mauvaises rencontre au mauvais moment tu connais le dicton scorpius ? » scorpius

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ange &&' scorpius ; — mauvaises rencontres au mauvais moment, tu connais le dictons scorpuis, là on est mal si il nous voit ! »

Allongée sur mon lit, je regardais le plafond sans vraiment grande conviction. D'un regard vague je le parcourais. Les filles du dortoir dormaient toutes, je ne savais pas pourquoi mais j'avais l'impression que j'étais le seule à être la seule rebelle à ne pas vouloir se donner à Morphée, je ne voulais pas dormir je n'avais pas sommeil, pour une fois. Je suis une grosse marmotte d'habitude mais là je ne savais pas ce qu'il m'arrivait. J'avais envie de chanter, de danser, ouais bon je sais pas très original mais je suis comme ça. Je n'y peux pas grand chose d'ailleurs. Un sourire s'afficha sur mes lèvres, je leva mes mains au dessus moi bien haute. Je les écarta, me redressa pour être assise puis les tapais l'une contre l'autre, le bruit ressemblait à une grosse claque qu'on donnait à un enfant. Ouch, je m'arrêta les bras en l'air, je ne bougeais plus. Ce bruit je l'avais entendus tellement de fois dans mon enfance que le réentendre me fit comme l'effet d'une claque. J'étais la seule apparrement à avoir entendus le bruit, les autres filles n'avaient pas broncher d'un pouce. Dormeuse va !

Je me leva de mon lit, pour regarder par la fenêtre de la salle, il faisait nuit, la lune n'était pas présente, mon regard se perdit sur la grosse masse noir qui s'etendait devant moi, je frisssona rien qu'en regardant la forêt interdite, un lieu dans lequel je ne pourrais jamais mettre les pieds, même si on m'obliger à y aller, mais je ne veux même pas y penser. Je soupira, une légère brume se fit reconnaître sur la fenêtre. Il faisait pas chaud. Je croisa mes bras contre moi. Je me retourna et m'habilla d'un jeans noire, et d'un haut noir léger à capuche, non je n'avais pas l'intention de cambrioller Poudlard mais ce que j'allais faire je n'étais censer pas le faire mais bon les interdits ne sont plus pour moi. J'en avais marre de me faire manipuler comme un vulgaire pantin j'ai quand même seize ans et demi et je suis en sixième année alors bon ...

Je errais dans les couloirs de Poudlard en pleine nuit. J'aimais ce moment, personne pour nous dire où aller, je faisais attention quand même à ne pas faire trop de bruit je n'avais pas envie de me faire remarquer. Une chanson me vint à l'esprit alors que mes pas me guidèrent vers les serres, sure que personnes n'allaient aller là bas, c'est tellement peu peupler.

I hear the ticking of the clock
I'm lying here the room's pitch dark
I wonder where you are tonight
No answer on the telephone
And the night goes by so very slow
Oh I hope that it won't end though
Alone...

Till now I always got by on my own
I never really cared until I met you
And now it chills me to the bone
How do I get you alone
How do I get you alone

Je m'arretta de chanter pour reprendre ma respiration, et me rendis compte que je venais de faire le tour de la pièce et me retrouva devant la porte de sortie. Je souris et baissa la tête, mis ma capuche sur la tête et me retourna, mais en moins de deux me retrouva les fesses par terre. Je venais de heurter la porte, quand je regarda mes chaussures, je vis d'autres chaussures devant moi et cela m'avait tous l'air d'être une personne, j'avais rencontrer quelqu'un et non la porte. ange ; — ouch ça fait mal »

Le corps humain est capable de s'adapter rapidement face à certaine température, du moment que nous sommes en forme, pas fatigué ni mort de faim. La fraîcheur se fait un peu plus intense dans les sous-sols du château. Les Serpentards sont les premiers concernés. Fort heureusement, nous sommes dotés de chouettes cheminées qui ne manque pas d'être utilisé autant en hiver qu'en été parfois. D'ailleurs en parlant de ça, je suis présentement installé dans l'un des plus confortable canapés de ma salle commune. Canapé faisant bien sûr partie du coin des "Salazards". Non loin de la cheminée qu'un de mes camarades eut l'idée d'allumer. Très bonne idée je dois l'admettre, car il faut dire que ce type n'est pas une lanterne. Il ne reste plus beaucoup de monde dans la salle commune. Je viens de saluer mon cher ami Jédusor qui pour une fois part se coucher plus tôt que moi. Il ne reste plus qu'un... couple sur le canapé d'en face. Moi, je tente de me concentrer le plus possible sur mon bouquin de Métamorphose. Non, je n'ai pas spécialement de devoir pour le lendemain mais je suis curieux. J'aime voir un peu à l'avance sur quoi je vais tomber dans les jours à venir, ou quel thème nous n'aurons pas le temps d'étudier. Mon livre est ouvert sur une page qui a pour thème : "La Magie d'Apparition"

Un vague sourire prend possession de mes lèvres, quand je repense à cette chère professeur de Métamorphose. Oh je le sens, elle ne me porte pas beaucoup dans son cœur. Cela m'amuse plus qu'autre chose. Sachant qu'elle ne peut rien se permettre contre moi non plus. Ça doit être difficile pour elle de me mettre à la même hauteur que les autres. Bah, je n'y peux rien si elle n'aime pas les salles gosses comme moi. Tout d'un coup, de drôles de petits bruits me font lever les yeux sur le couple d'en face. En train de s'embrasser, se bécoter, là devant moi, sous mes yeux. Mes sourcils se lèvent et j'évite de justesse un renvois de la part de mon estomac. Ils le font exprès ou quoi ? Ils savent que je suis là et pourtant... Ooook je vois le délire. Ils veulent que je parte. Non mais de quel droit ils se permettent de me virer de la salle commune de cette façon ? Quoi que... moi j'ai souvent dû faire ça par moment, ça m'en rappelle des souvenirs tiens. Je soupire, exaspéré, mais décidant de compatir à la situation. Je ferme alors sèchement mon bouquin de sorte à se qu'il m'entende bien, me lève tout en faisant mine de ne pas les voir, puis pars le ranger dans mon sac. Je dois vite faire un choix, car si je reste plus longtemps à réfléchir je vais carrément assister à un film pour adulte. Je décide alors de sortir et non de me rendre à ma salle commune. Je ne suis pas fatigué du tout, et un bon bolle d'air me fera le plus grand bien.

Vêtu d'un jeans sombre délavé et d'un t-shirt gris, je pense tout de même ne pas avoir trop froid dehors. Je survivrais. Je marche tranquillement, sans la moindre crainte de rencontrer sur mon chemin le moindre professeur ou autre surveillant en tous genre. J'ai pris l'habitude en sept année de les éviter et de défier les règles. Ne voulant pas non plus trainer trop longtemps dehors, je décide de me rendre dans un coin pas très lointain et bien sûr tranquille. Alors que je me rapproche des serres, j'entends quelqu'un... chanter. Qui est assez stupide pour chanter à cette heure là ? Ça ne doit pas être une élève. Caché derrière un petit amas de plantes, je me penche juste assez pour jeter un petit coup d'œil à la chanteuse en question. Chanteuse qui m'a tout l'air d'une élève. On ne voit pas grand chose de l'extérieur, les vitraux de la serre ne sont pas très propre il faut dire. Pourquoi ne pas aller directement à la rencontre de cette personne ? Je contourne la serre afin d'atteindre la porte pour m'y introduire. Je l'ouvre, et *bam* je percute quelqu'un au passage. Fallait qu'elle décide de sortir au même moment...

« Ouille... ça doit faire mal en effet. »

En effet ce n'est pas à moi de dire ça mais c'est un peu comme un réflexe. Apparemment, le choc fut-il que la jeune femme se retrouva fesse au sol. Allez, pas le moment de jouer au sadique. A première vue je ne l'a connais pas, son visage ne me dit rien non plus. M'avançant un peu plus jusqu'à elle, je lui tends ma main droite afin de l'aider à se relever.

« Pardon, ce n'était pas voulu... »

Autant rester poli avant de mettre une tête sur la personne que j'ai en face de moi. Mine de rien, elle m'a l'air plutôt charmante.

Comment pouvais-je être aussi maladroite et stupide pour être tombée comme un gros boulet par terre. Surtout que je ne savais pas qui était la personne en face de moi, si c'est un surveillant ouaa mais je suis mal même très mal devrais-je dire. Mais bon maintenant sois j'étais morte soit j'étais sauvée mais je ne croyais pas vraiment la deuxième hypothèse possible. Je soupira et un simple ouch sa fait mal sortit de ma bouche. Super même pas un désolée c'est de ma faute, franchement Ange tu n'es qu'une idiote ! Oh toi la ferme, stupide conscience. Je me massa le bas du dos, je m'étais drôlement fait mal à vrai dire. La personne dans laquelle je m'étais heurter devait-être un homme, bien muscler vu comment je m'étais fait mal à la tête aussi. Grande aussi mais je n'avais pas encore relever la tête pour voir j'avais affaire à qui. J'avais toujours ma capuche sur ma tête et je me demandais vraiment à quoi je ressemblais, moi une jeune fille toute habillée de noire de la tête au pieds, avec une capuche qui me cachait la moitié du visage et ne laissait qu'apparaître ma bouche, moi qui ressemblait plus à une voleuse qu'à une petite chanteuse qui chante dans les serres de Poudlard en pleine nuit. Vive les interdits et quiproquos moi je dis !

Bref, une voix se fit entendre, une voix masculine et étrangement séduisante me dire « Ouille... ça doit faire mal en effet. » Je souris bêtement le visage face a mes genoux. Je vis une main apparaître dans mon chant de vision. Je la pris avec plaisir non pas que je voulais rester assis mais c'était que le sol devenait de plus en plus froid et mes pauvres petites fesses en faisaient les frais malheureusement. Le jeune homme me tira doucement hors du sol. Je me sentis tout de suite mieux une fois sur mes deux pieds. Je soupira. « Pardon, ce n'était pas voulu... » Je souris et secoua la tête négativement. Je parla enfin la tête toujours baisser. « Non non, ce n'est pas vous c'est de la faute, je ne regarde jamais là où je vais, faudrait que je m'y mette avant de blesser une autre personne que moi, là ça va c'est moi qui suis toucher mais pour combien de temps je me le demande bien ! oh excuse moi, je ne pense pas que ma vie interresse qui que ce soit ici ... » J'inspira longuement la prochaine fois je penserais à respirer pendant mes monologues. Inspire, expire. Inspire, expire. J'enlevais ma capuche, et me recoiffa, je leva alors la tête vers celui qui me parlait. Je ne l'avais jamais vus ici, mais il m'avait tous l'air d'un septième année. Je lui souris génée de la façon dont je le dévisageait.

Voilà une des raisons parmi laquelle j'aime sortir le soir et ainsi prendre des risques. Parce qu'en général, il est bien rare que je passe des soirée "ordinaires". Et se qui sort un peu de l'ordinaire me plais beaucoup. Au moins je ne m'ennuie pas. Par contre il est clair que je peux faire de charmantes rencontres comme de mauvaises. C'est le risque à prendre. Apparemment, ce soir encore j'allais peut-être faire la connaissance d'une nouvelle personne. Car, même si je voyais peu le visage de la jeune femme que je venais de ramasser, elle ne me disait rien. Il ne me semble pas l'avoir déjà aperçu. C'est peut-être une bonne chose d'un côté. Les personnes que je remarque rapidement sont généralement celles que j'inscris dans ma liste noire. Elle commence à prendre la parole, aussitôt sur ses pieds, et ne semble pas avoir la langue dans sa poche. Mais sur le moment, j'en souris. Ça reste une fille de toute façon, faut pas se leurrer. C'est toujours mieux que de se retrouver face à une momie sans langue. Cependant, je ressens bien dans son timbre de voix et dans sa manière de parler, qu'elle ne doit certainement pas appartenir à la maison de Salazard Serpentard.

La jeune femme retire enfin son capuchon, me permettant de jeter un meilleur regard sur cette voix. Malgré le peu de luminosité qu'il y a dans cette serre, il n'était pas difficile de deviner que cette fille semble mignonne comme tous. Machinalement, je l'a dévisage. L'a voyant quelque peu en panique voir intimidé, je tente de l'a détendre un peu.

« Bah... c'est juste une petite bousculade ! Personne n'en est mort, tu n'as rien de casser... no panique ! »

Apparemment, elle non plus ne semblait pas me connaître. Etonnant, pour une fois que je peux paraître inconnu aux yeux de quelqu'un. M'enfin, une fois qu'elle entendra mon nom tous devrait lui revenir. Un sourire naturellement charmeur aux lèvres, je poursuis.

« Je crois qu'aucun de nous deux s'attendait à tomber sur quelqu'un à cette heure et surtout ici... »

Je jette un rapide coup d'œil sur les environs. L'endroit est calme, tranquille, on pouvait juste y entendre le frottement de certaines plantes carnivores un peu plus loin mais sans danger. Posant à nouveau mon regard sur elle, je reprend tout en lui tendant ma main droite.

« Il ne me semble pas te connaître. Moi c'est Scorpius Malefoy... »

Après m'être recoiffé comme toute fille qui se respecte, je regarda génée le jeune homme en face de moi. Il n'y avait pas beaucoup de lumière ici vus l'endroit vraiment pas très fréquentée. Les serres, pourquoi être venue ici d'ailleurs ? Je ne savais pas pourquoi peut être l'envie d'être seule un moment, sans peur d'être vue mais apparement je n'étais point la seule à avoir eu cette idée. Je souris de plus belle quand il me répondis simplement que ce n'était rien mais juste une petite bousculade. Ce qui me mis sur place, c'est la façon dont il avait de me parler. Il me tutoyer et moi comme une sorte de fille de bonnes familles je vouvoyer tous le monde que je croisais même ceux que je connaissais, et c'était rare que je tutoie, pourtant vas peut être falloir que je le fasse un de ces quatre. Sa en devenait ridiculement idiot de ma part de vouvoyez tous le monde. Je croisa les bras et répondis simplement.

« Oui tu as peut être raison à prêt tout. »

Ou grande première je venais de tutoyer quelqu'un et qui plus est que je ne connaissais pas ! Je regarda un peu partout, personne n'étaient encore venus nous interpeller pour balade nocturne. Je soupira de soulagement, plus que deux ans et puis après c'est terminer. J'en avais presque mal à la tête rien qu'à l'idée de tous les cours qui m'attendaient les bras ouvert. Je reposa mon regard sur le jeune homme. Grand, blond, habillé normalement. Il n'était pas rouge et or, mais il avait tous d'un serpentard, et si cela se dit vrai, sa m'étonnerait fortement que cette entente cordiale pour le moment continue ainsi quand on se donnera le nom de nos maisons respective.

« C'est vrai, cet endroit est tellement peuplé de chose pas humaines que s'en ai presque rassurant. »

Pardon ? Elle avait un sens la phrase que je venais de dire ? Dans tous les cas elle était sortit et je craignais qu'on ne se moque de moi pour pouvoir dire de choses tellement inutile. Et puis il me tendit sa main, me sortant de mes propres pensées idiotes. Je la pris tout en souriant. Mais mon sourire se figea quand il me dit son prénom et nom de famille. Scorpius Malefoy. Je pinça mes lèvres. Peut être qu'il n'étais pas comme on me l'a dit.

« Scorpius Malefoy ? Tu es de Serpentard ?! Dans tous les cas enchanté moi c'est Ange Stanley. »

Je remonta sur son visage, guettant la moindre réaction mais je savais très bien que mon nom lui serais complètement inconnu vus que presque tous le monde crois que je viens d'arriver !

Quelque peu maladroite la demoiselle ? Peut-être, j'ai même mis un certain temps à comprendre qu'elle venait en faite de me vouvoyer. Il est clair que dans mon milieu ce n'est pas se qu'il se fait de plus rare, bien au contraire. Mais de la part d'une élève c'est bien nouveau oui. Me prenait-elle pour un des employés de ce château ? Je ne sais pas mais cela ne manque pas de me faire bien sourire. Une fois la discussion en route, le tutoiement est de nouveau au rendez-vous. Bien sûr que j'avais raison, bon peut-être pas tout à fait mais ça ne sert à rien de s'inquiéter là maintenant tout de suite. Un professeur ne va pas venir comme par hasard ici au beau milieu de la sert. Sûrement si la blondinette avait continué de chanter mais ce n'est plus le cas. Je ne cesse d'observer minutieusement la demoiselle devant moi, c'est une habitude chez moi d'examiner les gens qui me font face de cette manière. D'un simple coup d'œil je ne pouvais pas deviner à quelle maison elle appartenait, mais certainement pas à celle de Serpentard.

La jeune femme semble naviguer de maladresse en maladresse, mais cela m'amuse bien plus qu'autre chose. C'est plutôt rassurant de tomber sur quelqu'un qui fait rire en pleine nuit que quelqu'un de suicidaire ou détestable. Je finis donc par lui tendre ma main, tout en me présentant comme il se doit. A l'entente de mon nom, j'observe sa réaction. Effectivement, mon nom semble lui dire quelque chose. Pas étonnant. Rare sont ceux à qui il ne dit rien.

« Enchanté... Ange ! »

Non en effet, son nom ne me disait absolument rien. Ce n'est pas un drame, au contraire. Elle me demande si je fais bien partis de Serpentard. La réponse est évidente quand on sait que je suis un Malefoy.

« Oui je suis bien de Serpentard. »

Fort heureusement... je préfère ne pas le dire devant elle, sait-on jamais. Mon sourire pétille de fierté. Ben oui j'aime ma maison, mon blason et tous se qui va avec.

« Quand à toi... tu n'es pas dans la même maison que moi je présume ? »

Mon regard reste intensément noyé dans celui de la blondinette. Une de mes mains se tend en direction d'un amas de plante. Une s'enroule délicatement autour de mon bras à la façon d'un serpent. Mais je connais cette plante, elle est inoffensive. Enfin, tant que la personne l'a touchant reste calme et ne ressent aucun stresse.