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 O'brian Gabriel

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O'brian Gabriel Vide
MessageSujet: O'brian Gabriel   O'brian Gabriel EmptyMar 25 Mar - 1:07

Votre perso




    Prénom : Gabriel

    Nom : O'Brian

    Age (Nous somme en 2017) : Inconnu

    Sexe : Vien voir que je te montre ^^

    Côté coeur : Sélène Ruiz

    Mode de vie : Aisé

    Histoire (Minimum 8 lignes) :
    Le soleil se lève sur la magnifique cité de Sparte. La couleur orangée d'un astre un peu timide se reflète sur les murs des maisons, entrant dans celles-ci pour tirer de leurs lits les filles et fils de la grande cité. Voilà pour ce qui est du décor. Inutile d'en rajouter des masses. L'important n'est pas là. Ainsi donc, dans la magnifique demeure royale qui surplombait la cité grecque, un grand événement avait eu lieu. Dans la nuit. Au bout d'un corridor, des cris se faisaient entendre. Des pleurs, des cris d'enfant. Dans le chambre royale, se tenaient le roi, debout, ainsi que deux femmes médecins. Et, couchée dans le lit, la femme du seigneur hellène. Son visage était blanc. Très blanc. Trop blanc... Ses yeux étaient fermés. Immobile... Elle restait immobile sur le lit. La reine était morte...
    Le roi tenait son héritier dans ses bras. Un garçon... Un prince de Sparte. Le futur roi de Sparte. Le roi était fier de son enfant. Pour lui, la funeste fin de son aimée ne pouvait vouloir dire qu'une seule chose. Arès. Le Dieu de la guerre, et dieu protecteur de Sparte, avait donné à son fils trop de force. Et celui-ci serait le plus fort spartiate de tous les temps. Le roi était réellement fier de son enfant. Il commencerait son entraînement dès lors que ses jambes seraient suffisamment fortes pour le porter.

    Et ce fut le cas. Pour l'anniversaire de ses trois ans, le jeune héritier eut en cadeau un glaive d'or, véritable oeuvre d'art, couvert de magnifiques motifs, parfaite réalisation du meilleur forgeron de la cité, certainement le meilleur forgeron de toute la Grèce.
    Et dix-sept ans après le magnifique cadeau fait par son père, le Prince allait enfin pouvoir s'en servir sur les ennemis du roi, ses ennemis... Les guerriers d'Athènes. Le Prince de Sparte se tenait à cheval sur une petite colline surplombant une plaine. Derrière lui, vingt mille spartiates, armés et prêts à combattre. Devant lui, quarante mille athéniens. Le Prince sortit sa magnifique épée et se tourna vers ses hommes.

    - Aujourd'hui est un grand jour ! Ces chiens amateurs de petits garçons n'ont aucune chance face à la force et l'honneur de Sparte ! Il suffira à chacun d'entre nous d'oter la vie de deux athéniens pour que cette bataille constitue un succès pour nous ! Bientôt, nous nous régalerons de leurs femmes. Celles-ci doivent nous attendre avec impatience. Vous êtes la gloire de Sparte !

    Puis, le guerrier tourna le dos à ses hommes, observant la plaine. Ou plutôt l'horizon, car de l'autre côté, le prince d'Athènes tentait de motiver ses troupes.

    - Ce soir, ils dormiront en enfer !

    Le cri du prince alla faire trembler les tympans des guerriers ennemis, qui virent quelques secondes plus tard les spartiates se diriger vers eux. Les bruits de pas animaient la plaine, morne scène de bataille. Cependant, les fils d'AThènes ne semblaient pas bouger. Visiblement, leur prince n'avait encore achevé son discours. Décidément... Quand allait-il arrêter de parler celui-là ? C'est alors que l'armée sous la protection de la déesse Athèna se lança à la charge. Quel ridicule ! Certainement pensaient-ils les écraser par le nombre... L'homme est bien vaniteux, et les athéniens ne faisaient visiblement pas exception à la règle.

    - Formez les phalanges !

    Ce jeune prince sans expérience n'entendait vraiment rien au complexe et néanmoins sublime art de la guerre. Aucune stratégie. On aurait dit une troupe d'enfants courant tous vers l'attraction de l'année. Pitoyable... Les troupes spartiates quant à elles avaient formé les phalanges, Immobiles, elles attendaient que leurs opposants viennent littéralement s'écraser contre leurs lances. Attendre... Toujours attendre... Ne rien faire dans la précipitation... Une règle d'or que tout spartiate apprend lors de son entraînement. Une règle primordiale dont dépend la survie des guerriers...
    L'ennemi accourait à une mort certaine. Pendant un moment, chaque spartiate respectait un rituel. Chacun se calmait et écoutait son coeur battre dans sa poitrine, se concentrant. Le vent se faufilait entre les boucliers et les casques spartiates... C'était cela la merveilleuse sensation des combats. Le calme avant la tempête... Soudain, la quiétude fut brisée. Le choc fut rude. Les bruits des métaux s'entrechoquant et les cris de douleur ne faisaient que rajouter au chaos nouvellement installé. Les athéniens venait de se heurter à un roc bien plus solide qu'eux... Une dune contre une montagne. Les murs de lance avaient sévèrement entamé les lignées adversaires. Ces dernières commencèrent pourtant à avancer. Bientôt, ils seraient en mesure de pousser les boucliers et de percer ainsi les phalanges...

    - Poussez !

    Exécutant cet ordre, les spartiates se mirent à avancer, repoussant les ennemis de leurs boucliers afin de les déséquilibrer. Cela fait, les guerriers au deuxième rang distribuèrent des coups de lance, avant de se replacer derrière leurs propres boucliers. Puis il recommencèrent, encore et encore et encore... Les pertes chez l'ennemi étaient tellement importantes que ces derniers battirent en retraite.

    - Hors de question de laisser leur prince s'enfuir !

    Le prince de Sparte se trouvait alors à une centaine de mètres de son royal ennemi. Il lança alors son épée, qui alla se figer dans la nuque de son rival. Il venait de tuer un des princes d'Athènes... Une fois la bataille finie, le prince s'avança afin de récupérer son épée. Il envoya l'un des prisonniers ramener la tête de son fils au roi d'Athènes. Cette victoire ne fut que la première d'une longue série face aux autres cités grecques. Bientôt, le spartiate fut surnommé « le fils d'Arès ».
    Un jour, le roi d'Athènes se rendit à Sparte, accompagné de sa fille, dans le but de négocier une trêve entre les deux cités. Le Prince de Sparte vint aux négociations en armure. On ne voyait que ses yeux. Se rendre en armure à des négociations pacifistes par essence ne pouvait signifier qu'une seule et unique chose : le Prince voulait provoquer le roi ennemi. Une provocation sans précédent dans l'histoire grecque. Durant tout le temps des négociations, le prince fixa la fille du roi. Sa beauté l'avait figé. Heureusement que l'on ne distinguait pas son visage. Sinon, la jeune femme aurait été vraiment très gênée.

    |Roi d'Athènes| J'ai une dernière requête... Plus personnelle.

    |Roi de Sparte| Dis toujours. Mais je ne te garantis rien.

    |Roi d'Athènes| J'aimerai voir le visage de l'assassin de mon fils aimé.

    |Le Prince| Voir mon visage ne vous ramènera pas votre fils.

    |Roi d'Athènes| Je veux voir le visage de l'homme qui hante mes nuits depuis des mois...

    |Le prince| Votre fils n'aurait jamais du me défier. Mais je vous confirme que sa mort fut rapide et indolore.

    |Roi d'Athènes| Il était si jeune...

    |Le Prince| A chacun son destin.

    Cette discussion s'arrêta là, et le roi demanda à prendre congé. Il repartit, sans avoir vu le visage du prince. Ce dernier alla voir son père, lui expliquant ses sentiments envers la princesse d'Athènes. Cela fâcha le roi spartiate, qui la jugea indigne d'être sa femme... Il ordonna à son fils de l'oublier.
    Impossible... Elle était si belle ! Elle dégageait une aura irrésistible. Comment un homme aurait-il pu y résister ? Le Prince, obnubilé par la belle princesse, quitta Sparte dans la nuit, direction la cité d'Athéna. Il s'y fit passer pour le fils d'un simple forgeron pour s'engager dans l'armée royale. Très vite, il devint officier.
    A Sparte, le roi ne se doutait de rien. Il pensait à un enlèvement mais n'avait aucune preuve de sa thèse. Il aurait pu avoir des indices, mais les temps de paix ne permettaient pas aux jeunes soldats de faire des prouesses... Sinon, le roi aurait compris. Un voyage un jour conduisit le Roi spartiate dans la cité d'Athènes. Le prince se trouvait alors parmi la garde royale. S'il fut reconnu par son père, ce fut grâce, ou à cause, de son glaive... Un si beau glaive... Impossible ! Le roi se leva et ôta le casque du garde. Sa surprise fut totale lorsque son regard se posa sur nul autre que son fils. Il ne dit rien et quitta sans explications aucune le palais d'Athènes. Quelques semaines plus tard, toute l'armée spartiate se tenait aux portes de la cité ennemie. Le roi assiégé envoya un émissaire. Le message retournant fut le suivant : « Donnez au roi de Sparte la main de votre fille. Sinon, la ville sera détruite. »

    Sous la contrainte, le roi plia... Sans comprendre vraiment l'enjeu de cet acte... La princesse fut donc offerte au roi de Sparte. Le prince était alors sur les murailles lorsque du haut de sa tour, il vit la princesse. Il accourut au bas de l'édifice et quitta l'enceinte de la ville en hurlant, épée à la main. Il chargea seul l'armée spartiate, et plus précisément son père. Une flèche se ficha dans le dos du prince. Elle avait été tirée par deux athéniens, craignant la colère de Sparte.

    Le Prince déchu resta de longues semaines au cachot, et il y serait resté encore plus longtemps si un marchand d'esclaves n'avait pas versé des pots de vin afin d'obtenir de nouveaux prisonniers... Et les faire combattre dans l'arène. Ah ! L'arène ! Les combats de gladiateur... Un nouveau divertissement qui voit son apogée sous l'empire romain. Le marchand d'esclaves pris donc la direction de l'Italie. A chaque arrêt que faisaient les caravanes, notre pauvre prince déchu pensait au visage de la femme de ses rêves... Au visage de son père lorsqu'il l'avait reconnu... Tant de haine dans ce regard... Comment avait-il pu lui enlever la femme qu'il aimait ? Il aurait bientôt eu un grade assez élevé pour la demander en mariage.

    |...| Bonjour mon ami. Faut pas dormir. Sinon eux te donner à manger aux lions. Eux croire que toi mort.

    Le Prince ouvrit les yeux. Face à lui, un homme peut être un peu plus âgé que lui, dont la peau avait une teinte noire.

    |...| Je m'appelle Bougmadou. Mon village se trouve au bord de la mer.

    |Le Prince| Appelle-moi le spartiate.

    Plusieurs mois s'écoulèrent avant que le marchand n'arrive dans un petit village romain. Le chef du village y organisait une fête en l'honneur du mariage de sa fille. Le clou du spectacle devait être un combat de gladiateurs. Un combat au cours duquel le spartiate devrait combattre un homme qui se faisait appeler « l'Ours ». La fête battait son plein. À l'écart, dans une cage, le spartiate attendait, équipé d'une épée courte et d'une armure légère de cuir. Le bruit des gens s'amusant, les cris de joie... Des flash apparaissaient au prince. Sa bien-aimée... Il avait l'impression qu'elle l'appelait... Il entendait sa voix qui résonnait dans son esprit. C'est alors que la cage s'ouvrit... Le prince se leva et s'avança au centre de la petite arène. En face de lui, un homme ou plutôt une montagne portant une lance et un filet. La foule était attroupée autour de l'arène, assoiffée de sang, décidément les romains n'étaient rien d'autres que des sauvages. Les Grecs, eux, faisaient la guerre non pas pour le plaisir mais pour la nécessité.

    Le Spartiate se trouvait maintenant devant l'immense bête. La foule en folie scandait le nom du nouvel ennemi du spartiate. Il avait d'ailleurs l'air célèbre cet ours dans cette province. La bête s'élança vers le prince en hurlant. Il lança son filet. D'un rapide mouvement de la main, le nouveau gladiateur trancha les mailles du filet avant que celui-ci ne l'ait pris au piège. Sans plus attendre, l'assaillant assena un violent coup de lance au niveau du ventre du prince. Ce dernier esquiva l'attaque et planta son glaive entre le cou et l'épaule de son ennemi. Il tomba lourdement à terre. Mort. La foule s'était tue. Le combat avait été rapide. Trop rapide... L'Ours n'avait sûrement pas eu le temps de comprendre , à l'instar de la silencieuse foule. Le spartiate jeta son épée à terre et se dirigea vers les coulisses de l'arène. Une première victoire. D'un côté, s'il n'avait pas été victorieux, il aurait sûrement perdu la vie. Suite à cette impressionnante victoire, le marchand vendit son prisonnier moyennant une somme assez importante à un entraîneur de gladiateurs si l'on peut dire ainsi. Le but de cet homme ? Faire combattre le Spartiate au sein du Colisée même pour l'anniversaire de l'Empereur. Un grand honneur... Mais surtout un immense carnage. C'était à Rome que se rendaient les meilleurs gladiateurs de tout le monde connu.
    Les combats étaient évidemment rudes. Mais le Spartiate vainquait toujours rapidement et de façon spectaculaire. Et ce fut son nom que hurlait la foule. La notoriété du Spartiate ne faisait aucun doute. Il survécut jusqu'à grand combat, au combat final... Les deux meilleurs gladiateurs allaient se battre devant l'Empereur. Le vainqueur gagnerait sa liberté. Le visage de la femme qu'il aimait le hantait. Le guerrier en face était un redoutable gladiateur, un guerrier de vocation. Non pas un esclave. Le combat fut rude. Jamais le spartiate n'avait vu un guerrier aussi doué, mais pas suffisamment pour le spartiate. Celui-ci parvint à désarmer et à mettre à terre son ennemi. Le Spartiate leva la tête vers l'Empereur, attendant sa décision concernant la vie ou la mort du vaincu. Celui-ci profita de l'inattention de son adversaire pour lui assener un coup du couteau qu'il avait gardé caché dans son dos. Le Spartiate avait été touché et perdait du sang... Il fut désorienté un temps, ce qui permit au combattant de retrouver son épée. Le Spartiate ne tarda pas à reprendre ses esprits... Mais le traître lui lança du sable au visage dans le but de l'aveugler et de lui planter une épée dans le ventre. Lâche n'est-ce pas ? Le prince bascula en arrière avant de s'évanouir, chutant lourdement sur le sol.


Dernière édition par Gabriel O'Brian le Mar 25 Mar - 1:21, édité 1 fois
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O'brian Gabriel Vide
MessageSujet: Re: O'brian Gabriel   O'brian Gabriel EmptyMar 25 Mar - 1:07

    Le spartiate ouvrit lentement ses paupières. Une personne était encore penchée sur lui. Que faisait-il ?

    |...| Ne crains rien. Tu es hors de danger.

    Le spartiate se redressa. Il se sentait étrangement vide. Et puis toutes ces voix dans sa tête... La lumière des bougies agressait ses yeux. Des bruits bizarres parvenaient à ses oreilles, éloignés mais tellement proches...

    |Le Prince| Qui êtes-vous ? Que m'avez-vous fait ?

    |...| Je t'ai sauvé. Tu es comme moi maintenant.

    L'inconnu avait de longues canines, ainsi que du sang sur le visage. Sa peau était blanche et ses yeux étrangement clairs... Un monstre !

    |Le Prince| Non ! Que m'as-tu fait, monstre ?!

    Le spartiate se saisit de son épée et trancha net la tête du vampire. Celui-ci partit en fumée... Le prince voulut s'enfuir et quitter les dessous de l'arène mais la lumière du soleil l'aveugla et brûla sa chair... Effrayé, il resta caché du soleil jusqu'à la tombée de la nuit. Pendant de nombreuses semaines, il erra dans la cité, mordant et s'abreuvant de clochards. Mais il lui fallut six mois pour accepter ce qu'il était devenu... Un sur-homme, voilà ce qu'il était à présent. Et il était bien décidé à reprendre sa destinée en main. Ce fut caché au fond de la cale d'un navire de marchandise qu'il retourna en Grèce... Sparte... Une fois arrivé là-bas, le jeune vampire se faufila dans le château de son père... Le tuer et récupérer celle qu'il aimait... Voilà tout ce qu'il désirait. Tel une ombre, il se glissa dans la chambre royale. Le roi dormait. Le prince se mit sur lit pour l'empêcher de bouger lorsqu'il l'aurait réveillé... Ce qui ne tarda pas par ailleurs.

    |Le Prince| Où est-elle ?

    |Le roi| Qui es-tu ? Que veux-tu ?

    |Le prince| Tu as déjà oublié le visage de ton fils ? OU EST-ELLE ?

    Deux gardes pénètrèrent dans la pièce, alertés par le bruit inhabituel. Sans attendre, le vampire fondit sur eux. En quelques secondes seulement, deux têtes roulèrent sur le sol de marbre. Le roi se leva et observa son fils, debout près des deux cadavres.

    |Le roi| Mon fils es devenu un monstre...

    La créature se jeta sur son père, le plaquant violemment sur le sol.

    |Le Prince| Où est-elle ?

    |Le roi| Elle est morte.

    |Le prince| Nooooooooooooooooon !

    Cette nouvelle perça le coeur du jeune vampire. Blessé au plus profond de son être, il arracha la tête de son père d'un vif mouvement. Sous l'emprise de la colère, le prince se dirigea vers Athènes afin d'y assassiner toute la famille royale... Vengeance... Puis il disparut... Pendant longtemps, il ne donna plus de signe de vie. Probablement se cachait-il des humains qui lui avaient tout pris... Son humanité... Son Amour... Sa raison d'être.

    Près d'un siècle plus tard, bien avant que Poudlard n'ait été crée, le vampire apprit qu'il était un magicien. Il s'exerça seul, durant de longues années, piochant à droite et à gauche des informations plus ou moins précises. Jusqu'au jour où un magicien accepta de lui apprendre la magie, en dépit de l'opposition de ses collègues... Un vampire... Pourquoi donc apprendre la magie à un vampire ?
    Malgré son apprentissage, il décida de participer à toutes les guerres, étant donné qu'il n'avait de sa vie de mortel connu que cela. Son camp dîtes-vous ? Et puis il rejoignait le camp qu'il estimait le plus juste, le plus légitime... Et quand il ne faisait pas la guerre, il s'essayait à l'alchimie, matière pour laquelle il était d'ailleurs assez doué.

    Il se consacra à l'alchimie durant de très nombreuses années, jusqu'a decouvrir une potion qui permet au vampire de ne plus craindre les effets du soleil, et même de retrouver des couleurs "vivantes"... Durant de nombreux siecles, il erra sans but veritable jusqu'à rencontrer, par une magnifique nuit, dans une foret aux abords de madrid, une jeune femme magnifique... [Suite voir fiche Sélène Ruiz]

    Nationalité & Origine : Grec

    Ancien maison à Poudlard ? N'y a jamais était

    Signe particulier : Vampire xD

    Personnalité sur votre avatar : Brad Pitt




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O'brian Gabriel

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