Sye Dayma, le retour d'un paradoxe...

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I. Renseignements Généraux

Nom : Dayma, tout simplement pour la bonne et unique raison que j'ai toujours préféré la sonorité de ce nom à la sonorité de celui de mon père, qui de toute façon ne peut rien me reprocher, il a fait pareil il y a bien longtemps déjà.

Prénom : Sye Elist Lyoid... Bah quoi, j'ai le droit d'avoir trois prénoms, roh...

Diminutif : 'List, tiré de mon second prénom.

Pseudonyme : Sylv', alors là, en fait... Bah c'est très compliqué...

Surnom : Doc'.

Sexe : Masculin, totalement, complètement, entièrement.

Age : Vingt-deux ans et toutes mes dents, à peu de choses prêtes, car je n'ai pas été mettre ma main dans ma bouche pour vérifier, je vous avouerais...

Orientation sexuelle : Bisexuelle, cherchez pas plus loin.

Emploi : Je suis médecin, alchimiste, doublé d'un forgeron d'objet magique divers et variés, pour faire simple, dites vous que je suis un Alchimiste qui touche à tout...

Citation :

« Je ne sais pas qui vous êtes, ce que vous êtes, ni même ce que vous me voulez... Mais putain, que ce que vous me faites chier... », la phrase que toute personne que je ne connais pas et qui m'emmerde se prendra en pleine face, à chaque fois, c'est radical.
« Simon... A TABLEEEEEEEEEEEEE. », la phrase que mon fils entend tout le temps... Tous les jours... Trois fois par jours... En moyenne.
Et quand j'oublie pas de faire à manger.
« La seule frontière que je ne franchirais pas, ce sera celle de la mort, j'peux te le jurer, huhu... », phrase s'adressant à toutes les personnes qui ont, un jour ou l'autre, voulu me tuer... Dieu ait leur âme.

Signes Particuliers : Je suis un métamorphomage très doué dans mon art, et les formes diverses et variés que j'adopte finisse toujours par en revenir à deux ou trois particulières, celles qui me sont les plus faciles d'emplois et d'accès, en somme, quant on cherche bien, il n'y en a réellement que deux, premièrement celle d'un loup gris d'une taille légèrement supérieur à la moyenne, environ cent-soixante centimètres, soit dix de plus que la moyenne haute, une queue de soixante centimètres, et une hauteur au garrot d'un mètre cinq, environ, d'une couleur argenté avec des teintes bleus de ci et de là, et des yeux gris d'un gris lumineux tout de même, c'est une forme que j'adopte souvent, pour la simple et bonne raison que pour garder Simon, j'ai pas encore trouvé mieux... J'sais pas, il adore... J'dois ressembler à un gros nounours sans doute... A force, j'pense réussir à lui faire comprendre leur langage... J'm'y suis pris tôt, et en faisant ça bien... J'suis certain qu'il peut réussir à comprendre le loup avant l'humain...
J'm'égare.
Quant à ma seconde forme, c'est celle d'un chat, banal, mais tout aussi argenté et bleu, d'une taille là, par contre, tout à fait dans la norme, rien de spécial...

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II – Physique

Visage : Le visage d'une personne est une constante important de sa personnalité, il est sensé de pouvoir décrire les grandes lignes du comportement de n'importe qui rien qu'en regardant son visage un instant, ou deux à la limite, je ne vous en tiendrais pas rigueur car il faut savoir reconnaître les gens moins doués que soi... Rhm, désolé, je blague, je blague, ne vous inquiétez donc pas... Bon, puisque l'on parle de mon visage, venons en donc au fait, et pour commencer, sachez donc que mon visage est un peu plus anguleux que la moyenne, pour faire plus clair, j'ai un menton qui globalement ressort assez, pas disproportionné ou autre, non, aucunement, juste qu'il ressort, un peu piquant, ou plutôt cassant en fait, comme un éclat de verre non taillé, et comme lui, mon nez fait de même, petit, mais cassant, mais on s'en fout, ça fait juste ressortir le fait que je suis pas quelqu'un que l'on se plait à fréquenter... Bon dieu, je comprends ma réputation d'un coup, c'est pour ça que tout le monde me fuit !
… Je déconne... Fuyez pas.

Cheveux : Mes cheveux que je portais long jusque à mes vingt-deux ans, mais alors très long, ont récemment subis une petite remise à zéro... Enfin, non, nous dirons plutôt qu'ils ont été énormément rafraichie, de sorte que maintenant, détachés, ils n'atteignent plus que le bas de mes omoplates, et attachés en queue de cheval, haute, ils ne touchent même plus le haut de celle-ci, enfin, ça, c'est parce qu'ils le veulent bien et ne retombent pas... Doivent être un peu trop raide.
Il faut aussi savoir que j'ai deux grandes mèches, une de chaque côté du visage, et quelques unes sur le devant, me tombant devant les yeux, je les repousse, ou les laisse à leur place, selon mon humeur, du moins tant qu'ils ne me gênent pas dans mon travail, car si c'est le cas, et bien c'est très simple, tout sur le côté, et c'est tout.
Oh, oui, il faut aussi prendre en compte que mes cheveux sont d'un bleu très clairs, virant parfois à l'argenté, mais ils restent bleu... Et oui, c'est tout à fait naturel, je ne me les suis pas teint au bleu de méthylène...

Yeux : Ah, mes yeux, bah mes yeux vous voyez, ils ont au fond pas énormément de choses à dire sur eux, pas réellement proéminent, plutôt discret, adoptant une forme rectangulaire, ou plutôt celle d'un parallélogramme, ils sont d'un bleu cyan tellement clair qu'on les croirait parfois déteint et gris, le gris étant une couleur qu'ils adoptent parfois selon le temps qu'il fait dehors, et surtout les jours de pluie, j'adore mes yeux pour la simple et bonne raison que comme mes cheveux, pendant longtemps ils on fait peur aux gens, aux moldus, vu la position de ma famille, nous vivions dans les deux mondes en même temps, et j'étais connus de l'entourage de la famille... Et combien avaient peur de moi à cause d mes cheveux et de mes yeux.
Rien que pour ça, je les adore, mais malgré tout, en cas de grand soleil, les lunettes de soleils me sont obligatoire, sous peine de me déclencher des migraines d'une intensité... Horrible.
Je porte d'ailleurs des lunettes tout court, premièrement, ça évite les projections de produits chimiques, deuxièmement... J'en ai parfois besoin, à cause de la fatigue.
Un foyer rectangulaire.

Carrure : Je suis un garçon qui malgré des airs très efféminé... Est un garçon, hé oui, je suis désolé de vous casser tout vos rêves comme cela, si brusquement, mais il fallait poser des bases saines à notre relation dés le début, nous ne pouvions continuer à nous fréquenter ainsi, cela ne se pouvait plus, j'en suis désolé..
Je ne suis donc pas d'une grandeur hors-norme, bien au contraire, je suis dans une moyenne toute personnel dressé après des années de boulot en tant que médecin, ça m'a permis de constater qu'il y en avait des plus grands, mais aussi des plus petits, et pour faire court, je fais un mètre soixante-quinze et huit millimètres... Et je vous interdis de toucher à ces millimètres, et de les oublier aussi... Il est des choses qu'il vaut mieux ne pas faire dans la vie, oublier mes millimètres en fait parti... Vous êtes prévenus.
Malgré tout cela, il faut bien vous mettre en tête que même si je ne suis pas gros, et en effet je ne pèse que cinquante-sept kilos nu et sec, soit cinquante-huit ou neuf une fois bien habillé, je suis quelqu'un qui a mis toute sa masse dans ses muscles, et si je vous fous une torgnole, votre tête va tourner jusque à plus soif, je vous le promet, c'est tout... Hé oui, car malgré tout ça je suis un fidèle pratiquant du sabre depuis que j'ai l'âge d'en tenir un en main, et ça remonte loin, diablement loin.

Habillement : Je suis quelqu'un de très stable dans mon habillements, enfin, du moins, depuis que j'ai finis de grandir, et que je suis bien installé, ça a pris quelque chose comme un ou deux ans... Voir quatre en fait, mais j'ai arrêté de porter des kimono, s'pas que j'aimais plus, mais j'ai finis par trouver plus pratique, plus efficace dans la vie de tout les jours, ce qui en soit n'est pas très difficile à trouver, parce qu'un kimono, vous avouerez que c'est pas ce qu'il y a de plus pratique à porter hein, enfin moi, je trouve, et donc c'est pour cela que j'ai finis par opter pour un ensemble composé d'un tee-shirt blanc, tout ce qu'il y a de plus normal, surmonté d'une chemise grise dont le col est ornée d'une cravate noir, car au fond j'aime ça, et puis faire les nœuds de cravate me détend, alors j'allais pas dire non... Vous comprenez.
Je porte un pantalon noir tout ce qu'il y a de plus confortable, et surtout pratique autant pour faire du sport que pour sortir en société, et ça c'est un plus agréable vous voyez, et une ceinture.
Sur le devant de ma ceinture l’on trouve une sacoche contenant des médicaments de toutes sortes et d'autres produits un peu moins... conventionnel, de quoi synthétiser en peu de temps pas mal de médicaments assez utile pour un médecin, bref une trousse à pharmacie complète.
A côté de cette sacoche, à droite, l’on trouve un poignard rituel finement ouvragé, avec quelques marques en or dessus…
Un poignard de cérémonie donc, mais une arme en même temps...
Sur la cuisse droite l’on note deux sangles fermé par des boucles argentées et qui maintiennent dans le dos de la cuisse un étui très discret qui me sert généralement à transporter d’une part des seringues et d’autre part deux ampoules de Morphine pour une utilisation… Plutôt illégale devant la loi.
Bah ouais, rien de mieux pour soigner quelqu’un contre la douleur quand on est paumé dehors sans rien à porté de main…
Il faut noter qu’il y a deux boucles placé sur le côté de la cuisse dans les sangles, boucles ou sont passé ma baguette en temps normal.
Au niveau du genoux droit, je portes une pochette sur le côté droit de la jambe, le scratch la retenant à ma jambe passe derrière et devant le genoux, et est fixé au dos de la pochette, autant dire qu'elle est bien fixée, elle contient du matériel de base pour un alchimiste en voyage, quelques matériaux, de quoi préparer quelques petites choses de bases, mais rien de vraiment plus que cela...
Tout ces habits et pochettes, rajouts, ont bénéficié de mon expérience dans la confection, et sont tous aussi étanches qu'il est possible de l'être.
Le tout est surmonté d'un trench-coat, cuir, noir, descendant autant qu'on lui demande pour être un trench, très confortable, ça tient chaud, et j'lui en demande guère plus... Il est rarement fermé.
Quant aux chaussures, rangers type gendarmerie, laçage commando, renforcé par des renforts métalliques dans certaines endroits, tel le bout du pied ou le talon, ça permet de ne pas avoir mal... Ou de défoncer, aussi.
L'on notera une croix de type templiére à divers endroit, dont l'épaule gauche du tee-shirt, de la chemise, et le cœur du trench.
Mes papiers d'identités sont dans ma poche de pantalon, droite, avant.

Arme : Un sabre, nommé Kyosai.
Il mesure précisément du bout de la lame, très finement recourbé et assez tranchante pour trancher un membre correctement, à l’extrémité de sa garde une longueur d’un mètre vingt-cinq et la lame mesure quant à elle dans sa plus grande largeur quatre centimètres et demi et commence à se rétrécir pour ne plus former qu’une pointe très fine au bout vers quatre-vingt centimètres de lame.
La lame est un ‘chef d’œuvre’ de forgeron, du moins pour moins, d’un bleu cyan étincelant et exposé au soleil elle pourrait aveugler quelqu’un, la garde quand à elle est d’une finesse assez joli et douce, vingt centimètres de garde entourés d’un fin tissu brodé d’argent et d’or…
Il me faut préciser que la lame et la garde sont ont été taillé dans les mêmes veines de minerais et fondus dans le même moule contrairement au processus de fabrication normal d’un sabre.
Le métal le plus utilisé dans mon alliage est de l’adamantine, l’on y retrouve des traces d’argent et de mythril, un assemblage de métaux précieux, rares, chers et extrêmement solide dans les proportions utilisés, une arme faite pour tuer en somme…
Le fourreau lui même est assez fin, par cela j'entends qu'il mesure un mètre cinq, a la forme de la lame comme on s'en doute, et dispose en haut d'un petit dispositif permettant de bloquer la lame dans le dit fourreau, cela consiste en un simple petit verrou, je ne vous dirais bien sûr pas comment il marche, sinon, elle est taillé dans les mêmes métaux que le sabre et entouré du même tissu que la garde, l'on peut lire dans les broderie du dit tissu mon nom en caractère calligraphique, un très beau travail, la sangle permet de le passer dans le dos, par ce que c'est pas à ma ceinture que je vais le porter hein...

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III – Caractère

Qualités : Alors, mes qualités, mes très nombreuses qualités, sont tout bonnement innombrable, hé oui, ça se voit pas trop, je sais, mais en fait, je regorge de qualité, réellement, plus que vous n'en verrez jamais chez quelqu'un, je sais, c'est assez terrifiant, s'imaginer quelqu'un autant pétri de bonne volonté...
Nan mais en fait, je déconne, rassurez-vous, j'ai des qualités, mais elles sont loin d'être majoritaire, pour commencer il faut savoir que je suis quelqu'un de très doux, par là je veux dire que tant que je n'ai pas de raison de vous enfoncer la tête de quarante centimètres dans le mur, je ne le ferais pas... Je crois.
Je suis aussi quelqu'un de gentil, en général, ne cherchant de crosse à personne, et menant sa petite vie de son côté, sans plus chercher autre chose qu'à vivre tranquille.
Il paraitrait que je suis trop bon avec les gens m'entourant, je ne pourrais en jurer, car je ne me suis jamais trouvé aussi bon que l'on me décrit, ce serait presque plutôt l'inverse.

Défauts : J'ai pour défaut énormément apprécier toute sorte de combat, dés que j'ai une chance de frapper, et une raison bien que je n'y réfléchisse pas toujours, je fonce dans le tas et je frappe, jusque à plus faim généralement... Ou jusque à ce que ma main ne ressemblent plus à rien, et j'les ai déjà eu souvent en sang, les mains, alors je vous jure que je sais ce que je dis...
Il m'arrive aussi d'être la personne la plus dure que vous connaissiez avec des personnes qui a première vue ne m'ont absolument rien fait, juste parce que je ne les ai pas sentis, pas vu venir, ne les aime tout bonnement pas...
Quant à remettre durement les gens en place, je n'hésite pas, je dirais même qu'une personne remis en place vaut souvient bien mieux qu'une personne perdue en elle même, parce que merde, le psychologue ça coute cher après.
En somme, je suis contradiction et nuance.
Ça change.

Aime : J'aime, j'aime, énormément de chose, voilà une petite liste non-exhaustive mais qui vous donnera une bonne idée de ce que je peux apprécier... Parce qu'il faut savoir apprécier les bonnes choses voyez-vous.
Toujours.
Pour commencer, les grasses matinées sont une des choses que j'adore le plus en ce bas monde, alors quand en plus j'ai droit à avoir quelqu'un contre moi, blotti dans mes bras, là, j'me sens plus, et j'peux pioncer jusque dix-huit heure... Malheureusement, ce genre d'activité à un peu périclité depuis que j'ai un gamin à surveiller constamment... Au revoir les grasses matinées... Enfin...
J'aime aussi rêver, de ces rêves que l'on ne fait qu'une seule fois, et qui pourtant vous marquent toute une vie durant, de ces images qui reviennent à vous dans les pires moments, et de par leur beauté, vous sortent de votre transe... Ce genre de rêve là.
J'aime aussi la douceur et la gentillesse, du moins, un peu, bon, voilà quoi, j'suis pas constamment à sa recherche, mais j'aime pouvoir la trouver dans le cœur de chacun en y cherchant bien, et même si cela doit être dur.
On s'y fait, c'est comme tout.
J'apprécie aussi énormément la lecture, que je sais pouvoir m'occuper d'un peu avant le lever du soleil à très tard le soir, à l'ombre d'un arbre, dans le parc, au bord d'un lac, tant que j'ai un livre, un arbre, je suis prêt à y passer ma journée entière... Enfin, avant, je faisais ça, maintenant, je bosse et j'ai un gosse à charge, ça aide pas.
Bien que le parc, c'est bon pour lui hein, s'juste que j'peux pas lire, j'dois le surveiller.
Et enfin, j'aime les endroits calmes, la nuit, surtout ce dit parc d'ailleurs, pour la simple et bonne raison que si je dois me libérer d'une envie violente, le meilleurs moyens reste d'aller se mettre seul dans un coin... Et de se taper la tête contre un arbre... Au pire.

Déteste : Quant à ce que je n'aime pas, il vous faut juste savoir que la liste en est tellement immense qu'il va me falloir limiter ce que je vous dirais sur le sujet sous peine d'y être encore dans deux semaines, ce que aucun de nous, et surtout moi, ne veut, car en plus d'être long, ce serait d'un chiant, mais d'un chiant... Je n'ose même pas vous dire à quel point ce serait chiant tellement c'est en dehors de toute limite humaine, c'est tout bonnement inimaginable, ça reviendrait p'tet à la fin du monde, peut être, on peut pas trop savoir personne n'a encore essayé ce qui n'est sans doute pas un mal à bien y réfléchir voyez-vous...
Enfin, tout ce que j'en dis, c'est que pour commencer, je ne supporte pas, je ne veux pas, je refuse, je HAIS l'hypocrisie sous toute ses formes, je ne la supporte pas, ma seule envie quand je vois un hypocrite, c'est de lui descendre la tête sur mon genoux, qui lui remonterait, histoire de lui péter la mâchoire et le nez, ça ne fait jamais de mal il paraît...
En tout cas, après ça, j'vous jure qu'il comprendrait sa douleur, et ça, c'est bien.
A côté de ça, je ne supporte pas le moindre rejet, l'espèce humaine a tendance à rejeter tout ce qui ne lui ressemble pas, tout ce qui sort de sa norme, norme sensé encadrer tout de a à z, et je suis contre ça, pourquoi rejeter ceux qui sont différent, où est l'intérêt sinon que l'on risque de créer des groupes de résistances contre ce genre de comportement... ?
Au final, ceux qui rejettent le payeront, un jour ou l'autre, je ne me fais pas de soucis, je sais que ça va arriver... Vite.
Très vite.
Oh, et sinon, ma plus grande peur reste tout de même de perdre la mémoire, oublier ce que j'ai aimé, ce qui a fait ma vie, ça, ça me fait flipper, pas que j'ai des gênes d'Alzheimer dans la famille, mais de nos jours vous savez, il arrive souvent qu'on se prenne un sortilège pas destiné... Et pouf... Clac... Oh... Qui je suis... ?
Je veux pas... Ça, je HAIS ça... Rien que de l'imaginer, ça me fait flipper.

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IV – Histoire

Mon histoire personnel commence avant même ma naissance, par la rencontre de mes parents, à ce que je m'en rappelle, et ce que m'en a raconté grand-mère, à la base c'était un peu un mariage arrangé entre les deux familles pour préserver la pureté de la famille, de la branche Dayma et Génésis...
Enfin, surtout Dayma car je suis le seul à avoir pris de mon plein gré, et en étant très influencé par ma grand-mère maternelle, le nom de maman, pour des raisons de perpétuation du nom voyez-vous...
Et aussi parce que son nom sonne bien mieux que celui de mon père, mais passons donc, ce n'est pas intéressant du tout...
Cette histoire commence donc il y a vingt- deux ans maintenant, ce qui commence à faire une jolie trotte quand on y pense, vingt-deux années de vie, et je suis toujours pas mort ni marqué par la vie autrement que par diverses cicatrices récoltés de ci et de là, et quelques brulures, tout aussi minuscule et n'étant du qu'a mes expériences personnelles...
Comme quoi...
Bref, il y a vingt-deux ans et neuf mois, enfin... Neuf mois et quelques poussières, au bord d'un lac, mes parents s'en donnèrent à cœur joie au bord d'un lac, paraît que l'ambiance fut festive... Mais on s'en fout totalement, cette histoire ne nous intéresse de toute manière pas...
Quelques mois plus tard venait au monde le petit Sye Elist Lyoid, j'me demande ce qu'il leur a prit quand ils ont du choisir mon nom, mais passons...
Enfin...
Mes premières années de vie n'ont qu'un intérêt somme tout inexistant, en effet, que ce que l'on peut bien en avoir à foutre du fait que je marchais à un an, ou ait prononcé mes premiers mots à dix-huit mois, je vous le demande, que ce qu'on en a à battre... ?
RIEN, on s'en fout, et je m'en fous aussi, mais à un point, vous n'imaginez même pas quoi, sachez toutefois que je n'ai jamais mis les pieds dans une école, JAMAIS, je sors d'une famille plus qu'aisé, et j'ai suivis des cours à la maisons par mes parents ou un précepteur jusque à avoir l'âge de rentrer à Poudlard, soit dix ans.
Jusque là, j'ai eu droit à des cours d'alchimie, énormément de cours d'alchimie même, et autant de cours sur les objets magique, du quotidien aux très rares, leurs utilités, et comment forger ce genre de chose...
Vous savez quoi... ?
Bah forger un objet, c'est pas simple, c'est énormément de travail, énormément, et pas que faire fondre du métal comme le terme forge pourrait le laisser pensée, non, c'est un terme générique qui encadre tout objet magique, que ce soit une veste en cuir à une épée longue...
Et vous vous voyez faire fondre du métal pour une veste en cuir vous... ?
Si vous répondez oui à cette question, allez de suite vous faire interner à Sainte-Mangouste, vous risquez d'en avoir besoin...
J'étais doué en alchimie et tout, et avant même d'être entré à Poudlard, j'avais déjà des bases plus que solide de troisième année...
Ça donne un coup de pouce pour vos partiels, je vous le dis moi.
J'ai aussi eu des cours de médecine, pratique plus que théorique, et cela a continué durant tout le long de ma scolarité, je rentrais chez moi, je reprenais des cours autre que ceux de l'école, alors forcément, j'ai pas tellement eu de temps pour jouer durant mon enfance, mais vous comprenez, il faut bien forger la génération qui héritera, et puis... Comment créer la pierre philosophale si l'on a pas des bases de tout cela, je vous le demande... ?
Il faut maîtriser le corps humain, l'alchimie, la forge, TOUT est nécessaire pour cette pierre... Que je n'ai toujours pas réussi à synthétiser...
Je sais que ma grand mère doit savoir comment faire... Elle fait trop jeune pour son âge, ça cache quelque chose, j'en suis sûr...
CERTAIN.
Rah, je n'aime pas ça.
Bref, je suis entré à Poudlard, comme on pouvait s'y attendre, et j'ai été accepté dans la maison de Serdaigle, comme toute la famille jusque là, ça fait partis des traditions, faut pas chercher plus loin, je vous le dis...
Serdaigle... J'y ai passé toute ma scolarité... Je n'étais pas un élève des plus studieux, des plus calme, mais mes notes étaient dans les meilleurs de ma promotion, ce qui a toujours empêché les professeurs de sévir contre moi, ça ou le fait que ma famille fasse partis des donateurs, je n'en sais rien...
Ça a du aider un peu.
A part à pour avoir de bonne note, ça, c'est mon du propre et entier, faut pas délirer, merde alors.
Je suis sortis de Poudlard avec autant de connaissance qu'il en est besoin, j'ai dans mes amis un certain Sand, et divers autres professeurs et élèves, et un diplôme qui ne m'aiderait absolument pas dans la vie active, l'année suivante j'étais installé à Pré-au-lard, dans ma boutique, et je commençais à avoir une production des plus hétéroclite, de la potion de sceau à la dague empoisonnée... J'aime l'efficacité vous comprenez, et je me suis toujours dit qu'il fallait mieux utiliser une arme qui ne laisse que cent pour cent de mort derrière elle, ça évite les plaintes vous voyez.
Quelques années ont passées, durant lesquels j'ai adopté Simon, mon fils, et pour qui j'ai du un peu changé mes habitudes, mais bon, ça fait partis du jeu de la vie.
J'ai aussi joué à divers petit jeu, dont nous ne parlerons pas ici.
Et aujourd'hui, vingt-deux ans...
Et tout va pour le mieux.
Je crois.

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V – Famille

- Mère : Dÿn Dayma, ancienne forgeron d'objet magique, quarante-huit ans et mère au foyer actuellement.

- Père : Ern Génésis, médecin toute spécialité confondu, plus alchimiste qu'autre chose, quarante-cinq ans environ.

- Frère(s)/Soeur(s) : Deux cadets, faux-jumeaux, nommés Ern et Jil, un garçon et une fille, je vous laisse deviner qui est qui.

- Fils : Simon Dayma, fils naturel, d'une mère ayant pris la tangente un peu vite.

Je suis la première =) Re-bienvenue n'ange.

Invité

Merci, merci.
Tu vois, tu trouvais l'aut' fiche moyenne, bah v'la, la revisite xD.

Papa *___________*
( avec Elynn ça le fait moins quand même xD )

Ah comme je suis CONTENTE de te revoir ici =D !!!
Ce me fait super super plaisir !
J'vais garder SImon finalement =)

Re-bienvenue =D
J'aime beaucoup ta fiche ! enfin ce que j'en ai lu ^^ je finirais plus tard le physique et le caractère =)

Désolée n'ange mais j'ai pas lu, se serait mauvais pour mon moral xD
J'ai du mal a rp alors si j'lis sa je vais encore moins y arriver =X
J'lirais en rentrant du week end, promis.