♪ Fck you, fck you very very muuuuch ♪ { Johnny }

Invité

♪ F*ck you, f*ck you very very muuuuch ♪

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Vingt-trois heures, dimanche soir. Habituellement je devrais être en train de me prélasser dans mon appart'. Dans un bain chaud. Avec un bon bouquin. Sans oublier un verre de vin. Oui, un dimanche soir. Je le passai seule, comme d'habitude quoi. Quoi? Vous trouvez ça pathétique? Ben j'ai une bonne excuse : le lendemain matin j'avais cours. De toute façon mes plans étaient contrariés pour ce soir. J'avais plus de bouquin à lire et la bibliothèque était fermée. Évidemment j'aurais pu y aller quand même, mais j'avais trop la flemme de bouger mes fesses jusque là.
Résultat : je devais trouver quelqu'un à qui en emprunter un. Parce que je déteste relire un livre deux fois. Et je déteste aussi prendre un bain sans livre. Et je déteste ne pas prendre de bain le dimanche soir avant de replonger dans l'enfer des cours pendant la semaine. Vous voyez le cercle vicieux?
Je soupire. Sans me presser j'enfile un gilet noir et long par-dessus ma nuisette et ne prends pas la peine de m'attacher mes cheveux. Ils restent donc libres sur mes épaules, ondulant jusqu'au milieu du dos. Ben j'allais pas faire d'effort juste pour demander un bouquin non?
D'un pas traînant je me dirige vers ma voisine, Mia Livingston. Pas de réponse. OK, je vais aller voir ailleurs. Je réessaie à toutes les portes sauf une, avec le même résultat. Il me reste la dernière. Sauf que je n'ai aucune envie d'y toquer. Parce que je sais qu'il est là. Je l'ai entendu rentrer tout à l'heure. Vu comment il riait et parlait tout seul il devait être complètement bourré d'ailleurs. Pour changer.
Je me trouve donc au cœur d'un dilemme cornélien. Livre+bain? Ou pas de livre et adieu les délices de l'eau chaude? Non je ne suis pas bizarre du tout... Finalement je me décide. J'affronterais mon destin. Destin qui portait le nom de Johnny Walker. Résignée je me plante devant la porte et y cogne un "toc toc" sans enthousiasme.
Vous vous demandez sûrement pourquoi j'ai tant de mal à aller demander un livre à un collègue? Bon un petit flash-back s'impose.

Je marchai dans les couloirs en compagnie de quelques amies et amis. Le temps était pluvieux aujourd'hui, aussi nous avions décidé de rester à l'intérieur. Dave, l'un de mes plus proche camarade me demanda de l'accompagner un peu à l'écart. Surprise je le suivis tout de même sans aucune hésitation.
Enfin il s'arrêta, les joues un peu roses. Avec un gentil sourire je le pressai de me dire ce qu'il voulait me confier. Avec force de balbutiements il me fit ma première déclaration d'amour. Emue et heureuse je m'apprêtai à l'embrasser quand le démon surgit. Il était en septième année, et toutes les filles lui couraient après. Il nous surprit à quelques centimètres l'un de l'autre. D'abord étonné il éclata ensuite d'un grand rire. Ce qui mortifia Dave qui s'enfuit en marmonnant une vague excuse. Je le fixai d'un regard noir (enfin façon de parler puisque mes yeux sont d'un bleu intense xP). Pour toute réponse il me retourna un sourire moqueur. Furieuse je tournai les talons et m'évertuai tout le reste de l'année à l'éviter.C'est à partir de ce moment là que je me mis à le haïr.

Johnny est méchant. Je le pense sincèrement. Sinon pourquoi s'amuserait-il à me casser mes coups dès qu'il me voit? Parce que oui je l'avais revu quelques années plus tard. J'étais alors âgée de vingt ans. J'étais à Pré-au-lard aux Trois Balais et j'avais réussi à mettre le grappin sur un type adorable. Et au moment où j'allais proposer d'aller chez moi qui est l'abruti qui c'est pointé? Bingo! Johnny. Il a raconté à mon futur (enfin plus tant que ça du coup) comment je l'avais fait rire la fois où il m'avait surprise en train d'embrasser un garçon. Résultat, l'autre pauvre type affreusement gêné est aussitôt parti. Comme Dave l'avait fait avant lui.
Je déteste cet individu. Tout ce que je veux c'est qu'il pourrisse en enfer, se fasse découper en morceau, connaisse les pire tortures et endure les pires souffrances. C'était pas pour tout de suite apparemment.
Aussi décontracté que d'habitude il apparaît à la porte. Torse nu.
Bon si je dois lui reconnaître une qualité (et une seule!) c'est qu'il est vraiment beau. Dommage. Ça aurait été plus facile de le haïr si c'était un nabot aux dents pourries et aux yeux qui louchaient. Ce n'était pas le cas. Grand, bien fait et (très) visiblement musclé, il possédait aussi une gueule d'ange et des yeux foncés, presque noirs.
Il arbore à ce moment même un petit sourire surpris. Qui se mue très vite en ce foutu sourire en coin et moqueur. Dieu ce que je peux le détester! Il me détaille ouvertement. D'un geste agacé, je ressers mon gilet autour de moi et croise les bras. Parce qu'en plus de tout ses défauts, monsieur en possède deux majeurs : la boisson et la luxure. Moi-même ne suis pas une sainte, loin de là, mais lui, il bat des reccords.
Sans lui laisser le temps de faire une remarque grivoise je fais d'un ton aussi froid que possible :

- Bonsoir Johnny. Je viens juste te demander un bouquin.

Son sourire s'étire.

- Juste un livre. Et si tu pouvais te dépêcher, ça m'éviterai d'avoir à supporter ta présence plus longtemps, s'ilteplaîtmerci.

J'ai parlé le plus vite possible. Parce qu'il sait très bien qu'il a de l'influence sur moi. Et que je sais très bien qu'il n'hésitera pas d'en abuser.

Aujourd'hui, je suis allé faire la fête.
Et pour une fois, je n'ai donné rendez-vous à personne. Pour une fois, je suis allé seul. D'habitude, j'appelle toujours un ami, pour ne pas aller faire la fête seul. Mais cette fois-ci, il y avait une soirée mousse dans une discothèque pas loin de Poudlard, et je ne pouvais pas manquer cette occasion.
Je suis donc sorti, vêtu de mon t-shirt préféré et d'un jean classique, sinon je n'aurais pas eu le droit d'entrer en boîte... M'enfin, de toute manière, un petit sortilège et l'autre moldu m'aurait laissé entrer, c'est pas bien compliqué.
Dès que je suis entré, je n'ai vu qu'une chose.. De la mousse. Et sous cette mousse, il y avait des femmes portant des t-shirt blancs. J'aime tellement ça, les jolies filles qui portent des t-shirt blancs lors des soirées mousses, parce qu'au bout d'un moment, on voit au travers *___*
Ouais d'accord, je suis une saloperie de pervers, un gros dégueulasse qui dégoûte tout le monde, mais en ce moment il faut bien que je me lâche, pour oublier le fait que Jade est avec Sand depuis un bon moment déjà. Et ça fait de moi un homme célibataire. Je compte donc me faire toutes les femmes du monde, puisque je suis seul...
J'aime pas ça.
Je lui en veux au fond.
Mais si elle revient vers moi, alors là je ne dirais pas non, je ne peux pas me passer d'elle. En fait, je suis un pigeon. Je suis sûre qu'il y aurait bien une femme pour me dire que je suis un crétin, mais un crétin amoureux, j'ai le droit?
Enfin bref, j'étais donc en boîte pendant un petit moment, pour une fois la soirée avait commencé tôt. En même temps, cette boîte là ferme à une heure du matin, ils ont eu beaucoup de soucis, je ne sais plus trop pourquoi. Donc la soirée à commencé vers vingt heures, ce qui fait qu'au bout de deux heures et demi j'en avais déjà marre.
Finalement, pour une fois, aucune femme ne m'intéressait, je ne voulais pas passer la nuit avec l'une d'entre elles. J'ai passé une bonne partie de la soirée au bar.
Mais je n'ai pas bu.
Vous vous demanderez ce que je foutais au bar si je ne buvais pas, et bien je parlais avec mon ami le barman. Quand je n'étais pas au bar, je dansais avec des filles dans la mousse. Sans pour autant être intéressé, je m'amusais simplement.
M'enfin, je n'ai pas passé beaucoup de temps là bas, j'en ai eu marre assez vite, et j'ai décidé de rentrer dans mon appartement à Poudlard, puisque de toute manière je préfère être là-bas plutôt que seul chez moi.
Au château, il y a toujours des gentils élèves qui veulent bien passer du temps avec moi, au pire il y a Lindsay avec qui j'aime bien parler. D'accord, je ne suis pas sensé entretenir de relation avec mes élèves, mais ... C'est tellement plus agréable.
Ce qui m'ammène à maintenant, je suis en train de marcher dans les couloirs de Poudlard, en direction du quatrième étage où se trouve mon appartement. Une fois arrivé devant la porte, je mets ma main dans ma poche, puis éclate de rire. En retirant ma clé, j'ai rencontré un gros paquet de mousse, apparemment j'en ai rammené de ma soirée.
Je me dirige directement vers la salle de bains et prends une douche rapide. De toute façon, avec toute la mousse qu'il y avait, j'étais déjà bien propre!
J'ai donc pris une douche de deux-trois minutes, histoire de me raffraîchir un coup après cette longue marche pendant laquelle j'ai bien pu réfléchir. J'enfile donc un caleçon et un short beige, puis range mon appartement d'un coup de baguette.
La grosse pile de livres qui s'est accumulée au fil des semaines à côté de mon lit retrouve sa place dans mon armoire à livres, mes vêtements sales vont au panier de la petite salle de bains qu'il y a dans l'appartement, les vêtements propres du panier à linge propre retrouvent leur place dans mon armoire, mon lit se fait, et toutes mes affaires se ramassent. Tout est propre en quelques minutes.
Alors, j'entends quelqu'un frapper à ma porte, cette personne n'a pas l'air très enthousiaste...
Je me demande qui vient frapper à ma porte à vingt-trois heures...
Alors que j'ouvre la porte -vêtu uniquement de mon short- j'aperçois Ambre, ma meilleure amie \o/ Directrice des Gryffondor. Moi, j'ai été promu directeur des Serpentards, donc je lui suis supérieur héhé.
J'arbore un sourire surpris, je n'osais imaginer cette charmante dame venir frapper à ma porte.

- Bonsoir Johnny. Je viens juste te demander un bouquin.

Elle ne m'a même pas laissé parler, j'hallucine =O
Mais mon sourire s'étire alors, parce qu'elle vient me demander un service.
Ouais, Ambre Paolini vient me demander un service à moi, MOI, Johnny Walker. C'est à écrire dans les journaux, je vois déjà le gros titre : directrice des Gryffondors demande un service au directeur des Serpentards!
Avec Ambre, c'est une relation assez ambigüe qu'on à, elle est très charmante, je l'admets, mais on fait mine de se détester. Je crois que ce que je lui ai fait il y a bien longtemps lui est resté en travers de la gorge.
Ben quoi? Je lui ai juste ruiné deux coups dans sa vie...
Je ne pense pas que ça l'ait empêché d'avoir qui que ce soit si? Et puis, elle ne pourra pas m'en vouloir à vie, pour seulement deux fois!
J'aurais pû le faire à chaque fois, et puis les deux fois c'était un hasard; J'étais juste au mauvais endroit au mauvais moment (pour elle).

- Juste un livre. Et si tu pouvais te dépêcher, ça m'éviterai d'avoir à supporter ta présence plus longtemps, s'ilteplaîtmerci.

Elle a l'air pressée, ce qui me donne encore plus envie de sourire.
Je sais que je lui plais, elle me le fait toujours comprendre implicitement...
Au fond elle m'adore, mais elle ne veut pas que Gryffondor et Serpentard se fréquentent amicalement. Elle doit être folle de moi, et puis, elle ne m'en veut pas vraiment pour ce qui s'est passé il y a longtemps...
C'est juste pour faire genre en fait, j'en suis certain.
Discrètement, sans qu'elle ne puisse le voir, je lance un sortilège sur mon armoire à livres, la transformant instantanément en miroir. De cette manière, elle sera obligée d'attendre que je lui trouve un livre...

- Bonsoir aussi Ambre! Moi aussi, je suis râ-vi de te voir!

Ma voix est pleine d'ironie, comme d'habitude avec elle.
J'ouvre alors grand la porte et lui fais une révérence avant d'ajouter :

- Tu peux entrer le temps que je trouve un livre? Parce qu'il ne faut tout de même pas qu'un courant d'air me rende malade!

Je pose alors ma main droite sur mes abdos, qui sont super bien dessinés d'ailleurs, j'entretiens régulièrement mon corps et ça se voit.
Je suis sûr qu'Ambre le regarde aussi.
Je suis sûr qu'elle bave devant moi -enfin, elle se retient-
Je suis sûr que dans sa tête, elle pense beaucoup de choses positives à mon sujet.
Mais tout ça, elle ne veut pas l'admettre, elle a ... Peur?

- De toute manière tu préfères passer du temps en compagnie de ton Johnny préféré hein? Avoues le!

Je lui fais alors un clin d'oeil et un sourire énorme apparaît sur mon visage.
Ambre, c'est ma collègue préférée, j'adooooore l'embêter!
En même temps, les autres ne sont pas aussi amusants... Je ne les connais pas plus que ça.
Il y a juste Mia que j'aime bien.
Enfin pardon, Layla... Faut pas que j'oublie.
Alors que d'un geste j'invite Ambre à entrer, je lui adresse un sourire joueur.
Tant qu'à passer la soirée, autant la faire en compagnie d'Amber, je suis sûr que ça ne la dérangera pas de passer la soirée avec moi.

Invité

Toujours tout sourire, il me dit d'une voix ironique:

- Bonsoir aussi Ambre! Moi aussi, je suis râ-vi de te voir!

Bien sûr...Moi aussi je suis totalement ravie. En extase même. Ou pas. Va mourir Johnny Walker. Digne du bouffon qu'il est, il me fait une révérence. Au moment où il baisse la tête j'ai une furieuse envie de balancer mon genoux dans son visage. Mais je me retiens, ça ne se fait pas. Et puis j'ai besoin de lui pour avoir mon bouquin. Je regrette déjà ne pas être allé jusqu'à la bibliothèque. Dommage, mes cours de kick-boxing ne me serviraient pas cette fois. Enfin c'est ce que je me disais jusqu'à ce qu'il ajoute :

- Tu peux entrer le temps que je trouve un livre? Parce qu'il ne faut tout de même pas qu'un courant d'air me rende malade!

Et évidemment pour souligner sa remarque, Monsieur passe sa main sur ses abdos. Qui sont parfaitement dessinés. J'ai déjà dit à quels point j'adorai les hommes aux abdos parfaitement dessinés? *o*
Puis je secoue la t^te. Il s'agit de superbes muscles j'en conviens, mais ils appartiennent au Mal. Au démon. Au... Bref vous avez compris. En évitant de saliver, je passe devant Johnny en coup de vent. Enfin il referme la porte. Ohoh, pas bon ça. Comment je fais pour m'enfuir en cas de retraite stratégique? Mais je n'ai pas le temps de réfléchir plus avant à la question car mon directeur de serpentard préféré (T.T') me lance une de ses stupides phrases.

- De toute manière tu préfères passer du temps en compagnie de ton Johnny préféré hein? Avoues le!

Ouais. Soit il est complètement aveugle, soit complètement stupide, au choix. Je pencherai pour la deuxième solution, en toute objectivité. Tout ce que je désire, là tout de suite, c'est sortir au plus vite de cet enfer. Mais le bel homme en caleçon que j'ai devant moi ne semble pas presser. Il furette à droite à gauche sans chercher vraiment. C'est quand même pas compliqué de trouver un livre! Surtout que, à ma plus grande surprise, son appart est rangé. A croire qu'il ne fait aucun effort. Bien, si dans cinq minutes il n'a rien trouvé je m'en vais. Avant de perdre mon sang-froid et ~~de lui sauter dessus~~ de lui jeter un sort. ^^'
En ayant marre de rester debout, je me dirige vers son canapé et me cale confortablement dedans. Autant faire contre mauvaise fortune bon cœur. Je me félicite intérieurement. Je suis arrivée à garder mon calme. Il n'y a que mon pied, battant le sol, qui trahis mon agacement. Je fais un rapide tour d'horizon. C'est un appartement agréable, spacieux et ordonné. Heureusement que Johnny connait des sorts de rangements, sinon je ne donnerai pas cher de l'état des lieux.
Impatiente, je me tourne vers l'ancien vert, le croyant toujours près d'une étagère. Sauf qu'il est plus près. Juste derrière le canapé en fait, pour être plus précise. Et il ne s'est toujours pas rhabillé. Je déglutis péniblement. Puis j'aperçois le livre qu'il tient à la main. Merci mon Dieu! Vivement, je me mets sur mes pieds, contourne le canapé et me poste en face de Johnny. Avec un sourire, plus ou moins forcé, je le remercie.

- C'est gentil Johnny. Je te le rendrais dès que je l'aurais fini.

Là je tends la main pour le prendre. Mais avant que je puisse le saisir, il lève le bras pour le mettre hors de ma portée. Je suis bien tentée de sauter comme une gamine à qui on a piqué son goûter mais je sais très bien que cela ne servira à rien. Pour mon malheur il me dépasse d'une bonne tête.
Je le toise, espérant lui faire comprendre que je n'ai pas envie de jouer. Peine perdue... Bon j'ai compris. D'un pas gracieux je me redirige vers la porte et essaye de l'ouvrir...sans succès. J'aurais finalement dû écouter la petite alarme dans mon cerveau quand j'étais entrée. Évidemment je n'ai pas pris ma baguette, qui se trouve donc dans mon appart, juste à coté. Lentement, m'efforçant de respirer calmement je me tourne vers mon enfer personnel. " Tu ne vas pas le frapper, ni le transformer en quelque chose de mou et visqueux dès que tu en auras l'occasion. Tu ne vas pas le frapper, ni le transformer en quelque chose de mou et visqueux dès que tu en auras l'occasion...". Je me le répète en boucle comme un mantra. Je réussi presque à garder mon self-control. Jusqu'à ce que je vois le sourire goguenard qu'il arbore. A bout de nerfs je m'écrie :

- Ça suffit Johnny! Tu me laisse sortir maintenant ou...ou je...

Je ne dis rien de plus. Parce qu'il est près encore une fois. Trop près. Et moi je me retrouve coincée contre le battant incapable de faire un seul geste. Merde! Dans quoi me suis-je encore fourrée?

[H-J : fais pas attention à la suite c'est à cause de mon frangin T.T']

Le membre 'Ambre Paolini' a effectué l'action suivante : Lancer un sortilège

'Arrêt' :
♪ F*ck you, f*ck you very very muuuuch ♪ { Johnny } Souafl12

Résultat :
♪ F*ck you, f*ck you very very muuuuch ♪ { Johnny } But10