Toutes les comptes commencent par une suite mots important, le groupe verbale annonciateur d’aventure : « Il était une fois », une jolie princesse dans un château, un grand sorcier dans sa tour, une affreuse belle-mère dans sa demeure ou une petite bestiole dans sa foret. Kary n’est pas une princesse, elle n’en a pas l’allure et surtout pas l’envie, ce n’est un grand sorcier mais une petite sorcière en apprentissage, elle n’est pas affreuse, et sûrement pas un petit animal caché dans une foret enchantée avec tous plein de grotesques amis animaux. Sa vie n’est pas un compte bien qu’elle ai été rythmé par toute sorte de jolies aventures, ce n’est pas non plus une palpitante aventure mais c’est mon histoire et je l’a commence comme je le souhaite.

Alors, il était une fois…

Une petite boutique à la devanture accueillante, fourmillant de monde et ne se souciant que peu en apparences des passant dans la grande rue. La voie tonitruante d’un homme retenti dans ses murs, réclamant de la nouveauté, de l’originalité, des article bon sang !! En effet ils sont à sec, ou plutôt, non il ne sont pas à sec mais une de leurs talentueuses journalistes n’a pas montrer son nez depuis cinq mois cinq longs mois, ou elle semble filer le parfaite amour, vingt semaines ou son gros ventre emplis d’un sublime cadeau l’empêche de sortir de chez elle. Rita Skeetter est enceinte jusqu’aux oreilles et est dans l’impossibilité de travailler, pendant quelques temps encore, elle ne donne pas beaucoup de nouvelle, juste quelques lettre pour le directeur de la gazette par hiboux mais pas plus, comme on dit, elle prend des vacances mérités.

Soudain, comme venue de nulle part, mais en réalité venant d’un ciel nuageux. Le hibou noir de la famille Sketter atterrit avec légèreté sur le rebord de la fenêtre ou il avait prit depuis quelques mois l’habitude de se poser. Le directeur de la gazette du sorcier, apercevant l’oiseau sombre derrière le verre plein de buée de son fenestron s’empressa de lui ouvrir, bien habitué par cette bestiole au caractère doux et gourmand. Analina, car c’est comme cela qu’elle se nommait, posa avec délicatesse – je tien à dire que la délicatesse est rare chez les hiboux – sur l’imposant bureau de bois et desserra les griffes laissant le petit bout de papier porteur d’un heureux message aux mains du patron de la gazette du journal.
- Un garçon ! Et une fille !! Deux !!! Skeetter a des jumeaux !
Une fois de plus, la voie grave et profonde du directeur de la gazette retentie dans le petit bâtiment, mais cette fois-ci elle ne fut ni tonitruante, ni colérique, mais satisfaite. D’ailleurs les employés aussi soupirent de satisfaction, ils sont heureux ? ou bien simplement rassuré que la journaliste à scandale revienne reprenant le rôle qu’elle avait momentanément perdue, le poste de première à engueuler si quelque chose foire.

Des jumeaux… Dame Skeetter avait donc donné vie à deux sublimes bébés. Deux anges deux poussins, deux amours, deux enfants à chérires, deux âmes, deux cœurs…
Ses bébés comme elle les surnomma, et comme elle les appela jusqu’à ce qu’à ce qu’elle succombe à l’un de ses voyages d’affaires dans l’un de ses nombreux pays ou sévissait avec ferveur les forces du mal, grandirent dans le plus grand bonheur possible et imaginable. Ils ures une père, un mère, des tantes, des oncles des grands parents, des amis et tout ça agrémenté d’un statut social aisée et d’un système de vie prônant la liberté.
Mlle Kary grandit dans ce que maintenant l’on peu appeler « un cocon » entourée, sur protégée, choyée, bien plus que celui qui portait le nom de Keen, celui qu’elle nommait si gentiment Prince, celui avec lequel elle partageait tous ce qui pouvait lui arriver, tous ce qu’elle pouvait penser, voir, tous en dehors de cette fragilité si évidente, cette douceur si particulière, ses maladies à répétition son tempérament si fragile. De mémoire, depuis le jour de sa naissance, Kary fut la petite fille la plus protégé de l’Angleterre, de couvertures en couvertures, de médecins en médecins ou de salle de consultation en salles de consultations, les Skeetter pensèrent même à plusieurs reprises qu’elle ne survivrai point à ses douloureuse maladies qui pour une personne normal aurait été inoffensives. Elle était fille, sublime petite fille aux boucles noires, au visage fin et doux, rassurant attendrissant, mais bien loin de la petite fille que l’on désirs avoir, car aucuns parents de souhaite voir son enfant souffrir autant que notre petite demoiselle.

Les jumeaux sont particuliers, c’est une évidence, une vérité générale, un phénomène scientifiquement indéchiffrable et une délicieuse particularité. Kary et Keen n’échappèrent pas à cette phénomène particuliers, et l’éloignement puis la disparition de leurs mère alors qu’ils n’avait que 5 ans ne fit qu’accrurent cette particularité. Des liens renforcé par la liberté perpétuelle, par une solitude froide, les jumeaux ne se quittèrent plus, et ne se quittent d’ailleurs que très peut. Ils sont chacun l’ombre de l’autre. Chez eux ils dorment d’ailleurs dans la même chambre, voir dans le même lit (n’y voyez rien de malsain). Mily délicieusement fragile à prit l’habitude de rester près de son frère, seul capable de faire briller dans ses yeux la flamme de bonheur la rendant si belle, seul personnage ayant le pouvoir de la faire irradier de bien être par sa seule présence.
Elle est pathétique, triste, douce, fragile, faible, mais par beaucoup de point très charismatique, intéressante, mignonne, sa compagnie n’est jamais un fardeau, les gens l’apprécient, comment ne pas apprécier la jumelle Skeetter, tellement différente de sa mère, animé par l’envie de vivre, l’envie de sourire, la passions de l’écriture et de la musique ?!

C’est heureuse qu’elle grandit. Et c’est dans l’année de ses 11ans qu’elle entra dans la prestigieuse école de magie de Poudlrard, comme c’était prévue depuis toujours par sa mère, comme Kary le voulait, entrer avec son frère dans cette école ou avait vécue bien des sorciers d’honneur. Certains avaient eu le droit à un article signé par sa chère mère et d’autre simplement sorciers. Comme elle, comme son frère, comme les Skeetter depuis des génération.
Elle ne se doutait pas de la maison qu’on choisirait pour elle, la même que son frère d’ailleurs, bien qu’elle eu une certaines préférence pour celle-ci, une maison d’élèves prestigieux et intelligent.
Mais elle fut choisie. Et démontra bien vite au monde, que son visage d’ange ne cachait pas tout à fait une petite princesse, mais une jeune demoiselle intelligente et assoiffé de savoir, elle se fit la réputation d’une fille calme, mais délicieusement fragile, très agréable et pleine d’un charisme désarmant.