte que William venait de lire dans ses pensées, il fronça le nez, il n'avait absolument rien contre le Gryffondor, ce dernier s'énervait contre lui, c'était un peu normal, mais il n'avait jamais demandé à ce qu'on examine tout ce qu'il pensait sans lui demander la permission.
Les paroles d'Elisabeth ne firent que renforcer l'idée que venait de dire Albus, chaques élèves de quelles maisons qu'il soit était différent, et cela ne venait pas forcément des maisons. D'ailleurs, il eut un pincement au coeur, à présent Elisabeth savait qu'il détestait lui même un Serpentard, mais c'était surtout en connaissant le passé de la famille de Scorpius qu'Albus restait sur ses gardes, encore ce dernier ne sortirait pas avec sa soeur, Albus l'ignorait, mais là il se rapprochait dangereusement d'elle, et il redoutait qu'il puisse lui faire du mal. En fait, si sa famille aurait fait les mêmes actes mais dans une maison différente, Albus l'aurait tout autant détesté. Ce qui le rassura dans ce raisonnement, car alors ce qu'il venait de dire au Gryffondor sur le respect de la différence serait sincère.
Il se rappela alors que William pouvait très bien lire dans ses pensées, farouchement il releva le regard pour fixer le Gryffondor avec un air de défi. Puis Elisabeth passa un bras sur ses épaules, ses joues rosirent légèrement, il admirait énormement la Serpentard pour son audace, son sarcasme et sa façon de voir les choses, pour cette raison qu'il se sentit tout petit face à la jeune sorcière. Elle lui rappelait par moment Lily... Son regard s'assombrit, Lily...mais où était t'elle donc ? Pourquoi il ne l'a croisait même plus dans la salle commune ? Et James ? L'avaient t'ils donc abandonner seul à Poudlard ? Avaient t'ils quitté précipitamment le château ? Ses parents pouvaient peut être courir un danger...
STOP il fallait qu'il arrête de penser, William pouvait très bien le découvrir à nouveau. La dernière réplique de William le blessa, et même la répartie d'Elisabeth ne le consola pas, c'était à lui de répondre. Ignorant si c'était la protection de la jeune femme ou les traits d'un Potter qui en furent les facteurs, mais un courage surprenant le saisit, Albus redressa une nouvelle fois la tête, fixant William droit dans les yeux, la mine sombre : - Ce n'est pas dans mon genre de choisir un côté, j'approuve seulement le point de vue d'Elisabeth... Il regarda la jeune femme comme pour se donner du courage et reporta ses yeux bleus à présent électriques sur le Gryffondor : - Et l'expression " se jeter dans la geule du serpent" n'existe pas, on dit plutôt la bouche du serpent. Soudainement il reprit conscience de ce qu'il venait de dire et en perdit tout son aplomb, ses yeux azur auparvant électriques s'adoucirent pour redevenir plus doux.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 27 Fév - 20:16 |
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Il allait perdre la main et ça, William ne pouvait l'accepter... Elisabeth restait hautaine et froide se qui l'énervait plus que tout et Albus en rajoutait une couche en le remettant à sa place. Il devait quitter l'endroit et vite, mais avec dignité ! Il ne prendrait pas les jambes à son cou.
- Ce n'est pas parce que tu as un fichu insigne de préfète que tu as réussi ta vie ! Loin de là ! Les gens responsables n'ont pas toujours l'insigne d'ailleurs !
Elle gardait se sourire incroyablement pénible. William se sentit exploser. Il s'exclama alors, faisant monter le ton. Il était tellement énerver que chercher meilleure réplique n'était plus du jeu c'était juste répliquer.
- Tu arrêtes ça !! Tout de suite !!
Elle reprit son état moins distant lorsqu'il joua l'intrus dans la tête d'Albus qui n'avait rien vu venir. Les Potter étaient l'incroyable moulins en legillimencie. Tout le monde pouvait entrer dans leur tête sans qu'il le sache... c'était quand même assez rare...
- Je ne l'ai pas fais exprès !! Je m'excuse ok ?! C'est bon, il n'a rien...
La verte donna un ChocoGrenouille au jeune rouge et William ricana à sa réplique.
- De toute façon tu contamines tout ce que tu touches...
Elle devenait plus que mauvaise et le regard de William se faisait de plus en plus noir. Il n'en pouvait plus et sortit sa baguette...
- Tais-toi !! Tais-toi maintenant, là, tout de suite !! Je me demande bien ce que toi tu vas devenir si je finis marchand de glace... mais tu ne seras pas mieux que moi, ça c'est sûr !!
Il essaya de ne pas rester trop surpris face à la réplique d'Albus. Se faire renvoyer ? Lui ? Par un deuxième année ? Non, il devait pas laisser ça passer...
- Non, je ne m'en remettrais pas ! Lâche ce gamin, qu'on se marre un peu... il n'y a pas de solidarité avec quelqu'un qui m'as rembarré, s'il veut jouer au plus malin, qu'il te rejoignent toi et ton pote Jedusort !
Le pauvre Albus en voyait de toutes les couleurs... William aurait bien voulut le plaindre s'il ne l'avait pas rembarré... d'ailleurs il enfonça un peu loin, peut-être était-il blessé de ce que William venait de dire à son sujet ?
- Et bah Albus, te voilà partie pour une longue et terrible souffrance... qu'est-ce que tu essayes de me dire ? Que je ne sais pas parler ? Mais toi ne sais pas penser !! Expelliarmus !!
Son sort fut bien évidemment évité par la verte.
- Elisa, lâche-le ! Lâche-le ou je vous fait tout les deux exploser !!
Dernière menace, il n'y en aura pas d'autres. La prochaine sera la réaction.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 27 Fév - 20:17 |
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Me voilà donc de retour dans le château... et il n'avait pas vraiment changé depuis que je l'avait quitté, à 17 ans, un diplôme son le bras, fier et confiant de mon avenir. Ce qui me plaisait était que je pouvait désormais me rendre dans les appartements des professeurs, la salle des professeurs, la réserve et autres endroits qui m'étaient interdits étant élèves...
Ah ! Douce liberté que de pouvoir fouler de nouveaux ses couloirs emplis d'histoires et de meilleurs souvenirs. Je passais ça et là, prenant place dans mon nouveau bureau. Je décidait de sortir un peu, me fondre avec les élèves et en même temps lire les notes de l'ancien psychiatre. Pauvre personnage, j'espère qu'il n'a pas démissionné face à l'arrogance de certains élèves. J'empruntais les passages les plus fréquentés, saluant aux passages quelques portraits que j'avais perdu de vue.
Les élèves de Poudlard étaient de curieux personnages. Certains passaient sans se voir, d'autre se voyaient sans se saluer pendant que les rares accordaient quelques minutes à leurs camarades entre deux cours. C'était maintenant l'heure d'aller en cours et plus j'avançais dans les couloirs, plus les élèves se faisaient rares et discrets. Je décidais de terminer ma ronde aux cachots, passant par le Hall.
C'était sans savoir ce qui m'y attendait. J'entendis de loin et clairement, une querelle qui ne cessait pas. Le ton montait, il était temps pour moi d'intervenir et limiter les dégâts. Je pressais le pas avant d'entendre un lancement de sort. Pas bien méchant cependant, un sortilège de désarmement, suivit du charme du bouclier, le Duel faisait match nul, rien de pressant, inutile de courir. Je gardait mon calme habituelle en arrivant devant la salle. Ces trois pauvres élèves seraient les premiers à apprendre mon nom. Du haut des escaliers je les informent alors, après m'être éclaircis la voix...
- L'usage de sort dans les couloirs de Poudlard est interdite, vous... ne le saviez pas ? Rangez vos baguettes s'il vous plaît.
Je m'approche ensuite, voir à qui j'ai affaires, feuilletant mes fiches. Je sais que je les tiens momentanément en respect. Tous les trois me fixent avec surprise, ils ne m'ont apparemment jamais vu. Il est grand temps que je me présente... ou plutôt non, l'effet de surprise marche parfois mieux sur certaines personnes.
Cela éviterait que certains prennent les jambes à leur cou en me voyant arriver, de toute façon, je finirais par tous les avoir dans mon bureau, dans quel cas j'enverrais des invitations par hiboux, cartes qui exploseront si la personne ne vient pas, je sais, je suis très gentil, cependant, si ont veut que le château reprouves respect, il va falloir utiliser les grands moyens pour les grands cas...
- Ah ha, je vous ais aussitôt reconnu, Albus Potter, le cadet de la famille, si je ne m'abuse ? Qui ne vous reconnaîtrait pas... hm ?
Je me penche vers lui, lui serrer la main en lui faisant un large sourire et tâchant d'être le plus chaleureux possible.
- Oh ho, la préfète des Serpentard, c'est un plaisir, Miss Winster
Je regarde mes notes la concernant. Puis relève les yeux vers la dernière personnes, un autre Gryffondor ?
- Monsieur Allen, beaucoup entendu parlé de vous... hm... quand l'un est là le deuxième n'est jamais bien loin n'est-ce pas ? Hm ? Que vous a-t-il prit de jeter un sort à un sorcier non seulement plus jeune que vous, mais aussi de votre maison... jeter un sort à un Serpentard ne m'aurait pas étonné de vous, mais là... je dois m'avouer surpris... pouvez-vous éclairez mes pensés, Monsieur Allen ?
Le jeune homme a un regard bien noir. Qu'ai-je fais pour le rendre de cette humeur ? Je jette un coup d'œil à son dossier et reconnais qu'il est assez... volumineux, comme celui de la demoiselle, d'ailleurs. Je vais avoir de la lecture ce soir, moi. J'attends patiemment une réponse. Peu importe qui me la donnera. Allen et Winster avaient dû avoir de nombreux problèmes avec ses enseignants ou le règlement pour avoir autant de détails sur sa personne, hélas je n'en connaissait pas encore la nature.
Dernière édition par John Kaffèe le Sam 28 Fév - 20:47, édité 1 fois
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James Sirius Potter
7ème année Gryffondor
Nombre de messages : 337
Age : 32
Maison : celle des maraudeurs
Emploi : dire des conneries, faire mon boulet, être arrogant...
Humeur : C'est comme si d'un cou tout le bonheur du monde c'était éteind
Feuille de personnage Côté coeur: L'amour si doux et amer a la fois...ma Eloise Camp: Le bien Niveau magique: (71/100)
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 27 Fév - 20:49 |
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Ha, les plaisirs des ballades en solitaire dans les couloirs de Poudlard. Même si cela faisait 6 ans que je les traversais, je devais bien reconnaitre que je ne m’en lassais pas. Fin de journée, j’avais envie, avant l’heure de regagner la salle commune de me dégourdir un peu les jambes. J’avais bien cherché quelqu’un pour m’accompagner, mais la plupart de mes amis avaient décliné l’invitation pour cause de devoirs en retard. Alors, tant pis, j’étais seul, mais je nourrissais l’espoir de croiser un de mes nombreux cousins ou bien même Lily ou Albus.
Sa faisait un petit temps que je n’avais pas vue ce dernier, et même maintenant que j’y pensais j’avais complètement oublié de lui dire pour Lily. Notre sœur avait dut regagner la maison, oh rien de grave, en faite papa ne m’avait pas tellement expliqué pourquoi elle avait dut rentrer, mais il m’avait dit de pas m’inquiéter et qu’elle serait bientôt de retour. Donc, je me faisais que très légèrement du soucie, mais connaissant Albus, il devait se demander ou elle était passé. A ma décharge, ce n’était pas ma faute, le jour ou j’avais reçu la lettre j’étais partie pour l’informer quant au détour d’un couloir j’ai croisé cette fille…Melissa…ou Melinda…ou Alicia..ou…Enfin bref, je me souviens pas de son nom. Toujours est-il qu’elle était très jolie, à Serdaigle, que nous avons discuté et qu’au final j’ai complètement oublié de prévenir Albus.
Je venais de descendre quatre a quatre les escaliers, oui j’aime bien les descendre comme cela, sa me fait faire du sport, et j’avais prévue une balade dans le parc. Il avait pas l’air de faire froid, et puis un bon bol d’aire frais sa ravigote les sens.
Soudain,mon oreille capta le son de plusieurs voies. Pas que sa avait l’air de se disputer mais, je pouvais percevoir qu’il y avait dans l’intonation des voix beaucoup de colère mal contenu. Je suis curieux, et de là ou j’étais je ne pouvais entendre que des bribes de se qui se disait. Nombre vous dirait que j’aurais mieux fait de continuer mon chemin, que de toute façon tout cela ne me regardait pas, mais voilà moi, je suis pas de ceux là. J’avais entendu un truc louche, et j’avais besoin de savoir quoi. Oh, évidemment je me doutais que j’allais encore au devant des ennuies, en particulier si je tombais sur une bande de serpy comploteur, mais si j’étais partie j’aurais passé le reste de mon temps à imaginer se qui se tramait par là. Aussi, en prenant les devant et en allant voir de par moi-même, je soulageais mon imagination.
Bref, je venais de me diriger vers le son des voies, lorsque l’une d’elle attira mon attention. Apparemment, il s’agissait d’un garçon et au vue du ton qu’il employait, on pouvait être certain qu’il n’était pas tellement content. Je n’entendais toujours rien de se qui se disait, mais au fil que je me rapprochais je parvins à comprendre qu’il y avait au moins trois voix différente, dont l’une était celle d’une fille.
Bon sang, je voulais découvrir le fin mot de l’histoire, et c’est alors que je tournais au coin du mur que je découvris mes trois anonymes. Je dois dire que l’espace d’un instant je restai stupéfait. Albus…oui, mon frère était l’une des voix. Et si y’avait que ça…Non, le truc qui me sidéra c’est que mon frère, mon petit frère était en plein milieux de se qui ressemblait a une dispute entre William et Winster. Comment diable c’était il fourré là dedans ? Et surtout qu’est se que la serpentarde fichait avec son bras autour des épaules de mon frangin ?
Je connaissais assez bien William, enfin normal quoi, c’est un mec de ma maison et de mon année par-dessus le marché. On n’avait pas souvent eut l’occasion de se parler, mais là se qui me choquait c’était surtout le regard noire avec lequel il dardait mon petit frère. Qu’il toise Winster, a la limite j’aurais capté, mais mon frangin ! Un griffou qui ferait pas de mal à une mouche, ça j’aimais un peu moins. Voilà qui donnait a ma conscience une raison valable de surgir au milieu de la discutions, ne serait ce que pour remettre une distance entre Winster et Albus.
Winster ? oh, oui je la connaissais, enfin comme tous les serpentard de sixième année avec qui je devais me coltiner mes cours. Joli brin de fille au passage, mais si elle en était venue à draguer un seconde année, c’est qu’elle devait vraiment être désespéré. Et…non mais attendez là, Quesque je raconte moi ? Winster draguer Albus ? Ha, et bien raison supplémentaire pour que j’arrive comme un cheveu sur la soupe. Non mais, mon frère est trop jeune quoi !
Bon, j’allais arriver comme un cheveu sur la soupe lorsque d’un cou sans que je comprenne rien, voilà que William s’enflamme et balance un sort sur mon frère. Hein ? William avait fait quoi ? Alors là, fois de Potter il allait bouffer la poussière. On ne touche pas a mon petit frère bordel, et je me tape bien de savoir si il a mérité ça ou pas, on le touche pas c’est tout ! Je sens que mes sens s’enflamment tandis que ma main trouve ma baguette. Et là, deuxième truc de ouf, Winster qui avait sa baguette à la main vient de contrer le sort d’experliamus de William et de protéger mon frère du même cou. Là ça fait beaucoup à gérer pour mon petit cerveau, mais j’ai retenu l’essentiel, William à tenter d’exploser mon frangin ! Me voilà qui court vers eux, je dérape et au même moment un mec que je connais absolument pas descend tranquile les escaliers. A son allure je dirais un prof, mais de quoi ? Enfin de sur c’est un adulte. Je l’entends sermonner les trois élèves et posé la question que je me pose moi-même. A savoir qu’est ce donc que se bordel ? Depuis quant un gryffondor en attaque un autre, et pire encore attaque un Potter et depuis quant une serpentard protège un rouge ?
Bon, si je veux y voir clair, il faut que je me manifeste. Voilà, je me retrouve devant eux. Winster a toujours son bras autour de mon frère et c’est à cet endroit que mon regard se porte en premier. Je comprends pas tout..Et j’espère surtout que les chemins ou me porte mon imagination ne sont pas les bons…A savoir j’espère qu’Albus ne sort pas avec une serpentarde de sixième année ! Ceci dit sa expliquerait la réaction de William, tout le monde sait que lui et Winster on eut une histoire, qui est peut être pas si fini que ça. Mouai bon, assez réfléchit hein ! Je jette un regard très noir à William, ma baguette toujours en main. Aussitôt je m’inquiète pour Albus
-Albus, sa va ? tu n’as rien ?
Puis mon regard va de Winster à William. J’ai pas envie de remercier une serpy d’avoir protégé mon frangin, même si cette serpy là est plutôt sexy…hahem…pas le moment de penser a ça.
-Nan mais William, t’es devenu fou ? Explique moi un peu se qui t’a pris de t’en prendre a mon frère ? Et j’ose espérer que t’as une bonne raison ! Frapper un seconde année, es tu donc devenu aussi lâche que les serpentards ? Si t’as besoin de te défouler, viens donc te frotter à moi, tu ferras surement moins le malin ensuite !
Bon, je suis furieux, mais en même temps c’est mon frangin quoi ! Et Winster qui le couve toujours…
-Winster, tu voudrais bien…heu…putain quelqu’un va-t-il m’expliquer c’est quoi tout ce bordel ? Depuis quant tu fréquentes mon frère ? Je sais pas moi, tu t’es pas dit qu’un deuxième année c’était un peu jeune pour toi ? Si tu tenais tant que ça à avoir une histoire avec un Potter, sa aurait peut être été plus judicieux de venir me voir moi non ? Au moins, j’aurais été de taille à me défendre contre William !
J’avoue, je suis énervé et dans la colère je dis un peu tout se qui me passe par la tête. Sans parler que mes hormones parlent souvent pour moi. Au final sa me fait dire des trucs étranges. Soudain je me rappel la présence de l’adulte et levant les yeux vers lui, je m’excuse
-désolé professeur, c’est juste que voir quelqu’un s’en prendre a mon frère, sa me met hors de moi.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Ven 27 Fév - 21:13 |
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Déjà qu'un professeur étrange vient de faire lui discution, un gros dossier au bras, voilà maintenant que le frère du morveux débarque... manquait plus que ça. Non pas que William avait quelque chose en vers Albus, mais il venait d'interrompre la pire des bataille à savoir : celle de Winster et moi. Et ça c'était pas permis. Le professeur, pas si âgé, pas tout jeune non plus leur demande calmement de lâcher leurs baguettes. William jette d'abord un coup d'œil à la verte, histoire de ne pas être le premier à la ranger. Mais il finit par la faire disparaître dans sa robe de sorcier.
Le professeur fit le tour des personnes présentes, les nommant tour à tour. Il connaissait visiblement bien plus de choses sur William, que William ne connaissait sur lui. Cependant, ce détail ne donna pas plus envie à William de lâcher son regard noir. Ce n'était pas le moment, c'est tout. Le professeur mystérieux ce penche enfin sur son cas. Surprit par un tel discours, William ne prend absolument pas garde à qui il parle, et se met en place un excellent sarcasme vis à vis de son professeur. Et au moment d'ouvrir la bouche, James Sirius Potter, l'aîné arrive en courant vers son frère. Il a d'ailleurs bien raison de s'inquiéter. William prend un visage froid. Il n'a pas vraiment envie d'avoir d'autres problèmes.
Surtout pas avec James et aussi parce que celui-ci est encore plus énervé que lui... si c'est tout fois possible... Étrangement l'interruption soudaine du Gryffondor le calma, peut-être pas pour longtemps, mais c'est déjà l'exploit. Il déclara alors d'un ton hautain qui appartenait habituellement à la préfète.
- Ton frangin m'a manqué de... respect... et puis je ne m'en suis pas pris à ton frère... j'ai essayé... mais Winster m'en a empêcher... tu devrais la remercier... ou pas
Il ne put pas rester aussi froid face à un tel sous-entendus. Comment James pouvait-il croire une chose pareille après avoir entendu toutes les insultes qu'ils pouvaient s'échanger en moins d'une minutes ? William réplique de suite.
- Qu'est-ce que ça veut dire ? Pourquoi est-ce que je me serais manifesté ? Si elle veut sortir avec toi, mais que sors avec cette vipère ! Je te souhaite cependant bonne chance !
Voilà c'était dit. La Hall allait devenir très bruyant en quelques minutes. Ce professeur narguait William plus que tout, il ne c'était toujours pas manifesté depuis, lui et ses dossiers qu'il ne cessait de feuilleter. Qu'est-ce qu'il fichait ? Il montait une basse de donnée secrète sur eux ? x)
Ce qui étonnais William, enfin qu'à moitié parce que ça, tout le monde le savait, c'est que ce professeur avait dit avoir beaucoup entendu parlé de lui. Ce que le rouge ce demandais, c'était qui lui avait parlé de lui ? Miller ? Ah... si c'était elle son professeur avait déjà dû le ficher, lui coller l'étiquette : "attention élève dangereux"
Non, le plus étrange était que la seule chose qui l'ais déranger fut leur baguette. Un concierge ? Non, il aurait déjà prévu le directeur et enlevé des points... c'était bien trop étrange pour qu'il joue au jeu d'avoir le dernier mot. D'un autre côté, William espérait que James allait remettre Winster à sa place, comme il savait si bien le faire, cette histoire stupide serait enfin terminée.
Dernière édition par William Allen le Sam 28 Fév - 19:49, édité 1 fois
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
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Age : 43
Maison : Serpy un jour serpy toujours
Emploi : Elisa de jour...Bella de nuit
Humeur : En manque...='(
Feuille de personnage Côté coeur: Il est mon âme, ma vie, mon tout...Scorp' Camp: Les deux Niveau magique: (73/100)
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Sam 28 Fév - 0:04 |
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(Punaise sa devient un vrai hall de gare là xD et Will tu m’as piqué ma place, c’était a moi de répondre ^^ Mais pas grave, parce que entre l’arrivé de James et celle de John je suis complètement paumée, alors je m’excuse auprès de vous si ma réponse parait désordonné =))
Allen était en train de perdre la partie, ils en étaient tous les deux conscients. Pour le connaitre, elle pouvait deviner qu’il n’allait pas simplement s’écraser mais qu’il essaierait au moins de tirer son épingle du jeu. Elle haussa les épaules face a sa réponse qui aurait put paraitre comme ayant un bon sens si elle n’était pas venue de lui.
-peut être, mais tout ceux qui ont eut l’insigne sont en tout cas devenu des personnages important dans le monde magique. Alors, peut être que je ne suis pas sauvée comme tu dis, mais au moins j’ai déjà un sérieux atout.
Ouai, Dumbledore, MacGonogall, Lily Potter première du nom, Severus Rogue…Et même Tom Jedusor. Après tout, même si il avait fait des choses terribles, il avait quant même laisser une sacré trace derrière lui. Ceci dit, elle n’aspirait pas à laisser une telle trace d’elle.
Et voilà, il était chaud comme la braise. Elle avait gagné, il était tellement énervé qu’il n’arrivait même plus à trouver de sarcasmes. Elle jubilait devant ce triomphe, mais décida de ne pas le montrer. A peine, elle se contenta de donner a son sourire cette expression que lui seul savait interpréter. Will s’excusa pour son intrusion soit disant involontaire et elle lui répondit abruptement
-le problème avec toi, c’est que tu ne fais jamais rien exprès ! On en vient même à se demander si quant tu te fais passer pour un idiot c’est volontaire ou bien par accident ! En tout les cas, je te conseil de te contrôler, je te le dis une fois, je te le dirai pas deux !
Elle tendit une chocogrenouille à Albus et entendit William répliqué
-Ha Ouai ? Bah en tout les cas je t’ai pas beaucoup contaminé par mon intelligence a se que je vois ! T’es vraiment un gros con quant tu t’y mets Allen ! Dire que tu critiques les serpentards qui tiennent des discours débiles sur les nés moldus et toi tu me colles une étiquette juste parce que je suis une verte et argent.
Will sortie sa baguette, et son instinct se chargea de lui signaler qu’ils étaient arrivé a un point de non retour. Elle avait appuyé là ou sa fait mal, et ramassait amèrement les fruits de son habileté légendaire. Il la foudroya du regard, elle ne détourna pas le sien.
-Se que je deviendrai ? Oh mais c’est simple…Quoi qu’il arrive, je serai toujours dans le monde magique. Et pendant que toi tu en seras révolu a demander a une bande de gamin si ils préfèrent vanille ou chocolat, moi je continuerai mon chemin dans le monde magique. Peut être au ministère, peut être comme joueuse de quidditch, peut être comme journaliste…Qui sait ? Et si tu insinues que je tournerai mal, et bien peut être, mais au moins je tournerai mal en conservant se qui fait l’honneur de tout sorcier : sa magie. Alors que toi, tu ne seras plus qu’un sorcier déchu.
Non, elle n’allait pas se taire. C’est le moment que choisie Albus pour montrer a quel point il était un Potter. Sa aurait sans doute put être marrant a voir si sa avait pas provoqué un péage de plomb chez William. Elle resserra son étreinte sur le jeune homme. Elle était consciente que face à lui, Albus ne pouvait pas faire le poids.
-Tu es pathétique Allen ! Tu ne peux pas juste reconnaitre que tu as perdu et foutre le camp ? Dis-toi que tu ne toucheras pas un seul cheveu d’Albus. Quant à jouer au malin comme tu dis, là tu confonds encore avec toi ! Il ne joue pas au malin, il expose juste sa façon de penser. Et il le fait avec calme. Tu vois combien tu n’es qu’un idiot ? Parce qu’il ne pense pas comme toi, de suite tu le ranges parmi tes ennemis ! Et laisse donc Jedusor là ou il est, si tu ne veux pas que je lui rapporte tout se que tu racontes dans son dos !
Albus jeta sa dernière répartie. Peut être aurait il dut tenir sa langue…ou pas…Enfin toujours est il qu’elle n’eut pas le temps de répondre a William que déjà il lançait un experliamus suffisamment puissant pour en faire voir trente six chandelles au jeune gryffondor. Heureusement pour lui, elle avait des reflexes. Sans réfléchir, elle lança un « protego » qui les enveloppa les deux. Le sort de Will fit ricochait sur sa barrière et se perdit dans les méandres du couloir.
Chose étrange, Will lui demanda de lâcher Albus, ou de prendre le risque de se faire exploser avec lui. Depuis quant Will se souciait il de ne pas faire exploser la verte ? C’était nouveau ça.
-Oh, que non je ne vais pas le lâcher espèce de lâche ! Si tu veux te battre, tu le ferras avec quelqu’un capable de te tenir tête et pas avec un seconde année ! Même en devant protéger Albus, je sais que je te bas. Alors pour la dernière fois, tournes les talons et casses toi, sinon ce n’est pas nous que tu vas faire exploser, non c’est moi qui vais t’apprendre les bonnes manières !
Elisa était déstabilisée par la réaction de Will. Jamais elle n’avait vue un gryffondor s’en prendre a un autre. C’était contre nature. Même les serpentards ne tombaient pas aussi bas.
Les deux se défiaient tellement du regard qu’ils ne virent pas arriver vers eux un homme totalement inconnu. Visiblement un nouveau prof, vu qu’il exposa d’office une des règles de Poudlard. Will et Elisa se fixent toujours avec un air noir, mais finalement devant la demande de l’adulte Will amorce le geste de ranger sa baguette, et elle, ne voyant plus de danger fit glisser la sienne dans sa manche.
Apparemment si, elle ignore qui est ce monsieur, lui semble en savoir plus qu’il ne faut sur elle. Son intuition lui dit que ce n’est pas en voyant son blason qu’il a compris qu’elle était préfète. Non, il le savait rien qu’en la voyant. Etrange. Mais le meilleur discourt fut pour William, ceci dit elle n’aima pas tellement son allusion au sujet de « quant on en voit un l’autre n’est jamais loin ». Aurait-il un lien avec Miller lui ? Si c’était le cas, ils avaient tous du soucie à se faire et Will et elle en premiers. D’ailleurs, elle jeta à ce dernier un regard qui voulait en dire long. Ceci dit, lui n’avait pas décoléré et l’adulte en pris pour son gré.
Elle allait enfin poser la question que tous probablement se posait lorsque quelqu’un fit une arrivée remarquable. James Sirius Potter, frère d’Albus venait de déboulé au milieu de la scène et, au vue de ses paroles, il avait dût assister au léger drame auquel son frère avait échappé. D’ailleurs Elisa avait toujours un bras autour des épaules d’Albus, sait on jamais avec Will. Sa première inquiétude fut pour son frère, normal, mais lorsqu’il se tourna ensuite vers Will pour des explications elle eut l’impression de ne pas exister. Et oh, c’était ELLE qui avait sauvé son frangin de ce fou furieux ! Et lui, il faisait quoi ? Il se tapait la discute avec, ha bah de mieux en mieux ! Elle avait bien envie elle de lui expliquer a sa manière se qui c’était passé, mais la présence de l’adulte lui fit ranger son frein. Devant le ton de Will, elle fronça les sourcils.
-Ouai c’est ça, il a simplement tenté d’envoyer ton frère a l’infirmerie, rien de plus banale quoi, dit elle avec ironie. Et non, surtout me remercies pas, personnellement j’estime avoir fait se que toute personne intelligente aurait fait a ma place !
Elle savait pas pourquoi, mais y’avait un truc chez James qui lui revenait pas. Elle faillit s’étrangler sur sa dernière réplique, mais se fit coupé l’herbe sous le pied par Will qui répondit au quart de tour. Il ne lui resta donc plus qu’a ajouter
-Nan, mais allez y faites comme ci je n’étais pas là hein, vous gênez pas pour Albus et moi surtout ! Mais ce n’est pas vrai, j’avais déjà Allen pour m’étaler son orgueil démesuré et voilà que maintenant j’ai Potter aussi ! oups..Désolé Albus, je parlais de ton frère là hein, pas de toi. Le jour ou moi je voudrai sortir avec James, les veracrasses auront des dents ! Une erreur sa me suffit pas besoin de deux !
Elle ne releva même pas l’allusion au fait qu’elle puisse dragué un seconde année tellement que cette idée était stupide. Elle murmura a Albus
-Il est toujours comme sa ton frère ou bien c’est juste quant il est énervé ?
Enfin elle se retourna vers l’adulte et lui demanda
-Et bien, vous avez l’aire de savoir qui nous sommes, et pardonnez mon ignorance, mais vous, qui êtes vous ?
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Sam 28 Fév - 12:52 |
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Il fut infinement reconnaissant à Elisabeth de l'avoir sauvé d'un experlliamus doublement plus puissant que son premier. Il n'en revenait pas que William ait pu tenter de le blesser, il n'avait pourtant rien fait de mal, enfin si il venait de le contrarier, pas une raison pour s'attaquer à lui...
Puis un sorcier plus âgé intervint, les rabrouant sur l'utilisation de sort dans l'enceinte du château. Albus leva les yeux vers l'escalier d'où descendait l'inconnu, ce dernier ne lui inspirait aucune mais alors aucune confiance. Cependant, il le regarda s'approcher d'eux sans sourciller, et fut très étonné de le voir le saluer lui Albus Potter, comme si s'était un parfait étranger qui venait faire du tourisme dans Poudlard.
Qui c'était lui ? Un professeur ? Un auror ? Un journaliste ? Albus resta pantois, gardant les bras le long du corps, sa main droite se crispant involontairement sur sa baguette magique.
Enfin son frère, James Sirius Potter fit irruption du haut des escaliers, les dévala à toute allure et se précipita sur lui pour s'adresser à William. S'il y a bien une chose qu'Albus détestait c'était qu'on lui parle comme s'il demeurait un petit garçon. D'accord il n'avait que 13 ans mais pas 4 non plus ! Elisabeth s'énerva contre James sur ces répliques et son manque de politesse. Elle lui demanda si James était toujours comme ça ou si c'était exeptionnel, il ne put s'empêcher de sourir tout fier de son grand frère :
- Ca dépend des jours !
Alors qu'elle demandait a l'inconnu de se présenter, Albus leva la tête sur James :
- Elle m'a protégé James, tu devrais peut être la remercier.
Il reporta son regard sur William qui semblait être sur le point d'imploser littéralement. Une culpabilité stupide l'envahit alors, il était seul contre deux autres sorcier de son âge, énervé, vexé, c'était compréhensible de ne pas se contrôler.
Ayant remarquer avec gêne que le rapprochement de protection d'Elisabeth avait posé des questions à James, Albus recula se dégageant du côté de la jeune femme, ressentant une certaine méfiance à l'égard de l'inconnu il préféra se tenir à l'écart, allant s'installer dans un coin d'ombre du mur, juste derrière son frère et Elisabeth. Il s'asseya à terre, sentant une étrange fatigue le prendre d'un coup, ne quittant pas sa baguette de la main, il laissa sa tête se poser sur le mur froid, fermant les yeux pour essayer de se reposer...
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James Sirius Potter
7ème année Gryffondor
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Maison : celle des maraudeurs
Emploi : dire des conneries, faire mon boulet, être arrogant...
Humeur : C'est comme si d'un cou tout le bonheur du monde c'était éteind
Feuille de personnage Côté coeur: L'amour si doux et amer a la fois...ma Eloise Camp: Le bien Niveau magique: (71/100)
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Sam 28 Fév - 18:26 |
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Sincèrement, plus on m’expliquait et moins je comprenais. J’aurais simplement put retenir que William avait essayé de fracasser mon frère mais même ça et bien ça m’échappait.
William tenta une explication qui ne me satisfait qu’a moitié. J’avais du mal à imaginer Albus, pourtant du genre réservé, posé, timide même en train de manquer de respect a un sixième année de sa maison. Il y avait là-dessous je le devinais quelque chose de plus profond, mais quoi ? Ça, ma fois je ne pouvais le deviner.
Je connaissais Winster et Allen de réputation, je savais que ces deux là ensemble faisaient souvent des étincelles. Pour une raison inconnu, mon frère avait surement dût prendre partie pour la verte et argent. Je voyais que ça de plausible pour mettre William hors de lui. Je le fixai longuement, partagé entre l’envie de le remettre à sa place pour avoir essayé de cabosser Albus et l’envie de lui dire que je comprenais. Si Alb’ avait vraiment défendu la verte, a la place de William j’aurais moi aussi vue rouge. Bon, peut être que je m’en serais tenue au parole, mais dans l’ensemble sa changeait pas grand-chose.
-Essayé ? Essayé ? Et tu crois que sa change quelque chose ? Que tu es essayé de t’en prendre a lui ou que tu t’en sois pris a lui pour moi c’est du pareil au même. Ecoute William, je peux comprendre que des fois mon frère a des attitudes qui peuvent agacer, et s’il t’a manqué de respect je suis certain que ce n’était pas volontaire. Vous étiez tous énervé, il est fort possible que ses paroles aient dépassé ses pensées. Mais peut importe, sa ne justifie aucunement que toi, un sixième année balance un sort a la tête d’une seconde année. Ma parole, a force de côtoyer les serpentards ils ont une mauvaise influence sur toi !
Albus, s’écarta enfin de la serpy en me suggérant de la remercié. Non mais, moi ? Remercié une verte ? Aucune chance. D’autant que la verte en question venait de se remanifester. Visiblement elle n’appréciait pas d’être tenue à l’ écart. Bon, j’avoue ce n’était pas l’heure de faire de l’humour, seulement moi, James Potter, quant un vert est dans les parages, je ne peux pas m’empêcher de le ridiculiser. Ce n’est pas de ma faute, je tiens sa de mon grand père.
-Oh, Winster ! Tien tu étais là ? Non sans blague ? Bigre, mais c’est que pour peu on t’aurait même pas vue ! Pardonnez-moi votre altesse, mais j’étais bien trop occupé à parler avec une personne plein de bon sens, dis-je en désignant William, et du cou j’en ai complètement oublié ton insignifiante présence.
Je lui fis un de mes supers souries avant de répondre autant a Will, qu’a Albus et qu’a elle-même
-Alors comme ça, je devrais te remercier ? Et pourquoi ? Oui, pourquoi ? Non parce que William dit que tu l’as empêché d’atteindre Albus, et mon frère lui dit que tu l’as protégé, mais finalement tu as fait ton boulot de préfète non ? Alors, escuses moi mais je ne vois pas en quoi je devrais te dire merci alors que tu as juste fait ton job. Et puis, c’était un simple experliamus pas de quoi en faire une montagne. Si encore sa avait été un avada, là oui peut être que j’aurais trouvé mesure a te remercier.
Je reconnais que mes paroles ne volent pas haut, mais en même tant c’est a une verte que je parle. Oui, j’en veux à Will pour son attitude, mais non je ne m’abaisserai pas a dire merci a une serpy. L’allusion a un hypothétique couple entre elle et moi fait autant sortir Will qu’elle-même de ses gons. J’adresse un clin d’œil à William
- Excuses vieux, je n’avais pas dit ça dans ce sens là. Je voulais dire que si moi je sortais avec elle, je serais plus a même de me tenir entre vous deux quant vous vous croisez qu’Albus. Je ne voulais pas dire que tu étais jaloux.
Puis je me tourne à nouveau vers Elisabeth
- Mon égaux ? Alors ça c’est énorme, une serpentarde qui se permet des allusions sur les égaux de deux gryffondor. Mais pour une fois je suis d’accord avec toi, un gryffondor a commis l’erreur de sortir avec toi, pas besoin d’un deuxième.
Sans parler bien sur, que j'ai de toute façon déjà une serpentarde dans ma vie et que niveau problemes ça me suffit.
Mon regard cherche celui d’Albus. Il vient de se laisser tomber à terre, juste derrière Winster et moi, si bien que nous formons une sorte de barrière entre lui et le reste du monde. Mon regard se fait inquiet, Albus a l’air terriblement fatigué. Je me demande se qui lui arrive, je sais que les querelles l’épuise tant physiquement que moralement et je suppose que là, il doit se sentir terriblement las.
Winster s’interroge sur l’identité de l’adulte. Une chose est sur, si une préfète ne sait pas qui il est, c’est qu’il doit être nouveau. Je le dévisage, à la fois interrogatif et sur mes gardes. Je n’aime pas ses dossiers là qu’il traine, et je n’aime pas sa façon de lire dedans qui nous sommes.
-C’est vrai ça, vous êtes qui ? Vous avez l’aire de tous bien nous connaitre alors qu’aucun de nous ne sait rien de vous. Vous avez été étudiant à Poudlard ?
Si oui, sa expliquerait certaine chose. Enfin, me désintéressent de lui, je me penche vers Albus
-Sa va aller ? Tu as l’air tout palot, peut être que tu devrais aller faire un tour a l’infirmerie. Et puis, t’en fait pas pour se qui c’est passé, tu sais on est a Poudlard, il arrive toujours des trucs pas possible ici.
Je lui fais mon sourire réconfortant, puis je me tourne vers William
-Et bien, ton sort ne l’a pas atteint mais en tout cas tu as réussi a bien le secouer.
Me relevant, je m’installe vers lui et lui chuchote pour que seul lui m’entende
-Ce mec là, il est étrange. Et dis moi, Winster c’est quel genre de serpentard
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Sam 28 Fév - 20:44 |
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[Mais je ne viens que lorsqu'on a besoin de moi, Miss Winster ^^]
Je vois que ces jeunes gens ont tous plus ou moins quelque chose à apprendre de moi, sans me vanter, jamais je n'oserais. Leurs esprits sont bien trop étriqués par je ne sais quelle rage, dont j'ignorais encore la cause et l'existence. J'ai dans ma carrière dû faire face à plusieurs conflits belliqueux, mais celui-ci... c'est... extraordinaire ! Mêler haine et sarcasmes, je n'ai jamais prit autant plaisir à voir deux personnes se disputer ! Hm... bon... cet établissement est une vraie pagaille...
C'est officiel, oui. Poudlard est en crise d'adolescence ! Quand certains élèves brutaux veulent appliquer leurs idées grotesques, quand d'autres cherchent reconnaissances en organisant d'horribles plans contre leurs pauvres professeurs, qui essayent tout de même de se défendre, d'arrêter, eh bien, oui, c'est officiel... Poudlard est un joyeux bordel !
J'observe, je note, rajoute entre les lignes du précédant psychiatre. Pauvre personnage... j'espère qu'il n'a pas démissionné pour quelque chose de grave... quoi ? Quelqu'un lui aurait fait exploser un Feu Fuseboum à la figure ? Oh... non, pas possible... êtes-vous sûr de cette information ? Les élèves du prestigieux collège Poudlard ne ferait pas ça à un malheureux psychiatre ? Hm... si, je vois...
Si j'ai bien compris la scène, le pauvre Potter se retrouve dans une dispute entre Monsieur Allen et Miss Winster, et comme chacun le sait, les altercations entre les deux fauteurs de troubles sont très violentes et mieux ne vaut pas s'y retrouver mêler. Il faudra que j'interroge quelques professeurs voir si l'un d'entre eux peu me résumer l'un de leur retenue parce que dans leur fiche le total de leur heures de retenues est assez élevé... surtout chez Monsieur Allen... je crois qu'il va finir par battre nos ancien champion, à savoir, Monsieur Potter...
En parlant d'eux, voilà l'aîné qui arrive soudainement, alerté par le Duel. Je crois avoir bien fait de le demander de ranger leurs baguettes et le faite qu'ils ne refusent pas montrent bien qu'ils n'ont pas la réelle envie d'être mit en retenue... je crois avoir trouvé un menace contre eux. Oh, Dieu non, un psychiatre ne marche pas par menaces, non, mais c'est pour eux... c'était une simple remarque... vu leur casier judiciaire, je crois que ceux deux l'aurait mérités... mais je ne suis pas venu ici pour torturer de pauvres élèves...
James Potter attaque aussitôt William Allen, on pourrait se croire dans un vrai match... vu que celui-ci a essayé, comme il l'appuie, de jeter un sort à son frère. James rétorque, très fin, je comprends qu'ici chacun à une certain dégoût pour les Serpentard... sauf Winster qui ne pas se dégoûter elle-même, normal... Je comprends la réaction de James, cependant et qui d'ailleurs n'aurait pas réagit de cette manière ? Par contre le langage de l'aîné des Potter est à revoir et je ne pu m'empêcher de grimacer face à un vocabulaire si vulgaire... Depuis quand est-ce permis ? A Poudlard ? Devant un professeur ? Hm... bon, je ne suis professeur, en effet, mais il y croit et c'est le principal non ? Hm... bon...
L'aîné des Potter s'excuse ensuite, s'étant rappelé le premier de ma présence. William m'observe longuement, qui croit-il que je suis ? Je l'espionnes peut-être ? Par Merlin non, j'observe, je n'espionne pas. Comment ça c'est pareil ? Pas du tout ! C'est mon métier et je ne fais ça seulement de façon professionnelle et mes observations ne reste qu'entre moi et... moi...
- Ne vous excusez de rien, Monsieur Potter, tout à fait...
Encore une fois, mes réponses ne reflètent pas toujours ma personnalité, un psychiatre pose des questions pour faire réagir ou simplement avoir réponse.
Cette fois ce fut Winster qui s'adressa à moi, je ne leva pas aussitôt les yeux de mon dossier, écrivant quelques lignes au sujet de James et Albus. Bien sûr, ceci ne sera jamais transmit aux parents, je reste toujours confidentiel si certaines personnes on honte de se faire suivre par un psychiatre, ce que je comprends à la fois et désapprouves.
Je redressa la tête répondre enfin à sa question. Retournant sa question dans ma tête car quelques chose venait de m'alerter, j'allais le noter. Mes réponses devaient être répétitives et lassant, mais dans le seul but de faire réagir.
- Hm... je vous pardonne, je vous pardonne, Miss Winster, je comprends...
L'insistance de James Potter, me fait rire aux éclats. Je ne l'explique pas. Un rire ne devrait pas se justifier.
- Ha ha ha ! Monsieur Potter ! En effet, j'ai été étudiant dans ce château, pourquoi me... posez-vous cette question ? Ah bon ? J'ai l'air ? Seulement ? Aucun de vous ne sait rien de moi ? Ça c'est intéressant... Hm... continuez, continuez, je vous en prie...
Je ne m'attends pas forcément à ce qu'ils reprennent les insultes, mes réponses ont suffit à attirer leur curiosité si Monsieur Potter et Monsieur Allen sont connus pour être curieux, je sais que la préfète de Serpentard aime également apprendre... je reste cependant perplexe sur le jeune Potter.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Dim 1 Mar - 20:17 |
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-Sa va aller ? Tu as l’air tout palot, peut être que tu devrais aller faire un tour a l’infirmerie. Et puis, t’en fait pas pour se qui c’est passé, tu sais on est a Poudlard, il arrive toujours des trucs pas possible ici.
- Je vais très bien James, laisse moi....
C'était une réponse qui n'incitait aucune réplique. Il se recroquevilla un peu plus sur lui même, se passant une main las sur le visage. Déjà l'experlliamus qu'il avait lancé plusieurs fois l'avait bien fatigué, mais la violente dispute opposant Serpentard contre Gryffondor ne faisait qu'accentuer sa fatigue, surtout que les répliques réfléchies à vives allures pour toucher l'adversaires l'épuisaient totalement. Son mal de tête augmentait et la désagréable impression que cette dernière soit resserrée dans un étau invisible persistait vivement.
Il lâcha sa baguette magique, qui tomba mollement au sol, gardant les yeux fermés quelques secondes, il vit de petites étoiles scintillées le temps de fermer et de rouvrir les yeux. Il posa son regard azur sur James, lui adressa un faible sourir, puis sur Elisabeth, même sourir, et enfin sur l'inconnu.
Son sourir s'effaça quand il prolongea son observation de l'étranger, il n'aimait pas du tout sa manière de vouloir s'intéresser aux autres, cette conaissance absurde du passé des élèves....Il n'aimait pas non plus la manière dont il s'adressait à son frère. Personne ne le connaissait, mais lui en revanche savait tout de la vie de ces derniers.
Cependant, il préféra rester dans l'ombre, pas question d'aller questionner cet homme, il n'avait absolument pas envie de faire la conversation avec lui, et encore moins qu'il s'intéresse à son cas. Mais Albus n'était pas un cas, c'était un jeune homme ordinaire, un jeune sorcier normal, il n'avait rien a caché, et rien à dire.
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Dim 1 Mar - 21:59 |
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James devient de plus en plus énervé. William cependant, commence à peine de se calmer. La présence du professeur le dérangeait plus que tout, que faisait-il à noter et répondre vaguement à leurs questions ? Winster, étant préfète ne le connaissait pas, alors si elle ne le savait pas... personne ne le savait !
James semble hésiter un court instant avant de lui répondre. William a bien envie de faire une brève intrusion dans son esprit pour savoir pourquoi, mais ce serait abuser. Il passerait pour quelqu'un d'instable ou je-ne-sais-quoi. Ne pas pour s'empêcher c'est bon une fois, mais pas la deuxième.
- Bien sûr que si ça changes tout... imagines un instant deux scénarios dans lequel, un j'aurais tué ton frère, deux aurais seulement essayé... y'a une différence, mais très légère, je suis d'accord... juste que dans la première ton frère meurt, dans l'autre non...
C'était bien lâche. Mais William n'avait pas d'autres exemples.
- Si ça se justifie ! On était peut-être énervé, d'accord, alors je me suis énervé et j'ai essayé de lui jeter un sort à la figure... c'est tout
C'était vraiment la phrase à ne pas sortir si l'on souhaitait que William reste calme. Il répliqua du talc au talc, sans même s'en rendre compte.
- Qu'est-ce que tu veux dire ?! Je ne fréquente pas les Serpentards, pigé ?! Je les... je... hem...
Alors bien sûr, sa réplique tomba à l'eau, ne sachant plus quoi dire. Ils les fuyaient ? Non, il ne prenait pas les jambes à son cou en les voyants. Les détestaient ? Non, c'était pire que ça. Ne sachant toujours pas quoi répondre, il se reprit.
- Je ne les fréquente pas, c'est tout !
Oh... Merlin... c’était sans doute la première fois que William voyait Elisabeth se faire rembarrer par quelqu’un d’autre que lui. Ça devait lui être lassant en effet de se faire toujours rembarrer par la même personne, elle venait de trouver enfin quelqu’un de la même taille que William. Il fallait dire, les Rois du sarcasme étaient rares à Poudlard. Le rouge ricana tout seul, mais se ravisa, se souvenant de la présence de leur mystérieux et très curieux professeur.
James s’excusa de son allusion, involontaire. William hocha simplement la tête. Encore une fois le deuxième rouge renvoya la verte à son dictionnaire de sarcasmes. Il ne put cependant pas s’empêcher de rajouter.
- Et puis, mon égaux n’a pas à te plaire, rien en moi n’a à te plaire, on est ennemis, tu te rappelles ?
Alors comme ça Monsieur X étudiait ici ? Enfin, c’est surtout ce qu’il étudie maintenant qui intéresse William. Il garde un œil méfiant à l’égard de l’étranger, peut-être est-il venu à l’improviste et n’est pas sensé être ici ? Toutes les théories deviennent plausibles. Un malade échappé de St-Mangouste ?
James s’assure que son frère n’est rien. Celui-ci semble, en effet, encore sous le choc. La première fois que William s’était reçut un sortilège, il avait terminé à la l’infirmerie, dès sa première année. Triste début de Duel. William tient à s’excuser.
- Excuse-moi, c’est sortis sans y penser...
James baisse d’un ton et lui pose une étrange question. William le regard d’abord, surpris, puis jette un coup d’œil à la verte, mise de côté.
- Je suis d’accord. Peut-être un nouveau concierge ? Non, non, je ne crois qu’ils sont autorisés à avoir autant d’informations, sur... nous. Oh... mais c’est une Serpentard comme toutes les autres... mais pas une fille comme les autres... elle est le genre de fille qui t’attires plus d’ennuis que tu en as déjà... tu vois ce que je veux dire ?
William décide de questionner Monsieur X, ne pouvant rester dans le doute plus longtemps.
- Hey ! Vous là, oui, vous ! Où avez-vous eus tout ça ? Pourquoi vous nous espionnez ? On vous a engagé pour faire quoi ? Monter des données secrètes sur nous ? Fichez le camp si c’est ça ! On vous a rien demandé et on a rien à déclarer !
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Elisabeth Winster
7ème année Serpentard
Nombre de messages : 1955
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Humeur : En manque...='(
Feuille de personnage Côté coeur: Il est mon âme, ma vie, mon tout...Scorp' Camp: Les deux Niveau magique: (73/100)
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Sujet: Re: Tu joues dans la cour des grands maintenant. Lun 2 Mar - 16:48 |
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« Ça dépend des jours », et bien la verte gagea que ce jour là devait être un de ceux ou James n’avait pas envie de fournir le moindre effort et ou il laissait son coté anti vert prendre le dessus.
Elle suivit les mouvements d’Albus qui alla s’assoir dos au mur, les yeux fermés. Là, comme ça il n’avait plus tellement l’aire du parfait petit élève courageux. Il semblait simplement fatigué et aspiré au calme. Quelque part, elle le comprenait. La serpy trouva qu’Albus avait bien fait de se laisser tomber derrière James et elle-même. De là, au moins il échappait au regard scrutateur du prof étrange mais aussi au risque, quoi que minime, de se prendre un cou de baguette de la part d’Allen.
James lui, avait l’air assez en colère à cause du geste de Will. Ceci étant, alors qu’elle aurait put s’attendre, non pas a un merci, mais au moins un minimum de reconnaissance, Potter numéro un ne trouva a lui dire que des choses emplis de sarcasme. Incroyable. Elisa soupira, elle aussi était fatiguée. Et puis elle avait déjà Allen pour jouer du sarcasme, elle n’avait pas besoin d’un second.
Là, comme ça, elle avait bien envie de le giflé le Potter, histoire de lui montrer qu’elle était bien là, mais bon a bien y réfléchir ce n’était pas une bonne idée. Il parlait de la mauvaise influence des serpentard, et elle ne put s’empêcher de ricaner
-On a peut être une mauvaise influence sur Allen, mais visiblement lui a une mauvaise influence sur toi Potter. A t’entendre parler, on jurerait que tu l’as eut pour maitre.
Et vlan, dans les dents. Elle continua
-et oui, j’étais là, mais surtout continues donc a faire comme ci je ne l’étais pas. Non je te jure c’est très reposant. Et puis, mon insignifiante personne ne voudrait surement pas distraire ta misérable petite existence.
Devant autant de mauvaise fois, parce que d’un coté il gueulait sur Will qui avait faillit éborgner son frangin, et de l’autre il disait que ce n’était pas un drame, elle leva les yeux au ciel.
-Autant d’illogisme dans une même personne, moi sa me déprime. T’inquiète Potter, je ne veux surtout pas de ton « merci ». Ta reconnaissance, tu peux toujours te la coller ou je pense. Je ne voudrais surtout pas me retrouver lié a toi par quoi que se soit. J’ai protégé Albus parce que ça me plaisait de le faire point barre. Je l’ai fait pour lui, et surement pas pour plaire à un Potter dont la tête enfle tellement que bientôt faudra agrandir les portes pour qu’il puisse continuer à passer dedans !
Le cou, des égaux était si bas, qu’elle ne releva même pas. De plus son attention était reporter sur le professeur, qui au lieu et place de réponse constructive se contentait de dire « je pardonne ». Elle ne savait pas qui il était, ses parents n’avaient fait mention d’aucun mangemorts devant intervenir dans le château, donc c’était probablement pas l’un d’entre eux. Restait qu’il était bien mystérieux et que, elle le mystère, sa la rendait méfiante. Visiblement, c’était le cas des 3 autres élèves.
Albus semblait en avoir marre de tout ça et l’attention de son frère n’arrangeait rien. A dire vrai, là de suite, elle avait presque envie de dire au jeune rouge « tu viens ? Je te raccompagne a ta salle commune » et de foutre le camp de là. Se retrouver avec 3 gryffondors dont 2 vraiment insupportable ça faisait beaucoup trop pour une verte, même pour elle. La jeune fille écouta que partiellement se que disait Will. Au fond, elle s’en fichait se son explication avec James. Sa la regardait pas, et puis attendu que James au lieu de flanquer une trempe a Will semblait se ranger de son coté, ça lui donnait plus envie d’écouter.
Elle ricana simplement lorsque Will se retrouva a dire qu’il ne fréquentait pas les serpentards.
-Non, le mot juste est qu’il ne fréquente PLUS les serpentards. En faite Allen a développé une haine convulsive de tout se qui porte un blason de serpent. Mais ce n’est pas sa faute, c’est juste son esprit qui est trop étriqué pour arrêter les gamineries d’un autre temps.
Et le voilà qui se mêlait de son propre différent avec James. Non mais, de quoi il se mêlait lui ? Pour une fois qu’on lui demandait rien. D’autant qu’entre nous, elle ne risquait pas d’oublier qu’ils se détestaient. Déjà parce qu’il ne manquait pas une occasion de le répéter et ensuite parce que cette haine au fil du temps ne leur apportait que plus de problème que de plaisir.
-T’en fait pas Allen, suffit que je vois ta tête pour me rappeler combien je te hais. Et puis rassures toi, rien en toi ne me plait, absolument rien….oh si…une chose, cette grande maladresse qui te fait souvent passer pour un imbécile.
A chacun son tour. Un point partout, balle au centre. La verte avait conscience que face a James et Will en même temps, elle ne faisait pas franchement le poids. Mais peut lui importait, elle n’allait pas se laisser marcher dessus par une bande de rouge mal éduqué. Allen s’excusa pour le sort et elle grinça des dents
-Sans y penser ? Pourquoi en général sa t’arrive de penser ? Waouh, son c’est une grande nouvelle !
Elle se retourna vers Albus tandis que les deux autres discutaient. Que tout cela était fatiguant.
-Tu sais Al, je crois qu’après tout ça tu vas avoir besoin d’une bonne nuit pour récupérer. Je pense tu devrais aller demander à l’infirmière un truc pour te rebooster. Ce n’est pas bon d’épuiser ainsi sa magie.
Elle lui fit un sourire, consciente que de toute façon il ne le verrait pas vue qu’il avait les yeux fermé. Will s’emporta contre l’adulte et elle soupira. Bravo, Allen continu comme ça et on va tous se retrouver en colle ! Elle lui fit un regard qui lui commandait silencieusement de conserver son calme. La verte leva ensuite les yeux vers l’homme. Si cela avait été un ennemi depuis longtemps il aurait eut le temps d’agir.
-Bien que je ne partage pas la façon de vous parlez d’Allen, je dois dire que je suis tout de même d’accord sur le fait que nous aimerions connaitre votre identité ainsi que vos raisons de votre présence ici. Nous ne faisons rien de mal, enfin si on excepte que nous avons enfreint la loi sur l’usage de la magie dans les couloirs. Mais ceci mis a part, je ne vois guère se que vous pouvez nous reprochez, et si c’est ça, pourquoi ne pas simplement nous enlever des points et vaquer a vos occupations qui doivent sans doute être plus intéressent que rester là à écouter une bande d’ados se disputer pour des futilités ? En faite, je me demande…ne seriez vous pas de prés ou de loin lié a Madame Miller ?
Elisa ne connaissait que Miller pour surgir comme ça et avoir l’aire de tout savoir sur tout, et surtout sur se qu’il ne fallait pas. Elle chercha le regard de Will, geste probablement involontaire, mais qu’elle effectua dans le but sans doute de lui signifiez que si jamais Miller avait un associé, ils ne seraient plus tranquille nulle part.
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