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 Un samedi sans café -Leah =DDD-

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Auteur Message
Sebastien Ledder
Monsieur FREEDENT
Sebastien Ledder

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Maison : Bonjour l'UNIVERSITE ou ce qui devrait y ressembler
Humeur : Heureux... toujours

Feuille de personnage
Côté coeur: Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue... (ayeh vous avez la chanson dans la tête ?)
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MessageSujet: Un samedi sans café -Leah =DDD-   Un samedi sans café -Leah =DDD- EmptyDim 28 Déc - 1:50

Week-end de libertééé... je fais rarement ça mais quand même c'est bien, partir un jour -sans retour *sbaf*- avec Silice et Val' pour Londres, le week end de préférence car moi contrairement à quelqu'une je séche pas tout mes cours. J'ai lâché Val' et Silice, oui, je sais pas ce qu'ils font mais moi, j'ai froid, un café me ferait du bien et justement, il y en avait un dans la rue, je sais pas pourquoi aucun des deux n'a voulu me suivre, Silice a balancer qu'elle devait retourner au musée de jsais plus quoi peut-etre le British museum mais ça m'étonnerait un truc de peinture, très peu pour moi... Moi, dans le trucs moldus, j'aime bien le sport, le ciné, la musique et euh oui... c'est tout.
Bref Un week end entier en dehors de Poudlard, c'est rare, très très rare même et suicidaire aussi, quand je pense aux nombres d'heures de colles qu'on pourrait avoir mais Silice connait Sand et le concierge, c'est le frangin de Silice.
J'commence à comprendre pourquoi Val' aime autant Silice, elle est sympa, belle mais le plus grand de ses atouts, c'est surement ses relations. Il est pas con Val', j'aurais du m'en douter avant... Bref je les laisse avec un signe de la main qu'ils ne regardent pas, Silice trop entêté à réfléchir au lignes de métros les plus mieux bien pour aller à son truc et Val', ben je sais pas, il va peut-être l'accompagner, àmoins qu'il veuille voir sa famille quoi qu'il aime pas trop sa famille quoi qu'il ne s'est jamais étendu sur le sujet avec moi.
Bon, y caille, je rentre et est hapé par la chaleur et le bruit, y a de l'ambiance et ça fait du bien, je sourie, bêtement soit, mais j'suis heureux, de couper un peu au quotidien de Poudlard même si ça dure un jour.
Je cherche longtemps une table libre après tout c'est blindé, au bout d'un moment j'en aperçoit une près de la grande cheminée et je m'y asseois heureux d'être encore plus près de la chaleur même si j'ai le préssentiment que je vais regretter cette place dans 10 minutes, au moment où j'aurais les joues en feu et commencerait à crever de cheud mais pour l'instant j'apprécie, j'enlève ma veste, montrant à tout le monde mon nouveau mull en laine vert pomme *-*, bien flachant. J'aime la couleur et je dois dire que j'apprécie particulièrement celui là, peut-être un peu trop serré mais ils avait pas la taille au dessus et après je tapait dans le trop grand et j'veux pas ressembler à un sac non plus !
Bon alors maintenant grand trilemme, non quadrilemme.
Biere au beurre, café serré, cappucinno, Irish coffee, biere au beurre, café serré, cappucinno, Irish coffee, biere au beurre, café serré, cappucinno, Irish coffee, biere au beurre, café serré, cappucinno, Irish coffee, biere au beurre, café serré, cappucinno, Irish coffee ...
Ouais, j'ai plus qu'à me pendre moi... je commence déjà à avoir chaud, mais bon est-ce que je vais avoir l'audace de montrer mon tee-shirt violet ? xD
Une serveuse arrive, la trentaine, les cheveux gras, un visage ni trop laid ni trop beau... humpf, au début je passe ma main dans mes cheveux et hausse des épaules pour dire que je sais pas, elle, elle regarde le plafond comme si ça pouvait influencer mon choix... elle est pas très commerçante la madame ! Je lui fais mon sourire angélique et elle arrete de regarder le plafond pour me fixer.

-Vous me conseiller quoi ? Capuccino, bière au beurre, café serré, ou Irish coffee ?


Elle me regarde et tente de réfléchir, ça doit pas être un truc qu'elle fait très souvent vu la tronche qu'elle tire...

-Notre spécialité, c'est le breafast tea...

-J'aime pas le thé.

-Jvous conseille pas le café tout seul et on fait pas de cappucinno... C'quoi un Irish coffee ?

Hum... c'est la serveuse qui le fait exprès ? J'ai du prendre un mauvais pub là, enfin un mauvais café, bref, comment ça se fait qu'y autant de monde dans un endroit si pourri... C'est surement parce que c'est bien placer, pas très loin de la zone moldu...

-Ben alors une bière au beurre.

-Euh oui tant que j'y pense...


-Une bière au beurre j'ai dit ! LEAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!

J'avais entraperçu des cheveux roux et vu un sourire se dessiner sur un visage pale, j'avais aussitot fait le rapprochement avec la jolie journaliste qui avait survécu une courte journée en notre compagnie pas si agréable que ça, je l'avais apprécier, elle avait un truc, un jsais pas quoi que j'avais aimé et un magnifique sourire. Je la hèle à présent, lui fait des grand signe de la main, si elle me loupe avec mon pull fluo, elle est myope... Je regarde la serveuse aux cheveux gras, elle me prend pour un fou, tant pis je la prend pour une conne, je lui fais quand même un signe, il faut qu'elle reste pour que Leah prenne sa commande.
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Un samedi sans café -Leah =DDD- Vide
MessageSujet: Re: Un samedi sans café -Leah =DDD-   Un samedi sans café -Leah =DDD- EmptyLun 29 Déc - 4:14

    Gardez le sourire jusqu’au bout, rester polie, hocher de la tête, faire semblant de prendre des notes. Faire des « hum » et « Oui » de temps en temps. Et surtout, avoir du boulot en retard, voilà ce qu’il faut pour survivre à un entretien ennuyant. Ouais, mon boulot est cool mais bien chiant parfois. Là, j’suis en train d’écouter un mec lourdingue, rouge tellement il s’est enfilé de bières, qui n’arrive plus à aligner deux mots sans bafouiller et qui peine à garder la tête droite…. C’est pathétique. En plus, j’aurais rien appris. Cet homme, c’est un ancien mangemort, pas de ceux de la nouvelle generation, un de ceux qui suivaient le maître de la mort, avant Harry Potter et tout ça… J’essaie de remonter la pistes de ces fidèles, pour savoir ce qu’ils sont devenus, ceux qui ne sont pas retournés auprès de leur maître ensuite… C’est dur de les trouver, ils sont méfiants comme pas possible, et quand on les trouve enfin –enfin, quand on en trouve un- c’est pour dénicher le pochtron du bar. C’est désespérent de se dire que des heures de travail n'ont menées à rien. J’ai l’impression qu’il a subit un lavage de cerveau et je répugne à utiliser la magie pour lui soutirer les informations que je veux. Avec un soupir, je tente de lui poser une dernière question.

      -Avez vous gardez contact avec d’autres de vos anciens…. Amis ? Avez-vous des noms ? Des indices ? Quelque chose ?


    J’ai presque un ton suppliant. L’homme lève la tête, me regarde, bafouille quelques mots, le doigts en l’air – c’est dégeu, il bave… - se lève et retombe lourdement. Je le regarde, ébahuie, choquée, mais aussi déçue. Profondément déçue. Des mois de recherches pour rien. J’ai eu tellement de mal à le dégoter. La femme du bar miteux où nous sommes ne réagit pas, elle doit avoir l’habitude. Je lache une pièce d’or sur la table et quitte la pièce, retrouvant enfin l’air libre. Je respire un bon coup, libérant mes narrines des eflfluves d’alcool, de transpiration et d’urine. Je decide de faire un petit tour avant de rentrer sur Londres Je dois aller chercher mes dernières photo, que je n’ai pas eu le temps de developer moi meme puis j’irai dans un lieu don’t on m’a parlé, qui est parait-il très sympa. En attendant, je me dirige vers la falaise et admire les côtes ecossaise. Je sors mon appareil photo pour imortaliser la lumière, entre gris et bleu-nuit, la mere déchaînée et le vert foncé de l’herbe. C’est agreeable. Je gonfle mes poumons de cet air iodé et profite de l’air marin pour faire passer ma deception. Le paysage est vraiment beau, à couper le soufflé. Mon esprit divague vers la derière interview que j’ai faites, celle de ces jeunes de Poudlard. Ils m’ont marques –hormis le fait qu’ils soient beaux-, ils sont interressants, vifs et intelligents. J’aimerai grandement pouvoir me lier d’amitié avec eux. C’est sur ses pensées que sur un “plop” sonnore, je transplane à Londres.

    J’arrive comme prévu dans une petite rue peu en retrait par rapport la rue comerçante, non loin de là où j’ai laissé mes pélicules. Je me recoiffe en vitesse et passé chercher les clichés dans la petite boutique. Je règle ce que je dois puis me dirige vers le bar qu’on m’a conseillé. Il paraît qu’il y a parfois des concerts de jazz ou de rock. C’est sympa je trouve ce genre d’ambiance. Je remonte un peu la rue et trouve l’endroit en question. Ce que je vois me fait peur, mais au moment où j’entre,, un troupeau de personnes sort, vidant quelque peu les lieux, qui restent bien pleins malgré tout. Je cherche une place libre, mais je n’en vois pas… Quand j’entends quelqu’un hurler mon prénom. Je me retourne et cherche des yeux cette personne…. Qui s’avère être Sebastien. Un grand sourire illumine mon visage, tandis que je me faufile juste que lui. Je balance un “cappuccino” vers la femme qui attend. Je regarde le jeune homme –beau comme un dieu décidément- et lui sourit de plus belle, m’essayant à ces côtés. Je le salue, hesitant à lui faire la bise – nous ne sommes pas amis et prend la parole.

      -Bonjour Sebastien ! C’est une bonne surprise que de te voir ici ? Tu es seul où tes amis t’accomagnent ? Tu t’es échappé de Poudlard ?


    Je me tais, le temps de me débarraser de mon manteau, de mon foulard et les gants et lui laisser le temps de répondre accesoissrement.

      -Comment vas-tu ? Je suis heureuse de te revoir tu sais, je pensez à vous toute à l’heure justement.


    Alors que la femme nous apporte nos commandes, quatre homes montent sur une petite estrade et commence à jouer un classique du jazz. Je pose la pochette avec les photos sur la table. Un grand sourire fend mon visage, j’adore ce morceau, j’adore l’ambience et je suis à côté de l’un des plus bel homme que je n’ai jamais rencontré.

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